jeudi 13 juin 2013

LA JUSTICE DONNE RAISON A DES PATRIOTES

" Un groupe de citoyens niçois qui défendent la laïcité et leur identité, et qui jugeait illégal le bail d’une mosquée signé entre Nice et l’association des musulmans du centre-ville, a obtenu gain de cause mardi 26 mars 2013 auprès du tribunal administratif.

Le tribunal a annulé “la convention d’occupation” de la salle signée en octobre 2011, et a condamné la mairie de Nice à verser 1.000 euros à Philippe Vardon, chef de file de Nissa Rebela, un mouvement qui défend un des droits fondamentaux de l’homme : le droit au respect et à la préservation de son identité.Le tribunal administratif a conclu que le maire de Nice “méconnaît les dispositions de la loi du 9 décembre 1905″ qui interdisent à une collectivité locale de subventionner un culte, une décision “entachée d’une illégalité d’une particulière gravité”, car la ville avait accordé une remise de 50% sur le montant du loyer.

La ville de Nice a plaidé que l’association des musulmans n’était pas une “association cultuelle”, car elle organisait aussi des activités culturelles. Philippe Vardon avait argué, en tant que “contribuable municipal”, que la décision de la mairie entraînait “un manque à gagner” pour le budget local.

Philippe Vardon a demandé au député-maire (UMP) de Nice, Christian Estrosi, qu’il abandonne ses projets de lieux de culte musulmans.

Un très grand nombre de communes de France financent, sous couvert de culture pour contourner la loi, des lieux de culte musulmans. La juste action des citoyens de Nice montre que l’alibi culturel ne tient pas devant le tribunal administratif et qu’il est temps d’agir.

La France étant un état de droit, je vous recommande d’exiger de vos municipalités qu’elles respectent la loi de 1905. D’abord à l’amiable, puis, en cas de refus, en demandant aux tribunaux administratifs qu’ils disent le droit. C’est votre devoir de citoyen et ne rien faire revient à reconnaître votre désintérêt pour votre pays et sa laïcité. "

REGLEMENT DE COMPTE A BONDY ( mars 2013 )

" Deux individus en voiture ont tiré six coups de feu sur un troisième mercredi à Bondy, en Seine-Saint-Denis, selon des informations obtenues par BFMTV. La victime, un jeune homme, a reçu une balle dans la tête et une autre dans la jambe. Il a été transporté entre la vie et la mort dans une caserne de pompiers de Bondy, où il a succombé à ses blessures.

Selon Le Parisien, il serait âgé de 21 ans. L'agression a eu lieu dans une cité du nord de Bondy, place Suzanne Buisson.

"Le ou les auteurs sont en fuite", selon la préfecture. 

La victime connue de la police

Le jeune homme est connu des services de police pour trafic de stupéfiants notamment, selon la préfecture. Le périmètre a été sécurisé.

Si un attroupement a pu se créer au moment des faits, vers 14H00, les lieux étaient "redevenus calmes" une heure plus tard, selon la préfecture.

La tension est montée dans la cité au moment de l'intervention des forces de l'ordre et des pompiers, et un policier de la BAC de Seine-Saint-Denis a été blessé au crâne, ont indiqué Michel Marrec, délégué départemental du syndicat Unité-SGP Police FO et Sébastien Bailly, secrétaire zonal du syndicat Alliance. "

http://www.bfmtv.com/societe/info-bfmtv-fusillade-a-bondy-479916.html

A CEUX QUI DOUTENT DES INFOS SUR LES HOPITAUX

" Patientes qui refusent de se faire soigner par des médecins hommes, soignants qui portent de manière ostentatoire des signes religieux… La question du fait religieux à l’hôpital fait irruption dans l’actualité. Comment la religion cohabite-t-elle avec l’impératif de laïcité des établissements de soins ? Jusqu’à quel point le consentement du malade est-il nécessaire pour pratiquer un acte médical où le pronostic vital est en jeu ? Comment résoudre les éventuels conflits entre convictions religieuses et législation ? Eléments de réponse avec Isabelle Lévy, spécialiste de la question et auteur, entre autres, de Menaces religieuses sur l’hôpital paru aux Presses de la Renaissance en 2011.

« Tout établissement de santé doit respecter les croyances et les convictions des personnes accueillies ».

Tous les hôpitaux doivent disposer d’une équipe d’aumôniers pluriconfessionnelle avec des représentants du culte rémunérés selon la circulaire de 2006 relative aux aumôniers des établissements relevant du livre IX du code de la santé publique : « Ce sont les aumôniers qui ont la charge d’assurer, dans ces établissements, le service du culte auquel ils appartiennent et d’assister les patients qui en font la demande par eux-mêmes ou par l’intermédiaire de leur famille, ou ceux qui, lors de leur admission, ont souhaité déclarer appartenir à tel ou tel culte ».

Comment assurer le repas de ceux qui ne mangent pas de porc ? L’hôpital s’efforce de répondre à cette demande en proposant des solutions alternatives.

Certains personnels ne respectent pas toujours l’obligation de neutralité des agents publics. Cette obligation concerne la tenue vestimentaire (couvre-chef comme la kipa ou le voile ; bijou comme la croix, l’étoile, etc.), les actes et les paroles. Autant dire qu’interdiction est faite de faire du prosélytisme. "


" Non, le personnel musulman de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe) n'a pas exigé de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) qu'elle supprime la viande de porc des plateaux distribués au personnel de soirée. C'est pourtant la rumeur répandue par un blog d'extrême droite, déclenchant la colère du syndicat CGT. « Il stigmatise les salariés musulmans », estime un délégué. La réponse de l'AP-HP devrait suffire à démentir les propos des blogueurs : « Depuis 2008, affirme Gérard Cotellon, adjoint au cabinet de la directrice générale de l'AP-HP, la collation offerte le soir dans tous nos hôpitaux est calée sur le même principe que le repas servi aux patients arrivés en urgence : ce repas ne contient plus de porc. »
En revanche, au self comme ensuite pour les patients hospitalisés, « chacun choisit! » défend M. Cotellon. "

MOMENT DE GRAND BONHEUR : LETTRE OUVERTE

" Moment de grand bonheur en salle de naissance:

Accouchement de rêve....
Refus de péridurale. Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance….Document en cours de grossesse, explications orales….) De garde, j’y vais quand même et m’impose. Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde…L’enfant se prénomme joyeusement Oussama; juste à sa sortie, le père s’est prosterné et à fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée). Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche…Et la mère , il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur…
Ras le bol de cela.
La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin. Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet. Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient et meurtris des drapeaux algériens qui étaient seuls brandis sur la place du Capitole le jour de la victoire de François Hollande, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes… Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites. "

PLUS DE PORC DANS LES HOPITAUX : LETTRE OUVERTE

" PLUS DE PORC A LA PITIE SALPETRIERE . . .

Le plus grand hôpital public de France ne donne plus que des repas « sans porc » à ses employés. Depuis que la direction de l ’' Hôpital public Pitié Salpetrière a négocié avec une nouvelle société de restauration, il n'y a désormais plus de porc « même en option » pour le personnel de Garde et de Nuit qui ont droit à un repas/collation. Et tant pis si la majorité du personnel est encore loin d'être musulman. Exit le jambon, la quiche lorraine et autre plat pouvant contenir ce poison ou ce met de mécréant qu'est le cochon. Fini, rayé de la liste définitivement. Comme cela ne suffisait pas, la provocation va jusqu à préciser que tous les plats sont bien réglementaires, comme crêpe au fromage « sans porc » ou pizza volaille champignon « sans porc ». Autrement dit si vous êtes musulmans soyez doublement rassuré, on sait qu'il n'y plus de porc, mais c'est toujours mieux de le rappeler ! Quand à la majorité des autres qui aimaient le jambon ou la quiche lorraine, ils n'ont qu'à s'adapter et puis il y a la quiche aux épinards ou aux poireaux, sans porc, cela va de soi. Qu'un hôpital public puisse se permettre de bafouer les principes élémentaires de laïcité envers son propre personnel en dit long sur l'état du pays… Le plus terrible c'est que cela est imposé, sans aucune concertation et comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Imaginez si les hôpitaux publics décidaient sans concertation aucune d'imposer le porc à tous ses patients, peu importe leur confession religieuse ! Quel tollé général avec M. Delanoé en tête des indignés ! Le maire de Paris dont le premier adjoint possède un siège au conseil de surveillance de l'APHP Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Mais non, Monsieur le Maire est plus occupé à surveiller les cantines scolaires ou les crèches qui ne respecteraient pas les menus réglementaires des diversités ! Par contre que certains n'aient plus la possibilité de manger du jambon, cela ne le dérange pas le moins du monde. La réaction du personnel ? Ils aiment bien le cochon, mais bon, maintenant on n'y peut rien c'est comme ça ! Un syndicaliste, questionné, répond que cela n'est pas normal, mais il ne faudrait pas heurter les collègues musulmans ! Bref sans combat ni bataille, nous voilà soumis au pays des Lumières et de Voltaire aux superstitions alimentaires et à l'obscurantisme. Je terminerai par un mot d'Arthur Schopenhauer : "Les religions sont comme les vers luisants : pour briller, elles ont besoin d'obscurité » et l'obscurité en France, elle se développe vite ! Trop vite."

Voilà une lettre qui a couru sur le net et qui me laissait un peu perplexe et pourtant, nous verrons dans un prochain article que ces écrits reflètent une bonne part de vérité.