samedi 13 juillet 2013

GENS DU VOYAGE : LES CITOYENS SE REVOLTENT

" Déverser du lisier ou mobiliser les gros bras du village sur Facebook : face aux caravanes qui s'installent illégalement sur leurs communes, des maires et des habitants, jugeant la loi trop favorable aux gens du voyage, tentent de se faire justice eux-mêmes. Le « mode d'emploi » d'expulsion des gens du voyage du député-maire UMP de Nice Christian Estrosi est le plus emblématique de cette volonté de régler les problèmes seuls, mais d'autres actions moins médiatiques ont eu lieu ces dernières semaines.

Un soir de la fin mai, « une cinquantaine de citoyens » de Montévrain, bourgade à deux kilomètres de Disneyland, ont répondu à l'appel sur Facebook du maire UMP Christian Robache, face à ce qu'il qualifie d'une « invasion sauvage ». L'édile de cette commune de 8 700 habitants en Seine-et-Marne, qui « n'a pas d'aire d'accueil et n'en veut pas », tentait d'empêcher l'installation de 150 caravanes de tsiganes évangéliques dans un parc municipal. Il a fait creuser précipitamment deux tranchées pour en barrer l'entrée.

« Dans les dix minutes, on avait des gens sur place (...) jusqu'à 3h du matin », raconte-t-il. En présence de la police, une nuit de face-à-face tendu s'en est suivi, avant que les tsiganes ne reprennent la route. Se plaignant d'avoir été « menacés » et insultés, ils ont depuis porté plainte pour abus de pouvoir. 
Pour le maire, la mobilisation démontre une « vraie solidarité » des citoyens alors que l'Etat « a démissionné », laissant les élus locaux impuissants face au « problème national des gens du voyage ».

Si « certains groupes de gens du voyage jouent le rapport de force », ce n'est « pas le rôle des citoyens de sortir pour s'opposer » à leur installation, souligne-t-on à la préfecture du Seine-et-Marne. L'Etat fait évacuer, dès qu'il le peut, les campements illicites dans ce département relativement bien pourvu en aires dédiées.Dans la même veine, le maire de Sainte-Croix-en-Plaine (Haut-Rhin) a lancé une pétition en ligne pour contester la réquisition d'un ancien terrain militaire pour les grandes migrations. Il a récolté 2 500 signatures, presque autant que le nombre de ses administrés. 

Mardi à Guérande (Loire-Atlantique), le député-maire (UMP), Christophe Priou a menacé avec ses adjoints de remettre sa démission pour protester face à l'installation illicite de 150 familles sur un terrain de foot. 
Parfois, les habitants prennent les devants, comme mi-juin à Maulette, aux confins des Yvelines. Les agriculteurs menaçaient, avec des mètres cubes de lisier, d'encercler le camp installé sur des champs, pour y « déloger » les gens du voyage. L'opération malodorante a eu lieu, mais sans face-à-face avec la communauté tsigane, le camp ayant été levé à la suite d'un arrêté préfectoral. « J'ai peur d'un dérapage, un jour, avec un coup de fusil », confiait un des agriculteurs présents.

Les initiatives tournent parfois mal. Mi-juin, en Haute-Savoie, l'adjoint au maire de Frangy a eu le nez cassé après avoir été frappé par des tsiganes qui tentaient de s'installer sur une aire de loisirs.Du côté des gens du voyage, le président de l'Union française des associations tsiganes (UFAT), Alain Daumas, estime que « les communes ne (leur) laissent pas le choix ». « Ce sont les maires qui sont dans l'illégalité » en n'installant pas suffisamment d'aires d'accueil, juge-t-il. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a dit mardi « comprendre la colère d'élus ou de personnes qui voient leur terrain occupé de manière illicite », tout en regrettant le non-respect de la loi par certaines communes. 

En somme, chaque fin de printemps, la psychose repart lorsque l'itinérance reprend, mais les actes hostiles contre les gens du voyage restent « sporadiques », témoigne Emmanuel Aubin, professeur de droit public à Poitiers. « Depuis 2010, il y a beaucoup plus de demandes d'expulsions formées par des maires de tous partis politiques » note-t-il. Ces décisions sont rapidement exécutées et « le délaissement des communes par l'État est une vieille lune », agitée en période pré-électorale, selon lui. "

http://www.rmc.fr/editorial/398276/gens-du-voyage-quand-maires-et-habitants-se-font-justice-eux-memes/

La formation de milices n'est pas loin. Face à l'inefficacité du gouvernement à vouloir intervenir pour régler ces installations sauvages, il n'y a plus d'autre solution. On sent que la coupe est pleine et que l'irréparable n'est qu'à deux doigts. Contrairement aux dires de Mr AUBIN, l'hostilité envers les gens du voyage augmente et les décisions d'expulsions sont toujours aussi lentes. 150 familles pendant une semaine sur un terrain de foot et je vous laisse imaginer l'état du site... sans compter le coût financier pour remettre à neuf, l'eau et l'électricité gratuite, les bennes à ordures qu'il faut fournir et le nettoyage du coin qui sert de latrines.

BRETIGNY : LES RACAILLES DEPOUILLENT LES MORTS ET LES BLESSES


" Alors que les pompiers tentaient de porter secours aux victimes du déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge dans lequel au moins six personnes ont trouvé la mort, ils ont dû faire face à des jets de pierres de la part d’un petit groupe de jeunes.

A l’origine de l’agression, des pillards, venus voler sur les corps des morts et des blessés ce qu’ils pouvaient emporter.

Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance, raconte la scène au micro d’Europe 1 :

“A 17 heures 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres”, s’insurge la syndicaliste. "


Jusqu'à quand les Français vont-ils tolérer ce genre de comportement. Les chances pour la France sont des animaux. Bougez-vous, pour moins que ça les jeunes des banlieues saccagent les magasins et incendient les voitures. VALLS est une grosse merde à la solde des citées et préfère intervenir pour protéger la racaille que l'honnête citoyen. A quand la solidarité des Français en France ? Jusqu'à quand l'impunité pour ces jeunes des banlieues ? Les gouvernements successifs sont responsables, l' Europe est responsable, retrouvons notre légitimité et notre fierté. Aucune pitié pour ces gens qui renient toutes nos valeurs et notre pays. Jusqu'à quand nous laisseront nous humilier !?

LE MAIRE DE PARIS FETE LE RAMADAN AUX FRAIS DES CONTRIBUABLES

" Non seulement Delanoë fait payer, une fois de plus, par le contribuable son amour immodéré de la musique et des traditions arabes (quand on aime on ne compte pas) mais il pousse le cynisme jusqu’à vouloir en profiter pour nous changer…

En fêtant le ramadan à la mairie de Paris, une fois de plus, Delanoë piétine le loi de 1905 et revendique son objectif, nous imposer une certaine vision de la société. Il n’est plus question seulement de diversité, de découverte des différences, cette fois on invite « les ambassadeurs du métissage universel ». C’est beau comme du Debbouze. Et aussi nul.

Mais efficace. D’un côté on envoie un signal fort aux musulmans (pas fous, ces derniers n’iront pas se mélanger avec des mécréants et courir le risque de manger de la salade contenant du vinaigre de vin) endal, de l’autre on flatte et rassure les bobos qui seront présents à ce petit raout, qui seront ravis d’avoir pu communier dans l’exotisme et « la découverte de l’autre et de ses différences »… sans parler de l’excitation allant, forcément, jusqu’à l’orgasme, de côtoyer les acteurs d’une société multiculturelle…

« fanfare traditionnelle maghrébine Ziyara, soirée orientale,Fanfare traditionnelle et populaire du Maghreb et de l’Orient,  la debka du Moyen-Orient, le saadi égyptien, le khalligi saoudien, le fezzani, tunisien, les binaires et ternaires kabyles, l’allaoui, le gourari et d’autres rythmes du sud algérien, guitariste virtuose Abdoulaye Traoré et du fougueux chanteur ivoirien Mohamed Diaby, Réunion d’ethnies et d’origines religieuses diverses  »(diversité religieuse ? on me permettra d’être sceptique….), le pied, non  ? Et vachement plus excitant et moins dangereux qu’une balade au clair de lune en Seine Saint Denis….

On saluera au passage l’initiative du FN qui défère Bertrand Delanoë au Tribunal Administratif pour annulation du budget consacré à cette fête (cent mille euros….). Lire la lettre ouverte de Wallerand de Saint-Just à Delanoë. "

L'ARMEE FAIT LE RAMADAN

Je n'ai pas pu intégrer ce texte dans le post. Toutefois, vous pouvez le consulter dans son intégralité en version PDF à l'adresse suivante : http://reveil-et-vous.fr/wp-content/uploads/2013/07/Note-militaire-Ramadan-2013.pdf

Bonne lecture avant censure

MONTROUGE : UN MAIRE OBLIGE DE PRETER UNE SALLE POUR LE RAMADAN

" La justice a sommé vendredi le maire de Montrouge (Hauts-de-Seine) de prêter une salle de prière à une association musulmane pendant le ramadan alors qu’il s’y était refusé.

Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), saisi en urgence par l’Association fraternité Montrouge (AFM) l’a « enjoint » à lui proposer une salle communale « pour quelques heures pendant plusieurs jours au cours de la période du ramadan » dans un délai qui « ne saurait excéder 48 heures à compter de notification » de la décision de justice.

La ville devra également verser 1 000 € à l’AFM au titre des frais de procédure.

Principe de laïcité ?

L’association avait effectué une demande de mise à disposition de salle, la sienne étant « trop petite » et sous le coup d’un arrêté de fermeture pris en février par la mairie en raison de « problèmes de sécurité et d’urbanisme ».

Mais le maire (UDI) de Montrouge Jean-Loup Metton avait rejeté sa demande mi-juin, invoquant selon l’association qu’une telle mise à disposition « méconnaîtrait le principe de laïcité ». "

ROUBAIX : PAS DE TERRASSE LE SOIR PENDANT LE RAMADAN POUR EVITER DES EMEUTES

" Eviter les débordements de l'année dernière. Dans le cadre du ramadan qui débute ce mardi, la municipalité de Roubaix a pris un arrêté obligeant les patrons de bars du quartier de l’Epeule à fermer leurs terrasses le soir, rapporte Nord Eclair.

L’année dernière durant cette période, les terrasses n'avaient pas respecté les horaires de fermeture (20 h 30 en semaine et 21 h 30 les vendredis, samedis, et jours fériés) et elles avaient débordé de leurs emplacements. 

1 500 euros d'amende

Les cafetiers de l’Epeule, qui risquent une amende pouvant aller jusqu’à 1 500 euros, dénoncent cet arrêté qui va leur faire perdre du chiffre d'affaires. Du côté de la mairie, Catherine Auget Buisine, l’adjointe au maire en charge des quartiers ouest , reconnaît dans Nord Eclair qu'il y a eu les années précédentes  "énormément de remontés des habitants" mais préfère botter en touche en assurant que l'arrêté "concerne toute la période du 15 mai au 31 octobre, et n’est pas limité à un événement donné. C’est la densité de population dans le secteur de la rue de l’Épeule qui aurait poussé le maire à signer" ce texte. "

IMMIGRATION ET VIOLENCE : MEME LA HONGRIE SE FICHE DE NOUS !