samedi 30 novembre 2013

UNE REVUE DE PRESSE ACIDE DE BERNARD MABILLE

UNE EGLISE ATTAQUEE PAR DES MILITANTS D'EXTREME GAUCHE

" Ce matin, en pleine célébration de la grand Messe dominicale, l’église St. Nicolas du Chardonnet dans le Ve arrondissement de Paris a été attaquée en toute vraisemblance par un groupe « antifa ». La haine gauchiste et anarchiste a encore frappé. Dans n’importe quel autre lieu de culte, ces faits susciteraient l’indignation générale…

Depuis des mois, les agissements de ces milices extrêmement violentes se généralisent, sans la moindre intervention des pouvoirs publics. Hier c’est un jeune militant pro-vie qui était caillassé dans un rassemblement parfaitement déclaré. Faudra-t-il un drame pour agir ?

Je tiens à réaffirmer ma solidarité envers les victimes de plus en plus nombreuses de ces violences, et dénonce fermement les sauvages qui agissent et les politiques qui les protègent. "

MANIFESTATION ANTIRACISTE ET SOUTIEN A TAUBIRA : UN BEAU FLOP

" Il est intéressant de signaler la manifestation " antiraciste " de ce jour, suite à un premier flop en ce qui concerne la misérable pétition qui a accueilli à peine 100 000 signatures.

D'après " Le Point ",  on a une petite idée du suivi pitoyable de la fameuse grande manifestation. Ainsi, on apprend qu'à Toulouse c'est une masse importante de 600 personnes qui a manifesté ( Au 1er Janvier 2010 la population toulousaine atteignait 441 802 habitants et 1 232 000 avec l'agglomération ). Le pire reste à venir avec Lyon. Là-bas ce n'est même pas 300 personnes qui se sont mobilisées ( D'après les chiffres de 2010, cette ville comptait déjà plus de 1 500 000 habitants ). Autant dire que la " GRANDE " mobilisation n'a pas eu lieu et loin de là !

Mais, on a pas fini de rire ! Lorsque l'on apprend que pas moins de 101 organisations ont participé à ces rassemblements de masse. On retrouve tout le gratin habituel avec SOS Racisme, La ligue contre le racisme, le LDH et tous nos syndicats inactifs pour la protection des salariés, comme la CGT, CFDT, CFTC, FSU, UNSA et sans omettre les syndicats étudiants FIDL, UNEF et compagnie. 

Dans le même temps, une autre manifestation fait bien plus d'adeptes, c'est la mobilisation contre l' ECOTAXE à laquelle participent des milliers de transporteurs. Une fois de plus, la préoccupation des Français est ailleurs, mais nos médias s'empresseront de présenter la manifestation contre le racisme comme un remarquable succès malgré une mobilisation pitoyable. "

DES GENS DU VOYAGE MENACENT UN SERVICE D'URGENCE HOSPITALIER

" Le service des urgences de l’hôpital Bel-Air de Thionville (Moselle) ont du être suspendues pendant une partie de la nuit à cause d’une scène surréaliste. Un infirmier assure «n’avoir jamais vu ça de sa carrière».

«Je n’ai jamais vu ça de toute ma carrière, je comprends l’émotion suscitée par le décès d’un proche mais on ne peut pas nous empêcher d’exercer» confie un infirmier du service des urgences de Bel-Air à Thionville (Moselle). Dans la nuit de mercredi à jeudi, une cinquantaine de personnes issues de la communauté des gens du voyage venus de toute la région ont occupé les locaux des urgences dans un climat plus que tendu. Une jeune femme, membre de la communauté des gens du voyage, hospitalisée dans un état grave est finalement décédé aux urgences quelques minutes après son admission. Un décès qui a provoqué une émeute de proches venus crier leur désespoir et leur colère en plein service de nuit des urgences.

Selon une source interne, le service de sécurité de l’hôpital a dû se résoudre à appeler la police pour contenir les dizaines d’hommes et de femmes bloquant le service. Au total, soixante policiers des environs sont intervenus… en urgence pour canaliser l’émotion et reconduire à l’extérieur les proches en colère. Aucune violence et aucune interpellation n’est à signaler. Toutefois, le personnel soignant et les patients assurent avoir eu quelques frayeurs face à la motivation des proches de la victime. Pendant les faits, les urgences ont dû être assurées par d’autres établissements du secteur, celles de Thionville étant indisponibles durant plusieurs heures la nuit dernière à cause de ce coup de chaud surprise. "

vendredi 29 novembre 2013

PRISON : " SI TU NE TE CONVERTIS PAS A L'ISLAM, TU ES UN HOMME MORT "

" La religion fut son calvaire. Quatre mois après les faits, Antoine* peine toujours à raconter ses soixante-douze jours de détention au cours desquels il a été l’objet de menaces de mort et d’intimidations de la part de codétenus qui voulaient le convertir de force à l’islam, synonyme, pour eux, de salut.

Son histoire débute fin mai lorsque le jeune homme écope d’une peine de prison de 5 ans pour un viol qu’il a toujours nié. 

A l’issue du verdict, Antoine est incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne) dans le quartier des arrivants. Au bout d’une semaine, il est transféré dans une cellule de 9 m2, où deux codétenus l’attendent. « J’ai entamé le dialogue avec le premier mais le second, qui portait une longue barbe, a fait comme si je n’étais pas là », raconte Antoine. Une indifférence de courte durée. Au retour d’une promenade, le taiseux apostrophe Antoine.

« Il m’a demandé la raison de ma présence ici et, surtout, si j’étais croyant, relate-t-il. Je lui ai répondu que j’étais catholique mais que je n’étais pas un fervent pratiquant. Il m’a tout de suite rétorqué que c’était une erreur, car la seule religion digne de ce nom était l’islam ». Il exhibe plusieurs ouvrages religieux et enjoint son codétenu d’« oublier tout ce qu’il a appris à l’extérieur des murs, car son seul salut viendra de sa conversion à la religion musulmane ». Afin de pacifier la situation, Antoine s’engage à lire l’un de ces livres.

Trois jours après, il demande à s’entretenir avec une psychologue de la prison. « Elle a essayé de temporiser en me disant que les choses allaient rentrer dans l’ordre et que, si je demandais à être déplacé, je risquais d’être au contact de personnes encore plus violentes », se rappelle-t-il.

Au bout d’une semaine, le jeune homme sort pour la première fois en promenade. « Cinq personnes, dont mon codétenu, m’ont entouré dans un coin de la cour et m’ont menacé en m’expliquant que j’avais plutôt intérêt à lire les livres et à me convertir rapidement. »

Affolé, Antoine alerte son avocat et les responsables de détention. « Au fil des jours, on hurlait mon nom de famille dans les coursives, en me traitant de balance et en me promettant l’enfer. J’ai supplié d’être transféré au mitard, car je savais que c’était le seul endroit où je serai en sécurité, poursuit-il. Mais je suis resté dans la même cellule. J’étais de plus en plus terrorisé. Un soir, mon codétenu m’a parlé des Juifs et a proféré des injures antisémites. Je lui ai dit que, personnellement, je n’avais rien contre cette religion. Là, il est entré dans une colère noire. » Le lendemain, Antoine va payer ses déclarations. « En début de soirée, l’un des surveillants a fait entrer dans ma cellule un détenu d’à coté avec une lame d’environ 20 cm dans la main », décrit-il. Le surveillant, qui fait toujours l’objet d’une enquête administrative, est reparti en claquant la porte. Pendant une vingtaine de minutes, le jeune homme fait alors face, seul, à son codétenu et son complice : « Ils m’ont prévenu : Si tu ne te convertis pas, tu es un homme mort ».

Alertée par Antoine de ces nouvelles menaces — corroborées par d’autres témoignages de détenus — la direction de la prison décide de le déplacer dans une autre cellule, sous un faux nom afin d’éviter les représailles. Dans le même temps, une fouille de son ancienne cellule est organisée. Au milieu de téléphones portables et de puces téléphoniques, les surveillants découvrent plusieurs livres dont l’un : « Comment convertir un non-musulman ».

Antoine, pourtant, continue de subir. Quelques jours plus tard, il est battu à coups de pied et de poing par plusieurs détenus dans une coursive. Le lendemain, sept personnes soupçonnées de prosélytisme agressif, dont son codétenu, sont identifiées grâce au concours des agents du renseignement pénitentiaire . Elles ont été déplacées vers d’autres prisons. Antoine, lui, est libéré mi-septembre.

Dans l’attente de son procès en appel, il a repris son emploi dans une entreprise de transports en région parisienne. « J’ai connu la prison au sein de la prison, conclut-il. Je crois que le procès m’effraie moins que l’idée de recroiser l’un de mes codétenus ». "

* Le prénom a été changé.

CHOMAGE : L'ENFUMAGE CONTINUE

" Tétanie et consternation ! Comme si un mauvais génie - que nous nommerons François Follande pour le débusquer - s’était emparé de l’esprit présidentiel, le chef de l’État a surpris son monde, jeudi matin, en déclarant que : "l'objectif de l'inversion de la courbe du chômage, c'est une bataille, elle se fera mois par mois, nous devons y travailler sans cesse, tout le temps nécessaire, ce mois-ci comme les autres mois. Mais ce qui compte, c'est cette tendance que nous devons maintenant imposer, c'est que le chômage doit cesser d'augmenter".

Tout cela fleurait bon le dilatoire et le renoncement ambigu. Du reste, les cadors du PS commencèrent aussitôt à expliquer au bon peuple que ces objectifs quantifiés n’avaient guère de sens et qu’il était même idiot de s’infliger pareille contrainte. Quelques heures plus tard, dans un magnifique effort de rétro-pédalage, l’Élysée expliquait pourtant qu’il n’y avait nullement abandon de cette grande cause statistique.

Enfin, les chiffres tombaient : les inscrits en catégorie "A" à Pôle Emploi avaient bel et bien diminué d’environ 20 000. Ouf !

Que retenir de ce girouettisme présidentiel ? Il est certain que François Hollande savait déjà à quoi s’en tenir quand il a dérapé sur sa première formulation, Pôle emploi n’avait pu lui dissimuler ses chiffres.

En réalité, cette expression de l’impensé présidentiel, ce retour du refoulé, trouvent leur explication dans l’analyse même de ce pseudo recul du chômage. Si l’on tient compte des efforts démesurés de radiation des inscrits (+25,8 % par rapport à septembre 2013, +34,5 % sur un an), ce que Michel Sapin n'analyse pas comme un "phénomène particulier" (sic), le glissement prononcé des demandeurs en catégorie B et C et les recrutements d’emplois bidons dans les associations, entreprises publiques et administrations par dizaines de milliers, seul le traitement cosmétique du chômage bat son plein.

La triste réalité est que les dizaines de plans sociaux, les milliers d’entreprises en difficulté, la stagnation économique ne peuvent produire qu’un seul résultat : la montée du sous-emploi. Avec une croissance d’1,5 % et 200 000 recrutements d’emplois aidés, Hollande espérait faire illusion. Le marasme économique rend vaines toutes ses manipulations et il y a peu de chances que les Français se laissent berner, au-delà de quelques médias dévoués.

Il faut en effet être journaliste au Nouvel Observateur pour ne pas se rendre compte que toute cette construction menace ruine.

François Follande, lui, se sent donc obligé de dire ce que François Hollande ne peut avouer. Il faudra désormais suivre avec attention les déclarations "off" de ce jumeau terrible. "

jeudi 28 novembre 2013

UN SURVEILLANT SCOLAIRE PRATIQUE LE RACISME ANTI-BLANC


" Alors que bien souvent le racisme anti-blanc est marginalisé quand il n’est pas le plus souvent nié, ce fait divers nous renvoie la réalité à la figure. Brutalement.

Les réseaux sociaux ont ceci d’intéressant qu’ils permettent de capturer l’instant. Le compte Twitter de Joyce GBE qui se présente comme un surveillant scolaire est terrifiant. Jeune embauché, cet homme affirme « J’men régale de les punir ahaha. Et j’favorise les Noirs et les Tissmey – Si y’a un Babtou il se tape avec un Noir, j’puni pas les deux. Le Babtou il doit dire « pardon » et il va au coin. Le noir il peut aller jouer – J’vais punir tous les petits Babtou qui font les malins dans la cour de Récrée ». Depuis, son compte Twitter a été suspendu…

Sans détour ni honte, ce personnage nous explique sa façon bien à lui de traiter des enfants en bas âge qui sont pourtant particulièrement fragiles dans cette période de construction. Cette situation a le mérite d’exploser au grand jour, grâce à la bêtise de son auteur qui croit bon s’en vanter sur la place publique. Mais pour un Joyce GBE exposé sur la place publique, combien d’intervenants partageant cette façon de faire ? Et la justification « Bah ouai j’me venge » est-elle tolérable ?

Quand on évoque les dangers du multiculturalisme, on omet bien trop souvent de parler de ce genre de situations, pourtant banales j’en ai bien peur, ayant été moi-même le témoin à plusieurs reprises de groupes périscolaires menés par des « jeunes » qui n’avaient manifestement aucune qualification ni même tenue, paradant ostensiblement casquette à l’envers et sweat « Ici c’est Paris, Fuck Marseille ».

Monsieur Peillon, tant occupé à pousser la théorie des genres dans les programmes scolaires, ferait bien de se pencher sur ce cas en particulier mais également sur ce qu’il dit d’une certaine idéologie qui pourrait progresser à l’école. La réforme des rythmes scolaires semble dès lors très éloignée de l’urgence qu’il y a à s’assurer de la probité du personnel recruté, ce personnel en première ligne face à des têtes blondes qui imprégneront forcément ce qu’elles voient. Au fait, Monsieur Peillon, c’est bien cette semaine que vous lancez votre plan « contre-le-harcèlement-à-l’école » ? S’il faut même se méfier du personnel éducatif, maintenant… "




DE PLUS EN PLUS DE PERSONNALITES EPINGLEES AVEC LE GESTE DE LA QUENELLE



" Après Yann Barthès, Mamadou Sakho. Le défenseur de l'équipe de France de football, et héros de la qualification pour le Mondial face à l'Ukraine, a expliqué, mercredi 27 novembre, avoir été "piégé" après la diffusion d'une photo le montrant faire une "quenelle".

Le 25 novembre, l'humoriste Dieudonné a montré, dans une vidéo postée sur YouTube, une photo non datée de Mamadou Sakho faisant une "quenelle", un geste polémique inventé par l'humoriste au début des années 2000, et depuis récupéré par l'extrême droite. Interpellé sur Twitter, le footballeur s'est défendu en avouant qu'à l'époque, il ne connaissait pas la signification de ce geste.

@ElgabinchGabin Cette photo date d'il y a 6 mois, je ne connaissais pas la signification de ce geste, je me suis fait piéger !
— Mamadou Sakho (@mamadousakho3) 27 Novembre 2013

Mamadou Sakho n'est pas le premier à être utilisé par l'ancien leader de la liste antisioniste aux élections législatives. D'autres photos de sportifs ou de stars faisant la "quenelle", un geste considéré par certains comme un salut nazi à l'envers, ont émergé. Parmi eux, Didier Dinart et Nikola Karabatic, de l'équipe de France de handball, le joueur de basket Tony Parker ou encore le chanteur Yannick Noah, rappelle Slate. "

http://fr.news.yahoo.com/photographi%C3%A9-faisant-quenelle-mamadou-sakho-dit-pi%C3%A9g%C3%A9-120133976--spt.html

Bizarrement aucune manifestation indignée de la LICRA, de SOS RACISME et de toutes les organisations anti-racistes !???? Il semble que certaines personnalités soient à l'abri, seraient-elles de gauche ?

HOLLANDE AVOUE SON ECHEC FACE AU CHOMAGE



" François Hollande a réaffirmé jeudi sa volonté d'inverser la courbe du chômage, sans toutefois promettre, comme il s'y était engagé, d'y parvenir avant la fin de l'année.

"Il y a cet objectif que j'ai fixé, l'inversion de la courbe du chômage", a-t-il déclaré à quelques heures de la publication des chiffres du chômage pour octobre lors d'un déplacement sur le thème de l'emploi à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).

"Nous allons y arriver à cette inversion de la courbe, mais avant que ça (ne) rentre dans la perception de nos concitoyens...", a ajouté le président français.

Un peu plus tôt, il avait souligné que l'inversion de la courbe du chômage prendrait "tout le temps qui est nécessaire". "


Comme foutage de gueule on trouve pas mieux ! Pour ma part, je vous annonce qu'un jour l'hiver va se terminer, qu'après la pluie il y a de grande chance qu'il y ait du beau temps, que si vous ne mettez pas de carburant dans votre voiture il y a de forte chance pour que vous tombiez en panne...

LA JUSTICE IMPOSE A UNE PRISON DES REPAS HALAL

" Le tribunal administratif de Grenoble a enjoint au centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) de servir des repas halal à ses détenus musulmans au nom de la liberté d'exercer sa religion, a-t-on appris mercredi. "C'est une décision très importante, la première fois qu'une juridiction administrative condamne un établissement pénitentiaire à servir des plats halal aux détenus", a réagi Me Alexandre Ciaudo, du cabinet DGK Avocats, confirmant une information de France Bleu Isère.

En mars dernier, le client de Me Ciaudo, Adrien K., avait demandé au directeur de la prison de permettre aux détenus musulmans de disposer de menus composés de viandes halal. Le directeur avait refusé de donner suite à cette requête. Adrien K. avait alors saisi le juge administratif. Dans une décision rendue le 7 novembre 2013, la juridiction enjoint au directeur du centre pénitentiaire de proposer "régulièrement" des menus composés de viandes halal "dans un délai de trois mois".

Convention européenne des droits de l'homme

Le tribunal souligne en effet que le principe de laïcité "impose que la République garantisse le libre exercice des cultes" et qu'il ne fait donc "pas obstacle à ce que les détenus de confession musulmane se voient proposer des menus comportant des viandes respectant les rites confessionnels de l'islam". En refusant de proposer des menus halal, le directeur de la prison méconnaît en outre les dispositions de l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme qui garantit le libre exercice des cultes, a estimé le tribunal.

La distribution de repas halal n'entraînerait par ailleurs "pas de surcoût prohibitif pour l'établissement" et ne présenterait pas non plus "de difficulté technique particulière", a souligné la juridiction. Interrogée par l'AFP, la direction du centre pénitentiaire n'a pas souhaité faire de commentaire. "C'est une décision qu'on va faire connaître", s'est félicité Nicolas Ferran, responsable juridique de l'Observatoire international des prisons (OIP). Selon lui, si l'administration pénitentiaire n'applique pas cette décision, "elle risque de se retrouver confrontée à une vague de contentieux".

"Carences alimentaires réelles"

Dans un avis rendu le 24 mars 2011, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, avait déjà attiré l'attention de l'administration sur les "carences alimentaires réelles" de détenus "se plaignant fréquemment de ne pas manger à leur faim" du fait de l'absence de repas respectant leurs prescriptions religieuses. À l'heure actuelle, "à de rares exceptions près, tous les lieux de privation de liberté sont en état de fournir des repas de nature diversifiée", a souligné Jean-Marie Delarue dans cet avis.

Pourtant, très peu de prisons "offrent des aliments conformes à des prescriptions rituelles", avait-il ajouté. "La fourniture de viandes ou d'autres aliments préparés selon les rites approuvés par les autorités religieuses compétentes doit être recherchée et mise en oeuvre", avait estimé le contrôleur général, précisant que les prix pratiqués pour ces types d'aliments "apparaissent parfois inférieurs à ceux des produits habituellement achetés". "


Et demain ? La justice imposera le halal dans quoi ?

mercredi 27 novembre 2013

KEMLIN/TRIERWEILER : LA PLAINTE EST JUGEE IRRECEVABLE

" La plainte d'un homme qui accusait Valérie Trierweiler de détournement de fonds publics a été classée sans suite, révèle le site du Point.fr. L'homme, Xavier Melin, héritier de Casino estimait que n'étant "ni mariée ni pascée" au président de la République, Valérie Trierweiler n'était "pas liée juridiquement aux Français". Et qu'à ce titre, elle ne devait pas pouvoir prétendre à "être logée, nourrie et disposer de six personnes employées à plein temps" aux frais de l’Etat, précisait-il dans sa plainte.

Le juge d'instruction qui l'a entendu il y a quelques jours n'a pas été convaincu par son argumentation et a donc finalement décidé de classer la plainte sans suite. La first girlfriend remporte un combat… mais l’homme n’a peut-être pas dit son dernier mot. "

AFFAIRE TEULADE : LE PRESIDENT NORMAL SE SOUSTRAIT ENCORE A UNE DE SES PROMESSES



" Les parties civiles avaient invité François Hollande à venir déposer mercredi au premier jour du procès en appel de l'ex-ministre socialiste Jean Teulade, mais le chef de l'Etat ne s'est pas présenté à l'audience comme elles l'espéraient.

René Teulade, sénateur PS et figure du mutualisme français, avait été condamné en première instance, en juin 2011, à 18 mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende pour de présumés avantages indus perçus au détriment de la MRFP.

Sept autres anciens dirigeants de la Mutuelle de retraite de la fonction publique avaient écopé de peines de huit à 10 mois de prison avec sursis, ainsi que d'amendes de 1.500 euros.
Les 6.000 adhérents de la MRFP qui sont parties civiles pressent depuis des mois le président de la République de témoigner d'une façon ou d'une autre, en dépit du fait qu'il soit protégé par le statut pénal du chef de l'Etat.

Dès le début de l'audience, Me Stéphane Bonifassi, avocat du Comité d'information et de défense des sociétaires (CIDS), a rappelé que le président s'était engagé en mai dernier à contribuer à la manifestation de la vérité.

"Est-ce que ça passera par un témoignage, pas nécessairement. Ça peut passer par d'autres moyens", avait alors déclaré la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

Me Bonifassi a expliqué devant la cour avoir réitéré son invitation par huissier afin que François Hollande vienne déposer et contribue ainsi à "la manifestation de la vérité". Selon lui, l'Elysée en a accusé réception.
"Nous n'avons rien reçu, c'est étonnant. C'est une technique de l'édredon efficace", a dit par la suite l'avocat à Reuters.

La présidente de la cour d'appel, Catherine Dalloz, a indiqué que si le président de la République souhaitait de lui-même s'exprimer, sa contribution serait naturellement versée aux débats.

"FIDÉLITÉ CORRÉZIENNE"
Mais l'avocat général, Dominique Gaillardot, a rappelé qu'un président en exercice ne pouvait être cité comme témoin durant un procès, soulignant que le terme "invitation" à témoigner n'existait pas dans le code de procédure pénale.

Les parties civiles souhaitent notamment que François Hollande s'explique sur son rôle d'ex-trésorier de l'association "Cause commune", hébergée par la MRFP sans avoir à payer de loyer.

Elles rappellent qu'il s'était engagé pendant la campagne présidentielle à réformer le statut pénal du chef de l'Etat, ce qui aurait dû, à leurs yeux, l'inciter à venir témoigner.

Avant le procès en appel, Me Jean-René Farthouat, avocat de René Teulade, avait estimé que les parties civiles ne visaient ainsi qu'à "faire de la mousse". "Ce dossier ne concerne en rien ni de près ni de loin le président de la République", a-t-il dit.

Me Stéphane Bonifassi estime que la citation du chef de l'Etat serait légitime non seulement car son nom est cité dans le dossier, mais aussi en raison de "l'hommage" qu'il a rendu à René Teulade lors d'un discours en octobre dernier.

Il a rappelé à l'audience que François Hollande avait dit lui être "lié par une fidélité corrézienne". René Teulade a été le suppléant de François Hollande lorsqu'il était député de Corrèze.

L'ancien ministre des Affaires sociales du gouvernement de Pierre Bérégovoy, qui a présidé la MRFP de 1974 à 1992, a de nouveau contesté les faits d'abus de confiance, mercredi, tout comme les sept autres prévenus.

Le ministère public reproche aux administrateurs permanents de la MRFP d'avoir bénéficié d'avantages ne respectant pas l'esprit mutualiste, comme le logement que René Teulade occupait dans le VIIe arrondissement de Paris.

Le CIDS espère qu'en dépit "des difficultés et aléas de toutes sortes rencontrés dans un pays où il n'existe pas d'actions de groupe", justice sera rendue "dans une affaire complexe qui touche 450.000 fonctionnaires".
La MRFP commercialisait un produit de retraite complémentaire de fonctionnaires, le CREF, qui, pour les plaignants, n'a pas tenu ses engagements financiers. "

NANTES : SOUPCON DE CORRUPTION POUR LE SUPPLEANT D'AURAULT



" Soupçons de corruption à Nantes. Jean-Pierre Fougerat, le suppléant de Jean-Marc Ayrault à l’Assemblée nationale, est suspecté d’avoir favorisé une société pour des contrats auprès de la communauté urbaine de Nantes. Le Canard enchaîné, qui révèle l’affaire ce mercredi, raconte que l'élu, député-maire de Couëron (Loire-Atlantique), s’est rendu entre 2007 et 2010 en Irlande, Pays de Galles, Italie et Ecosse, pour assister à des matches de rugby aux frais du groupe Spie. L’homme n’était à ce moment pas député, puisqu’il a été élu en 2012.

Problème: la société, spécialiste des équipements électriques et climatiques, a remporté depuis 2007 «au moins 33 appels d’offres» auprès de Nantes Métropole, dont Jean-Michel Fougerat est vice-président. Le tout représentant «plus de 15 millions d’euros». L’élu, interrogé par Le Canard enchaîné, reconnaît deux des quatre voyages. Mais «je ne suis pas un homme d’influence à Nantes Métropole, et je ne siège pas à la commission d’appel d’offres», assure-t-il.

«C’est parce que je suis le suppléant d’Ayrault»

L’hebdomadaire satirique pointe également l’embauche «pendant près d’un an» de la fille du député, qui est juriste, chez Spie. «Ma fille a le droit de travailler», réplique Jean-Michel Fougerat dans Ouest-France, «si elle exclut le nombre d’entreprises qui ont un lien avec Nantes Métropole, ça en fait beaucoup».

«Je vois bien ce qu’on essaie de me reprocher, mais ce n’est pas dans ma nature», poursuit le député-maire qui estime que «c’est parce qu’il (est) le suppléant de Jean-Marc Ayrault» qu’il est suspecté. Le cabinet du Premier ministre, contacté par Le Canard enchaîné, a de son côté indiqué que «Jean-Marc Ayrault est surpris par de telles allégations». "

"CHARLIE HEBDO " MENACE PAR UN RAPPEUR

" La rédaction de Charlie Hebdo a fait part lundi 25 novembre de son "effarement" en découvrant la "violence" à son égard des paroles d'une chanson de la BO du film La Marche, sur les écrans mercredi 27 novembre, qui dans un couplet "réclame un autodafé contre ces chiens" du journal satirique. La chanson incriminée a été composée et est interprétée par une dizaine de rappeurs renommés, dont Akhenaton, Disiz, Kool Shen et Nekfeu.

Le producteur du long-métrage, Hugo Sélignac, a de son côté indiqué que la chanson incriminée ne faisait pas partie de la BO du film. "J'ai apporté mon soutien à cette chanson qui n'a jamais été prévue pour la BO du film. J'ai prêté des éléments sonores du film qui ont été intégrés à la chanson et j'ai donné mon accord pour que la typographie de la pochette et de l'affiche du film soit la même. Je n'avais pas à valider les paroles", a expliqué Hugo Sélignac. "Je suis pour la liberté d'expression de tous, celles des rappeurs comme celle de Charlie Hebdo", a-t-il ajouté.

"UNE CHANSON EN TOTALE OPPOSITION AVEC SON ŒUVRE"

Dans le 7e couplet qu'il interprète, Nekfeu chante notamment : "D't'façon y a pas plus ringard que le raciste / Ces théoristes veulent faire taire l'islam / Quel est le vrai danger : le terrorisme ou le taylorisme ? / Les miens se lèvent tôt, j'ai vu mes potos taffer / Je réclame un autodafé pour ces chiens de 'Charlie Hebdo'". Le rappeur Nekfeu est membre du collectif parisien 1995 (Polydor), très apprécié de la critique et pas coutumier des polémiques.

"Charlie Hebdo découvre avec effarement la violence des paroles de la bande originale du film La Marche à son encontre. Ainsi, la chanson 'Marche' (…) reprend les propos que tient habituellement l'extrême droite musulmane lorsqu'elle évoque notre journal", estime Charlie Hebdo dans un communiqué signé de "la rédaction".

"S'il leur manque un couplet, nous précisons aux auteurs de la chanson que le journal numérique Inspire, édité par Al-Qaida, a condamné à mort Charb en mars dernier", ajoute le communiqué de Charlie Hebdo. "Nous avons l'habitude de ces appels à la haine, de nous faire traiter de 'chiens' d'infidèles. (…) Nous sommes juste très surpris que le réalisateur [Nabil Ben Yadir] d'un film clairement antiraciste, qui rend hommage à un événement majeur dans l'histoire de la lutte pour l'égalité des droits, ait choisi de l'illustrer par une chanson en totale opposition avec son œuvre", conclut Charlie Hebdo.

PAS DE DÉPÔT DE PLAINTE

"Pas de plainte, ni de demande particulière. J'aimerais simplement que la production m'explique le rapport entre une marche antiraciste et fraternelle en 1983 et un chant religieux communautariste qui appelle à brûler un journal satirique antiraciste en 2013", a déclaré Charb, le directeur de Charlie Hebdo.

Avec Jamel Debbouze à l'affiche, le film La Marche, produit et distribué par EuropaCorp, s'inspire de l'histoire vraie d'une poignée d'enfants d'immigrés qui ont marché de Marseille à Paris en 1983 contre le racisme. Le 2 novembre 2011, le siège de Charlie Hebdo avait été détruit par un incendie criminel, le jour où il publiait en "une" une caricature de Mahomet. "

CARCASSONNE : L'EGLISE VINCENT-DE-St-PAUL VANDALISEE ET INCENDIEE

" Dans la nuit de dimanche à lundi, l’église saint Vincent-de-Paul du quartier Ozanam a été la cible d’un incendie d’origine volontaire. Des objets de liturgie ont été détruits. Le feu a également endommagé le chœur et la sacristie.

«On s’indigne toujours avec force et détermination lorsque l’on touche à une synagogue ou à une mosquée». Le visage fermé et la voix grave, Jean-Claude Pérez a condamné hier après-midi, avec la plus grande fermeté, «l’acte scandaleux et intolérable» dont la chapelle saint Vincent-de-Paul a été la cible dans la nuit de dimanche à lundi. «Je trouverai scandaleux que l’on banalise un tel acte lorsqu’une église est touchée», martèle encore le député-maire, devant des objets de culte noircis par les flammes et rendus difformes sous l’effet de la chaleur.

Vandalisme (cambriolage suivi d’un incendie pour effacer les traces ?) ou acte prémédité, les services de police qui ont ouvert dès hier matin une enquête, n’excluent pour le moment aucune hypothèse, mais il ne fait aucun doute que le feu a été mis de façon délibérée. En effet, la porte principale du petit édifice, construit à la fin des années 50, a été forcée à au moins quatre endroits. Et c’est vers 3 heures du matin dans la nuit de dimanche à lundi, qu’un riverain, sentant une forte odeur de brûlé, a alerté les secours.

«Un acte parfaitement inexcusable»
Si les pompiers ont pu limiter la propagation des flammes, les dégâts à l’intérieur de l’édifice sont importants. La structure en béton du bâtiment a cependant permis d’empêcher l’embrasement total de la chapelle.

Installée dans un quartier «sensible», l’église saint Vincent-de-Paul n’aurait jamais fait, selon le père Didier Escouperié, l’objet de menaces particulières. «On a eu une fois des petits cailloux placés dans les serrures, mais jamais rien de grave», se souvient l’homme d’église. «Des gamineries ! reprend le député-maire, mais là ce ne sont plus des gamineries».

À quelques mois d’échéances électorales et dans un climat général de plus en plus délétère, l’indignation est perceptible. «C’est un acte parfaitement inexcusable», affirme pour sa part le sous-préfet Sébastien Lanoye, venu lui aussi apporter son soutien à la communauté catholique, au nom de l’État. Luc Caraguel, le vicaire général du diocèse, manifeste la même indignation. «La liberté de culte, rappelle-t-il, est aussi un des éléments de la liberté tout court», s’empressant d’ajouter qu’il ne fallait «pas stigmatiser un quartier ou une population» et qu’il convenait «de garder la tête froide» face à cet événement. Disposant encore de peu d’éléments pour identifier le ou les auteurs de cet incendie volontaire, les services de police ont indiqué qu’ils renforceraient les patrouilles dans le quartier. "

LA VOIX DE LA RUSSIE : COUPE DU MONDE DE FOOT

LA VOIX DE LA RUSSIE : FUSILLADE ENTRE PAUMES

mardi 26 novembre 2013

QUALIFICATION DE LA FRANCE ET DE L'ALGERIE : TOUT S'EST BIEN PASSE... OU PRESQUE !


14 minutes de violences urbaines. Black-out total du côté du gouvernement ! On peut aussi faire un petit jeu : comptez le nombre de drapeaux Français ! ( A visionner avant censure ! )

CENTRAFRIQUE : HOLLANDE S'EN VA JOUER LA VIE DE SOLDATS POUR RIEN

" La RCA n’a jamais réellement eu d’Etat depuis son accession à l’indépendance il y a un demi-siècle. La France n’a pas aidé, orchestrant les coups d’Etat comme les couronnements d’empereurs, pour protéger des bases militaires dans un pays considéré comme un « porte avions » au centre de l’Afrique.

Cela a-t-il changé ? Il y a un an, le président centrafricain d’alors, François Bozize, arrivé au pouvoir par les armes, appelait la France au secours face à l’avance de la rébellion Seleka. François Hollande faisait la sourde oreille et les troupes françaises présentes à Bangui assistaient passivement à la victoire des rebelles et au pillage de la capitale, Bangui, quelques mois plus tard.

Un an après, la France s’apprête à intervenir, non pas pour soutenir un régime inexistant, mais pour stopper cette descente aux enfers, avant le renforcement espéré de la force africaine et onusienne. Elle va le faire de surcroît après le vote d’une résolution de l’ONU attendu dans les prochains jours (un feu vert dont elle était prête à se passer en Syrie, mais c’est un autre débat...).

Cette opération est à portée limitée – un millier d’hommes, six mois –, mais le pari français est hasardeux. Il part du principe que l’apparition de ces soldats européens calmera le jeu dans ce qui apparaît plus comme des exactions de soudards incontrôlés que comme une véritable guerre. Cela reste à prouver...

Quant à la durée de l’opération, il faudrait un miracle pour que dans les six mois, les forces africaines soient prêts à prendre le relais et assurer à la Centrafrique la stabilité qui lui manque pour tenter de bâtir -enfin- un Etat digne de ce nom. "


En clair, une intervention qui va coûter beaucoup ( préparons-nous à une belle augmentation d'impôts ) et qui rapportera que dalle à part des ennuis... Mais bon, pour redorer son blason auprès de son principal électorat, tout est bon !

L'UMP SE LANCE DANS LES COUPS FOURRES

" Le Front national a affirmé mardi détenir deux "preuves", un message Facebook et un courriel, "d'un coup fourré de l'UMP" dans l'affaire d'un militant de la Somme parti au FN et qui a fait machine arrière.
""L'affaire" de Gamaches était donc bien une manipulation de l'UMP, c'est à présent avéré", un message d'Arnaud Cléré au secrétaire départemental du FN 62, Laurent Brice, le "prouve", affirme Steeve Briois, secrétaire général du FN dans un communiqué.

M. Cléré avait été exclu de l'UMP en mai pour avoir noué une alliance avec le FN en vue des municipales à Gamaches.

Dans ce message envoyé sur Facebook, que le FN reproduit par une capture d'écran dans son communiqué, M. Cléré écrit "Cher Laurent, Bravo pour l'organisation de la réunion de ce dimanche. Très heureux d'y avoir participé. Amitiés. Arnaud Cléré".

Le message aurait été envoyé, selon le FN, le 13 octobre, après la réunion dans laquelle M. Cléré avait déclaré avoir vu "deux personnes (...) tatouées avec des croix nazies sur leur bras".

La présidente du FN Marine Le Pen a fait parvenir à l'AFP une autre "preuve" : la copie d'un second message, cette fois en date du 12 novembre et qui aurait été envoyé par M. Cléré à Michel Guiniot, secrétaire départemental du FN 60.

Dans ce courriel, M. Cléré écrit notamment : "On aimerait vous voir sur Gamaches beaucoup de mes colistiers souhaiteraient vous rencontrer et je pense que cela donnerait un bon coup de pouce à notre campagne".

"L'indignation soudaine de Cléré est donc clairement le produit d'un téléguidage de l'UMP", affirme , dans un communiqué, M. Briois, qui dénonce "une stratégie barbouzarde des dirigeants de l'UMP, prêts à toutes les magouilles et les manipulations pour enrayer notre ascension".

Il demande "à tous les médias (...) de respecter les règles déontologiques en évitant de se faire spontanément les petits télégraphistes des magouilles électoralistes de l'UMP ou du PS".
Le FN a annoncé avoir "engagé des poursuites pour diffamation contre M. Cléré". "

LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME VA STATUER SUR LE PORT DU VOILE EN FRANCE

" La question hautement symbolique de l'interdiction du voile islamique intégral dans les lieux publics en France sera débattue mercredi à la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), saisie par une porteuse du niqab de 23 ans. 

Cette jeune Française, qui souhaite garder l'anonymat et n'a divulgué que ses initiales, S.A.S., conteste l'interdiction qui stipule que "nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage".  

La loi, votée fin 2010, prévoit pour les contrevenants une amende maximale de 150 euros et/ou un stage de citoyenneté. La jeune femme considère qu'elle viole ses droits fondamentaux. Sa requête a été déposée à la cour européenne le jour même de l'entrée en vigueur du texte, le 11 avril 2011.  

La discrète S.A.S. ne fera pas elle-même le déplacement pour cette audience, ont fait savoir ses avocats. Elle est représentée devant la Cour de Strasbourg par un cabinet de Birmingham (Royaume-Uni) spécialisé dans les affaires d'immigration et de droits de l'homme. "Nous espérons surtout faire admettre le caractère discriminatoire de cette loi française", a indiqué l'un d'eux, Me Sanjeev Sharma.  

Prête à se découvrir en cas de contrôle
Musulmane pratiquante, S.A.S. dit porter la burqa et le niqab, ce voile porté sur le visage qui ne laisse voir que ses yeux, "pour être en accord avec sa foi, sa culture et ses convictions personnelles", selon les arguments écrits qu'elle a fournis à la CEDH. Elle y souligne que ni son mari ni aucun autre membre de sa famille ne font pression sur elle pour cela.  

S.A.S précise porter le niqab "en public comme en privé, mais pas de façon systématique". Elle accepte de ne pas le porter tout le temps dans l'espace public, mais "souhaite pouvoir le faire quand tel est son choix, en particulier lorsque son humeur spirituelle le lui dicte".  

Son objectif n'est "pas de créer un désagrément pour autrui mais d'être en accord avec elle-même", résume-t-elle.  

Elle se dit d'accord pour montrer son visage lorsqu'elle se trouve en situation de subir un contrôle, quand elle se rend dans une banque ou prend l'avion. Ses avocats ont décidé de s'appuyer sur de nombreux articles de la Convention européenne des droits de l'homme, que la CEDH est chargée de faire respecter. 

Outre la discrimination, ils mettent aussi en avant la liberté de pensée, de conscience et de religion, l'interdiction des traitements dégradants, le respect de la vie privée et familiale, la liberté d'expression, ou encore la liberté de réunion et d'association.

Les autorités françaises entendent plaider pour leur part un rejet pur et simple de la requête de Mme S.A.S.. Dans leur argumentaire écrit fourni à la Cour, leurs représentants relèvent que deux autres dossiers sur le même thème, déjà rejetés par la CEDH, avaient été préparés "par le même cabinet d'avocats, sur le même modèle".  

Une question très controversée
Ils se félicitent que "la moitié des 2.000 femmmes se couvrant d'un voile intégral ont décidé de l'ôter avant l'entrée en vigueur de la loi". L'interdiction du voile intégral fait débat au sein même du Conseil de l'Europe, dont la CEDH est le bras juridique.  

En 2010, au moment de son examen au parlement à Paris, le Commissaire aux droits de l'homme de l'organisation paneuropéenne, le diplomate suédois Thomas Hammarberg, avait publié une tribune remarquée. "L'interdiction de la burqa et du niqab ne libèrerait pas les femmes opprimées mais pourrait, au contraire, aggraver leur exclusion dans les sociétés européennes", estimait-il. Plusieurs ONG, dont Amnesty International, ont pris le parti de S.A.S. dans cette procédure.  

La législation française en question avait été initiée par un parlementaire communiste, puis reprise par la majorité de droite de l'ex-président Nicolas Sarkozy.  

Dans son argumentaire, le gouvernement français actuel à majorité socialiste souligne les "objectifs légitimes qu'elle poursuit, outre la sécurité publique". Et il dénonce "le caractère intrinsèquement discriminatoire au détriment des femmmes de la pratique du voile intégral".  

Les juges européens devraient rendre leur arrêt début 2014. "


Affaire à suivre...

NANCY : UN CLIENT DE BAR AGRESSE UN ETUDIANT AU CRIE DE " ALLAH "

" Nancy. La soirée anniversaire programmée par une dizaine d’étudiants, vendredi dernier, au bar « Les artistes café », rue Stanislas à Nancy, a viré au cauchemar. Vers 22 h 30, alors que la dizaine d’étudiants s’était confortablement installée au 1er étage de l’établissement, un client a surgi et a craché au visage d’un étudiant de 22 ans. Sans raison apparente. Le jeune homme s’est levé en demandant des explications.

Mais le cracheur se muait en agresseur pour se ruer sur l’étudiant et de le passer à tabac. En criant à plusieurs reprises « Allah », selon des témoins effrayés par la violence subite de cet homme âgé d’une trentaine d’années. Armé d’un tesson de bouteille, l’agresseur aurait pu aller beaucoup plus loin dans ce déchaînement de violences sans l’intervention de trois clients du bar qui parvenaient à le maîtriser. Avant que l’homme ne prenne la fuite.

La victime a été prise en charge par les pompiers et transportée vers les urgences de l’hôpital central. Diagnostic : quelques hématomes et un nez cassé. Le groupe qui, a priori n’avait rien demandé à personne, a été invité à quitter l’établissement. La victime va déposer plainte à l’hôtel de police pour violences volontaires. "

lundi 25 novembre 2013

ESCLAVAGISTES DE LONDRES : ENCORE UNE BONNE IMAGE DE L'EXTREME GAUCHE

 D'après le quotidien " The Telegraph " le couple de 69 ans qui maintenait trois jeunes femmes en condition d'esclavage à Londres ont appartenu à un collectif militant communiste chinois dans les années 70. Ils ont aussi milité dans plusieurs groupes d’extrême gauche. Un bel exemple de l'amour universel et de la gentillesse des gens d'extrême gauche.


JACK LANG SE FAIT PAYER POUR DIRIGER L'INSTITUT DU MONDE ARABE



" Après avoir pris la tête de l'Institut du monde arabe (IMA), à Paris, Jack Lang a obtenu de toucher un salaire, contrairement à ses prédécesseurs qui y avaient renoncé. Selon Jeune Afrique, il gagnerait environ 10 000 euros par mois.

La République vertueuse chère à François Hollande est décidément à géométrie variable. En janvier dernier, Jack Lang, l'ancien ministre de la Culture, a pris la tête de l'Institut du monde arabe (IMA). Mais alors que ses prédécesseurs (Dominique Baudis puis Bruno Levallois) avaient été simplement défrayés compte tenu des difficultés économiques de l'IMA, Jack Lang a, lui, exigé un salaire.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il s'est aperçu, tardivement, que ce n'était pas prévu ! Il a alors appelé Laurent Fabius pour lui expliquer que, dans ces conditions, le poste ne l'intéressait plus ; embarras du ministre des Affaires étrangères... Résultat : Lang, qui a obtenu gain de cause, toucherait 10 000 euros par mois. Les économies attendront. "

PLUS D'UN JEUNE SUR DEUX PRETS A VOTER FN

" Plus d'un jeune sur deux âgé de 18 à 24 ans (55%) n'exclut pas de voter Front national aux élections municipales de 2014, selon un sondage de l'institut Polling Vox réalisé pour l'Union des Etudiants Juifs de France (UEJF) et diffusé lundi.

Dans l'hypothèse où une liste du FN serait présente dans leur commune, 18% des Français déclarent qu'ils pourraient voter "certainement" pour elle, et 24% "peut être", contre 58% qui l'excluent catégoriquement.
Le noyau dur de cette disponibilité de vote, ceux qui disent pouvoir voter "certainement" pour le FN, est particulièrement fort chez les hommes jeunes : 28% des hommes de moins de 35 ans, au lieu de 16% des femmes du même âge.

Il est aussi remarquablement élevé parmi les ouvriers (36%), souligne Polling Vox.

Ce sondage a été réalisé les 13 et 14 novembre auprès d'un échantillon représentatif de 1.003 personnes. "


Comme quoi il y a encore de l'espoir !

FOOT : DEBORDEMENTS DE JOIE EXCESSIVE A ALBI

" Les débordements de joie excessive mardi soir dans le quartier de Cantepau, après la qualification de l’Algérie pour la phase finale de la coupe du Monde de football, ont fait réagir le maire d’Albi. Dans un communiqué, Philippe Bonnecarrère tient à exprimer «son émotion et son incompréhension» suite aux incendies de voitures et de containers à poubelles qui ont émaillé cette soirée où il aurait dû n’y avoir de place que pour la joie collective de supporters. «Dans un quartier où un énorme travail social, associatif, culturel, d’éducation, d’aménagement public a été fait, l’atteinte à la tranquillité publique, les comportements absurdes sur la voie publique et inacceptables à l’égard des policiers et des pompiers et les actes de vandalisme sur cinq véhicules brûlés remettent en cause le vivre ensemble», considère l’élu albigeois. «Notre ville a toujours été fidèle aux valeurs d’humanisme. Si l’on veut garder ce cap et faire face avec succès, efficacité et dignité aux complexités de notre temps, je prie chacun de mes concitoyens de savoir certes raison garder, mais de bien mesurer la fragilité de ce vivre ensemble», poursuit Philippe Bonnecarrère.

Du côté de l’enquête, il est établi que 4 cocktails Molotov artisanaux ont été lancés, entre 21h30 et 22h05, sous des véhicules garés avenue Mirabeau et avenue Maréchal-Kellermann. Les pompiers ont dû aussi combattre des feux de poubelles dans ce même quartier. Le plus navrant est que leur intervention ait été retardée et perturbée par ces pseudo-supporters obstruant la voie publique avec une trentaine de véhicules. La police va visionner les caméras de vidéoprotection pour voir si des infractions routières peuvent être relevées. "

samedi 23 novembre 2013

DES CLANDESTINS PORTENT PLAINTE CONTRE " ZONE INTERDITE "

" Trois Camerounais filmés pour le magazine "Zone Interdite" (M6) plusieurs mois durant lors de leur périple pour arriver clandestinement en France ont déposé plainte pour différents motifs visant la production du reportage.

Trois Camerounais filmés pour le magazine "Zone Interdite" (M6) plusieurs mois durant lors de leur périple pour arriver clandestinement en France ont déposé plainte pour différents motifs visant la production du reportage, apprend-on vendredi auprès de leur avocat. "Émile Zola Matemb Ba Em, Alain Joseph Ebanga Ndoumou et Elie Mbock ont déposé une plainte entre les mains du procureur de la République, car ils estiment avoir été victimes d'un certain nombre d'infractions", a déclaré Me Jérémie Assous, conseil des plaignants.

Les reporters soupçonnés d'avoir encouragé les clandestins à entreprendre ce voyage 

Le reportage, produit par Tony Comiti, raconte notamment le parcours de ces trois hommes, partis de Libye pour gagner la France via Lampedusa et la péninsule italienne, évoquant la violence des passeurs, l'horreur de la traversée et les affres du voyage jusqu'à l'arrivée en France. Les équipes de reportages sont soupçonnées d'avoir encouragé les clandestins à entreprendre ce voyage qu'elles auraient en partie financé.

La société de production Tony Comiti a pris en charge leurs titres de transport

Estimant avoir été abusés, les trois hommes ont déposé plainte pour "aide directe et indirecte à l'entrée et au séjour irrégulier". Ils estiment avoir été soumis "à des conditions de travail et d'hébergement contraires à la dignité humaine". La plainte est également déposée pour "mise en danger de la personne", "omission de porter secours" et "escroquerie". "La société de production Tony Comiti a déjà reconnu avoir pris en charge leurs titres de transport, notamment en Italie et en France, ainsi que la nourriture durant ce trajet", a précisé l'avocat.

Trois hommes "manipulés par un avocat en quête de gloriole"

Il ajoute que ses trois clients "ont toujours refusé de signer une quelconque autorisation d'enregistrement et de diffusion de leurs images, malgré les nombreuses demandes de cette société de production". Le producteur Tony Comiti a dénoncé "des insinuations fausses et diffamatoires". "Nous avons payé leur billet de train par humanité, comme dans le désert on donnerai de l'eau à quelqu'un qui a soif ", a-t-il déclaré, interrogé par Europe1. Il a affirmé que les trois hommes "étaient manipulés par un avocat en quête de gloriole". "


Ben, on peut toujours les raccompagner chez eux ( M6 peut bien leur payer le billet de retour ! ).

HOLLANDE CONVOQUE EN JUSTICE PAR UN HUISSIER DANS L'AFFAIRE TEULADE



" Un huissier à l’Elysée ? Cela va finir par devenir monnaie courante. Me Raynald Parker, huissier de justice, s’est présenté ce vendredi soir devant le Palais de l’Eysée, une assignation en main à l’attention de ...François Hollande ! La missive a été reçue par le colonel de la garde élyséenne à 17 h 45.

A l’origine de cette assignation, le cabinet d’avocats le cabinet Lecoq-Vallon/Féron-Poloni et Me Bonifassi, qui souhaitent recueillir la déposition du chef de l’Etat dans l’affaire Teulade. Cet ancien ministre (PS) de Mitterrand (sous le gouvernement Bérégovoy) a été condamné en juin 2011 à 18 mois de prison avec sursis pour abus de confiance, au détriment des adhérents de la Mutuelle de retraite des fonctionnaires (MRFP), qu’il présidait de 1974 à 1992.

L’actuel sénateur-maire (PS) d’Argentat a fait appel, et une nouvelle audience est programmée à partir de mercredi prochain. Dans cette affaire, les avocats des adhérents de la Mutuelle souhaitent interpeller le Chef de l’Etat à plusieurs titres. 

Tout d’abord, en tant qu’ex- trésorier de l’association «Cause commune», fondée par Danielle Mitterrand et hébergée par la MRFP sans avoir à payer de loyer, d’où une ardoise de 24 000 euros. Face à la police en 2006, Hollande disait qu’il «ignorait s’il y avait un bail ou pas», même s’il «savait que l’association était hébergée». 

«Moi président de la République...»

Ensuite, pour les propos que François Hollande avait tenus lors de son face-à-face avec Nicolas Sarkozy pendant la campagne de 2012, où il affirmait que : «Moi, président de la République, j’aurai à cœur de me rendre à la convocation de tel ou tel magistrat.» Le chef d’Etat ne pouvant constitutionnellement être cité comme prévenu ou comme témoin, François Hollande a plus exactement reçu une «invitation à faire une déposition». 

En mai dernier, les avocats avaient déjà tenté de convoquer François Hollande dans cette même affaire. Depuis, Hollande a fait savoir qu’il est prêt à «contribuer à la manifestation de la vérité», sans «nécessairement» témoigner à la barre. Les avocats attendent au moins une réponse écrite.

En avril dernier, un autre avocat, Me Francis Terquem, avait lui aussi tenté de faire entendre le Président de la république à la barre. Il s’agissait de l’affaire Dallongeville, l’ancien maire PS d’Hénin-Beaumont, poursuivi pour des irrégularités de gestion de commune, et qui a été condamné cet été. "

JOURNALISTES TUES AU MALI : LE MENSONGE DE LA VERSION OFFICIELLE

" Version officielle française : deux journalistes de RFI ont été enlevés ce samedi à Kidal au Mali par un commando. Peu de temps après, ils ont été retrouvés morts, « criblés de balles », à 10km de là.

 La réalité :
- Les deux journalistes n’ont pas été criblés de balles, mais égorgés.
L’information a été confirmée par le préfet de Kidal il y a quelques minutes et censurée par le Quai d’Orsay : « Des militaires de l’opération Serval ont retrouvé la journaliste Ghislaine Dupont et son cameraman Claude Verlon à 12 km à l’est de Kidal, égorgés, et non pas criblés de balles, par leurs ravisseurs, qui a ajouté que « les ravisseurs sont en ce moment encore poursuivis en hélicoptères par les forces françaises Serval. »

 - Les forces françaises Serval avaient refusé d’escorter les deux journalistes de RFI, et leur avaient déconseillé de se rendre à Kidal, selon iTélé, dont l’envoyé spécial, Marc de Chalvron, précise que la force Serval refuse systématiquement d’escorter les journalistes. Selon une source gouvernementale française, “il y a quelques jours, les deux journalistes avaient demandé à être transportés à Kidal par la force Serval, ce qu’elle avait refusé, comme elle le fait depuis un an, en raison de l’insécurité dans cette zone”. Mais “ils ont profité d’un transport de la Minusma (la Mission de l’ONU au Mali), qui continue à accepter des journalistes”.

 - selon Ag Rissa, les ravisseurs des deux journalistes parlaient Tamasheq et portaient des turbans, et ce sont des touaregs.
- Ambéry Ag Rissa a déclaré avoir ouvert la porte de chez lui quand il a entendu du bruit dans la rue. Il a vu les journalistes être pris en otage et emmenés dans une Toyota beige. Il a été menacé par les ravisseurs qui lui ont donné l’ordre de rester à l’intérieur de chez lui. Où étaient ses gardes ? Pourquoi n’a-t-il pas immédiatement alerté les autorités ?
Le chauffeur du journaliste a été poussé au sol, a ajouté Rissa, qui a entendu Verlon et Dupont protester.
Selon plusieurs sources, les terroristes se sont enfuis dans la direction de Tin Essako, à 115 km à l’est.
  
La probabilité : 
Le MNLA lui-même est le premier suspect. Bien que sur leur site internet, les islamistes du MNLA condamnent le sauvage assassinat des deux journalistes et présentent leurs condoléances aux familles, plusieurs témoins accusent le MNLA lui-même, qui contrôle la ville et a refusé aux troupes françaises d’y être postées, d’être les auteurs. Une information – non confirmée – semble indiquer que 30 minutes après l’enlèvement, une page Facebook de sympathisants du MNLA annonçait la disparition des journalistes. Une autre page Facebook annoncerait détenir des photos des deux journalistes. Notre contact n’ayant qu’un téléphone ne peut nous faire parvenir le lien vers la page.

 © Hervé Roubaix pour Dreuz.info

 Cette version a également été confirmée par New York Times et par le préfet adjoint de Tinessako.
« D’après les informations que j’ai, leurs gorges ont été coupées. Nous ne savons pas avec certitude qui les a enlevés, mais les témoignages que l’on reçoit indiquent que c’était des islamistes», a rapporté Lassana Camara, le préfet adjoint de Tinessako, ajoutant qu’une enquête suivait son cours. "

AFFAIRE KEMLIN / TRIERWEILER

" L’article qui suit, signé de Frédéric Paillat, a été publié aujourd’hui, 16 novembre, dans le « Progrès » sous le titre : « Xavier Kemlin va obliger la justice à définir le statut de 1ère Dame de France. » Si la presse régionale se met à parler de l’affaire qui fait déjà grand bruit sur Internet, il va peut-être bien falloir que les grands médias « nationaux » finissent par en parler. Car jusqu’à présent, leur silence est assourdissant !...
Justice. Pour Me Buffard, qui défend les intérêts de l’homme d’affaires stéphanois, « l’affaire Kemlin-Trierweiler est devenue très embarrassante pour la justice et l’État ».
En déposant une plainte devant le doyen des juges d’instruction à Paris contre la concubine du chef de l’État pour recel de détournement de fonds publics, Xavier Kemlin, le descendant de Geoffroy Guichard, n’imaginait pas mettre la Justice dans l’embarras et titiller à ce point les plus hautes instances de l’État !
Jeudi, Xavier Kemlin, accompagné de son conseil, Me André Buffard, du Barreau de Saint-Étienne, était justement convoqué chez le doyen des juges d’instruction qui souhaitait l’entendre pour connaître ses arguments, alors que le Parquet avait demandé qu’il n’y ait pas de poursuite.¢


En effet, selon Me Buffard, « le Parquet estime que l’infraction de recel de détournement de fonds publics n’est pas caractérisée car, s’il n’y a pas de statut juridique de 1ère Dame de France, la situation de Mme Trierweiler est connue de tous. Une fonction qui implique un certain nombre de missions, ce qui équivaut à un service public ».

Désormais, le juge d’instruction a deux possibilités : soit engager une enquête, soit refuser de poursuivre, en suivant l’avis du Parquet, estimant qu’il n’y a pas d’infraction, ordonnance susceptible d’appel.

Mais dans ce cas , la chambre d’instruction devant la cour d’appel de Paris, sera alors obligée de dire quel est le statut juridique de la 1ère Dame de France et si ce rôle constitue un service public et quelle administration contrôle ses dépenses.

Me Buffard ne se fait guère d’illusion sur d’éventuelles poursuites mais savoure le fait de voir la justice obligée de répondre à ces questions fondamentales alors que jamais personne ne s’était intéressé à ce sujet…

La décision du juge d’instruction devrait être rendue très rapidement. Mais si le doyen des juges d’instruction décidait de ne pas poursuivre, Me Buffard prévient qu’il ferait appel : « On ira jusqu’à la cassation s’il le faut », affirme-t-il. "

Et on peut faire confiance à Xavier Kemlin, plus déterminé que jamais. « Si la chambre de l’instruction venait à confirmer que M. Hollande et Mme Trierweiler sont en concubinage notoire, cette décision aurait alors des incidences fiscales puisqu’ils auraient dû faire une déclaration commune de patrimoine », remarque Me Buffard, ce qui pourrait alors avoir une incidence sur l’élection de François Hollande, qui s’était présenté comme candidat célibataire. "

FAITS DIVERS : ENCORE UNE PETITE SEMAINE

22/11: Une femme de 67 ans jetée dans la Garonne pour une clope 
22/11: Grenoble: Un adolescent agressé au couteau par 3 individus 
22/11: Marseille: Cocktails molotov et cailloux sur un commissariat 
22/11: Oyes (51) Poursuivi pour attouchements sur des mineures 
22/11: (77) Un Roumain séquestre, torture et vole une retraitée 
22/11: Rhône: 3 voleurs Roumains atteints de la gale/tuberculose
22/11: Loiret (45) Série de bagarres à la sortie des discothèques
22/11: Nanterre (92) Incidents près de la mairie, 6 interpellations 
22/11: Crépy: une surveillante blessée lors d’une bagarre d’élèves 

21/11: Abdelhakim Dekhar est bien le tireur de BFMTV et Libération 
21/11: Bayonne (64) Les escrocs ciblaient les personnes âgées fragile 
21/11: Bayonne: prison pour l’évadé Algérien du centre de rétention
21/11: 5 Gitans écumaient les glises du Nord pour les cambrioler 
21/11: Nanterre (92) Un proviseur de lycée frappé par deux ‘jeunes’ 
21/11: Narbonne: 60 agressions sexuelles sur mineurs tous les ans 
21/11: Agression de 2 femmes voilées dans un train à Cagnes (06) 
21/11: Albi: victoire de l’Algérie: cocktails molotov, voitures brûlées 
21/11: Un commerçant cambriolé 70 fois en 32 ans à Fenouillet (31) 
21/11: Arles (13) Ils braquent le magasin Dia avec  pistolet à gaz
21/11: Pau (64) Un Kosovar séquestrait sa femme depuis juillet 
21/11: Prison pour avoir égorgé sa grand-mère à Boissy-St-Léger 
21/11: Une bijouterie braquée au C.C l’Oseraie à Osny (Val-d’Oise)
21/11: Albert Mansour, adjoint au maire d’Avignon mis en examen 
21/11: Mohamed.B, prison pour le meurtre de Lassana à Beauvais 
21/11: Nîmes: Il tente de taillader la gorge d’un chauffeur de bus
21/11: St-Etienne: Une tentative de viol et 4 agressions sexuelles 

20/11: (25) Des gendarmes agressés par des supporters Algériens 
20/11: La Courneuve (93) Un policier blessé par des tirs de grenaille 
20/11: Paris XIXeme: une voiture-bélier lancée contre une banque 
20/11: Mustapha,Hakim,Wissane…prison pour trafic et meurtre (84) 
20/11: Poissy (78) Une voiture-bélier projetée contre un commerce 
20/11: Victoire de l’Algérie: incidents à Paris, Marseille, Avignon…
20/11: Villejuif: blessé par balles après avoir poignarder un policier 
20/11: Roubaix: 20 voitures brûlées après la victoire de l’Algérie 
20/11: Cambronne (60) Il tire sur le pharmacien et prend la fuite 
20/11: Bonnétable (72) Tombes et monument aux morts vandalisés 
20/11: Reims: Les ‘jeunes’ voleurs du tramway refont parler d’eux 
20/11: Agression au collège Joli Sévigné à Marseille: droit de retrait 

19/11: Un psychiatre pris en otage à la clinique Ste-Marie/Rodez 
19/11: Sarcelles: Elle tente d’enlever un bébé dans une maternité 
19/11: Incendie criminel et caillassage par des ‘jeunes’ à Corbeil 
19/11: Neuilly-sur-Seine: Ils dérobent une bague de 100 000 euros 
19/11: (78) Une voyante Portugaise dérobe 260.000€ à des clients 
19/11: Le Vésinet: nouveau cambriolage chez le président de PSA
19/11: Un homme armé recherché dans le centre de Périgueux (24) 
19/11: 4 Albanais cambrioleurs membres d’un réseau interpellés 
19/11: Nancy (54) Un Gitan interpellé avec 20.000€ de faux billets 
19/11: Plusieurs dirigeants des restaurants Eat Sushi interpellés 
19/11: Perpignan: 2 ‘jeunes’ massacrent un chat à coups de pied 

18/11: Aubervilliers: nouveau jet de cocktail Molotov dans un lycée 
18/11: Un homme ouvre le feu au journal Libération: 1 blessé grave 
18/11: Melun (77) 100.000€ de dégâts par un incendiaire criminel
18/11: Béziers: un gang roumain prostituant 100 femmes arrêté
18/11: Bar-le-Duc : la mère a avoué avoir étouffé ses trois enfants 
18/11: Trèbes (Aude) 2 ‘jeunes’ arrêtés pour dégradations et vols
18/11: Carcassonne: agressé chez lui par trois personnes armées 

17/11: Arcueil (94) Des coups de couteau à la station RER Laplace 
17/11: Marseille: un jeune homme de 18 ans abattu et un blessé 
17/11: Marion, 13 ans, traitée de ‘pute’ de ‘boloss’ s’est suicidée
17/11: St-Dizier: un pervers approchait/manipulait des collégiens 
17/11: Des policiers municipaux cible de tirs à Corbeil-Essonne (91) 

16/11: Un ‘marginal’ cannibale tue un nonagénaire à Nouilhan (65) 
16/11: Thonon (74) Le préfet et la BAC agressés par 30 ‘jeunes’ 
16/11: Noyon (60) 9 voitures brûlées dans le quartier Beauséjour 
16/11: Narbonne: frappée parce qu’elle refusait de ‘baisser les yeux’
16/11: Gennevilliers: un homme blessé par balles sur fond de trafic 
16/11: Essonne: un vol de câble coupe la ligne de SOS médecins 
16/11: Valence (26) Une femme retrouvée morte sous les coups 
16/11: Carcassonne: Il subtilise le portable de son propre avocat

Tous les liens sur l'excellent site : http://faitdiversfrance.wordpress.com/

FOOT : L'EQUIPE DE FRANCE IMPOPULAIRE AUPRES DES FRANCAIS




" Selon un sondage BVA pour Le Parisien, 79% des Français gardent une mauvaise opinion de l'équipe de France de football, malgré leur ticket validé pour la Coupe du monde.

Très impopulaires auprès de l'opinion, les Bleus ont-ils profité de la qualification à la Coupe du monde 2014 au Brésil pour redorer leur blason? Non, nous apprend un sondage BVA publié ce samedi dans Le Parisien/Aujourd'hui en France. 79% des Français a toujours une mauvaise opinion de l'équipe de France de football. Seuls 9% d'entre eux lui reconnaisse "l'amour du maillot" et 13% le fait d'être "sympathique".
La magnifique victoire 3-0 contre l'Ukraine de mardi a-t-elle améliorée certains sentiments à l'égard de l'équipe de France? Oui. 40% des sondés la juge "talentueuse", soit 16 points de mieux que lors du précédent sondage. L'intérêt pour ses matches s'est lui élevé de 9 points pour atteindre 46%. Un intérêt qui pourrait bien monter d'ici le début du Mondial, qui se tient du 12 au 13 juin prochain.

Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français recrutés par téléphone et interrogés par Internet les 21 et 22 novembre 2013. Echantillon de 1 113 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. "


On se demande bien pourquoi !




vendredi 22 novembre 2013

CHRISTIAN JACOB SE FAIT EXPLOSER PAR MARINE LEPEN


PETITION POUR TAUBIRA : A PEINE 0.16% DE LA POPULATION FRANCAISE INTERESSEE

" Josiane Balasko, Jane Birkin et une vingtaine d'autres personnalités ont remis jeudi à la ministre de la Justice, Christiane Taubira, une pétition de soutien après les attaques racistes dont elle a été la cible, qui a recueilli 100.000 signatures.

"Tu réclamais ces belles voix. Aujourd'hui, elles se sont exprimées", a dit à Mme Taubira l'initiateur de la pétition, l'adjoint au maire écologiste de Brétigny-sur-Orge (Essonne), Steevy Gustave.

"On est des pompiers qui allons éteindre la flamme de la haine", a-t-il lancé à la ministre.

"Elles sont magnifiques, ces voix", lui a répondu la garde des Sceaux, qui a salué la "promptitude" de cette mobilisation, amorcée le 1er novembre et baptisée "France, ressaisis-toi!". "Tout cela m'a beaucoup touchée", a-t-elle dit.

Pour la garde des Sceaux, l'initiative de la pétition a eu un effet d'"entraînement", et "ces belles et hautes voix en ont entraîné d'autres". "


Alors que les militants gauchistes sont très fiers de leur résultat concernant cette pétition, on peut dire que ce résultat fait pitié. 100 000 signatures sur 65 585 000 de français ( environ ) ça fait bien peu pour en tirer une quelconque victoire. Il suffit de faire un rapide parallèle avec le bijoutier de Nice qui avait récolté plus de 3 millions de clics en trois jours, pour se rendre compte de la mobilisation pitoyable pour cette pétition.