mardi 25 juin 2013

4 FEMMES, 46 ENFANTS

" Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama (1) était un homme heureux. Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue. Entre les cinq chambres de la maison, "la vie s’organisait comme elle pouvait", confie-t-il au téléphone. D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde (2). Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue. Il n’a donc pas donné d’écho particulier au bouleversement qu’il vient de connaître : deux de ses femmes ont déménagé, une troisième songe à les imiter. Elles sont engagées dans une "décohabitation", le terme administratif qui désigne la sortie de la polygamie.

"Il nous a fallu dix ans pour en arriver là", raconte Fanta Sangaré, énergique présidente de l’Association des femmes relais de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Sa première rencontre avec Adama a eu lieu à la demande des services sociaux. Avec les autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ fut comparable: des enfants attirent l’attention d’une assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les institutions et ont toutes les peines du monde à parler français. Difficile de les aider.

Il se trouve que tous sont originaires du Mali. Fanta Sangaré aussi. L’ancienne institutrice de brousse comprend les digressions en soninké, les confidences en bambara. Elle discute, apprivoise. Entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue des enfants. Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école. Le ballon d’eau chaude toujours vide. La queue devant la porte des WC. Les repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré écoute ces histoires qui se ressemblent toutes. Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de séjour. Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence divine. Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été "au pays", où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même: "Quitter son mari est impur", rabâchent les femmes. "Dieu n’a pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même chambre", réplique alors Fanta Sangaré.

Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement. En signe de bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui ont été nécessaires pour régulariser sa situation. Elle a quitté La Courneuve pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants. Lorsqu’une épouse part, la honte s’abat sur son mari. "Sa femme a volé son pantalon, maintenant il porte le pagne!", entend-il dans son dos. Adama préfère ne pas y penser. Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants. Une décohabitation hypocrite? "Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup."

Ces femmes, en effet, n’ont jamais vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget. Elles ne savent pas se servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque. C’est leur mari qui touchait les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses. "Elles ont toujours été infantilisées", insiste Fanta Sangaré. "C’était très compliqué au début de vivre chez moi", confirme Salli, jeune maman de huit enfants. Elle a laissé son mari à sa coépouse et est devenue femme de ménage. Pour être tout à fait "comme les autres", elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français. Les mystérieux "couvre-lit", "hippocampe" et "igloo" qu’elle découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin du but. Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire.

(1) Les prénoms ont été modifiés.
(2) La Caisse d’allocations familiales verse 441,48 € par mois pour quatre enfants de moins de 20 ans, plus 158,78 € pour chaque enfant supplémentaire. Soit 1.394 € pour 10 enfants, 2.981 € pour 20 enfants, 4.569 € pour 30 enfants, 6.157 € pour 40 enfants. Sans compter d’éventuelles aides au logement. "

LES DEPENSES DE L'ETAT VONT BAISSER

" Jean-Marc Ayrault a affirmé, que les dépenses de l'Etat baisseront comme prévu, de 1,5 milliard d'euros en 2014, après le bouclage, lundi, des lettres plafonds, qui donnent les orientations budgétaires des ministères pour 2014. 

"Je m'étais engagé à un programme d'économies pour les dépenses de l'Etat, cet objectif sera atteint", a déclaré le Premier ministre à la presse, devant Matignon, ce mardi 25 juin.

Une déclaration qui s'adresse aux critiques de l'opposition sur le déficit public, mais sans réponse directe. Le Premier ministre n'a abordé en effet que le thème des dépenses de l'Etat, qui ne représente qu'une portion du déficit public, avec les comptes de la Sécurité Sociale et ceux des collectivités locales. De plus, Jean-Marc Ayrault visait l'année 2014, et non l'année en cours.

1,5 milliard réparti entre les ministères et les collectivités

La baisse des dépenses de l'Etat se répartira à hauteur de 750 millions d'euros à charge des collectivités territoriales et 750 millions à charge des ministères, explique-t-on à Matignon. "C'est la première fois [depuis 1958] qu'on va proposer au Parlement une telle diminution", expliquent les services du Premier ministre.

Concernant les ministères qui verront leur budget diminuer, Jean-Marc Ayrault a juste rappelé les "priorités" de son gouvernement: "la politique de l'emploi, l'éducation, le logement, la sécurité et la justice". Le Premier ministre a souligné que "l'assainissement de nos finances publiques est nécessaire (...) pour regagner des marges de manœuvre."

80 milliards d'euros de déficit à la fin de l'année?

Bien que sur portant sur un programme différent, cette déclaration fait écho aux informations avancées par Gilles Carrez, président (UMP) de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, lundi 24 juin. D'après ce dernier, le déficit public serait de 4% au lieu de 3,7%  à la fin de l'année 2013.

Selon les députés UMP et UDI, le déficit de l'Etat devrait dépasser les 80 milliards d'euros en 2013, au lieu des 61,6 milliards prévus dans la loi de finances.

Dans la matinée, Pierre Moscovici, ministre de l'Economie et des Finances, a estimé ces propos "singulièrement gonflés". Même critique chez Christian Eckert, rapporteur général du Budget, qui a jugé cela "exagéré".

Les prévisions du gouvernement tablaient sur une réduction du déficit public à 3,7% pour fin 2013 et 2,9% fin 2014. Début mai, la Commission européenne avait donné deux ans de délai à la France pour réduire son déficit à 3% du PIB. "


Voilà une bonne nouvelle qui sent l'arnaque à plein nez ! Comment ce pauvre Ayrault pourrait-il prévoir quoique ce soit pour 2014 alors qu'il n'arrive même pas à prévoir un truc pour le mois suivant !? Comment peut-on oser prôner la baisse des dépenses de l'Etat alors que dans le même temps les taxes directes et indirectes augmentent  pour 2014 ? Si il y en a encore qui y croient, ça frise la psychiatrie !

CHURCHILL SAVAIT DEJA


Cherchez donc qui se proclame sans cesse " antifascistes "...

LES GROUPES D'EXTREME DROITE RIDICULISENT LE GOUVERNEMENT

"  Le gouvernement avait lancé il y a deux semaines les procédures de dissolution de ces mouvements quelques jours après la mort le 6 juin de ce jeune militant de l'extrême gauche frappé par un skinhead lors d'une bagarre à Paris. Ce skin de 20 ans, Esteban Morillo, avait reconnu être un "sympathisant" de Troisième Voie.

Mais Serge Ayoub, alias "Batskin", et leader de ces groupes, a préféré devancer les choses. "J'ai dissous pour l'honneur, pour ne pas être dissous par d'autres. Ces tartufferies, c'est fini", a-t-il déclaré lors d'un point-presse, précisant que la dissolution était enregistrée depuis "une semaine" à la préfecture.

Une manœuvre "vaine" selon le ministère de l'Intérieur "dont le seul objet est de contourner la procédure de dissolution administrative". ( En attendant, ils se sont bien fichus de vous en vous coupant l'herbe sous les pieds ! )

Esteban Morillo, qui a reconnu avoir frappé Méric, a été mis en examen et placé en détention provisoire le 8 juin, trois jours après la bagarre mortelle. Mais le juge d'instruction, à la différence du parquet, a estimé qu'il n'avait pas l'intention de tuer.

Il a été mis en examen pour "violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner", alors que le parquet avait ouvert une information judiciaire pour "homicide volontaire".

Pour Serge Ayoub, les images vidéo de la rixe entre Méric et le Esteban Morillo que possèdent les enquêteurs, et dont l'existence a été révélée mardi matin par RTL, disculpe en partie le jeune skinhead. "Il s'est défendu (...) maintenant vous le savez", a-t-il dit. ( C'est bien là le problème ! Tout le monde sait qu'il est interdit de se défendre face à certaines catégories de la population ! ( c'est du sarcasme ! ))

Ces images ont été prises par une caméra de surveillance de la station de métro Havre-Caumartin et n'étaient pas exploitables au début de l'affaire, a confirmé une source proche de l'enquête. ( Ben voyons ! Une vidéo bien embarrassante pour le gouvernement qui aurait surement préféré qu'elle n'existe pas. D'ailleurs va falloir m'expliquer comment les journalistes, soit disant si neutre, ont pu collecter autant de témoignages affirmant que c'était des gens d’extrême droite qui avaient attaqués et qu'il y en avait même un avec un tee-shirt du FN, quelques heures à peine après l'incident ?! "

"On ne voit pas les visages"

Selon RTL, elles montreraient Clément Méric provoquer l'affrontement, se précipiter vers Esteban Morillo, qui se trouvait alors de dos, "semble-t-il pour lui asséner un coup". Mais, selon une source proche du dossier, ces images "n'apportent pas vraiment d'éléments qui changent la vision que les enquêteurs ont déjà du dossier". ( Ah bon ! Ca change rien ?! Il me semble que ça change tout au contraire. On peut même dire que ça confirme la tentative de manipulation gauchiste. )

"Le problème c'est que sur ces images, on ne voit pas les visages. On reconnait Méric grâce à ses chaussures claires. Mais de là à dire que c'est lui qui a déclenché la bagarre ou bien provoqué... Il y a peut-être eu des échanges avant la scène filmée", a dit cette source. ( Ben voyons, tout est bon pour justifier une décision déjà arrêtée. On reconnait d'ailleurs le courage de ce genre de groupuscules gauchistes qui s'en prennent aux gens alors qu'ils sont de dos et si possible lorsqu'ils sont plus nombreux ! )

Les images ne permettent pas non plus de savoir si Esteban Morillo s'est servi d'un poing américain, selon cette source. ( On sait pertinemment qu'il n'en avait pas, ça fait des semaines que les journalistes le précise ! Mais bon, laisser planer le doute ajoute de l'eau au moulin. )

Le 8 juin, le procureur de Paris François Molins avait expliqué que les skinheads déclaraient avoir "répliqué" aux coups qu'ils disaient avoir reçus dans un premier temps. Trois autres skinheads ont été mis en examen dans ce dossier.

Selon une source proche du dossier, plusieurs témoignages dans l'enquête confirment que Clément Méric et ses amis ont provoqué les skinheads, croisés lors d'une vente privée de vêtements juste avant la rixe.

Mais cette version a été "formellement" rejetée mardi par l'Action antifasciste Paris-Banlieue, groupe auquel appartenait Clément Méric, assurant que les skinheads étaient à l'origine de l'agression. " ( Ah bon ?! Cela signifie donc que la parole des témoins directs sont à mettre en doute !? Manquent pas de culot les antifas ! )

"Il pourrait y avoir prochainement des gardes à vue et peut-être même d'autres mises en examen dans ce dossier", a déclaré la source proche de l'enquête. ( Et qui va être mis en examen ? Tous les gens d’extrême droite du pays ? Puisque le gouvernement soutien les antifas il n'en sera pas autrement... )

Mardi, la préfecture du Rhône a annoncé parallèlement qu'une procédure de dissolution avait été également engagée à l'encontre des groupes d'extrême droite "Jeunesses nationalistes" et "L'Oeuvre française". ( Et demain, on dissoudra quoi ? L'UMP ? Le FN ? Ou tout ce qui ira à l'encontre de la bienséance dictatoriale socialiste ? )

http://actu.orange.fr/france/affaire-clement-meric-des-groupuscules-d-extreme-droite-dissous-afp_2427446.html

LETTRE OUVERTE : MONDE ARABE

" Deux ans et demi après le déclenchement de ce que les experts, relayés avec un empressement naïf par les médias, qualifiaient de printemps arabe, force est de constater – les faits le démontrent chaque jour davantage – que le monde musulman a engagé une tout autre révolution, et se dirige irrémédiablement en ce début de XXIème siècle vers l’hiver islamiste. Il faut même admettre lucidement que nous sommes, finalement, entrés depuis le 11 septembre 2001 dans un processus de confrontation déterminée mené par les tenants de l’islam contre l’Occident et donc contre la démocratie et contre tout ce qui n’est pas musulman dans le monde. Cette démarche belliqueuse et incendiaire nous conduit progressivement vers une guerre des civilisations et ne pas vouloir y reconnaître l’application d’une stratégie réfléchie qui nous y mène inéluctablement est une faute qui prépare des lendemains douloureux non seulement hors des frontières du monde occidental pour les non-musulmans, mais également à l’intérieur de ces dernières et, pour ce qui nous concerne, dans chacun de nos pays européens.

Hors de nos territoires, le rejet de ce qui n’est pas musulman n’est pas nouveau, mais il faut reconnaître que depuis le déclenchement de cette révolution du monde arabo-musulman qui est née pourtant de la misère et d’une aspiration à une vie meilleure, nous assistons, en fait, à une radicalisation alarmante des esprits et des comportements. Cette radicalisation conduit à des exactions inacceptables exercées sur les chrétiens en particulier pour la simple raison qu’il représenteraient l’Occident du fait de leur religion, alors qu’ils sont nés sur ces terres conquises par l’islam. L’instauration de régimes islamistes confortée récemment par les urnes a fait le deuil de l’idéal de pluralisme et de tolérance auquel certains aspiraient. La reprise en main par des mouvements islamistes bien structurés mais fanatisés et haineux pour tout ce qui n’est pas musulman vise tout simplement à ramener ces pays treize à quatorze siècles en arrière en cherchant à exclure, au besoin en les éliminant tout simplement, ces chrétiens qui les ont précédés sur ces territoires mais qui sont aujourd’hui minoritaires. Depuis bien longtemps déjà, la majorité des pays de culture musulmane ne tolère aucune autre religion et contrôle étroitement les non-musulmans. Une fatwa du chef suprême du wahhabisme stipule même que les églises doivent être détruites dans la péninsule arabique. Quant à ceux qui officiellement reconnaissent la liberté religieuse, ils ne l’appliquent pas. Et aujourd’hui, les hommes épris de liberté doivent dénoncer l’accentuation et l’accélération de la mise en œuvre de cette pression qui s’exerce sur les chrétiens et qui se traduit en fin de compte par une épuration ou un nettoyage sinon ethnique, du moins culturel, ce qui revient au même car il constitue un crime contre l’humanité. Et cela se déroule dans l’indifférence la plus totale de nos médias quand l’information qu’ils diffusent n’est pas manipulée ou partiale pour des raisons qu’il est difficile de comprendre. Que ce soit en Egypte, en Irak, en Tunisie, en Algérie, au Nigéria, au Soudan, en Arabie saoudite, en Libye, au Yémen, à Bahrein, au Pakistan, en Syrie, pour n’évoquer que ces pays, l’hiver s’installe avec notamment l’application de règles inspirées de la charia, la multiplication d’interdictions en tous genres, le refus de reconnaître le droit des femmes ainsi que des minorités en particulier chrétiennes. Ces dernières de plus en plus méprisées, humiliées, persécutées, massacrées sont poussées à l’exode dans un silence assourdissant et coupable de la communauté internationale ainsi que de nos médias et de nos gouvernants. Quant à nos intellectuels ordinairement prompts à se porter au secours des minorités persécutées, dans ce cas précis, ils se taisent lâchement. Bien plus, s’agissant du cas de la Syrie aujourd’hui sous les projecteurs de l’actualité, l’Union européenne, la France en tête, par sa décision imprudente et irrationnelle de lever l’embargo sur les armes au profit des insurgés favorise l’accession au pouvoir des islamistes les plus radicaux avec ses conséquences immédiates sur les conditions d’existence des minorités, notamment chrétiennes, vouées à la mort ou à l’exil. Par contagion dans la région, le Liban risque d’être la prochaine victime. Et nos médias écrits et audiovisuels participent à ce processus criminel en se laissant manipuler ou en ne s’imposant pas un devoir d’impartialité dans la recherche de l’information. Leur source privilégiée, sinon unique, est l’ “ Observatoire syrien des droits de l’homme ” dénomination respectable aux oreilles des médias occidentaux, mais observatoire qui n’a absolument rien à voir avec la Ligue internationale des droits de l’homme. Il s’agit, en effet, d’une émanation des Frères musulmans et cet observatoire est dirigé par des militants islamistes installés à Londres et financés par des fonds saoudiens et qataris.

A l’intérieur même de nos territoires, une étape importante a incontestablement été franchie le 11 septembre 2001, sur le sol des Etats-Unis, avec une série d’attentats barbares dont le plus spectaculaire a entraîné la mort de près de 3000 innocents à New York, au World Trade Center. Cette action déterminée et préparée de longue date, et donc planifiée, témoigne du fait qu’elle n’était pas isolée dans sa conception mais qu’elle s’inscrivait bien dans une stratégie réfléchie contre l’Occident et la démocratie. Elle était d’ailleurs suivie (cela confirme l’existence de cette stratégie) par d’autres actions concertées, elles aussi, et meurtrières en Europe cette fois, à Madrid, le 11 mars 2004, à l’heure de pointe matinale avec le déclenchement simultané d’une dizaine de bombes dans des gares provoquant 200 morts et 1400 blessés, et à Londres, le 7 juillet 2005, avec quatre bombes visant également les transports publics et entraînant 56 morts et 700 blessés. Mais il faut bien admettre que ces actions barbares nécessitent l’implantation dans nos pays de réseaux djihadistes dont les agissements ont pu, pour certains, être contrariés depuis cette date par les services de renseignement occidentaux appelés à collaborer plus étroitement en matière de lutte contre le terrorisme. C’est pourquoi, il semble que depuis peu, une nouvelle initiative ait été décidée dans le choix des moyens et des actions à mener par des individus fanatisés, agissant individuellement, ce qui rend plus difficile leur neutralisation avant le passage à l’acte par les services de sécurité. Cela a été notamment le cas avec l’attentat récent au cours du marathon de Boston, aux Etats-Unis. En France, Mohammed Merah,, jeune Français d’origine algérienne, en est l’illustration parfaite. Il réussit, avant d’être neutralisé, à assassiner sept personnes dont trois militaires. L’objectif est toujours le même : semer la panique dans la population et tuer des occidentaux au nom d’Allah. Et des Merah, il en existe aujourd’hui des centaines dans nos cités sensibles. En Grande-Bretagne, à Londres, ce même scénario vient de se reproduire récemment de façon horrible, en pleine rue, avec l’assassinat au nom d’Allah d’un soldat rentré d’Afghanistan par deux islamistes de nationalité britannique mais d’origine nigériane. Ce drame a failli se répéter à Paris, quelques jours plus tard, avec l’agression, toujours au nom d’Allah, d’un militaire participant à une patrouille dans le cadre de Vigipirate par un islamiste de nationalité française. Ces dernières actions radicales semblent présenter au moins un point commun: elles sont exercées contre l’institution militaire. Par ailleurs, certaines sont conduites par des nationaux convertis récemment à l’islam. C’est dire les capacités de recrutement de cette nébuleuse islamiste dans nos cités européennes et l’efficacité de l’endoctrinement de ces nouveaux djihadistes. Mais ce n’est là que la partie visible de l’iceberg. Car dans ce domaine également, nos médias écrits et audiovisuels s’autocensurent en ne relatant pas des événements graves qui témoignent pourtant de cette volonté déterminée de frapper l’Occident et d’imposer l’islam. En effet, pour ne prendre que des exemples très récents, pourquoi sont-ils silencieux lorsqu’un musulman tente, au nom d’Allah, d’égorger un gendarme dans les locaux mêmes de la compagnie de gendarmerie de Roussillon, dans le Vaucluse ? Rentré depuis trois jours d’un pèlerinage à La Mecque, voulait-il mettre en pratique des préceptes peut-être rappelés lors de ce séjour et peu enclins à, sinon aimer, du moins côtoyer son voisin non-musulman ? Pourquoi sont-ils silencieux lorsqu’un prêtre est agressé violemment par plusieurs individus dans un quartier d’Avignon qui a été progressivement pris en main par des gens de religion musulmane ? Nous avons là l’exemple de ce qui se produit sur le territoire national et qui conduit à la constitution d’enclaves où ne résident presque plus de non-musulmans et où les lois de la république ne s’appliquent plus. C’est ainsi que refermée sur elle-même, une grande partie de cette jeunesse issue de l’immigration a fait de Merah un héros-martyr de l’islam. Nous récolterons bientôt, malheureusement, les résultats d’une quarantaine d’années d’imprévoyance et de laisser-faire de nos responsables politiques.

Mais cette confrontation annoncée résulte, il faut être lucide et réaliste et ne pas nier l’évidence pour refuser d’agir pour le bien commun, de l’opposition de deux cultures antagonistes et incompatibles. L’une, issue du christianisme qui n’est pas seulement le trésor des chrétiens, mais l’héritage commun de tout le continent européen, et même au-delà, terreau fertile qui a enfanté la liberté de penser et les droits de l’homme, l’autre, l’islam, qui ne reconnaît, lui, que les droits de Dieu. La différence capitale entre ces deux cultures réside dans la distinction, d’un côté, et la confusion, de l’autre, du spirituel et du temporel, du sacré et du profane, ce qui les rend totalement incompatibles. La distinction entre la foi et la raison, n’existe pas pour l’islam car la confusion entre sacré et profane lui est consubstantielle. Avec le « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », c’est l’acceptation de l’existence de deux royaumes, le premier ici-bas, le second dans l’au-delà. C’est ainsi que le christianisme a rendu possible l’instauration d’un espace politique autonome en Occident. Rien de tel avec l’islam qui exclut la séparation des deux sphères, sacré et profane. S’il fallait d’ailleurs trouver une seule explication au développement des nations occidentales dont les racines plongent dans le christianisme, c’est bien là qu’il conviendrait de chercher. L’islam, lui, en ne privilégiant que la foi et en excluant la raison, a maintenu les peuples qui s’en réclament dans l’ignorance et dans la misère, ce qui entraîne aujourd’hui des frustrations aggravées par la facilité d’accès à l’information par les moyens actuels de diffusion. C’est ce qui fait dire à Samuel Huntington « le problème de fond pour l’Occident n’est pas le fondamentalisme islamique, mais l’islam, une civilisation différente dont les peuples sont convaincus de la supériorité de leur culture et sont obsédés par l’infériorité de leur pouvoir». "

UN IRANIEN FRACASSE L'HORLOGE DE LA CATHEDRALE ST JEAN DE LYON ( Mars 2013 )

" Samedi, vers 18h30, un iranien de 28 ans, a, à l’aide d’une barre de fer, donné de violents coups dans l’horloge astronomique de la cathédrale Saint-Jean de Lyon (5e), brisant plusieurs parties de l’œuvre.

Un individu, muni d’une barre de fer, s’en est pris à l’horloge astronomique de la cathédrale, samedi. Il a été rapidement interpellé. Le vandale justifierait son acte par le fait que la magnificence de l’horloge empêcherait les croyants de se concentrer sur leur prière

Cette horloge, datant du XIVe siècle, ne fonctionnait pas dimanche. Le vandale, d’abord maîtrisé par des témoins puis rapidement interpellé par la police, a été placé en garde à vue. "



BELLE PHOTO


Magnifique photo de l'équipe de France espoir de Football... Si, si, c'est bien l'équipe de France.

VOILA COMMENT LES RUSSES VOIENT LA FRANCE


J'aimerai bien savoir comment le Père Merluchon interprète les propos de la télévision soviétique puisqu'il prône les idées communistes si chères à son cœur !