jeudi 20 mars 2014

LA BASILIQUE DU SACRE-CŒUR DE MONTMARTRE PROFANÉE PAR DES EXTRÉMISTES DE GAUCHE





" Nouvelle profanation contre une Eglise ce mercredi 19 mars, et silence médias.

La basilique du Sacré-Coeur de Montmartre, à Paris, a été victime d’une profanation ignoble. Les médias sont indifférents (ou ravis) si ce n’est pas une mosquée, voire une synagogue. Mes amis chrétiens sont décidément odieusement humiliés. Insultés par les fascistes de gauche et agressés par les islamistes, je crains qu’un jour ils soient chassés de France comme les coptes l’ont été d’Egypte et les chrétiens le furent de Bethlehem et de Gaza.

Les tags en rouge et noir à l’extérieur mais aussi à l’intérieur de la basilique ont été découverts ce matin à l’ouverture de l’édifice religieux.

« Ni Dieu ni Etat », « Feu aux chapelles », « A bas toute autorité », tels sont les slogans de la bouillie extrême gauchiste, anarchiste et antifa peints sur l’édifice.

Seul Charles Beigbeder, candidat aux municipales dans le 8ème arrondissement, a sauf erreur été le seul à condamner cet acte sur Twitter.

Ian Brossat, un des leader du génocidaire parti communiste, avait souhaité remplacer la basilique du Sacré-Coeur qu’il « n’aime pas », par un centre d’action sociale, et l’avocat Patrick Klugman qui est « de tous les antiracismes » vient défendre à la télévision la Femen qui mime à l’intérieur de Notre Dame l’avortement de Jésus Christ avec un foie de veau, en soutenant que ce n’est pas une insulte aux Chrétiens… "

SOCIALISME : LA FRANCE DES COPAINS, DES COMBINES ET DES COMBINARDS



" La France est devenue un pays de combines d’Etat.

Pour commencer, les Français ont été endormis par des décennies de nihilisme : devenir un Français moyen, vivre caché pour vivre heureux, s’auto-humilier pour une colonisation qui enrichit les colonisés et un esclavagisme commis mais aussi subi, ne pas prendre de risque et chercher un travail dans l’administration, cracher sur son drapeau, manifester pour sa retraite quand on est encore étudiant, détester les patrons qui font vivre le pays, ne pas chercher à s’enrichir, renoncer à son identité en célébrant celle des nouveaux arrivants, consommer en haïssant les biens de consommation, s’appauvrir pour financer la misère du monde, traiter le progrès comme un danger, retirer le pain de la bouche de sa famille pour nourrir des étrangers qui ne travaillent pas, accepter d’être puni pour avoir -supposément- pollué et détruit la terre, acheter moins cher en dénonçant les entreprises qui s’expatrient pour baisser les coûts, se sentir si sales qu’ils traitent comme une chance l’immigration qui les absorbe …

Puis ils ont été ramollis par des mythes à l’eau de rose : la sécurité sociale que le monde entier nous envie, le rayonnement de la France, l’exception culturelle française, l’innovation ; par la désinformation : c’est bien pire ailleurs ; par la propagande marxiste ; et par l’auto-congratulation.

Quand la réalité les a frappé il était trop tard : ils ne savent plus l’analyser et la comprendre, le bon sens les a quitté. Ils ne peuvent même plus voir à leur porte le bonheur et le bien-être dans les pays voisins, la réussite chez leurs voisins, car ils ne comprennent même plus très bien ce qu’est le bonheur, la réussite et le bien-être.

Alors les Français subissent, perdus. Des presque morts-vivants ? Ils rejoignent lentement le destin de certains pays Africains : des pauvres dans des pays aux riches sous sols, aux fabuleuses ressources naturelles. Ils votent pour des présidents médiocres, qui prennent des décisions médiocres, obtiennent des résultats médiocres, et leur assurent une vie médiocre. Et ils recommenceront.

Les Français sont devenus un peuple qui subit, et des peuples qui subissent émergent toujours des élites qui profitent, et comme les magiciens détournent l’attention vers des boucs-émissaires.

Des élites politiques, syndicales et médiatiques qui profitent de l’apathie des Français, baignent dans l’opulence et se livrent à leurs petites combines. Cyniquement. En suppliant le bon peuple de faire encore des efforts « pour passer la crise ». Chaque petit coq donneur de leçons – l’élite – gagne chaque mois le salaire annuel d’un Français moyen.

Aussi, depuis l’étranger, la France surprend, car elle est visible. Aucun pays n’affiche un si grand écart entre ce qu’il prétend être et ce qu’il est vraiment.

Les dictatures ne prétendent pas être les vitrines de la démocratie. Les pays en retrait ne soutiennent pas qu’ils sont à la pointe de la très haute technologie. Les collectivistes ne clament pas qu’ils encouragent l’entreprise. Les enfers fiscaux n’exigent pas, en feignant l’étonnement de son refus, qu’un milliardaire suisse rapatrie son statut fiscal vers la France au nom d’une morale qu’ils foulent au pied.

Et bien entendu, aucun pays qui se dit patrie des Droits de l’homme n’ose brider par des procès politiques la liberté de parole ou appliquer aux législateurs des lois d’exception meilleures que celles qu’ils imposent à leurs administrés.

La France fait tout cela et bien d’autres choses encore.

Il y a quelques mois, l’Assemblée nationale a effacé au journal l’Humanité une dette de 4 millions d’euros d’un prêt qu’elle n’aurait jamais du lui faire car il était établi qu’il ne pourrait pas le rembourser. Cette semaine, elle a effacé au journal Médiapart son redressement fiscal d’un million d’euros, alors que sa trésorerie – l’entreprise dégage un profit de 700 000 euros en 2012, permettait de payer l’amende. Au nom de la combine d’Etat camarade.

Avec ce cadeau d’un million d’euros, les actionnaires de Médiapart vont s’offrir des beaux appartements en insultant les propriétaires et en exigeant qu’ils en soient punis par l’impôt. Et vous, écrasé de taxes, vous continuerez à ramer pour payer le crédit de votre appartement…

Les décisions des députés assurent-elles le redressement des finances de l’Etat ? Profitent-elles aux Français, ou à une poignée de copains ? "

YAMINA BENGUIGUI AURAIT OUBLIE DE DÉCLARER 430 000 EUROS DE SA DÉCLARATION DE PATRIMOINE



" L’un après l’autre, chaque membre du gouvernement y passe : Yamina Benguigui a triché plus que le tricheur, en publiant un faux patrimoine – au nom de la transparence demandée la plus haute autorité de l’état après le scandale Cahuzac.

Yamina Benguigui comme Cahuzac qui est contre la fraude fiscale, tout contre ; comme Taubira qui fait du mensonge le sceau de son gardien ; comme Françoise Martres qui épingle les cons à épingler ; comme Belkacem qui lundi vend la théorie du genre aux écoliers et mardi fait genre que ce n’est qu’une théorie, comme Montebourg qui redresse la France en fabricant des robots culinaires pour Femen, comme Hollande qui n’aime pas les riches, surtout ceux du village de riches où il a sa riche propriété de très riche.

L’an dernier après le scandale Cahuzac, chaque ministre a publié son patrimoine y compris «l’ensemble des biens y compris ceux détenus à l’étranger et ceux n’entrant pas dans l’assiette de l’impôt de solidarité sur la fortune».

C’était une opération de transparence comme ils disaient. Opération de transparence, c’est à dire opération d’enfumage d’un régime de plus en plus menteur et insolent.

Yamina Benguigui a déclaré avoir deux assurances-vie de 200 000 euros, des comptes courants, et une participation dans une société de production. Pas de biens immobilier. Pas de voiture. Pas de comptes à l’étranger.

Mais voilà que vlan, Marianne révèle que la ministre Cahuzac Benguigui a vendu des actions de G2, une société Belge – paradis fiscal pour l’entreprise comparé à la France, peu le savent, pour 430 000 euros.

Yamina Benguigui est actuellement en campagne municipale dans le Xe arrondissement de Paris, un quartier où les Parisiens n’ont pas de problèmes avec les menteurs pourvu qu’ils soient du PS. Et réciproquement.

Faut-il avoir fait ses preuves de menteur pour s’assurer une place dans un gouvernement socialiste ? "

FLAGRANT DÉLIT DE PASSE-DROIT POUR LA FEMME DE VALLS



" Les passe-droits dans la police sont une tradition... républicaine. Ce n'est pas Anne Gravoin, l'épouse violoniste du ministre de l'Intérieur, qui dira le contraire. Le 28 janvier dernier, à 10 h 30, un agent de surveillance de la voie publique (ASVP) verbalisait les véhicules démunis de ticket de stationnement ou gênant la circulation dans la rue où résident les époux Valls, située dans le 11e arrondissement de Paris. La pervenche s'en tient au règlement et aligne ses amendes dans la plus stricte égalité des conditions. Lorsqu'elle appose sa contravention sur une voiture de marque Toyota garée sur un bateau pavé, un gardien de la paix lui ordonne de ne pas la verbaliser. "Trop tard, c'est déjà fait !" lui lance-t-elle. Le policier n'était pas là par hasard. Le matin même, il avait reçu un appel d'Anne Gravoin "via le téléphone de service" pour le prévenir qu'une amie venait lui rendre "une visite strictement privée" en Toyota, comme il est écrit dans son rapport "pour verbalisation intempestive" destiné à sa hiérarchie que Le Point.fr a pu consulter. Dans ce cadre, elle réclamait l'indulgence des forces de l'ordre pour son amie éventuellement mal garée.

SDF déplacés

Lorsque l'épouse du ministre de l'Intérieur sort de chez elle vers 12 h 30, le gardien de la paix lui narre sa mésaventure, insistant sur le fait qu'il a "tout fait pour empêcher cela", c'est-à-dire la verbalisation de l'automobile de son amie. "J'appelle immédiatement Manuel", s'énerve la musicienne préférée de Manuel Valls. Deux heures plus tard, un commandant du groupe de sécurité du ministre de l'Intérieur (GSMI), qui dépend de l'ex-Service de protection des hautes personnalités (SPHP devenu Service de la protection), prend contact avec le gardien de la paix pour lui dire "qu'il s'occupait de faire le nécessaire". 

Ce n'est pas la première fois que l'épouse de l'ex-ministre le plus populaire du gouvernement Ayrault use de ses relations pour obtenir des faveurs de la part de la police. Agacée par le nombre de SDF qui fréquentent son quartier, elle avait demandé aux îlotiers de les déplacer. Le ministre de l'Intérieur avait démenti l'intervention de sa femme. 

Mais parfois, ce sont les policiers qui font preuve d'un zèle certain auprès des proches du titulaire actuel de la Place Beauvau. Ainsi, lorsque son ex-femme, mère de ses quatre enfants, s'est fait voler son sac à main en février 2013 à Évry (Essonne), la hiérarchie a mobilisé la police technique et scientifique pour retrouver les auteurs du larcin. Délesté de son argent et de ses cartes bancaires, l'objet avait été retrouvé à Corbeil-Essonnes dans le quartier sensible des Tarterêts. C'est le commissaire en personne qui était venu rapporter le sac à main au domicile de sa propriétaire. Les prélèvements ADN pour confondre les coupables ont fait moins de bruit que ceux effectués pour arrêter les voleurs du scooter du fils de Nicolas Sarkozy en janvier 2007. "

UN MAIRE FLASHE EN EXCES DE VITESSE

" Il filait à 154 km/h sur la départementale 938 entre Maignelay-Montigny et Tricot, dans l'Oise, où la vitesse est limitée à 90 km/h. Jean-Louis Hennon, le maire du petit village de Courcelles-Epayelles (200 habitants), a été flashé par un radar mobile, samedi 15 mars, et son véhicule immobilisé, rapporte, mercredi 19 mars, Le Courrier Picard.

Alors que les forces de l'ordre lui signifiaient le retrait de son permis de conduire, l'édile arrêté s'est justifié ainsi : "D'habitude, je roule normalement. Mais ce jour-là, il faisait beau, j'étais parti à Maignelay pour laver ma voiture et sur la route du retour, j'ai accéléré sur un kilomètre pour faire sécher ma voiture."
Selon le quotidien régional, Jean-Louis Hennon s'est également voulu philosophe, satisfait que les élus ne soient "pas au-dessus des lois". "