vendredi 20 décembre 2013

POLEMIQUES SUR LES ROMS : ENCORE DEUX POIDS, DEUX MESURES



" La plainte pour provocation à la haine raciale que le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) avait déposée contre le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, après ses propos controversés sur les Roms, a été classée sans suite, a rapporté une source judiciaire, jeudi 19 décembre. 

Fin septembre, lors d'une interview sur France Inter, Manuel Valls avait évoqué les Roms, parlant de "populations qui ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation" et qui "ont vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie". 

Le ministère salue la "fin d'une polémique stérile"
Dans les attendus de sa décision de classement, la commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR) estime notamment que "les propos incriminés s'insèrent dans un débat d'intérêt public, relatif au problème, qualifié par le ministre de 'difficile et complexe', de l'intégration des Roms".
Cette décision "met fin à une polémique stérile et à des accusations insupportables à l'encontre de Manuel Valls", a réagi le ministère de l'Intérieur. "Cette affaire est judiciairement terminée", a ajouté le ministère, en relevant qu'une décision de classement par la commission des requêtes de la CJR n'est pas susceptible d'appel. "



" Le fondateur du Front national Jean-Marie Le Pen, 85 ans, a été condamné à 5.000 euros d'amende pour ses propos sur les Roms. Le tribunal correctionnel de Paris l'a déclaré coupable d'injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie. 

Une peine de deux mois de prison avec sursis avait été requise mi-novembre à l'encontre du président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, pour ses propos selon lesquels «comme les oiseaux», les Roms voleraient «naturellement».

La représentante du parquet, Annabelle Philippe, a estimé «parfaitement constitué» le délit d'injure à caractère racial, demandant au tribunal correctionnel de Paris de le condamner également à une amende de 10.000 euros. Le 22 septembre 2012 à l'université d'été du Front national à la Baule (Loire-Atlantique), Jean-Marie Le Pen avait enchaîné les provocations sur l'immigration, thème fétiche du parti, sous les yeux de sa fille Marine.

Moquant les Roms, il avait suscité rires et applaudissements nourris en leur attribuant la phrase : «Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement». »Jean-Marie Le Pen croit certainement que les Roms sont une race inférieure», a dénoncé Pierre Mairat, avocat et co-président du Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples). "


C'est moins grave lorsque ça sort de la bouche d'un mec de gauche que d'un mec de droite si j'ai bien compris !

ILS SE TAPENT ENTRE EUX MAINTENANT !

" La maire du premier arrondissement de Lyon a été placée jeudi en garde à vue après avoir participé mardi soir, avec des associations et des parents d'élèves, à la réquisition d'un collège désaffecté afin d'y loger des familles de sans-abri.

Nathalie Perrin-Gilbert, une élue de 42 ans qui s'est mise en congé du Parti socialiste il y a trois mois, a été entendue par les services de police dans le cadre d'une affaire de "complicité de violence sur personnes dépositaires de l'autorité publique et incitation à la rébellion".

Quelque 400 personnes étaient présentes mardi soir à cette manifestation qui s'est terminée par des heurts avec les forces de l'ordre dans le collège François Truffaut. La police a dû faire usage de gaz lacrymogènes pour évacuer les occupants de l'établissement public, propriété du Grand Lyon.
Nathalie Perrin-Gilbert avait dénoncé à cette occasion "la responsabilité du maire de Lyon et du préfet qui ne répondent pas aux demandes de réquisition pour loger les 1.000 personnes qui dorment tous les soirs à la rue".

Le sénateur-maire socialiste de Lyon avait réagi mercredi à ces incidents en dénonçant à son tour "l'irresponsabilité d'une élue qui appelle à l'occupation de locaux publics".

Le Front de Gauche, qui doit conduire en mars prochain, avec le Gram, mouvement politique monté par Nathalie Perrin-Gilbert, une liste aux municipales contre le maire sortant, s'est inquiété jeudi "du traitement réservé à une élue qui n'a fait que demander une réquisition légale au maire de Lyon et au préfet à la demande de parents et d'habitants révoltés par les expulsions sans relogement avec enfants et familles Roms ou étrangères en pleine période hivernale". "

RAFALE : LE GOUVERNEMENT FRANCAIS SE PLANTE ENCORE UNE FOIS



" Atlantico : Ces dernières années, la signature de plusieurs contrats a été annoncée avant d’être annulés. Pourquoi la France a autant de mal à finaliser ses contrats ?
Ali Laidi : La France n'a pas de stratégie particulière, elle ne cible pas suffisamment les secteurs et les marchés clés. Il faut faire un travail en amont par le biais d'études de marchés, et de lobbying, plutôt que d'attendre que les appels d'offres se manifestent d'eux-même et qu'ils ne soient déjà trop tard par rapport à nos concurrents anglo-saxons qui auront déjà préparé le travail bien en amont.

Il semblerait que les choses changent un peu puisque le 28 août dernier, Laurent Fabius a dédié sa conférence des Ambassadeurs à la diplomatie économique : le business n'est pas seulement le problème des entreprises, mais aussi celui de l’État qui doit les aider. C'est important car aujourd'hui, les pays émergents peuvent eux-aussi nous concurrencer sur des marchés en pointe de la technologie.

Cela est-il seulement lié au coût du Rafale ?
Il faut faire attention à ne pas généraliser la question. Celle du Rafale n'est pas seulement relative à la qualité du produit puisque cet avion de chasse est réputé comme excellent au niveau international, sans doute l'un des meilleurs avion au monde, au dessus du F16 et légèrement en dessous du F22 qui sera probablement dépassé bientôt par le F35.

Il éprouve des difficultés à se vendre car son prix a été très élevé durant une période significative de même que la France a longtemps été réticente à procéder à des transferts de technologies. Enfin, il faisait face à une forte concurrence de la part de l'Eurofighter où les avions britanniques qui ont remporté de nombreux marchés face à leurs homologues français.

Les Américains quant à eux n'ont jamais hésité à casser l'industrie militaire européenne et tout faire pour éviter que la France parvienne à vendre son Rafale. Pour cela, ils ont fortement baissé les tarifs du F16 qui étaient déjà très vendus. Ils voulaient être les seuls présents sur ce segment de marché.

C’est une difficulté que l’on retrouve dans d’autres domaines que dans l’armement, notamment dans le nucléaire. Comment l’expliquez-vous ?
Il n'y a pas de véritable vision stratégique pour les exportations françaises. C'est d'ailleurs l'une des caractéristiques des entrepreneurs français qui préfèrent "chasser" seuls. Or, lors des appels d'offres internationaux, les clients ont besoin d'une visibilité sur l'ensemble de la palettes des services qu'ils exigent, ce que savent parfaitement faire les Américains et les Britanniques. Les Allemands ont également l'habitude de chasser en "meute" en proposant en plus de produits un ensemble de PME qui pourraient répondre aux différents besoins. Les entreprises françaises ne jouent pas collectifs.

En quoi la difficulté actuelle à conclure des contrats avec les pays étrangers peut-elle être liée à la pratique française des rétro-commissions ?
Si la question est : "Est-ce que vous pensez aujourd'hui que les rétro-commissions et que la corruption ont disparu et que ce n'est plus un moyen de faire du business ?" La réponse est clairement non. Cette pratique n'a pas disparu et reste de manière totalement détournée un levier pour capter des marchés.

Cette méthode peut-être un avantage lorsqu'elle est pratiquée de manière discrète, mais peut aussi devenir un énorme frein lorsqu'elle est révélée. La question est de savoir en amont si vous êtes capables d'avoir un produit qui tient. Si le produit est pourri, il n'ira pas loin. Pour faire de la rétro-commission, il faut avoir un produit qui tient. Ce n'est pas parce que vous êtes corrompu et que vous cherchez les pots-de-vin que vous aurez des marchés. Dans un contexte de concurrence accrue, il n'est plus question pour les éventuelles clients de payer un surcoût lié à la corruption.L'Arabie Saoudite, par exemple, pour un produit de valeur égale, peut désormais se dispenser de la pression de la corruption.  "


CONTRAIREMENT A HOLLANDE, L'INSEE NE PREVOIT PAS D'INVERTION DE LA COURBE DU CHOMAGE

" Selon l'Insee, le Produit intérieur brut de la France (PIB) devrait progresser de 0,2% aux deux premiers trimestres 2014. Quant au chômage, il devrait culminer à 11%, loin de l'inversion de la courbe promise par le chef de l'Etat pour la fin de cette année.

La reprise en France est «poussive». Dans sa dernière note de conjoncture de l'année, l'Institut national de la statistique dresse un portrait en demi-teinte de la situation du pays. Certes, la croissance va rebondir en cette fin d'année: le PIB devrait augmenter de 0,4 % au quatrième trimestre, après être tombé dans le rouge le trimestre précédent (-0,1%). Mais ce n'est pas forcément pour de bonnes raisons: le regain d'investissement des entreprises ne serait qu'un contrecoup de la chute du troisième trimestre. Et la vigueur de la consommation des ménages tiendrait surtout à des dépenses anticipées, en raison «du déblocage de l'épargne salariale, du durcissement du bonus-malus automobile et de la hausse des taux de TVA au 1er janvier», souligne l'Insee.

Ces effets prendraient fin l'année prochaine et c'est donc sur une croissance molle que 2014 commencerait. Le PIB ne progresserait que de 0,2 % aux premier et deuxième trimestres. Aucun des moteurs de la croissance ne repartirait réellement. Conséquence de cette absence de véritable reprise économique: aucune éclaircie n'est attendue sur le front du marché du travail.
7 000 pertes d'emplois

Du fait de la faiblesse passée de l'activité, l'emploi dans le privé a de nouveau reculé au troisième trimestre (-16 000 postes). Sous l'effet du petit regain de croissance et du crédit d'impôt compétitivité et emploi (Cice), la baisse de l'emploi s'atténuerait progressivement d'ici à mi-2014 (-7 000 postes au quatrième trimestre 2013, puis -4 000 au premier semestre prochain). Les emplois aidés, eux, continueraient à progresser.

Rien qui ne permettrait, en tout cas, de voir le retournement de la courbe du chômage pointer à l'horizon: aujourd'hui à 10,9 % de la population active en France entière, le taux de chômage augmenterait encore de 0,1 point d'ici à juin, pour atteindre 11 %, selon l'Insee. Une prévision, en ligne avec celle de toutes les organisations internationales, qui vient une nouvelle fois contrarier la promesse de François Hollande d'inverser durablement la courbe du chômage à la fin de cette année…

La seule bonne nouvelle pour l'exécutif est statistique: si le scénario de l'Insee se vérifie, il est quasiment certain que la prévision de croissance de Bercy pour 2014 sera atteinte. Grâce à l'élan pris par l'activité - l'acquis de croissance -, elle sera de 0,7 % à mi-2014. Le PIB devra donc progresser de 0,2 % sur chacun des deux derniers trimestres de l'année pour que la prévision gouvernementale de 0,9 % en 2014 se concrétise. Sauf accident de parcours, rien d'infaisable et qui permette de reprocher à l'exécutif d'avoir surestimé la croissance. "

VALLAUD-BELKACEM SE RIDICULISE UNE FOIS DE PLUS


" Après le tollé provoqué par la publication, sur le site de Matignon, d’un rapport sur l’intégration suggérant notamment de revenir sur l’interdiction du voile à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole et donc pompier numéro 1 du gouvernement, était vendredi dernier sur Europe 1 pour éteindre l’incendie. Quitte à en faire un peu trop : «La laïcité fait partie des valeurs piliers, fondamentales de la gauche, commence-t-elle, et je vous rappelle que l’interdiction du port du foulard, du voile à l’école, ça a été acquis par la gauche : 1989, Lionel Jospin ministre de l’Education, la fameuse circulaire qui impose ce principe.» Un beau raccourci historique. En 1989, les médias se font le relais de nombreuses tensions autour du sujet, ce qui conduit Lionel Jospin, alors ministre de l’Education nationale, à adopter une circulaire qui évoque pour la première fois le port du voile à l’école. Mais point d’interdiction pure et simple : le ministre, suivant les recommandations du Conseil d’Etat, préconise le cas par cas, sans s’opposer formellement au port du voile. Celui-ci ne sera interdit qu’en 2004, avec la fameuse loi sur les signes religieux adoptée sous Jacques Chirac. Et donc, n’en déplaise à Najat Vallaud-Belkacem, sous la droite. "

18 0000 EUROS DE PV IMPAYES POUR LE DONNEUR DE LECON JEAN-VINCENT PLACE


" L’info vient du Canard enchaîné de ce mercredi. Jean-Vincent Placé doit 18 161 euros au conseil régional d’Ile-de-France. Une belle somme qui correspond à 133 amendes routières non réglées.

En gros, le vice-président Europe écologie-Les Verts (EELV) du conseil a, pendant son mandat, fait une belle récolte de prunes avec sa voiture de fonction, mais n’en a toujours pas payé le prix.

Interviewé par l’AFP, l’intéressé a reconnu ses torts.

« C’est bien sûr de ma faute, je n’ai jamais cherché à fuir mes responsabilités, je ne demande aucun passe-droit, j’assume et je paie, je ne veux pas que quiconque doute de mon honnêteté. »

Une histoire vieille de trois ans au moins

Cette histoire n’est pas neuve. C’est en 2010 que Le Canard l’a révélée pour la première fois. Une facture de 22 000 euros était alors parvenue à la région.

Nous connaissons tous des handicapés des papiers. Ceux qui, comme moi, accumulent leurs feuilles de soins, n’ouvrent pas leurs courriers administratifs par ennui ou peur de ce qu’ils diront. Mais tout de même, 18 000 euros...
Sérieusement ?

A la lecture de l’aventure de Placé, nous nous sommes donc demandé comment le sénateur de l’Essonne avait fait son compte. Arrive-t-il souvent que des gens se traînent un boulet d’une telle somme ?

« Les “pires” dossiers que j’ai eus... »

Matthieu Lesage est vice-président de l’Automobile club des avocats, une association de « passionnés de droit et d’automobile ». Son cabinet est par ailleurs spécialiste du droit des contraventions. Joint au téléphone, l’avocat explique que ce genre de dossiers n’est pas courant :

« Les “pires” dossiers que j’ai eus n’ont jamais atteint ces sommets. Je me souviens d’un monsieur qui devait 11 000 euros et d’un autre qui devait 8 000 euros.

Ce sont des frais multiples qui s’accumulent (huissiers, etc.) et on peut passer du simple au double. »

La majorité des dossiers qu’il traite tournent plutôt autour de 3 000 euros d’impayés.

Pourquoi Placé n’a-t-il pas été prélevé ?

Quand je l’ai appelé pour discuter de ce sujet, il s’est dit très étonné que Jean-Vincent Placé n’ait pas été prélevé directement sur son compte.

« Normalement, il y a un avis à tiers détenteur. Le “tiers”, c’est la banque et en gros l’administration dit à la banque : “Cette personne nous doit de l’argent, merci de nous le donner.” Généralement, c’est ça, la procédure. »

L’avocat précise que quand on en arrive là, c’est vraiment le bout du bout.

« D’ordinaire, si vous ne faites rien :

vous avez d’abord une majoration ;
puis, il y a la phase que l’on dit “comminatoire amiable” : “comminatoire” ça veut dire menaçant. Donc concrètement, vous recevez des courriers d’huissiers. C’est une période qui peut durer six mois environ ;
puis enfin, en dernier recours, il y a le recouvrement forcé. Donc là, Jean-Vincent Placé devrait déjà être dans cette phase depuis longtemps. »
Autre mesure de rétorsion possible : l’opposition au transfert de la carte grise (vous ne pouvez plus vendre votre voiture). Dans le cas de Placé, avec une voiture de fonction, cette éventualité ne risquait pas de se produire.

Une « négociation sur les pénalités »

Pour l’avocat, a priori, ce sont les premières sommes payées par le sénateur qui ont pu retarder le paiement de la totalité de ses amendes. L’intéressé dit en effet avoir entre-temps allégé sa dette avec un chèque entre « 6 000 et 7 000 euros ».

S’il n’a pas tout payé, c’est, explique-t-il, qu’il a demandé une « négociation sur les pénalités ». Il peut effectivement obtenir de ne payer que la somme initiale ou encore d’échelonner ses payements.

En attendant, la région est menacée de « mandatement d’office » selon l’article L1 612-15 du code général des collectivités territoriales.

« La chambre régionale des comptes saisie, soit par le représentant de l’Etat dans le département, soit par le comptable public concerné, soit par toute personne y ayant intérêt, constate qu’une dépense obligatoire n’a pas été inscrite au budget ou l’a été pour une somme insuffisante.

Elle opère cette constatation dans le délai d’un mois à partir de sa saisine et adresse une mise en demeure à la collectivité territoriale concernée. »

Oui, vous avez bien compris. Si Jean-Vincent Placé ne paye pas, c’est le contribuable qui le fera pour lui. Et Matthieu Lesage d’expliquer :

« Il faut que quelqu’un paye dans tous les cas. En dernier recours, le préfet peut donc se retourner contre la région. » "


LE PALMARES DES PERSONNALITES LES PLUS DETESTEES DES FRANCAIS

" On connaissait le point commun entre Zahia et Franck Ribéry. Mais entre la demoiselle et Valérie Trierweiler ? Entre Nicolas Bedos, Alain Delon et Benjamin Castaldi ? Tous font partie du "top 20" des personnalités les plus détestées des Français. Le classement a été réalisé par Harris Interactive, du 29 au 31 octobre, sur un échantillon de 1 000 individus. Il sera publié vendredi dans le magazine Voici.

La "gagnante" de ce palmarès est donc Nabilla, la starlette de télé-réalité à l'origine du buzz de l'année avec son désormais culte "Non mais allô quoi". La bimbo a accompli un véritable exploit : être détestée par 62% des sondés. Elle est suivie de près par Zahia (61%), l'ex-call-girl devenue créatrice de lingerie. Hasard du classement, Franck Ribéry est 3e (53%). François Hollande et 4e (47%) et Nicolas Sarkozy 6e (37%).

Et visiblement, les "grandes gueules du PAF" ne plaisent pas aux Français : Benjamin Castaldi est 8e (31%), Nicolas Bedos 14e (25 %) et Enora Malagré 15e (24%).

Le classement complet : 

1 - Nabilla (62 %)
2 - Zahia (61%)
3 - Franck Ribéry (53%)
4 - François Hollande (47%)
5 - Valérie Trierweiler (42%)
6 - Nicolas Sarkozy (37%)
7 - Alain Delon (32%)
8 - Benjamin Castaldi (31%)
9 - Arthur (29%)
9 - Gérard Depardieu (29%)
11 - Roselyne Bachelot (27%)
11 - Carla Bruni-Sarkozy (27%)
13 - Jamel Debbouze (26%)
14 - Nicolas Bedos (25%)
15 - Enora Malagré (24%)
16 - Audrey Pulvar (19%)
16 - Léa Seydoux (19%)
16 - Laurent Ruquier (19%)
16 - Yannick Noah (19%)
20 - Jenifer (18%)


A noter, et là je suis épaté, l'absence de Marine LEPEN ou quelqu'un de sa famille. Un exploit ! Par contre, on trouve quelques chances pour la France et pas mal de donneurs de leçons !