samedi 1 juin 2013

MANIF POUR TOUS : ARRESTATIONS ARBITRAIRES




La liberté d'expression vu par les gauchistes. HOLLANDE bafoue les lois et met en péril les valeurs et les symboles du pays pour faire plaisir à quelques individus. Les milices du gouvernement en action...

LETTRE OUVERTE : D'UN OFFICIER DE RESERVE DE L'ARMEE

" Jeune Officier dans la Réserve Opérationnelle de l’Armée de Terre, arrêté arbitrairement lors de la Rafle des Champs-Élysées le 25 mai 2013 et détenu pendant 24 heures, je vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires.
Le déshonneur que vous m’avez fait subir ne me permet plus de porter dignement le symbole de respect qui m’était consenti par la Nation.
Juriste dans le civil, diplômé de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr et d’un master 2 de relations internationales Sécurité Défense, je pensais être digne de la République en ayant su intégrer les valeurs et les vertus enseignées tout au long de mon éducation.¢

N’étant pas habitant de notre Capitale mais simple provincial, je me dirigeais vers la tombe du Soldat Inconnu afin de me recueillir auprès de nos aïeux tombés pour notre Liberté. Je remontais l’Avenue des Champs-Élysées lorsque des mouvements de foule m’ont interpellé.

Je me suis naturellement rapproché de ce qui semblait être le centre d’une action de protestation. J’ai reconnu des drapeaux de « La Manif pour Tous ». Je ne voyais que des jeunes gens obstinés mais pacifistes.

Entrainé pour des missions de protection du territoire comme Vigipirate, je venais d’apprendre que l’un de mes camarades fut blessé sur le parvis de la Défense en effectuant sa mission quelques heures auparavant.

Troublé par tant d’agitation parisienne, je restais spectateur et stupéfait de la violence avec laquelle nos forces de l’ordre agissaient contre ces jeunes. Les images parlent d’elles- mêmes. Je connais la difficulté de maîtriser une foule et je ne remets pas en cause les agissements individuels de notre Police qui exécute les ordres hiérarchiques.

Cependant, je suis indigné par les arrestations complètement arbitraires organisées à la veille d’une manifestation autorisée par la Préfecture.

J’ai été neutralisé alors que je n’étais que passant curieux et spectateur silencieux ! Un commandant me pointant du doigt et ordonnant à ses subordonnés de « m’embarquer » après un échange de regard… Était-il trop clair pour sembler innocent ? Ma coiffure d’officier leur semblait-elle trop courte pour incarner le simple badaud, pourtant chef de Piquet d’Honneur d’une commémoration quelques jours auparavant pour le 68ème anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945… les mots prononcés par le Préfet me résonnent encore à la lecture du message de Monsieur Kader Arif, Ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants qui a dénoncé les pratiques politiques des nazis sur les individus jugés indignes. La jeunesse française éduquée et instruite vous semble-t-elle indigne Monsieur le Président ?

Oui, nous pouvons parler d’une RAFLE. Organisée par vos services ce soir-là. Aucune de mes (nos) libertés n’ont été respectées. Arrêté sans aucune raison, je n’avais ni signe ostentatoire partisan, ni comportement agressif. J’ai été embarqué avec véhémence comme un vulgaire délinquant, sans aucune sommation, sans aucune explication, sans aucune considération. Je n’ose parler des conditions de détention. Vingt-quatre heures de garde à vue Monsieur le Président, permettez-moi de vous rappeler que « la force sans le droit rend la vérité abjecte ».

Je ne me permettrais pas de qualifier votre opération de rafle si des arrestations massives et improvisées n’avaient pas été constatées. Ces vingt-quatre heures de détention ont au moins eu le mérite de permettre l’échange avec mes codétenus… les nombreux cadres dirigeants et étudiants supérieurs qui m’entouraient me faisaient penser à ces élites que l’on enferme par crainte qu’ils deviennent des vecteurs de conscience.

Déshonoré par ces méthodes, je suis profondément blessé et vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires qui me rendaient fier d’incarner l’Amour profond de Notre Patrie et les devoirs qu’elles impliquent.

« On meurt pour une cathédrale non pour des pierres, pour un Peuple non pour une foule. On meurt par amour de l’homme s’il est clé de voûte d’une communauté, on meurt pour cela seul dont on peut vivre », Antoine de Saint-Exupéry. "

QUOTIENT FAMILIAL : UN NOUVEL IMPOT DEGUISE

" Surtout ne pas être accusé de mener une politique "antifamille". Le feuilleton du mariage gay à peine achevé, l'exécutif cherche à éviter d'ouvrir un nouveau front sur le dossier des prestations familiales.
Jean-Marc Ayrault doit annoncer, lundi 3 juin, les décisions qu'il compte prendre pour réduire les 2 milliards d'euros de déficit de la branche famille (55 milliards d'euros de dépenses). Mais alors que l'exécutif envisageait, depuis des semaines, de diminuer les allocations familiales à partir de 5 000 euros net de revenus pour un couple avec deux enfants, une autre solution, moins risquée politiquement, est sérieusement envisagée.

Selon plusieurs sources au sein de l'exécutif, le gouvernement pourrait plutôt décider d'abaisser le plafond du quotient familial, qui permet aux parents (imposables) d'obtenir une réduction d'impôt en fonction du nombre de leurs enfants. Actuellement, cet avantage est plafonné à 2000 euros par demi-part fiscale (soit 2 000 euros par enfant jusqu'au deuxième, puis 4 000 euros par enfant après le troisième).

Dans son rapport sur les allocations familiales, le président du Haut Conseil à la famille, Bertrand Fragonard, estimait qu'une baisse de ce plafond à 1 500 euros pourrait rapporter 915 millions d'euros, à peu près autant que la modulation des allocations. Selon Bercy, 1 à 1,2 million de foyers fiscaux seraient concernés par cette mesure.Selon l'Elysée, l'objectif resterait de concentrer l'effort sur les 15 % des familles les plus riches. "15 % de modulation ou 15 % de baisse du quotient familial, cela revient au même", y plaide-t-on. Selon le rapport Fragonard, une baisse du plafond du quotient à 1 500 euros toucherait "environ 10 % des foyers fiscaux ayant des enfants à charge" et "le supplément d'impôt moyen serait de 68 euros par mois". Elle concernerait aussi les familles d'un seul enfant, qui ne perçoivent pas d'allocations familiales, ou celles dont les enfants ont plus de 20 ans...

" C'est désormais une option envisagée sérieusement", confirme un collaborateur du chef de l'Etat, qui rappelle qu'"elle n'était jamais complètement sortie des écrans radars, mais elle était passée au second plan car les conseillers budgétaires avaient fait valoir que cette solution augmentait les prélèvements obligatoires"...

Quoi qu'il arrive, l'exécutif devrait par ailleurs rogner certaines prestations, comme la prime à la naissance ou la prestation d'accueil du jeune enfant.La piste du plafonnement accru du quotient familial présente un inconvénient politique majeur : elle se traduirait par une hausse de la fiscalité, alors que François Hollande a promis que les impôts, hors TVA, n'augmenteraient plus en 2014. Pour contourner cet obstacle, l'exécutif rôde déjà deux arguments : le quotient familial est une "niche fiscale" et pourrait donc être exclu de la règle présidentielle. Et le président lui-même avait estimé que la Sécurité sociale n'était pas concernée par la promesse de stabilité fiscale... 

Des arguments spécieux dans un pays en tête de l'OCDE pour le poids de ses prélèvements obligatoires (46,3 % en 2013) et de ses dépenses publiques (56,9 %) dans le PIB. "

Pour ceux qui auraient pas compris, une nouvelle fois ce sont les ménages qui sont favorisés. Mieux vaut avoir 14 gosses et être au chômage que de chercher à travailler ( Vous voyez de qui je parle ?! ). De plus, si ce nouvel impôt est mis en place ( car il s'agit bien d'un impôt quoiqu'on en dise ),  HOLLANDE aurait menti une fois encore ( mais est-ce encore surprenant ?! ). Votez à gauche qu'ils disaient, le changement c'est maintenant... la ruine aussi !

http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/05/31/allocations-quotient-familial-la-gauche-redoute-la-polemique_3421588_823448.html