samedi 16 novembre 2013

AUGMENTATION DE L'ELECTRICITE

" Le prix de l'électricité pourrait augmenter de 2,3% au 1er janvier 2014 si la CSPE, une des taxes prélevées sur les factures de courant, augmentait de 3 euros du mégawattheure comme semble le privilégier le gouvernement, a-t-on appris vendredi 15 novembre de sources concordantes.

"On se dirige vers une augmentation de 3 euros par mégawattheure de la CSPE", la contribution au service public de l'électricité, a indiqué une source proche du dossier.

ela représenterait une hausse de 2,3% de la facture moyenne d'électricité, soit entre 15 et 20 euros par an", a précisé cette source.

La taxe en question, la Contribution au service public de l'électricité, sert à couvrir les charges des missions de service public d'EDF, dont celles liées au rachat à un prix bonifié de l'électricité d'origine renouvelable et les tarifs sociaux. 

La CSPE passerait ainsi de 13,5 euros du mégawattheure à 16,5 euros, alors que la Commission de régulation de l'énergie a préconisé en octobre une hausse de 9 euros pour atteindre 22,5 euros le mégawattheure. Comme la réglementation le lui permet, le gouvernement envisagerait toutefois de plafonner à 3 euros du mégawattheure la hausse de cette taxe, "pour préserver le pouvoir d'achat" des Français, selon la même source.

"Une hausse de 3 euros correspond à une hausse des charges de 1 milliard d'euros, surtout imputable au secteur photovoltaïque", a précisé une autre source proche du dossier. Les tarifs réglementés de l'électricité (hors taxes, dont la CSPE) appliqués par EDF avaient déjà augmenté de 5% le 1er août dernier, et doivent à nouveau augmenter de 5% à l'été 2014. "

LE BAL DES RACISTES

" L'obsession du racisme est une pelote sans fin, dont il importe de démêler les fils. Que certains en soient encore à prendre les Noirs pour des singes ou les harkis pour des sous-hommes, voilà qui prouve seulement qu'il y a chez nous une frange d'illuminés à laquelle il faudrait donner le moins de publicité possible. On constate en outre que nos politiciens de moindre envergure traitent en permanence leurs adversaires de racistes dans l'espoir de les déstabiliser, et que l'instrumentalisation du racisme - comme celle de l'antiracisme - est devenue un élément majeur du délitement de la société française. Enfin, le fait qu'un racisme anti-blanc se soit développé depuis des décennies dans nos banlieues a déjà été établi depuis des décennies par de nombreux auteurs, que ce soit le regretté Christian Jelen, le talentueux Pascal Bruckner dans son Sanglot de l'homme blanc, le président de la commission juridique de la Licra Mario Stasi qui avouait récemment : "Je n'aime pas ce terme de racisme anti-blanc, mais je n'en vois pas d'autre", ou même la très socialiste Najat Vallaud-Belkacem, qui évoquait dans un livre d'avant-élections ce "racisme anti-blanc dont chacun peut convenir sans mal ni complaisance qu'il existe et qu'il est aussi condamnable et stupide que l'autre". C'est devenu embarrassant, parce que son parti - comme tous les autres - se perd en contorsions sur le sujet, mais enfin... Verba volant, scripta manent : les paroles s'envolent, les écrits restent.

Passons aux fondamentaux : le racisme, dans sa définition originelle, est la conviction que certaines races sont supérieures à d'autres. Nous pouvons lire sous la plume de Victor Hugo en 1879 : "Que serait l'Afrique sans les Blancs ?" ; dans un discours de Jules Ferry en 1885 : "Les races supérieures ont le devoir de civiliser les races inférieures" ; et plus embarrassant encore, ces propos du grand socialiste Léon Blum le 9 juillet 1925 : "Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture." Puisqu'il est trop tard pour assigner ces grands hommes en justice, contentons-nous de constater qu'ils étaient de purs produits des préjugés de leur époque. Un siècle plus tard, Hitler a criminalisé le racisme, tandis que son ancien complice Staline déclarait fièrement : "Pas de racisme chez nous : on élimine sans discrimination !" Au début du XXIe siècle, enfin, l'étude du génome humain a conduit à cette conclusion difficilement contestable que les races n'existent pas : la couleur de peau chez l'homme est déterminée par trois gènes sur les 36 000 du génome, et l'ADN d'un Italien est marginalement plus proche de celui d'un Arabe que de celui d'un Finlandais...

Nos associations antiracistes doivent trouver leurs racistes en France pour exister

Mais la race une fois évacuée, il reste le racisme. Celui des Japonais contre les Coréens ? Des Vietnamiens contre les Chinois ? Des Chinois contre les Ouïgours ? Des Arabes contre les Juifs ? Des chiites contre les sunnites ? Des Turcs contre les Arméniens ? Des Hutu contre les Tutsi ? Des Gabonais contre les métis ? Des Suédois qui méprisent les Lapons ? Des Hongrois qui chassent les Roms ? Des Russes qui malmènent les Caucasiens ? Des politiciens congolais qui se traitent de cannibales ? Niet ! Rien de tout cela n'intéresse nos associations antiracistes hautement politisées - le Mrap communiste, SOS Racisme socialiste, le Dal trotskiste -, qui doivent en permanence trouver leurs racistes en France afin de continuer à exister, à recevoir leurs subventions et à suivre la ligne de leurs partis respectifs. C'est dire que l'antiracisme agressif est devenu chez nous un pur instrument politique : la lutte des classes transposée sur le plan racial...

Il n'est pourtant pas facile de vendre une marchandise aussi frelatée dans un des pays les moins racistes du monde. Que la France des années soixante ait été xénophobe, c'est indéniable : les Français de l'étranger eux-mêmes étaient regardés de travers, et nos autorités avaient dû émettre un timbre-poste pour inciter les Français à sourire aux touristes ! (Pour nos amis philatélistes : le 60 centimes de 1965 : "Campagne de l'accueil et de l'amabilité"). Mais après cela, la France s'est ouverte, le brassage s'est fait, et la France a eu le taux le plus élevé de mariages mixtes en Europe - ce qui n'est pas exactement la marque d'un peuple raciste. Il a donc bien fallu un autre phénomène pour que les choses se dégradent.

Travelling arrière : la France prospère des années soixante ayant eu besoin de main-d'oeuvre, elle avait attiré une nouvelle immigration de travail en provenance d'Afrique du Nord. Dans l'esprit de tous, à commencer par celui des travailleurs immigrés, il s'agissait d'un séjour temporaire : après quelques années, ils iraient rejoindre leur famille au pays, nantis d'une formation et d'un pécule suffisants pour leur permettre de se réinsérer harmonieusement dans leur société d'origine. On sait ce qu'il en est advenu : leur séjour s'est pérennisé, l'immigration de travail est devenue une immigration de peuplement, et elle s'est massifiée après 1976 par le biais du regroupement familial - "une mesure de générosité raisonnable qui s'est transformée en filière d'immigration", reconnaîtra en 2004 Valéry Giscard d'Estaing ; enfin, elle s'est diversifiée pour inclure des ressortissants de nombreux pays d'Afrique noire, du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est. La crise économique consécutive aux deux chocs pétroliers, tout comme l'automatisation croissante de l'industrie française, a mis beaucoup de travailleurs immigrés au chômage, et ils sont restés désoeuvrés dans une société qui leur était essentiellement étrangère du fait de ses moeurs, de sa culture et de sa langue.

Une petite rivière fertilise, un flot dévaste

On pouvait penser que leurs enfants, généralement nés en France, s'y intégreraient tout comme l'avaient fait avant eux les fils d'immigrés italiens, portugais, espagnols ou polonais. Pour un certain nombre de raisons bien connues - le poids des traditions, de la religion, du passé colonial, des préjugés sociaux et des structures familiales -, il n'en a pas été ainsi. Les conditions de logement n'étaient certes pas optimales, mais ces habitations HLM claires, spacieuses, avec tout le confort moderne, représentaient un progrès considérable, non seulement pour des immigrés venus du bled algérien ou des bidonvilles de Nanterre, mais encore pour bien des Français vivant encore dans des appartements sombres, vétustes et exigus, sans chauffage ni salle de bains, avec toilettes communes sur le palier. Bien sûr, ces HLM ayant été construites massivement et dans l'urgence, les équipements collectifs n'ont pas toujours suivi... Mais de là à en faire des succursales du goulag ou du ghetto de Varsovie, il y a tout de même une marge respectable. Évidemment, ces logements n'avaient pas été conçus pour accueillir des familles de quinze ou vingt personnes, généralement d'origine rurale, parfois polygames, et qui voulaient y vivre un peu comme au pays, avec enfants s'ébattant au dehors - où ils n'étaient plus surveillés par l'ensemble de la communauté, comme dans les villages du Maghreb ou d'Afrique noire. C'était le début de l'engrenage : les services sociaux ont été débordés par l'arrivée massive, année après année, d'immigrés réguliers et irréguliers. Y avait-il un seuil de tolérance, comme l'affirmaient Mitterrand et le roi Hassan II ? En tout cas, il y avait un seuil d'absorption : une petite rivière fertilise, un flot dévaste...

Il faut se souvenir que la France n'étant pas l'URSS, il n'y avait ni affectation autoritaire à résidence ni passeports intérieurs. En d'autres termes, les immigrés avaient toute liberté d'installation et de réinstallation, même s'ils avaient tendance à se regrouper par nationalités et dans les quartiers où le logement était le plus accessible. C'est un phénomène commun à l'immigration dans tous les pays : ceux qui croient que les immigrants allemands, hongrois ou irlandais qui arrivaient aux États-Unis s'installaient d'emblée sur la Cinquième Avenue se font autant d'illusions que ceux qui s'imaginent qu'ils bénéficiaient d'allocations familiales, de RMI et d'aides au logement. Ils n'en réussissaient pas moins à s'intégrer et à prospérer dans leur nouvelle patrie. Mais en France, même le terme de patrie ne pouvait plus être prononcé à partir des années soixante-dix, ce qui faisait évidemment partie du problème ; car dès lors, les enfants et les petits-enfants français de travailleurs étrangers se sentaient encore moins français que leurs parents et leurs grands-parents. Quoi d'étonnant à cela ? Ils se retrouvaient en masse dans un pays où les intellectuels médiatiques crachaient à longueur de journée sur la France, son histoire et ses institutions ; où les militants syndicaux et autres protestataires cassaient, brûlaient et séquestraient en toute impunité ; où la télévision montrait chaque jour des centaines de meurtres, de vols et d'escroqueries ; où les chaînes satellitaires arabes exportaient toute la violence des affrontements du Moyen-Orient ; où des groupes de rappeurs lançaient en continu des cris de haine et des appels au meurtre contre les Blancs "faces de craie", les institutions et les forces de l'ordre ; où des bandes de quartier cultivaient très ouvertement la débrouille et la dépouille - tout cela sur fond d'écoles débordées, de chômage endémique et d'assistanat dévalorisant... Slimane Zeghidour, un Français d'origine algérienne, se demandait dès 1988 où les jeunes gens pourraient puiser quelque fierté d'être français dans une telle ambiance. Zaïr Kedadouche les décrivait comme "des bouffeurs de mode, des consommateurs dépendant largement de la générosité publique". Évoluant dans un environnement permissif et revendicatif, ces jeunes, très souvent sans père, refusaient l'instruction ou la formation professionnelle et "tenaient les murs". Ensuite, comme le disait un "jeune" dans son langage imagé : "On se fait iech et on commence à faire des conneries."

"Les Algériens n'ont pas encore trouvé d'autre moyen d'exister que de nous haïr"

Pas tous, bien sûr : les plus lucides et les mieux entourés changeaient rapidement de quartier et s'intégraient par le travail : il y a eu d'admirables succès. Mais pour les autres, le profil type ressemble à cela : le "jeune" de banlieue méprise - voire maltraite - ses professeurs et reste inculte ; il est alors difficilement employable, et donc chômeur ; en tant que tel, il proteste contre la société "raciste" en rejoignant la bande du quartier, en pillant les magasins et en agressant les commerçants et leurs clients. Ceux-ci quittent le quartier, qui devient un ghetto où la violence et la criminalité prospèrent ; le délinquant finit donc par rencontrer la prison, d'où il sort rapidement avec un casier judiciaire et un désir de vengeance ; étant de moins en moins employable, il doit passer à la criminalité dure, fondée sur des trafics en tous genres ; dans l'exercice de cette fonction, et à condition qu'il ne soit pas liquidé par un rival - le monde des malfrats n'est pas tendre -, il risque d'être blessé ou tué lors d'une tentative d'arrestation, déclenchant dans le quartier d'immenses émeutes organisées, avec pillages, agressions et incendies. Dès lors, on prend l'ensemble des habitants du quartier pour des délinquants, et le vide se fait progressivement autour d'eux. Comme disait un beur très diplômé après trois nuits de dévastations dans son quartier : "C'est à cause de petits c... pareils que personne ne veut m'employer !" N'ayant toujours pas compris ce processus, les "jeunes" s'installent dans la complainte victimaire en dénonçant le racisme, le fascisme, le colonialisme, la répression policière, la "force injuste des lois", et s'en prennent violemment à tous les symboles de l'autorité encore à leur portée, ce qui renforce encore la ghettoïsation, avec son cortège de provocations haineuses....

Le général de Gaulle disait en 1966 : "Les Algériens n'ont pas encore trouvé d'autre moyen d'exister que de nous haïr." Hélas ! Leurs petits-enfants non plus... Bien sûr, pour des descendants d'indépendantistes, il est humiliant de se retrouver chez l'ancien colonisateur et d'en recevoir la nationalité - d'où la haine et les cris de "sales Français", alors qu'ils sont français, et les injures antisémites, alors qu'ils sont sémites.... Bien sûr, il y a eu aussi les Africains subsahariens, dont le même de Gaulle disait à Peyrefitte en 1962 : "Le malheur, c'est que les Africains ne s'aiment pas entre eux. Les intellectuels abandonneront leur peuple, et leur peuple sera rejeté au fond du puits. C'est encore une chance si, ensuite, ils ne quittent pas leur pays pour venir s'installer en France. Mais là, au moins, nous pourrons dire non." Ses successeurs, eux, n'ont pas pu dire non...

De fait, l'immigration s'est poursuivie, massifiée, internationalisée, ouverte au fanatisme religieux et concentrée dans quelques régions, où les nouveaux venus sont devenus majoritaires et les Français de souche minoritaires - avec les conséquences décrites par l'universitaire tunisien Philippe Aziz : "Dans ces quartiers où prédominent des populations maghrébines, il n'y a pas de racisme anti-maghrébin. Le seul racisme existant est anti-métropolitain." Quant au chercheur algérien Ahmed Rouadjia, il démontrait dès 2000 dans le mensuel Croissance qu'à Dreux, par exemple, c'étaient bien les Arabes qui rejetaient les Français... et les Arabes qui se rejetaient entre eux !

La solution ne pourrait venir que des immigrés eux-mêmes

Bien sûr, cela n'excuse pas la discrimination à l'emploi, mais allez donc obliger un entrepreneur à embaucher une femme voilée, un Gaulois illettré, un beur antisémite ou un Black ayant la haine ! Écoutez le Bourguignon-Camerounais Gaston Kelman "[Les jeunes Blacks] présentent généralement des caractéristiques qui les rendent peu attractifs aux yeux des patrons. En plus du handicap de formation, ils affichent des mines tellement patibulaires que leur propre père hésiterait à les mettre face à ces machines, dans un bureau ou dans un atelier. Leur style vestimentaire, leur langage, leur comportement sont purement iconoclastes et extrêmement rébarbatifs." Il y a certes des employeurs racistes, comme dans tous les pays, mais il y en a bien d'autres, comme ce patron de PME qui disait : "Si un informaticien capable se présente demain à mon bureau, qu'il soit noir, jaune, vert ou rouge, je l'engage immédiatement - à condition qu'il ne me considère pas comme un sale Blanc exploiteur, qu'il ne traite pas mes secrétaires de prostituées et qu'il ne me menace pas d'une fatwa !" C'est toute la question : que certains Norvégiens de France forment des "gangs de barbares" comme leurs ancêtres vikings, et il y a fort à parier que tous les grands blonds moustachus trouveront rapidement des Français méfiants et des problèmes d'emploi. Racisme ou application instinctive du principe de précaution ? (Les Norvégiens voudront bien accepter mes excuses dans leur langue : "Jeg ber om forlatelse. Det var bare spök !")

Tout compte fait, il semble y avoir dans ce pays une confusion entre le racisme ordinaire et la réaction populaire contre une immigration mal régulée, qui refuse trop souvent de s'adapter à nos lois et à nos modes de vie, qui veut profiter de nos libertés mais conserver ses interdits, qui invoque le multiculturalisme mais refuse la mixité, et qui rejette la France au profit d'une patrie d'origine fantasmée. Inutile de s'indigner du diagnostic : on n'est pas raciste anti-pompiers en dénonçant les pompiers pyromanes. C'est pourquoi, après quarante ans de lâchetés officielles qui n'ont profité qu'au Front national, la solution ne pourrait venir que des immigrés eux-mêmes : s'ils désavouaient bruyamment et publiquement, par la parole et par le geste, les racistes et les fauteurs de troubles qui gangrènent leurs cités, tout commencerait à changer - à condition que les autorités et les associations veuillent bien les soutenir. À New York, il y a très exactement trente ans, un Américain d'origine allemande nommé Bernhard Goetz était agressé dans une rame de métro par quatre jeunes Noirs armés de tournevis aiguisés. Les ayant blessés tous les quatre, Goetz s'est retrouvé devant la justice, où sa défense a été prise en charge par l'association antiraciste CORE (Congress of Racial Equality) - dont le président noir, Roy Innis, devait déclarer : "Le crime m'a pris mes deux fils ; Goetz aurait pu être le troisième. Bien sûr, j'aurais préféré qu'il soit noir, mais ça n'a rien à voir !" Avec trente ans de retard, trouverons-nous en France la même largeur d'esprit ? Ce serait un commencement... "

HOLLANDE A PEUR D'UN COUP D'ETAT ET FERME L'ELYSEE LA NUIT

" En sortant d'un dîner la semaine dernière, j'ai remonté comme d'habitude la rue du Faubourg Saint Honoré. Arrivé à l'angle de la rue de Duras à quelques mètres du portail de l'Elysée, j'avais bien noté des barrières en travers de la rue, mais je me suis dit que c'était pour permettre à Hollande de sortir et qu'après elles seraient enlevées. On a donc continué sur le trottoir mais nous avons été stoppés net par un policier en fourragère qui nous a interdit d'aller plus loin. Voyant notre surprise, il nous a expliqué: "C'est désormais interdit la nuit à partir de 21h, même aux passants, et il en sera ainsi jusqu'en 2015"...

??!!!? 

Quoi ???

Le policier n'a pas su nous expliquer "pourquoi jusqu'en 2015?". J'ai jeté un coup d'oeil de l'autre côté de la rue et j'ai vu que là aussi, les barrières étaient bien en place. Depuis 40 ans que je passe devant l'Elysée, en voiture, en scooter ou à pied, jamais la rue n'a été interdite de manière permanente la nuit aux passants!

Et j'ai eu soudain l'intuition que Hollande et son équipe de billes craignent vraiment un Coup d'Etat. Comme si quelques barrières de sécurité allaient empêcher un commando aguerri de Troupes de Marine ou une bande de terroristes suicidaires de passer ! Du grand n'importe quoi en effet, plus symbole de la peur qui sévit maintenant au palais que d'une quelconque mesure de véritable sécurité efficace. Nous avons donc été obligés de faire le tour par Duras - Montalivet - Saussaies pour revenir sur la place Beauvau, pourtant rempli d'armes, de policiers et de gendarmes du sol au plafond!

François Hollande va finir comme Louis XVI, ou mieux, comme John Law obligé de fuir Paris déguisé en cocotte. Sa concubine se surnommant elle-même Marie-Antoinette, je pense en effet, que François Hollande est déjà prêt à s'enfuir...

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2013 "

MEDECINE A LA FRANCAISE

ORF n°0073 du 27 mars 2013 page 5217
texte n° 82


ARRETE 
Arrêté du 18 mars 2013 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « médecine générale » en application des dispositions des I et I bis de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique et des dispositions du IV de l'article 83 de la loi n° 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007

NOR: AFSN1307297A


Par arrêté de la ministre des affaires sociales et de la santé en date du 18 mars 2013, sont autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « médecine générale », en application des dispositions des I et I bis de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique et des dispositions du IV de l'article 83 de la loi n° 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007, les personnes dont les noms suivent :
M. BOUGUETTAYA (Mohamed), né le 15 février 1971 à Oran (Algérie).
Mme SARWARY (Rona), épouse SEDIQ, née le 8 décembre 1961 à Kaboul (Afghanistan).
Mme AJROUDI (Souad), épouse FRIGUI, née le 2 octobre 1969 à Sétif (Algérie).
M. LEKHOUADA (Seghir), né le 20 mars 1960 à Teniet El Abed (Algérie).
M. OLYMPIO (Paul-Joseph), né le 27 août 1959 à Lomé (Togo).
M. AOUACHRIA (Naoufel), né le 10 mai 1968 à Annaba (Algérie).
M. BENSAFI (Safi), né le 26 novembre 1972 à Béni Saf (Algérie).
M. BENKOBBI (Farid), né le 9 février 1969 à Alger (Algérie).
M. DERRAGUI (Bouhadjar), né le 26 mai 1958 à Ain-Temouchent (Algérie).
M. HAFAIFA (Rabah), né le 20 novembre 1972 à Slim (Algérie).
M. TIEBI (André, Francis), né le 23 novembre 1967 à Gbigbikou (Côte d'Ivoire).
Mme BELKHAIMA (Mouna), épouse EL MANSOURI, née le 16 juin 1981 à Safi (Maroc).
Mme DE SOUZA (Ayaba, Sena), épouse D'ALMEIDA, née le 25 octobre 1979 à Lomé (Togo).
M. DJEHA (Khaled), né le 24 octobre 1973 à Constantine (Algérie).
Mme GOSSAGAVOUGA (Aline, Olga), née le 30 décembre 1967 à Libreville (Gabon).
M. HAFID (Azzedine), né le 24 janvier 1975 à Ain-Temouchent (Algérie).
M. MAKOKO EMINENKOS (Luc), né le 9 mai 1964 à Bembele (Congo).
Mme NGOUNOU WANDJI (Anny, Games), née le 20 juin 1977 à Metet (Cameroun).
M. LARBAOUI (Mahmoud), né le 23 août 1978 à Béni Saf (Algérie).
M. NZEUKENG (Blaise, Romain), né le 5 juillet 1975 à Tiko-Fako (Cameroun).
M. AKAKPO (Mawunyo, Dzifa), né le 27 janvier 1978 à Lomé (Togo).
Mme BEN BRAHIM (Inès), épouse GRISSA, née le 8 avril 1980 à Sousse (Tunisie).
Mme BOUAZZA (Fatma), épouse SAHRAOUI, née le 30 novembre 1959 à Chlef (Algérie).
Mme SOCOLOVSCHI (Cristina), épouse AUDOLY, née le 19 juin 1978 à Télenesti (Moldavie).
Mme TOURI (Nawal), épouse JODDAR, née le 23 mai 1981 à Kenitra (Maroc).
M. RASIDIMANANA (Eddie, Gislhain), né le 7 juin 1972 à Mampikony (Madagascar).
M. SALLAH (Ignace, Messan), né le 1er février 1973 à Afagnan Gletta (Togo).
M. SEMENOU (Dodji, Kougouyouvi), né le 1er janvier 1982 à Lomé (Togo).
M. TOURE (Mohamed, Lamine), né le 18 décembre 1971 à Conakry (Guinée).
Mme YOUSSEF (Kéty), née le 15 août 1974 à Tripoli (Liban).
Mme ZOUYED (Aïcha), épouse DHIF, née le 1er avril 1962 à Ibn Ziad (Algérie).
M. BAKPA (Djoumana), né le 31 décembre 1971 à Natoun, Ténéga (Togo).
Mme DJELLOUL (Hakima), épouse HATHOUT, née le 20 mars 1968 à Oran (Algérie).
Mme JOSSA TCHAMAGO (Claudette), épouse NGALEU NGALEU, née le 1er janvier 1980 à Dschang (Cameroun).
Mme LAOUAR (Saïda), épouse AMRANE, née le 7 avril 1964 à Ain Kechera (Algérie).
M. MONGO (Arnaud, Elvis), né le 1er mars 1979 à Brazzaville (Congo).

NICE : L'INTERDICTION DE BIVOUAQUER DANS LA RUE SUSPENDUE PAR LA " JUSTICE "

" L'arrêté "anti-bivouac" pris à Nice il y a un mois à l'instigation du maire UMP Christian Estrosi a été suspendu par le tribunal administratif après un recours lancé par trois associations, peut-on lire dans l'ordonnance rendue jeudi.

Christian Estrosi a annoncé vendredi un pourvoi en cassation.
Il précise dans un communiqué qu'il prendra lundi un nouvel arrêté "permettant à la police d'intervenir de nouveau contre les occupations illégales du domaine public qui entravent la libre circulation".
L'arrêté initial, qui avait créé la polémique, avait pour but d'empêcher les occupations prolongées des rues et des parcs publics par toutes les populations, SDF et Roms notamment. Il permettait à la police municipale d'effectuer des contrôles d'identité et le cas échéant de prévenir la police nationale si des personnes se trouvaient en situation irrégulière.

Dans leur requête, la Ligue française pour la défense des droits de l'Homme et du citoyen (LDH), l'association pour la démocratie à Nice et dans les Alpes-Maritimes (ADN) et le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples 06 (MRAP) ont notamment dénoncé l'atteinte à la liberté d'aller et venir et la discrimination des sans-abri et des Roms.

Les associations ont aussi déploré le fait que, depuis l'entrée en vigueur de l'arrêté, des familles se trouvaient en situation d'errance. La ville de Nice a également été condamnée à verser la somme de 1.000 euros à deux associations requérantes. "

TAUBIRA FAIT UN BIDE DEVANT LES MAGISTRATS

" D'emblée, le président de l'Union syndicale des magistrats (68,4% du corps), Christophe Régnard, a campé le décor : "L'an passé, vous aviez bénéficié de notre part d'un accueil chaleureux et même, fait rarissime, d'une standing ovation à la fin de votre discours" (cela se passait en présence Manuel Valls)... avant d'ajouter qu'il aurait aimé que la salle lui offre à nouveau des applaudissements nourris... mais qu'il doutait que ce soit le cas. Et, bien sûr, ce ne fut pas le cas. 

Pendant une heure, ce vendredi après-midi, le patron de l'USM a lu, à l'occasion du congrès annuel du syndicat, un discours intransigeant, reprenant les critiques qu'il distille régulièrement depuis des mois. Pour lui et ses collègues, la ministre de la Justice Christiane Taubira parle bien, et même très bien, mais n'agit pas ou peu. "Depuis 18 mois, nous sommes déçus. Nous ne nous comprenons pas ou plus, nos rares rencontres ont tourné à l'aigre." 

"Avec l'Intérieur mieux qu'avec vous"
Les plus virulentes critiques ont porté sur le dogmatisme des travaux de la conférence de consensus (sur la lutte contre la récidive), sur son échec à faire adopter la réforme du CSM et sur un manque de respect dans le dialogue social. "Nous avons travaillé avec les services du ministère de l'Intérieur, car cela n'a pas été possible de le faire avec les vôtres", a insisté Régnard. Qui ne s'est pas privé de rappeler qu'il a été -bien­­- reçu à Matignon et à l'Elysée afin de faire corriger le projet de réforme pénale de Christiane Taubira. 

"Nous attendions plus de considération et moins de dogmatisme", a conclu, acide, Christophe Régnard. Mais ce sont ses critiques sur le mauvais dialogue social qui semblent avoir le plus touché la ministre, lorsque que le syndicaliste l'a interpellé : "J'attendais autre chose d'une femme de gauche !" 
Régnard le méchant, Taubira la victime ?

La réplique de Christiane Taubira a été étonnamment calme. La garde des Sceaux a sans doute voulu jouer du contraste... souhaitant faire apparaître le magistrat Régnard comme le méchant procureur et elle comme sa victime. L'immense vague de soutien antiraciste dont elle bénéficie lui a peut-être rendu la tache plus facile. "Vous avez passé en revue mon action de manière subjective et partiale", a-t-elle lancé pour exprimer l'injustice qu'elle ressentait. 

A de rares exceptions, le long discours de la ministre de la Justice -80 minutes sans lire aucune notes - fut beaucoup beaucoup moins lyrique et enflammé que celui d'octobre 2012, alors qu'elle venait de s'installer Place Vendôme. Moins de sentiments, moins d'empathie (sur le "mystère" et la "magie" du métier de magistrat), moins de couleurs (elle a troqué son ensemble jaune vif pour un coloris sombre) et de citations d'auteurs, elle qui les affectionne tant ! 

"Ceux qui croient que je vais à la plage..."
Christiane Taubira s'est attachée à démontrer qu'elle agit au quotidien, même si ses réformes n'ont pas encore franchi l'embouteillage parlementaire. "Je m'excuse auprès de ceux qui croient que je ne travaille pas, que je passe mon temps à la plage", s'est-elle risquée, sans provoquer le moindre rire. Pendant près d'une heure et demie, elle a prouvé qu'elle connaissait parfaitement ses dossiers... mais sans forcément convaincre. 
Chaque partenaire s'est promis de dialoguer sérieusement, sans ignorer qu'il y aura des désaccords. Les relations vont-elles s'améliorer avec des cicatrices et des rancœurs si profondes ? Rien n'est moins sûr. "

MARCHES CONTRE LE RACISME LE 30 NOVEMBRE ET LE 8 DECEMBRE

Citoyens Français il va falloir vous sentir coupable si vous ne participez pas à ces deux manifestations indispensables à la survie de notre pays. Donc :

- Si vous êtes pour le retour de Léonarda et de sa famille ainsi que de ces cousins,
- Si vous êtes prêts à vous faire ponctionner encore plus pour l' ATA,
- Si vous êtes prêts à payer encore plus d'impôts pour la survie et l'intégration des actuels et futurs immigrés,
- Si vous trouvez qu'il n'y a pas assez de mosquées,
- Si vous pensez que l'esclavage est de la responsabilité des Français,
- Si vous êtes prêts à financer le relogement des ROMS,
- Si vous êtes prêts à céder votre travail au profit des immigrés,
- Si le Halal est votre nourriture préférée,
- Si vous trouvez que vous cotisez pas assez à l'AME,
- Si vous trouvez normal de donner une retraite aux étrangers n'ayant jamais travaillé en France,
- Si vous pensez que la CAF ne donne pas assez d'allocations aux étrangers,
- Si vous pensez que les racailles sont trop discriminées,
- Si vous aimez vous couvrir de la tête aux pieds,
- Si vous trouvez que la police fait trop de contrôles,
- Si vous pensez que l'insécurité n'est qu'une illusion,
- Si vous pensez que le racisme anti-blanc n'existe pas,
- Si vous pensez que les railleries, les jeux de mots, les insultes et les quolibets ne doivent concerner que les Français de souche,
- Si vous êtes pour le mariage homo,
- Si la double nationalité ne vous dérange pas,
- Si vous voulez accréditer la politique UMPS,
- Si vous trouvez qu'il n'y a pas assez de logements sociaux( financés sur votre dos ),
- Si vous pensez que la loi contre la récidive est excellente,
- Si vous pensez que la laïcité ne concerne que les Chrétiens,
- Si vous pensez que le bien être des Maliens doit passer avant celui des Français,
- Et enfin si vous pensez que tous ceux qui ne pensent pas comme un socialiste est un vilain nazi raciste,

Alors vous pouvez vous joindre aux marches contre le racisme organisée le 30 Novembre et le 8 Décembre 2013.