Le jeune de 12 ans, soupçonné d’avoir commis lors des six derniers mois, au moins 17 vols, la plupart en réunion et sous la menace d’une arme, dont l’agression d’un vieil homme à son domicile, ainsi que d’un viol sur son demi-frère, avait une nouvelle fois fugué du foyer de Niort où il avait été placé.Il a de nouveau été arrêté ce week-end, cette fois à Marseille, gare Saint-Charles, où une bande d’ados avaient arrêté un TGV pour faire le buzz et tourner un clip de rap.
vendredi 17 mai 2013
UNE ECOLE PRIMAIRE BRAQUEE EN PLEIN JOUR ( février 2013 )
Une école primaire de Seine-Saint-Denis a été braquée la semaine dernière par deux malfaiteurs équipés d’armes à feu, qui ont pris la fuite après s’être fait remettre près de 200 euros par la directrice de l’établissement, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.Les faits se sont déroulés « en pleine journée » le jeudi 24 janvier, à l’école Paul Eluard de Bobigny, a précisé une source proche de l’enquête.
« Les deux malfaiteurs étaient cagoulés et armés. Ils se sont introduits dans l’école aux alentours de 16h00, puis sont entrés dans le bureau de la directrice et l’ont obligé à leur remettre de l’argent contenu dans un coffre », a raconté cette source.
Selon une source proche du dossier, les malfaiteurs ont pris la fuite avec 200 euros, à l’origine destinés à financer une sortie scolaire.
Contactée par l’AFP, la mère d’un enfant scolarisé dans l’établissement s’est dite « choquée » par l’intrusion des deux braqueurs, « comme l’ensemble des parents » d’élève de l’école.
« On est surpris que ces personnes aient pu s’introduire aussi facilement », a-t-elle déclaré. « A cette heure-là, tous les élèves étaient encore dans l’établissement, à l’intérieur des classes. Ca aurait pu très mal finir », s’est elle inquiétée.
« Ce type d’incident n’était jamais arrivé, c’est très inhabituel. On ne comprend pas pourquoi ces gens sont venus chercher de l’argent dans une école », a assuré pour sa part la maire de Bobigny, Catherine Peyge (PC), qualifiant ces faits d’ »inadmissibles ».
« Nous espérons que les auteurs de l’agression seront rapidement identifiés et interpellés », a-t-elle ajouté.
Selon l’inspection académique de Seine-Saint-Denis, la police s’est immédiatement rendue dans l’école après le braquage. « Une cellule psychologique a été mise en place » et « une réunion d’information a eu lieu avec les parents d’élèves », a précisé Cécile Tabarin, chef de cabinet de la direction académique.
Suite à ces évènements, une équipe mobile de sécurité a été déployée dans l’école pour une durée de semaine. « Nous nous sommes engagés à ce qu’un emploi d’avenir soit ensuite créé pour assurer la sécurité de l’école. le contrat devrait être signé dans les prochains jours », a indiqué Mme Tabarin.
LE GRAND FRERE FILMAIT LES VIOLS DE SA SOEUR ( février 2013 )
Un jeune majeur a été mis en examen et écroué pour le viol de sa jeune sœur, qu’il filmait avant d’envoyer les vidéos à un complice, également mis en cause, qui l’aidait à se mettre en scène, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Senlis (Oise).Le jeune homme, tout juste majeur, a été mis en examen mercredi pour viol de mineur de 15 ans, fixation d’images pornographiques mettant en scène des mineurs et diffusion de ces mêmes images. Il a été immédiatement écroué, a rapporté Nadine Duboscq, vice-procureur. Un deuxième homme, à peu près du même âge, a été mis en examen pour les mêmes chefs mais pour complicité par fourniture d’instructions. Il a été laissé libre, une décision de laquelle le parquet a fait appel.Originaires de l’Oise, ils étaient tous deux inconnus des services de police. Ils s’étaient connus sur internet.
Une information judiciaire a été ouverte pour des faits commis entre courant 2010 et le 21 janvier. Les détails de l’affaire sont particulièrement sordides, a expliqué Mme Duboscq. La victime n’a même pas dix ans. Le grand frère filmait le viol de sa soeur et envoyait les vidéos
L’enquête a démarré sur des soupçons de détentions d’images pédopornographiques chez le complice. Les enquêteurs trouvent alors des images «au format très reconnaissable, des vidéos faites maison, qui ont transité par internet mais ne sont pas sous le format habituel des téléchargements entre particuliers, a indiqué Mme Duboscq. «Il y a eu un travail remarquable des enquêteurs de reconnaissance des personnes qui étaient sur le film», a-t-elle ajouté.
La jeune victime a été prise en charge par les services spécialisés.
SOUVENONS-NOUS : HOLLANDE PLACE SES COPAINS
" L’État impartial de François Hollande n’a donc été qu’un énième vieux pieux, mais il faut remarquer qu’en la matière, tous les présidents français de la Vème République ne se sont jamais privés d’user et d’abuser des nominations de proches et d’amis pour assurer l’avenir. François Mitterrand, mais aussi Jacques Chirac furent des artistes de ces nominations dans le but avéré d’asseoir une clientèle fidèle afin de contrôler les rouages essentiels de l’État, notamment dans le domaine de l’audiovisuel.
Nous apprenons en effet la nomination d’Olivier Schrameck à la tête du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) n’ayant par ailleurs aucune expérience en la matière, il fut juste le chef de cabinet d’un certain Lionel Jospin… sans doute le paiement des allégeances de campagne électorale.
Mais François Hollande ne s’est pas arrêté en si bon chemin, nommant le sulfureux Jack Lang, l’un des « éléphants » du Parti socialiste à la tête de l’Institut du monde arabe, ayant sévi depuis 1981 surtout dans les ministères de la Culture et de l’Éducation nationale. Parachuté culturel ? Voici une nouvelle appellation qui pourrait faire du chemin. En 2012, après avoir été un soutien de DSK, Jack Lang avait lui aussi annoncé soutenir la candidature de François Hollande… il n’a pas été oublié non plus ! Et la liste s’étale ainsi, interminable car au-delà des têtes de file, il y a des centaines de nominations dans les « couches inférieures » de différents organismes et institutions, il s’agit en effet de verrouiller le pouvoir et fermement.
Nous nous souvenons du maître à penser de François Hollande qui avant de terminer son deuxième mandat de président avait placé in extremis ces hommes, notamment Roland Dumas installé à la présidence du Conseil constitutionnel en 1995, une des plus hautes fonctions de l’État, place qu’il put occuper jusqu’en 2000 bien après le départ du Président Mitterrand. Pour mémoire c’est sous la présidence dudit Dumas qu’il fut décidé que l’immunité judiciaire du Président de la République s’imposait également pour les crimes et les délits de droit commun… mais l’homme fut rattrapé par toute une série d’affaires entre 1997 et 2007, il sera condamné à cette date pour complicité d’abus de confiance, 12 mois de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende…
Ce triste exemple indique bien que la compétence est rarement la raison principale de ces nominations qui ne sont que de basses manipulations politiciennes permises par une Constitution décidément obsolète. Le ton est donné. Il est aussi donné dans les débats qui agitent la France, depuis quelques temps une offensive médiatique est en cours dans les médias télévisés ou la chasse au « Hollande Bashing » est commencée. D’une manière perceptible, les spectateurs auront tous remarqué un changement de ton des journalistes. La déconfiture médiatique du président doit s’arrêter à tout prix ! C’est le cas par exemple des attaques lancées contre l’humoriste et imitateur Laurent Gerra, 6ème parmi les personnalités préférées des Français accusé de critiques excessives contre M. Hollande.
Pendant ce temps-là en France, le spectacle consternant des réformes sociétales se poursuit, mariage des homosexuels, adoption par eux d’enfants, vote pour les étrangers, sans parler de la diversion de la guerre au Mali, décidément les promesses du Nouvel An de « l’ami François » ont été oubliées en moins d’un mois. Le chômage ne figure en effet à aucun moment dans les préoccupations d’un gouvernement qui est parti en croisade contre la moitié des Français pour la plus grande joie d’agitateurs sexistes du type Caroline Fourest dont le fonds de commerce est assuré pour longtemps. La fracture sociale n’a jamais été si grande et mon collègue Alexandre Latsa dénonçait même le fait que les militaires étaient désarmés lors des visites du Président… c’est dire la confiance de l’homme dans l’armée qu’il a lancé au Mali dans une guerre, autre paradoxe, qu’il dénonçait en Libye mais qu’il attise désormais en Syrie… et ailleurs !
Nous avions eu les médailles de Cécile Duflot, nous avons les nominations du Président Hollande qui ne seront pas les dernières, malgré la crise les parts du « gâteau français » sont encore assez juteuses pour justifier que les chômeurs, le quart monde, les petites gens, les Français moyens, les besogneux ouvriers et artisans, les entrepreneurs, les simples employés, bref 90 % de la France réelle ne soient plus l’objet des attentions d’un gouvernement préoccupé de réformes inutiles qui dressent la Nation, les citoyens les uns contre les autres, semant au passage l’indifférence, la haine, la déception, la rancœur et la détresse dans le cœur de Français déjà bien assez malmenés à ce sujet.
L’année 2013 dans ces conditions, ne sera pas dure, elle sera extrêmement pénible. Balayer en quelques jours quelques centaines de « péquins » édentés au Mali et qui font figures d’épouvantail à moineaux, ne pourra pas cacher la misère politique d’une France qui plus que jamais est mise en coupe réglée par « une élite » décadente et irresponsable. Comme l’indique trop justement Etienne Chouard, cette démocratie-là, n’en porte que le nom et usurpe et viole de manière souterraine tous ses principes essentiels et vitaux.
La France aura sa guerre au Mali, son mariage pour tous, le droit de vote pour des étrangers, et les chômeurs et les nécessiteux devront se contenter de cela… tandis que la France de la base devra payer l’addition qui sera très, très salée. "
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