samedi 4 janvier 2014

PETITES PRIMES ENTRE GENS DE GAUCHE



" Lorsque le montant de la prime que devait recevoir Philippe Varin, PDG de Peugeot, a été rendu public, Harlem Désir a déclaré : « Quand l’entreprise va mal on va pas quand même donner une prime à son dirigeant. On ne donne pas une prime à la médiocrité ».

Noble pensée. Mais … alors, Harlem Désir doit exiger sans tarder des dirigeants de l’entreprise France – qui va mal – qu’ils renoncent aux primes qu’ils se sont accordées, puisqu’ « on ne donne pas une prime à la médiocrité. »

Car le médiocre gouvernement de la France qui va mal va se partager cette année la modique somme de 20,5 millions d’euros de primes, pour les seules équipes des ministres de plein exercice, en hausse de 3% par rapport à 2012, ainsi réparties (source Journal du Net) :

• Marisol Touraine : 878 408 euros pour les 64 membres de son équipe. Dreuz a calculé, cela fait 13 725,13 euros par personne.

• Jean-Marc Ayrault : 5,85 millions d’euros pour distribuer des primes à ses 456 collaborateurs : 12 829 euros par personne disent les experts financiers de Dreuz.

• Sylvia Pinel, 11 956 euros par personne et par an en moyenne (466 268 euros pour 39 personnes).

• Nicole Bricq, 454 052 euros à redistribuer à sa petite équipe de 38 personnes pour une prime de 11 949 euros par personne en moyenne.

• Arnaud Montebourg, 679 058 euros pour les primes à ses 57 collaborateurs, soit 11 913,3 euros par personne.

• Najat Vallaud-Belkacem, 552 001 euros pour récompenser son équipe de 47 collaborateurs (11 745 euros par personne)

• Pierre Moscovici dispose d’une enveloppe de 730 304 euros, à redistribuer aux 67 personnes de son équipe. Cela représente, d’après les comptables de Dreuz, 10 900,06 euros par personne.

• 541 770 euros pour que Valérie Fourneyron distribue des primes à ses 53 collaborateurs (11 913,3 euros en moyenne)

• Cécile Duflot, 580 950 euros, à répartir entre les 57 collaborateurs qui l’entourent, soit 10 192,11 euros par personne.

• Vincent Peillon, 616 000 euros destinés à financer les primes qu’il attribue à ses 61 collaborateurs (10 098,36 euros par personne).

• Marylise Lebranchu : 543 636 euros. (9 884 euros par personne)

• Geneviève Fioraso : 564 000 euros (9 724 euros par personne)

• Victorin Lurel, 552 347 euros (8 767 euros par personne)

• Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères : 1,1 million d’euros, destinés à financer les primes attribuées à ses équipes (150 collaborateurs), soit 7 274 euros par personne.

• Aurélie Filippetti, 642 710 euros soit 7 063 euros par personne.

• Michel Sapin, 500 291 euros représentant 6 671 euros par personne.

• Manuel Valls, Budget primes : 1 547 452 euros pour un effectif Total de 252 personnes, soit 6 141 euros par personne.

• Jean-Yves Le Drian, 967 238 euros à répartir entre les 158 personnes qui composent ses équipes.

• Christiane Taubira: 983 000 euros pour lui permettre de récompenser les 169 personnes chargées d’assurer les fonctions support. Ramené au nombre de collaborateurs : 5 816,57 euros.

• Philippe Martin, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie : 900 720 euros soit 5 206 euros par personne.

• Stéphane Le Foll : 370 457 euros, soit 4 939 euros par personne, les pauvres…

Total, plus de 20 millions de primes à la médiocrité (dixit Harlem Désir) pour leurs sourires qui se foutent de vous en vous donnant des leçons de morale en exigeant que vous soyez solidaires. Payez braves gens, payez… et réjouissez-vous : ils encaissent et vous faites les sacrifices, comme au temps des cerfs et des seigneurs. "

3 MANIFESTATIONS A SUIVRE

" Trois manifs d’affilées, 3 sujets, 3 styles, 3 organisations.

L’État tue nos enfants dans le sein de nos femmes : le 19 janvier 2014 à Paris, la première, la plus essentielle, c’est la Marche pour la Vie.

L’État est incapable d’équilibrer son budget, étouffe nos emplois, nos entreprises et confisque nos richesses : le 26 janvier 2014 à Paris, la seconde, la plus jeune, la plus turbulente, la plus incertaine, c’est le Jour de Colère.

L’État dénature notre seul espoir d’avenir : nos familles. La troisième, le 2 février 2014 à Paris, Madrid, et ailleurs en Europe, celle qui a rassemblé les Français, réveillé les consciences politiques, mobilisé les réseaux, la Manif pour Tous, celle de la famille. "

NON CUMUL DE MANDATS : C'EST PAS POUR DEMAIN



" François Hollande a laissé entendre vendredi que les ministres candidats aux municipales ou aux européennes étaient libres de faire campagne, à condition de consacrer l'"essentiel de leur temps" au gouvernement et de ne pas utiliser les moyens de l'Etat. 

"J'ai déjà évoqué les élections européennes au mois de mai, les élections municipales viendront au mois de mars", a déclaré lors de ses voeux au gouvernement le chef de l'Etat, selon une copie de son discours transmis à la presse. 

"Un certain nombre d'entre vous sont, d'ailleurs, candidats et vous en avez parfaitement le droit", a-t-il ajouté. 

"Il y aura à fixer une règle de conduite et le Premier ministre y travaille. Il ne doit y avoir aucune confusion, et l'essentiel de votre temps doit être consacré au gouvernement. Nul ne comprendrait qu'il puisse y avoir utilisation des moyens de l'Etat pour des campagnes qui doivent être menées localement", a prévenu François Hollande. 

Pour les élections européennes, le ministre de l'Education Vincent Peillon mène la liste du PS dans la circonscription du Sud-Est. 

Pour les municipales, plusieurs ministres sont candidats à des fonctions non-exécutives (non-cumul oblige), tels par exemple Manuel Valls (Intérieur) à Evry (Essonne), Michel Sapin (Travail) à Argenton-sur-Creuse (Indre), Stéphane Le Foll (Agriculture) au Mans, François Lamy (Ville) à Palaiseau (Essonne), Guillaume Garot (Agroalimentaire) à Laval. Frédéric Cuvillier (Transports) n'a pas encore dit ses intentions au sujet de la ville dont il était maire jusqu'à son entrée au gouvernement, Boulogne-sur-Mer. "

SITUATION EN CENTRAFRIQUE : LA FRANCE DEPASSEE



" Médecins sans frontières, seule ONG présente à Bangui, quitte la zone pour des raisons de sécurité.
Nouveau signe de la détérioration de la situation à Bangui, Médecins sans frontières (MSF), la principale ONG médicale dans la ville, a décidé jeudi de «considérablement réduire ses activités» dans l’aéroport de la capitale centrafricaine. Sécurisée par les soldats français et ceux de la force africaine Misca, la zone aéroportuaire est devenue avec la montée des violences le point de ralliement des habitants en quête de refuge. Les abords se sont transformés en un vaste camp de réfugiés à ciel ouvert, où s’entassent dans une totale désorganisation près d’une centaine de milliers de personnes, en majorité chrétiennes.

Les conditions sanitaires sont désastreuses et la tension s’est accrue ces derniers jours avec des rumeurs d’infiltrations d’ex-rebelles de la Séléka. L’équipe de MSF, seule sur place, y dispensait depuis un mois en moyenne 500 consultations par jour (pédiatrie, petite chirurgie, accouchements, etc.). L’ONG alerte depuis des semaines sur la situation du camp : pas d’abri contre la pluie ni de moustiquaire contre les insectes porteurs de paludisme, points d’eau et latrines en nombre très insuffisant…

«Dépassés». «En début de semaine, la situation est devenue extrêmement tendue, explique Lindis Hurum, coordinatrice de MSF sur place. Des tirs ont éclaté à l’intérieur même du camp. On a été dépassés par l’afflux de blessés, et trois enfants ont été tués par balle. Dans ces conditions, on ne pouvait plus travailler. Les membres de l’équipe risquaient de se prendre une balle perdue.» D’où la décision de se rapatrier vers d’autres dispensaires. «Nous n’avons aucune envie de laisser cette population seule et nous leur avons longuement expliqué notre décision», souligne-t-elle. L’équipe espère pouvoir réintégrer le camp dès que les choses se seront un peu calmées. Seuls cinq membres sont restés pour traiter les urgences et assurer les accouchements. Sans aucune protection militaire, la Misca étant présente dans l’aéroport mais pas dans le camp lui-même.

«La sécurité à Bangui et la protection des structures médicales n’est pas assurée», constate Marie-Noëlle Rodrigue, directrice des opérations chez MSF qui, sans lancer d’appel formel, juge qu’il «faut des décisions politiques autour de ces questions». Dans la confusion ambiante, le signal qu’envoie Médecins sans frontières n’a rien pour rassurer. «Ce n’est pas à nous d’interpréterl’impact de ce retrait. Notre priorité est de soigner mais à un moment donné, on ne peut pas risquer la vie du personnel. Il ne s’agit pas de jouer les héros mais de pouvoir faire notre travail», défend la coordinatrice.

Barricades. La situation reste très volatile à Bangui malgré l’arrivée, jeudi, de renforts de l’armée tchadienne. Les civils continuent à fuir la ville. Jeudi, dans un quartier musulman du nord de la capitale, les habitants ont dressé des barricades et brûlé des pneus pour protester contre la présence des blindés français.

Malgré les difficultés qui s’accumulent pour les 1 600 soldats de l’opération Sangaris, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en tournée dans la région après une halte à Bangui pour chercher une issue à la crise, a réfuté hier tout enlisement. «La situation sécuritaire est en amélioration par rapport à la situation de massacres qu’on a pu connaître, a-t-il assuré. En février, des experts disaient "au Mali, la France commence son enlisement". Heureusement que nous n’avons pas écouté les experts. Je le dis pour le Mali, et je le dis aussi pour la Centrafrique.» "


POUR CEUX QUI LE PEUVENT, FUYEZ !

" Le pays sort lentement de sa léthargie post-prandiale dans laquelle les fêtes l’avaient plongé. Petit à petit, tout le monde reprend le travail, et d’instinct, devant les difficultés de la situation, tous les services de l’État se tendent comme un seul homme pour résoudre la myriade de pépins que la France va devoir affronter durant cette nouvelle année.

Ainsi, Manuel Valls, le ministre qui fait à l’Intérieur ce dont on rit à l’extérieur, envisage de faire interdire la quenelle (le geste, pas la spécialité culinaire), jugeant sans doute qu’une petite loi ou un joli décret empêchera efficacement les individus de pratiquer, tout comme une loi interdisant de mourir de faim résoudrait probablement bien des problèmes, et que la loi pour ne jamais manquer de toit a permis de faire disparaître immédiatement les SDF. Bien évidemment, le fait que le petit Manuel de l’Intérieur Propre et Bien Rangé se soit gentiment fait quenelliser la tête il y a quelques temps ne joue en rien sur sa décision, ferme et courageuse, de mobiliser son énergie et quelques uns de ses nombreux fonctionnaires sur cette cause à la fois noble, humaniste et indispensable à la bonne marche du pays. Il faut ce qu’il faut. 

Au ministère de l’absence d’Économies et des Finances lacunaires, on a choisi de ne faire aucune espèce de publicité pour les changements qui sont introduits dès ce début d’année. On se demande pourquoi : comment ne pas se réjouir de voir qu’au moins, à Bercy, ils travaillent durement pour calibrer les ponctions étatiques au plus juste ? Comment ne pas tenir compte des magnifiques avancées dans les taux (la TVA grimpe, comme les taux pour les emprunts d’État, c’est mignon ce mouvement d’ensemble) ?

Et surtout, il serait dommage de passer à côté de la cohérence d’ensemble de la politique gouvernementale en matière de droit du travail. Un coup oui, un coup non, un coup c’est permis, un coup c’est interdit, voilà qui rend épique l’établissement de règles simples pour la conduite des affaires dans le pays et qui redonne un vrai parfum d’aventure à la monotonie naturelle de la création d’entreprise, du capitalisme à la Pépère et du développement d’activité sur le sol national, non ?

Prenez par exemple la durée d’un temps partiel. On pourrait croire, lorsqu’on est un adulte normal, responsable, avec deux pouces et un QI supérieur à sa température anale, que cette durée pourrait résulter d’un accord contractuel entre un type qui veut travailler moins que le temps complet et un type qui veut l’embaucher pour une durée inférieure à celle d’un contrat de travail complet. Partant de là, on imaginerait des adultes qui signeraient des contrats et s’arrangeraient entre eux.

Comme en 2013, le gouvernement sera là en 2014 pour nous sauver tous. Fuyez.Bon, cette image est évidemment complètement farfelue puisqu’elle ne fait intervenir aucun fonctionnaire d’État, ni, encore pire, aucun syndicaliste et — abomination suprême — renverrait les vieux débris communistes antédiluviens chargés de l’inspection du travail à leurs études, loin du monde réel trop abrasif pour leur peau sensible (Gérard F., si tu me lis, sache que j’ai de la tendresse pour les espèces en voie de disparition terminale).

Moyennant quoi, la réalité française sera douillettement bordée de lois encadrant bien tout ça, qui redéfiniront cette année encore la durée minimale du temps partiel qui passe donc en ce début d’année à 24 heures par semaine. Tous les patrons qui auraient eu besoin de salarier quelqu’un pour 20h pas plus (par exemple) ne pourront le faire. L’emploi en France dit merci à cette « avancée » législative. Les 5 millions de chômeurs aussi.

Et puisqu’on parle code du travail, que va-t-il advenir exactement de la pénibilité, cette notion nouvellement introduite au bénéfice du calcul des retraites, déjà pas simple et qui va encore se complexifier un peu et qui, si l’on s’en tient aux textes, promet de grands moments de pirouettes comptables et organisationnelles au sein des entreprises, puisque l’appréciation de la pénibilité sera faite au cas par cas, avec des contrôles a posteriori (et des gémissements a priori) ?

Comme en 2013, le gouvernement sera là en 2014 pour nous sauver tous. Fuyez.Quant au travail le dimanche, l’avenir est plein d’incertitudes croquignolettes avec des fermetures de magasins à la clef.Jusqu’à récemment, on se rappelle qu’il était donc officiellement interdit de travailler le Jour du Seigneur, puisqu’en bon pays laïc, la France a choisi de faire fermer ses commerces ce jour-là (sauf les boulangers-pâtissiers qui fournissent les gâteaux après la messe, les électriciens parce qu’on n’aime pas cuisiner froid, les cinémas parce que sinon, on s’ennuie ferme, et d’autres menues exceptions pour que tout continue à fonctionner, mais en moins vivant). Rassurez-vous : à l’approche des municipales, et vu que la fermeture dominicale signe l’arrêt de mort pour certains magasins, il a été rapidement signé un petit décret de derrière les fagots pour autoriser à nouveau l’ouverture des enseignes de bricolages.

Comme on le voit, tout ceci est du solide, du simple, du facile, du balisé, du prévu de longue date et c’est donc d’autant plus facile d’entreprendre en France, de créer de la valeur et des emplois puisque tout (impôts, législation, environnement) concourt à vous laisser bosser dans les meilleures conditions possibles. Que demande le peuple ?

Comme en 2013, le gouvernement sera là en 2014 pour nous sauver tous. Fuyez.Mais toute cette agitation de ces puissants ministères ne sont rien à côté de la détermination calculée et des actions épiques qu’entreprennent les plus importants des ministres. Ici, on pense immédiatement à deux d’entre eux, véritables fers de lance du N’importe Quoi Bruyant érigé en méthode de gouvernement et en politique d’avenir : Najat Vallaud-Belkacem tout d’abord et l’inénarrable Arnaud Montebourg, sans lesquels — il faut bien le dire — la politique n’aurait pas ce petit grain de folie ridicule qui nous la rend si sympathique et si joyeuse lorsqu’on ira voter (pour les plus crédules d’entre nous), courant mai de cette année, entre deux cuites monumentales.

Comme en 2013, le gouvernement sera là en 2014 pour nous sauver tous. Fuyez.En effet, Najat Vallaud-Belkacem n’a même pas attendu d’être en 2014 pour bombarder les interwebs de ses petites déclarations ; la porte-parlote du gouvernemaman est ici dans son rôle, il est vrai, mais comme Switchie sur son blog, on ne peut qu’être consterné par l’avalanche de bidules tous plus foutraques les uns que les autres que la pauvrette nous a rassemblés dans une infographie indigeste, afin de nous présenter l’étendue des dégâts que l’ensemble du gouvernement entend porter au pays pendant toute cette année : pas un domaine ne sera épargné, pas une loi ne sera oubliée, chaque ministère ira de sa petite crotte législative. C’est génial, non ?

Comme en 2013, le gouvernement sera là en 2014 pour nous sauver tous. Fuyez.

D’autant qu’on sait déjà qu’elle sera (lourdement) épaulée du chevalier de la Table Bancale. Et pour préparer psychologiquement le pays à ces assauts gaillards, Montebourg n’a rien trouvé de mieux que nous présenter un calendrier de ses Douze Redresseurs. Ne riez pas : c’est avec vos sous.

Les petits-fours ont été mangés. L’allocution du Président est terminée. Les ordres de mission pour cette nouvelle année sont partis : c’est décidé, 2014, ce sera 2013, mais en plus grand, plus fort, plus loin.

Pour ceux qui le peuvent : fuyez. Pour les autres, tremblez. Que vous ayez fui ou que vous trembliez, de toute façon, ce pays est foutu. "

MANQUE PAS DE CULOT LE NIAIS !


" L'aveu est écrit noir sur blanc dans la retranscription des vœux adressés vendredi 3 janvier par François Hollande au gouvernement. "Si en 2012-2013, nous avons pu diminuer nos déficits grâce à une maîtrise des dépenses de l'Etat, nous avons été contraints de recourir à des impositions supplémentaires, a affirmé le chef de l'Etat. Et nous savons bien qu'une limite a été atteinte à force d'accumulation de taxes de toute nature, tout au long de ces dernières années", a-t-il ajouté devant les membres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault.

"Faire mieux en dépensant moins"
François Hollande a donc assuré que "d'ici la fin du quinquennat, c'est en dégageant des économies, et non en sollicitant davantage les contribuables, que nous pourrons diminuer nos déficits". Un "programme d'économies" qui, a-t-il précisé, concerne aussi bien l'Etat que les collectivités locales et la Sécurité sociale. En un mot, "il s'agit de faire mieux en dépensant moins" grâce à des "réformes de structure".
Le chef de l'Etat a rappelé à cette occasion que le premier objectif restait l'"emploi", qui passe par "l'investissement", "la compétitivité", l'"attractivité", la "simplification pour la création d'entreprise" ou encore "la formation". "


Il est fabuleux ce type ! Il va presque sermonner ses ministres d'avoir mis en place des impôts qu'il a lui-même ordonné. Et comme je te crois " pépère "... ça va être quoi la prochaine fois pour payer le fiasco centrafricain?!