mercredi 12 juin 2013

MARIEE DE FORCE

" Mariée de force à un cousin malien, elle a compris que ses parents réservaient le même sort à sa sœur. C’est pour cette raison que la jeune Fouleymatou a confié son horrible histoire à une assistance sociale, en 2006, et déclenché ainsi l’enquête qui mène finalement ses parents devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine. 

A partir d’aujourd’hui et jusqu’à vendredi, Daouda et Kalle Kante, respectivement âgés de 58 et 48 ans, seront jugés pour « traite d’être humain ». En plus de la marier de force, ils ont infligé à leur fille des sévices en tout genre. Fouleymatou avait 18 ans quand elle a révélé ce qu’elle a subi. Depuis l’appartement familial de Bagneux, ses parents ont organisé le mariage de leur fille avec le cousin Mamadou. Dès 2001 — Fouleymatou n’avait que 13 ans — elle a été promise au prétendant contre la somme de 150 € et deux vaches. Quatre ans plus tard, Fouleymatou était toujours mineure, on a célébré les noces au Mali, selon la coutume.

De retour à Bagneux, l’adolescente est devenue l’épouse du cousin aux yeux de toute la famille. Il lui fallait donc se soumettre et se taire. Ne rien dire des relations sexuelles imposées, de ce qu’elle décrit comme des viols. Mamadou Sidibé, le cousin époux sera jugé lui aussi lors de ce procès, pour tentatives de viols et, accessoirement, pour séjour irrégulier sur le territoire français.

Lors de l’instruction, Mamadou a affirmé que sa promise était consentante. Il prétend avoir lui-même recueilli son assentiment pour le mariage dès 2001. Quant à l’argent ou les vaches, c’est « la coutume ».

Les coups de balai étaient fréquents

En plus de contraindre sa fille à la vie commune avec un homme qu’elle ne désirait pas, la mère de Fouleymatou lui a infligé de graves violences.

Selon le récit de cette dernière lors de l’instruction, les coups de balai ou de fil électrique étaient fréquents. Il ne s’agissait « que » de coups de ceinture donnés « doucement » selon sa mère. Illettrée, Kalle tenait à faire de sa fille une future épouse modèle. C’est pourquoi elle la séquestrait à la maison et cognait.

Daouda, le père de la jeune fille, semble n’avoir pas usé de violence physique. Au contraire, il dit avoir dû séparer son épouse et sa fille alors que la première martyrisait la seconde à coups de fil de fer. Arrivé en France en 1974, Daouda, ouvrier à Rungis (Val-de-Marne), a lui aussi épousé sa femme dans son pays d’origine en respectant la tradition. Mais il réfute avoir jamais contraint sa fille à épouser le cousin. En père de famille, il a seulement reçu la demande en mariage et organisé la rencontre entre le prétendant et sa fille.

Les parents encourent une peine de dix ans d’emprisonnement. "


Ben oui, l'immigration est une chance pour la France ! Bizarre, ça c'est pas trop ébruité à la télé !

PROFANATIONS D'EGLISES EN 2013 :

" Trois églises du Finistère, situées à Loctudy, Combrit et Huelgoat, ont été profanées ce week-end, leur tabernacle ayant été forcé, a-t-on appris lundi auprès du parquet de Quimper et de la préfecture du Finistère.
Dans les églises de Combrit et Loctudy, deux communes situées au sud de Quimper, les hosties qui se trouvaient dans les tabernacles, fracturés, ont été répandues au sol, a indiqué le procureur de Quimper, Eric Tuffery, qui s'est rendu dans la matinée sur place, tout comme le préfet du Finistère Jean-Jacques Brot.

Celui-ci a indiqué a l'AFP dans la soirée que le tabernacle de l'église Saint-Yves de Huelgoat, commune du centre du Finistère, avait subi le même sort samedi après-midi. Les églises de Loctudy et de Combrit ont été dégradées dimanche après-midi, selon M. Tuffery.

Dans l'église de Loctudy, une lunule, petite boîte en métal dans laquelle on place une hostie destinée à être portée à une personne invalide ou malade, a par ailleurs été dérobée, a précisé M. Tuffery, assurant qu'aucune inscription ni revendication n'a été relevée.

Il s'agit d'actes "extrêmement choquants", a réagi M. Brot. "Ce qui est frappant, c'est qu'à chaque fois c'est le tabernacle qui est visé, à savoir la partie la plus importante du point de vue liturgique dans la foi catholique", a poursuivi le préfet, interrogé par l'AFP. "


" Limoges : vols, dégradations et blasphèmes à l’église du Sacré-Cœur.

Les faits se sont déroulés hier lundi dans l’après-midi, dans cette église de la rue François-Perrin. Les malfaiteurs ont dégradé le confessionnal, le tabernacle et l’autel, ils ont dérobé une croix en métal, et laissé derrière eux une feuille de papier sur laquelle figure une inscription à caractère blasphématoire et sexuel. L’abbé [le curé ?] devrait déposer plainte dans la journée. "


" Dans la cathédrale Saint-Pierre de Nantes, une partie du chœur ainsi que l’autel le plus ancien ont été défigurés. Selon le préfet de Loire-Atlantique, il y a des inscriptions obscènes, des dessins sataniques, des évocations à caractère nazi, ainsi que de petits bonshommes, style manif pour tous. Une statue a été cassée et des petites moustaches d’Hitler dessinées sur les portraits des anges. "


" Au-delà des différents objets liturgiques volés, de l'autel fracturé, du tabernacle ouvert, le Père Pirrodon, curé, et les paroissiens de Saint-Rambert s'indignent de l'atteinte portée contre le Saint-Sacrement : cet acte blesse le cœur de la foi des catholiques » explique un communiqué sur le site du diocèse de Lyon. "


Voilà en trois minutes quelques articles sur les profanations d'églises depuis Janvier 2013. On peut s'étonner du manque de diffusion dans les médias audiovisuels et le manque d'intervention de Mr VALLS pour dénoncer ces actes de vandalismes à caractères Christianophobes ( c'est à la mode ! ). Jusqu'à quand ils vont nous prendre pour des cons ?!

LA CHAPELLE MILITAIRE DE TOULON PROFANEE

" La chapelle de la base navale de Toulon a été vandalisée et profanée dans la nuit du 7 au 8 décembre 2012. L’évêque aux armées procédera à la célébration du rite pénitentiel à la chapelle le 18 décembre matin. Les offices pourront reprendre après cette date.

Au nom de l'ensemble de la communauté de défense, le ministre de la Défense et le chef d’état major de la Marine condamnent une nouvelle fois avec la plus grande fermeté ces actes inqualifiables qui ne sont en aucun cas compatibles avec les valeurs que nous défendons.

L’enquête de la gendarmerie maritime, demandée par les autorités du ministère, se poursuit. Tout est mis en œuvre pour identifier les auteurs de ces actes. "