jeudi 26 septembre 2013

BIENTOT DEUX JOURS FERIES PAÏENS

" On croit rêver, Jean-Marc Ayrault, premier ministre a nommé dimanche Dounia Bouzar à l'Observatoire de la laïcité. Convertie à l'islam à 27 ans, cette dame en profite pour annoncer clairement ses positions antichrétiennes. Elle propose en effet de remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l'Aïd.
Dounia Bouzar, anthropologue et spécialiste du fait religieux à ses heures, estime que la France doit continuer à montrer l'exemple d'un état assumant son crédo laïc : " Je pense que la France a montré l'exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience, d'avoir la religion de son choix ou de ne pas croire en Dieu. Elle doit donc continuer à montrer la voie. Aujourd'hui tous les Français fêtent Noël et je pense qu'il faudrait également qu'un de nos jours fériés soit celui d'une fête juive et d'une fête musulmane"."

YANNICK NOAH ACCUSE D'ESCLAVAGE ET ABUS DE CONFIANCE

" Ils dénoncent un "harcèlement" et un "acharnement invraisemblable". Yannick Noah et sa compagne, la réalisatrice Isabelle Camus, se sont insurgés, jeudi 26 septembre, contre les déclarations d'une ancienne salariée. La nourrice du dernier fils du tennisman a menacé le couple, mardi dans Le Figaro, de porter plainte pour "esclavage" et "abus de confiance". Elle assure avoir travaillé quelques mois pour le couple en 2004 et affirme avoir été sous-payée et licenciée abusivement.
Dans un communiqué, les avocats du couple dénoncent des "accusations particulièrement malveillantes et totalement mensongères". Ils s'étonnent aussi de la position de cette "ancienne salariée qui réclame, huit ans après, des heures supplémentaires qu'elle n'a jamais effectuées". Leurs deux clients pourraient engager des procédures afin de sanctionner de "graves atteintes à leur honneur et leur réputation". "


Ca me rappelle un certain CAHUZAC...

MOUNIR OURIRI RELACHE POUR VICE DE PROCEDURE

" Dans l'océan des délinquants ordinaires, il est parfois des petits chanceux qui passent à travers les mailles du filet policier. Ils ne le doivent pas tellement à leur bonne tête, mais à l'heureuse conjonction d'une faute de procédure et du flair de leur avocat. Mounir Ouriri, 21 ans, pourtant interpellé le 22 janvier dernier à hauteur de l'obélisque de Mazargues (9e), est reparti libre hier du tribunal qui devait le juger pour la détention d'un pistolet automatique Remington de calibre 11,43 et d'un chargeur. Comme au mois de février dernier, lorsque le tribunal l'a jugé pour la détention de 6 kilos d'herbe, le mis en cause a bénéficié hier d'une nullité de procédure.

Un oubli dans le procès-verbal

En effet, son avocat, Me Frédéric Coffano, a rappelé en début de procès que son client faisait l'objet d'un renseignement anonyme le mettant en cause pour le trafic de stupéfiants et la détention d'arme. Seulement voilà, lors de son arrestation le 22 janvier, les policiers qui l'ont contrôlé ont omis d'invoquer dans leur procès-verbal le comportement délictueux qui seul permet l'interpellation. Du coup, le contrôle d'identité opéré n'était pas légal.

Le vice-procureur Damien Martinelli a estimé qu'on aurait pu se passer de la nullité de la procédure, sachant que la dénonciation anonyme était "précise", "circonstanciée", que des surveillances avaient été dûment mises en place par la brigade des stupéfiants et qu'elles livraient suffisamment d'éléments susceptibles de faire du client du jour un vrai suspect. Mais le tribunal ayant déjà statué il y a peu sur le volet de la drogue, il n'avait d'autre choix, sauf à créer quelque confusion judiciaire, que de se ranger à l'annulation de la procédure. Un autre magistrat du parquet, un des trois procureurs adjoints de Marseille, avait d'ailleurs requis dans le sens de l'annulation.

De source proche de l'enquête, on précise qu'il suffisait aux agents interpellateurs de signaler que l'homme, descendant de sa voiture, regardait d'un air inquiet, à droite puis à gauche, comme s'il avait quelque chose à se reprocher, et l'interpellation était valide. Mais le droit a ses rigueurs que le grand public ne connaît pas toujours.

Les scellés confisqués

Après en avoir délibéré, le tribunal a fait droit à la requête de Me Frédéric Coffano. La procédure de son client, présumé trafiquant de drogue et détenteur d'arme, a été purement et simplement annulé. Toutefois, l'arme et les 6 kilos d'herbe, qui avaient été placés sous scellés, ont été définitivement confisqués. L'homme est reparti tranquillement du tribunal correctionnel, d'un air léger et d'un pas qui ne l'était pas moins.

Sans doute ne sait-il pas à côté de quoi il est passé. En voilà un qui peut dire merci à son avocat et au tribunal réunis. "

14 AFRICAINS INTERPELLES A NANTES

" Quatorze personnes, membres de la communauté nigériane, ont été interpellées lundi à Nantes (Loire Atlantique) dans le cadre d’une longue enquête de la sûreté départementale portant sur une vaste arnaque aux cartes bancaire. 

Les suspects sont soupçonnés d’avoir, depuis le début de l’année, réencodé 614 fausses cartes bancaires avec des coordonnées espagnoles, récupérées via le site internet «valid shop». 
 Ils ont laissé une ardoise de 183 000 € dans divers magasin nantais. Les autorités évoquent aussi des faits de proxénétisme.

Dans un premier temps, deux premiers suspects de 19 et 26 ans avaient été interpellés en flagrant délit dans un magasin. Ils ont été remis en liberté et les forces de l’ordre ont suivi leurs activités à la trace avant de passer à l’action. 

Lors de l’opération, un jeune de 25 ans s’est défenestré alors même qu’il n’était pas concerné. Il a été blessé mais ses jours ne sont pas en danger. Les suspects seront présentés devant un juge nantais en fin de semaine. "

MELENCHON S'ACHETE UN JET PRIVE



" Nouvelle polémique en vue pour le tribun de gauche. Après avoir été raillé pour ses louanges sur la classe Affaire en avion, Jean-Luc Mélenchon, lassé des critiques, a décidé de passer le pas et préfère désormais voyager en jet privé. Reportage.

Ses déclarations sur sa volonté de ne plus voyager en classe éco mais en classe affaire avaient fait sourire ou grincer les dents. Mais l’achat d’un jet privé par le Parti de gauche pour ses déplacements en France ou à l’étranger risque de ne plus faire sourire. Jean-Luc Mélenchon a justifié l’achat par les nombreuses critiques reçues à son encontre après ses propos sur la classe Affaire. « Tout le monde a ironisé, ah dis donc voilà Jean-Luc Mélenchon qui prend l’avion. Quelle histoire ! Eh bien, oui je prends l’avion, je vis avec mon temps » a-t-il tonné ce matin au micro de France-Info.

Interrogé sur l’image qu’il risque désormais d’incarner, l’homme politique se défend, affirmant à nouveau vivre avec son temps. « À mon âge, même la classe Affaire ne suffit plus. De plus, les plans sociaux se multiplient partout en France. Le Parti de gauche doit être présent là où il est attendu. Avec cet avion, je peux me rendre sur n’importe quelle zone de plan social en moins de deux heures ». Un cadre du parti expliquait sous couvert d’anonymat que l’avion était ainsi toujours prêt, avec un plein d’essence et un équipage prêt à décoller à la moindre alerte.

Quant à l’achat de l’avion, là aussi Jean-Luc Mélenchon s’explique : « Nous l’avons acheté chez Dassault Industrie. Je connais personnellement les ouvriers qui ont travaillé sur cet avion. Et je sais qu’ils sont très fiers de voir le fruit de leur travail servir une cause juste » a-t-il martelé avant de siroter un verre de champagne alors que l’avion commençait ses manœuvres de descente sur l’aéroport d’Ibiza. "

CALCUL DU LOYER FISCAL SUR VOTRE RESIDENCE PRINCIPALE : 86% D'AUGMENTATION D'IMPOT !!!!

" C'est une véritable bombe à retardement, un cauchemar pour les propriétaires qui se sont endettés pendant de nombreuses années pour acheter leur résidence principale. Le rapport du Conseil d'Analyse Economique présenté au Premier Ministre le 10 septembre propose d'accentuer la taxation des résidences principales. 
Dans un jargon très administratif donc peu clair pour le commun des mortels le CAE considérant qu'il convient de réduire les inégalités de traitement fiscal préconise " de rééquilibrer la fiscalité vers l'immobilier en taxant les loyers implicites nets des intérêts d'emprunt ou, à défaut, en relevant les taxes foncières via la mise à jour les valeurs locatives. S'agissant des plus-values, nous proposons simplement d'annualiser la plus-value réelle (en déduisant l'inflation) avant de l'imposer au barème général de l'impôt sur le revenu ". 

Concrètement, à quelle sauce seriez-vous dévoré ?
Tout d'abord, le fisc ajouterait à votre revenu taxable le loyer réel que vous percevriez de votre résidence principale si vous vous décidiez à la louer. Comme pour un revenu foncier, vous seriez autorisé à déduire les intérêts d'emprunt. Mais le résultat c'est que vous seriez amené à payer l'impôt sur un revenu fictif. Bref, la jouissance de votre habitation supporterait l'impôt.  

Une augmentation d'impôt de 86% !
Prenons un exemple simple. En louant votre habitation, vous pourriez obtenir un loyer de 1 500 euros par mois soit 18 000 euros par an. Déduction faite de vos intérêts d'emprunt (5 500 euros annuels) on arrive à un revenu fictif de 12 500 euros. Le fisc l'ajouterait à vos salaires et appliquerait l'impôt progressif. Supposons que vous êtes marié avec deux enfants et 43 200 euros de salaires nets taxables. Sur ces salaires, vous payez 2 031 euros d'impôt sur le revenu. Si on y ajoute 12 500 euros votre facture fiscale passerait à 3 780 euros soit 1 749 de plus et une augmentation de 86 % ! 

Et nos gouvernants évoquent la bouche en coeur une pause fiscale. On se demande franchement s'ils ne prennent pas le contribuable pour une vache à lait stupide. 

Taxer tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales
Mais la surtaxation ne s'arrêterait pas en si bon chemin. Le CAE propose également de taxer tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales des contribuables. Autrement dit les propriétaires paieraient tous les ans un impôt sur les plus-values au taux de 34,5 %. En supposant que votre habitation qui valait 400 000 euros en 2012 a pris 2 % de valeur en 2013 inflation déduite, soit 8 000 euros de plus, vous seriez obligé de vous acquitter d'un impôt de 2 760 euros. Bien entendu le CAE n'évoque pas une baisse des prix qui donnerait droit au propriétaire appauvri à un crédit d'impôt. Il est en effet uniquement question d'augmenter les recettes d'un Etat en déficit permanent. 

Si de telles mesures étaient adoptées, la facture de notre famille augmenterait de 4 509 euros. 
Si l'on y ajoute des impôts locaux parmi les plus élevés au monde, devenir propriétaire de sa résidence principale vous donnera le droit d'être racketté fiscalement. 
Espérons que ces propositions délirantes passeront à la trappe ! "