vendredi 7 juin 2013

UNE DERNIERE POUR FINIR LA JOURNEE


SYMPA LES EXTREMISTES DE GAUCHE !



" Selon la mairie, Gérard Collomb et son épouse sortaient sans escorte et à pied de l'Hôtel de Ville de Lyon vers 21 heures lorsqu'un groupe de militants antifascistes l'a traité de «fasciste» et s'est mis à courir dans sa direction. Il venait de recevoir une délégation du collectif Vigilance 69, qui lutte contre l'extrême droite à Lyon.

Les politiques chahutés aussi à Paris

Un échange «sérieux, constructif, sans concessions», selon Armand Creus, conseiller régional Front de gauche et membre de Vigilance 69 qui précise dans un communiqué que «le Maire de Lyon réclame l'interdiction de ces groupes et (qu') il a fait la proposition de prolonger cet échange dans un nouveau rendez-vous».

A Paris aussi, les politiques ont été pris à partie par les militants antifascistes. Alors qu'elle souhaitait participer à l'hommage rendu à Clément Méric sur la place Saint-Michel, la candidate PS à la mairie de Paris Anne Hidalgo a ainsi dû rebrousser chemin. «PS hors la manif, socialos trahison», a-t-on pu entendre. Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir ne s'est finalement pas non plus mêlé à la foule, son entourage jugeant la situation trop tendue.

Et bien que Jean-Luc Mélenchon avait appelé dans un tweet à se tenir «à distance du PS», le secrétaire national de son mouvement, le Parti de Gauche, Alexis Corbière a lui aussi fait les frais de l'aversion des camarades de la jeune victime pour la «récupération» en se faisant couper son intervention. Au micro, un militant a également demandé à ce que les drapeaux politiques soient abaissés, y compris ceux du Parti de gauche. "

Des gens charmants, qui attirent la sympathie ! Alors Mr VALLS quand est-ce-que vous comptez dissoudre ces groupuscules agressifs envers tout le monde et pas seulement les " fascistes " ?!


QUAND ON VOUS DIT QU'IL EST CON...

" "Je rappelle que le Japon a été frappé comme la France d'ailleurs lors de la prise d'otages en Algérie. J'ai exprimé les condoléances du peuple français à l'égard du peuple chinois", a dit le président François HOLLANDE en pleine conférence de presse conjointe avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe.

Apparemment, François Hollande ne s'est pas aperçu de son erreur et a continué son intervention. L'interprète chargée d'assurer la traduction simultanée en japonais a rectifié d'elle-même.

Les relations entre la Chine et le Japon sont très mauvaises depuis des mois, notamment en raison d'un conflit territorial en mer de Chine orientale, ce qui ravive des souvenirs douloureux liés à l'occupation d'une partie de la Chine par l'armée japonaise à partir des années 1930 et jusqu'en 1945 "


AFFAIRE MERIC : LA SUITE

" Selon une source policière, "il y a eu invectives, bousculades et échanges de mots" entre les deux groupes. La victime "a été frappée par l'un des skins". Un coup extrêmement violent et peut-être porté avec un poing américain, selon des sources policières. Sous l'impact, la tête de Clément Méric est allée heurter "un plot". L'autopsie devrait permettre d'établir si c'est le coup, ou la chute, qui a entraîné la mort cérébrale de la victime.

Qui attendait qui pour en découdre? L'Action Antifasciste Paris Banlieue, à laquelle appartenait Clément Méric, a affirmé que des militants d'extrême droite "armés" avaient "identifié" la victime et ses amis "en tant que militants antifascistes". "Des invectives partent. Une agression mortelle s'ensuit, Clément tombe sous les coups", a ajouté le mouvement dans un communiqué.

Un témoin interrogé par France 2 assure avoir vu un "petit jeune provoquer un peu un autre qui ressemblait un petit peu à un skinhead qui avait l'air de lui dire d'un geste de la main, tranquille, tranquille, on est là comme toi pour faire notre shopping". Selon plusieurs témoins, une fois dehors, l'étudiant aurait poursuivi ses provocations avant de recevoir un coup de poing. 

L'auteur présumé du coup, originaire d'Espagne et âgé de 20 ans, aurait reconnu en garde à vue avoir frappé Clément Méric mais il assure qu'il n'avait pas l'intention de tuer la victime. Face aux enquêteurs, les sept interpellés livrent tous, selon RTL, la même version.

"Quand ils ont vu qu'ils n'étaient pas suivis, ils ont arrêté de courir. Ils se sont serré la main comme on serre la main d'un ami qui vient d'obtenir un diplôme. Ils étaient essoufflés. Ce qui m'a marqué c'est qu'ils étaient souriants", se souvient Naema, témoin du drame. De leur côté, les gardés à vue affirment n'avoir appris la mort cérébrale de Clément Méric, leur victime, que plus tard, dans les médias. "


Ce qui m’inquiète un peu, c'est l'acharnement de VALLS, des journalistes et des gauchos qui veulent absolument se débarrasser des groupuscules catalogués d’extrême droite sans se soucier de l'extrême gauche ! A priori, il devient de plus en plus probable que les agresseurs ne soient pas ceux que l'on croit. Ce qui est encore plus inquiétant, c'est que si la dissolution de ces groupuscules se confirme, vers quoi irons nous demain ?! Facile pour un gouvernement en place de justifier la disparition de telle ou telle formation politique en la qualifiant d'antirépublicaine. N'est-ce pas un premier pas vers la dictature ? Certes, des idées sont à combattre, mais interdire un groupuscule officiel le rendra tout simplement clandestin. Il y aura toujours des adorateurs d' Hitler, de Staline, des fous de Dieu... c'est ce qui fait qu'on est tous différents.