dimanche 15 décembre 2013

HOLLANDE ECHAPPE A UN ATTENTAT EN CENTRE-AFRIQUE



" "Hollande est peut-être passé à côté d'un drame... mais n'y a vu que du feu", affirme Le Parisien dans son édition de dimanche. Le quotidien explique que, lors de la visite éclair du chef de l'Etat en Centrafrique, mardi 10 décembre, plusieurs dizaines d'ex-rebelles de la Séléka "armés jusqu'aux dents" ont fait irruption sur le tarmac de l'aéroport de Bangui. François Hollande est alors en pleine discussion avec le président centrafricain Michel Djotodia, dans "le pavillon présidentiel de la base militaire", à quelques pas de là.

A bord de sept véhicules, les membres de la Séléka "se postent en face" du Falcon de la République française. La situation est tendue. Les militaires français craignent le pire, indique Le Parisien. Au bout de quelques minutes et après une discussion entre un général soudanais de la Séléka et des responsables de l'armée française, les pick-ups rebroussent chemin. "Il y a bien eu ce face-à-face" sur le tarmac de l'aéroport, confirme Gérard Grizbec, envoyé spécial de France 2, qui relativise la portée de cet incident. 

Manœuvre d'intimidation ? Toujours est-il qu'il a suscité "la panique du côté des forces spéciales". La veille, deux soldats français étaient tués dans une embuscade sans doute tendue par les Séléka qui rechignent à participer à l'opération de désarmement supervisée par l'armée française. "


Ca aurait pu rendre service à la France entière....

ROUBAIX : 17 CAMBRIOLEURS REMIS EN LIBERTE

" Mi-novembre, une cinquantaine d’enquêteurs de la sûreté départementale de Lille et Roubaix fait une descente chez des voyous. Une bande écumait la région depuis avril et volait des ordinateurs et des tablettes dans les entreprises de la région – une quarantaine en tout.

Dans la planque, la police découvre une trentaine d’ordinateurs et d’Ipad. Six racailles sont mises en examen, sur dix sept interpelées. Le réseau est enfin démantelé.

Enfin… presque.

Car la police a sous estimé le pouvoir de nuisance des juges rouges : tous les voyous ont été laissés en liberté, et ils vont pouvoir reprendre leur lucratif commerce et continuer à punir ces sales entreprises capitalistes qui exploitent les travailleurs.

8 mois d’enquête dont le coût pour la société civile est loin d’être modique, puis une victoire, une arrestation record. Et la justice a tout foutu en l’air en quelques minutes. Le laxisme judiciaire a créé un véritable malaise chez la police qui se demande à quoi sert leur métier, à quoi cela sert de pourchasser les délinquants, de « travailler comme des fous» sur le dossier, à identifier la bande, si c’est pour relâcher les renards dans le poulailler.

Le montant des vols de la bande a été estimé à 500 000 euros. Pour les enquêteurs, la pilule est dure à avaler. Pour les PME volées, mieux vaut faire profil bas si elles ne veulent pas se retrouver sur le mur des cons de la magistrature du nord.

« De telles enquêtes, c’est un investissement lourd en heures, en dispositifs et en moyens, avec des filatures qui peuvent durer des nuits entières », souligne un enquêteur. « Comment s’étonner que le flic qui enquête depuis plusieurs mois, jour et nuit quelques fois, éprouve un ras-le-bol ? On est un peu amers.»

Le syndicat de police Alliance a également exprimé son dégoût : « Les policiers avaient beaucoup d’éléments. La plupart des suspects avaient déjà été interpellés puis réinterpellés. Ce flop est inadmissible », tonne Olivier Berton, délégué d’Alliance.

« Un signal d’impunité a été adressé à des délinquants. On ne comprend pas, d’autant que les cambriolages explosent et sont une priorité. Il y a eu un loupé judiciaire quelque part,» ajoute Berton qui semble ne pas comprendre qu’il n’y a aucun loupé mais une intention de nuire aux bourgeois exploiteurs de la part d’une corporation hyper-politisée à l’extrême gauche revancharde.

Le parquet de Lille a demandé plusieurs placements en détention: « Cela nous semblait justifié au regard des faits, des investigations et du risque de renouvellement des infractions. Le juge d’instruction avait globalement suivi nos réquisitions [mais] le juge des libertés et de la détention (JLD) a décidé les libérations, sous contrôle judiciaire. »

Jérôme Sacchi, PDG de Prodcast, société de production audiovisuelle à Marcq-en-Barœul, et qui fait partie des cambriolés a expliqué à la Voix du Nord : « On crée de l’emploi, de la richesse, on innove (…) Notre rôle n’est pas de se dire tous les matins Est-ce qu’on va être cambriolés ou pas ? »

Lassé, Jérôme Sacchi pense à déménager. Son « ras-le-bol » est palpable. « On a fait notre enquête. On a vu nos appareils, très spécifiques, sur leboncoin.fr ». Une salariée a par exemple reconnu son clavier, auquel il manquait une touche, retrouvée d’ailleurs dans les locaux juste après les faits. » "

ESCROQUERIE AU RSA

" Un homme de 44 ans a été condamné à 18 mois de prison ferme à Poitiers pour une vaste escroquerie au RSA dans dix départements, où il a réussi à percevoir près de 200.000 euros entre 2008 et 2011.

L'homme, condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Poitiers à deux ans et demi de prison, dont 18 mois ferme, avait réussi à obtenir frauduleusement 188.000 euros au titre du Revenu de solidarité active (RSA) au détriment de dix Conseils généraux ou caisses d'allocations.

Se prétendant sans abri, l'escroc procédait grâce à une douzaine de fausses identités, notamment trois passeports français obtenus grâce à de faux états civils. Aux différents services administratifs des départements, il fournissait comme adresse celle de diverses associations caritatives et, pour percevoir l'argent, ouvrait, toujours via ses fausses identités, de multiples comptes bancaires.

Condamné à rembourser ses victimes

Dix départements de l'Ouest de la France (Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime, Vendée, Indre-et-Loire, Sarthe, Loir-et-Cher, Loire-Atlantique, Ille-et-Vilaine) ont été floués. Jusqu'à 52.000 euros ont ainsi été frauduleusement perçus au préjudice du Conseil général de la Vienne. En janvier 2011, la police avait été alertée par le responsable d'une banque à Poitiers -où l'homme souhaitait ouvrir un énième compte bancaire- et qui avait découvert une partie de ses mensonges.

Lors de son interpellation, la police a retrouvé sur lui trois passeports français, de multiples cartes bancaires et de faux papiers d'état civil. Sur les dizaines de comptes bancaires ouverts, les policiers n'ont récupéré que 20.000 euros. Pour le reste, l'escroc, qui a été également condamné à rembourser les victimes, a affirmé s'en être servi pour entretenir son train de vie. "


Et c'est quoi le petit nom de ce monsieur ?

RAPPORT SUR L'INTEGRATION : LA GAUCHE TATE LE TERRAIN

" La polémique sur le rapport sur l’intégration est révélatrice de la psychologie profonde de cette Gauche acquise au modèle communautariste.

Dans un premier temps, le gouvernement consulte des individus ou des groupes dont il connaît parfaitement la sensibilité ou le caractère militant. Il sait donc à l’avance quelles seront leurs conclusions. Le rapport n’a pas été demandé à Michèle Tribalat, Malika Sorel ou Riposte laïque. 250 personnes et dix ministères ont planché dessus pendant des mois, dans un beau consensus multiculturel, et aucun n’aurait pensé à un moment à dire : « casse-cou ! » ?

Dans un second temps, les conclusions n’ont donc rien de surprenant. Elles révèlent le souhait véritable des commanditaires et expriment leurs convictions profondes. C’est un ballon d’essai, un anesthésique puissant pour faire passer une amputation douloureuse. En effet, le rapport préconise rien moins que l’abandon du concept d’intégration, le retour du voile à l’école, une remise à plat de l’histoire de France pour mieux parler de l’esclavage, de la traite négrière ou des Roms, la possibilité d’apprendre une langue africaine dès le collège et, cerise sur le gâteau, que la France « assume la dimension arabe-orientale de son identité » (sic).

Lorsque les rapports sont remis à Jean Marc Ayrault, il salue la grande qualité des travaux et s’empresse de les poster sur son site Internet officiel, question d’alimenter le débat et de préparer en douce les esprits.

Si la société ne réagit pas, le rapport fait son bonhomme de chemin dans des réunions interministérielles, des colloques, des débats citoyens et, insensiblement, influence des politiques publiques. On introduit sans grand bruit un cours d’arabe, on modifie un cours d’Histoire, on parle des « racines arabo-orientales de la France » (pourquoi pas dans cette logique folle ?). Le rapport ne l’a-t-il pas préconisé ? Le premier ministre ne l’a-t-il pas cautionné ?

Sauf que ça tourne mal. Dès que l’opinion en à connaissance, elle ne se laisse plus bercer, berner, manipuler par ces pseudo experts et ces associations rabiques, militantes du multiculturalisme qui génèrent une réaction de rejet violent. Pour s’en sortir, le Premier Ministre n’a plus qu’à accuser Jean-François Copé d’être un menteur et un irresponsable.

Jean Marc Ayrault pouvait enterrer ce rapport et ne pas le mettre en ligne. Ce qu’il s’est bien gardé de faire. Car il faut jouer sur plusieurs tableaux. Et faire passer insidieusement aux adeptes du communautarisme le message que l’on essaye, que l’on avance mais que c’est difficile, que l’opinion n’est pas prête. Les rapports ne sont d’ailleurs par rejetés en bloc, seulement les propositions qui semblent les plus extrêmes mais qui ne sont que la suite logique des accommodements raisonnables et du multiculturalisme. "