vendredi 5 juillet 2013

APRES LE MARIAGE HOMO, LE MARIAGE PEDOPHILE ?


VILLAGES D'INSERTION

" Depuis que les installations sauvages de ces ressortissants roumains et bulgares se multiplient en périphérie des grandes agglomérations, les négociations européennes sur le sujet patinent. Aussi, un certain nombre de municipalités concernées ont décidé de se mobiliser. Et un type de projet a fait particulièrement florès ces dernières années : les "villages d'insertion".

ACCOMPAGNEMENT SOCIAL

L'idée est de sélectionner des familles roms dans des bidonvilles et de les reloger dans des logements en dur - souvent des préfabriqués. En échange, les familles s'engagent à cesser les activités de mendicité ou les petits trafics qui les faisaient vivoter, à scolariser les enfants et à suivre des formations pour, à terme, décrocher un emploi. Durant toute cette période, qui peut durer plusieurs années, elles sont accompagnées par des travailleurs sociaux.

Le concept est aujourd'hui particulièrement développé dans la communauté urbaine de Lille, fief de la patronne du PS, Martine Aubry, où cinq villages existent et trois autres sont en construction. Mais comme ailleurs, ces villages ne permettent une prise en charge que d'un nombre très limité de Roms. Sur les quelque 3 000 Roms recensés dans l'agglomération, seuls 80 ont intégré le dispositif et une quinzaine d'adultes ont pu trouver un emploi. "C'est un moyen pour les communes de s'acheter une bonne conscience", estime Laurent El Ghozi, co-fondateur du collectif Romeurope et farouche opposant des "villages d'insertion".

"27 000 EUROS PAR FAMILLE"

Selon ce militant, défenseur des Roms de longue date, les villages d'insertion sont par ailleurs très onéreux. Si beaucoup sont en partie financés par des fonds européens, communes et Etat doivent aussi y aller de leurs deniers : "Il faut compter en moyenne 27 000 euros par famille et par an ", pointe M. El Ghozi. Comme d'autres acteurs du secteur, M. El Ghozi met aussi en doute l'efficacité du dispositif : "Vous pouvez faire tout ce que vous voulez, donner des cours de langue, faire de l'accompagnement social, si ce n'est pas possible de travailler à la sortie [à cause des mesures transitoires qui restreignent l'accès au marché du travail aux Roumains et aux Bulgares], ça ne marche pas ", plaide-t-il.

Selon M. El Ghozi, la plupart des emplois que les Roms trouvent à l'issue de leur passage en village d'insertion sont ainsi des emplois "militants, dans des associations ou des collectivités locales, ou bien des statuts d'auto-entrepreneurs pas toujours durables". "

LE PS CHOQUE PAR LES PROPOS DE JEAN MARIE LEPEN

" "Nous sommes dans un contexte national extrêmement dangereux et Nice ne sera pas une oasis dans le désert français, son sort sera lié au sort de la France", a indiqué JM. Le Pen lors d'une conférence de presse dans la cinquième ville de France, qui compte 345.000 habitants.¢

"Je vais vous faire un pronostic: vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Roms qui ont dans la ville une présence urticante et disons... odorante. Ceci n'est que le petit morceau de l'iceberg", a estimé le député européen du Sud-Est.

"Je vous annonce que dans le courant de l'année 2014, il viendra à Nice 50.000 Roms au moins puisqu'à partir du 1er janvier, les 12 millions de Roms qui sont situés en Roumanie, en Bulgarie et en Hongrie auront la possibilité de s'établir dans tous les pays d'Europe", a-t-il poursuivi, estimant que la politique gouvernementale vis-à-vis de cette minorité avait "un effet de recrutement fantastique".

"Tout le monde est dans les starting-blocks, exactement comme dans les films du Far-West" retraçant la conquête de l'Ouest américain, "c'est à cela que nous allons assister", a-t-il encore prédit.

"Je suis sûre que Nice a besoin d'une liste de salut public" car c'est une "ville extrêmement menacée", a elle aussi estimé Marie-Christine Arnautu, présentée par JM. Le Pen comme la "Mme Préférence nationale" du FN. "


Les bons penseurs ne retiendront que les qualificatifs employés par Jean Marie LEPEN sur les Roms et oublieront bien vite les chiffres qui les accompagnent. Voilà le texte d'une tribune et encore une fois, merci l' EUROPE ! :

" Tribune dans Libération : L’intégration des Roms mise à l’épreuve Par VIVIANE REDING Vice-présidente de la Commission européenne, en charge de la Justice et des Droits fondamentaux.

Il y a deux ans, l’éloignement d’un grand nombre de Roms du territoire français a donné un véritable signal d’alarme pour l’Europe. Ces événements avaient mis en lumière d’importants problèmes : les garanties matérielles et procédurales prévues par la directive européenne sur la libre circulation n’avaient pas été transposées dans le droit français. Par ailleurs, une circulaire ordonnait l’éloignement des Roms et ciblait spécifiquement cette minorité ethnique. 

La Commission européenne a donc dû intervenir avec détermination en 2010 pour s’assurer que le droit européen serait bien respecté et que les règles européennes seraient transposées en droit français. Pour moi, il faut tirer trois leçons de ces événements.

Premièrement, l’éloignement d’un citoyen d’un Etat membre de l’Union européenne ne peut être arbitraire et doit toujours être le résultat d’un traitement au cas par cas. Le droit à la libre circulation est un droit fondamental, garanti par les traités européens ainsi que la Charte des droits fondamentaux de l’UE. Il est accordé à tous les citoyens européens, quelle que soit leur nationalité ou leur origine. Tout citoyen européen a le droit de se déplacer librement et de résider dans n’importe quel Etat membre de l’Union, pourvu qu’il remplisse les critères définis par la législation européenne. Ce droit ne peut être limité que lorsque ces critères ne sont pas respectés. Bref, chaque citoyen européen doit respecter la loi - mais personne ne devrait être expulsé uniquement parce qu’il est Rom. C’est grâce à l’intervention de la Commission en 2010, en France et ensuite dans plusieurs autres Etats membres, que, en l’espace d’un an, plus de 90% des dossiers ouverts en matière de libre circulation ont pu être résolus. On compte parmi ceux-ci le cas de la France qui, afin d’éviter une procédure d’infraction, a introduit en 2011 dans sa législation nationale les garanties procédurales et matérielles mandatées par la législation européenne.

Selon la nouvelle législation française, toute décision d’éloignement doit donc être écrite et pleinement justifiée - et doit pouvoir faire l’objet d’un recours judiciaire. Concrètement, des expulsions collectives dirigées contre une minorité spécifique ne peuvent avoir lieu. Elles sont explicitement interdites par l’article 19 de la Charte des droits fondamentaux de l’UE.

Deuxièmement, l’intégration des Roms a une dimension européenne. Elle est autant la responsabilité du pays d’accueil que du pays d’origine et nécessite des incitations, de la surveillance ainsi que le soutien des institutions européennes. Les éloignements ressemblent peut-être à une solution facile mais ils ne font que déplacer le problème - ils sont inefficaces, coûteux et dépourvus d’effets durables. Tous les Etats membres doivent intégrer les populations roms, avec l’aide des fonds européens.

Pour encourager et renforcer l’intégration des Roms, la Commission a adopté, en 2011, un Cadre européen pour les stratégies nationales d’intégration des Roms et a fourni à chaque Etat membre des recommandations spécifiques quant à l’intégration des Roms, dans quatre domaines : l’accès à l’éducation, à l’emploi, aux soins de santé et au logement. Pour la Commission, qui a maintenant reçu et évalué les stratégies nationales, ces stratégies constituent une première étape importante et contiennent des projets innovants tels que les engagements pris par la France visant à créer des «villages d’insertions» afin de répondre aux besoins des personnes défavorisées et notamment des Roms, qui vivent dans des campements illégaux. Selon la stratégie française, ce type de projet sera reproduit dans plusieurs localités, y compris à Lille et à Lyon, avec le soutien des fonds européens. Reste à voir ces engagements se concrétiser.

Dernière leçon à tirer : il ne faut en aucun cas que l’intégration des Roms ne se réduise à une anecdote estivale. Il y a 12 millions de Roms en Europe, qui, comme nous, sont chez eux en Europe. Et c’est notre responsabilité de les aider à s’intégrer. Cela requiert des efforts des deux côtés
.
Les nouveaux démantèlements des campements roms en France cet été ont servi, encore une fois, à focaliser le débat public sur l’enjeu de l’intégration des Roms en Europe. L’Europe ne dort pas, elle ne prend pas de vacances. Elle reste très vigilante.

Je salue le fait que les autorités françaises se montrent prêtes à coopérer avec la Commission et affirment qu’aucune politique publique ne prendra pour cible un groupe en particulier. Pour sa part, la Commission suivra très attentivement les développements en France, afin de s’assurer que les garanties procédurales et matérielles introduites en 2011 sont correctement appliquées.

En même temps, je tiens à ce que l’engagement des autorités françaises à promouvoir l’intégration des Roms, tel qu’inscrit dans leur stratégie de 2012, ait des répercussions réelles dans la vie quotidienne des Roms. L’établissement des «villages d’insertion» annoncés pour Lille et Lyon représenterait un bon exemple, mais ne doit pas être retardé trop longtemps.

Il nous faut bien plus que des stratégies sur le papier et de beaux discours. L’intégration des Roms doit devenir réalité dès aujourd’hui. Je compte sur les responsables politiques français pour contribuer fortement à la lutte contre ce défi historique. "

LA FRANCE CONTINUE A FAIRE DES ECONOMIES

" François Hollande a annoncé vendredi à Tunis la conversion d'une partie de la dette tunisienne en investissements et l'octroi de 500 millions de prêts et de dons pour aider la transition démocratique dans ce pays.
La dette tunisienne à l'égard de la France s'élève à environ un milliard d'euros.
"La France prévoit des dons et des prêts de 500 millions d'euros l'année prochaine pour supporter la transition", a déclaré le président français dans un discours à l'Assemblée nationale constituante.
"La France a décidé de transférer 60 millions d'euros de dette tunisienne en investissements", a aussi annoncé le président.
François Hollande est le premier président français à se rendre en visite d'Etat en Tunisie depuis la révolution qui a chassé du pouvoir l'ancien président Zine El Abidine Ben Ali, début 2011. "


Jusqu'à quand serons nous des cons ?

A 10 ET 11 ANS, ILS FONT REGNER LA TERREUR DANS UNE ECOLE

" Depuis deux ans, la cour de récré est un enfer pour les élèves de l'école primaire Jules-Ferry de Bruay-la-Buissière (Pas-de-Calais). Deux frères, àgés de 10 et 11 ans y feraient régner la terreur, selon plusieurs parents. Crachats, insultes, voire coups de poing en pleine figure, sont devenus le lot quotidien des enfants, mais aussi des parents aujourd'hui excédés par le climat délétère qui règne dans l'établissement. Plainte et mains courantes n'y auraient rien fait. Les violences physique et verbale ne cesseraient de gagner du terrain. Face au ras-le-bol général, les parents ont décidé d'agir en observant " une journée morte " dans les classes, rapporte " Le Parisien ". L'idée ? Ne pas envoyer leurs enfants à l'école pour dénoncer ces violences chroniques qui gangrènent la cour de récré. " D'autres enfants se sont mis à devenir violents, le climat se généralise ", affirme une ancienne déléguée de parents d'élèves au " Parisien ". Le directeur de l'école, actuellement en arrêt maladie, a fait état de la situation à sa hiérarchie le 3 juin, précise " La Voix du Nord ". La famille incriminée est par ailleurs suivie par la Maison départementale de la solidarité. Reste que les violences se généralisent au-delà des portes de l'établissement scolaire. Au printemps dernier, une bagarre générale a failli éclater entre les parents des deux frères et ceux des autres élèves, à la sortie de l'école. Selon l'ancienne déléguée des parents d'élèves, la famille des deux garçons était venue en nombre et " barrait le chemin ", en menaçant de " frapper " les autres parents.  "

GONFLE LE SARKOZY !


" Nicolas Sarkozy a lancé vendredi un appel à la mobilisation au lendemain du rejet de ses comptes de campagne pour l'élection présidentielle de 2012 par le Conseil constitutionnel, une décision qui, selon lui, "met en péril" l'UMP.
Dans un message publié sur son compte Facebook, l'ex-président, qui a démissionné du Conseil constitutionnel jeudi pour retrouver sa liberté de parole, annonce son intention d'assumer ses responsabilités en s'engageant "pour la garantie d'une expression démocratique libre dans notre pays."
"À la suite de la décision du Conseil Constitutionnel, le premier parti d'opposition de France qui a contribué à rassembler il y un an près d'un Français sur deux ne bénéficiera d'aucun remboursement public", souligne Nicolas Sarkozy.
"Cette situation inédite sous la Vème République met en péril la formation qui doit préparer l'alternance tellement nécessaire au socialisme", ajoute-t-il. "Au-delà de la seule UMP, cet état de fait doit concerner tous ceux qui sont attachés au pluralisme."
"Je vous demande de m'aider en vous mobilisant, comme je vais le faire, à cette fin", conclut-il.
La décision du Conseil constitutionnel d'invalider les comptes de l'UMP complique la donne pour le parti de l'ancien président qui sera privé d'une subvention de 11 millions d'euros alors que ses comptes sont déjà minés par la défaite aux élections législatives de 2012.
Le président de l'UMP, Jean-François Copé, a annoncé jeudi le lancement d'une souscription pour combler le manque à gagner et qu'il réunirait la semaine prochaine le bureau politique afin d'examiner "toutes les conséquences" de cette décision. "


Non seulement, sa campagne a été un fiasco terrible, mais en plus il demande aux autres d'en assumer les dépenses excessives. En tant que responsable de cet état de fait, c'est à lui à en assumer la pleine responsabilité financière. Il doit faire comme un chef d'entreprise dont la boîte est en train de couler. Soit il injecte lui-même les fonds nécessaires ( et il doit pas en manquer ) pour sauver son parti, soit il assume la disparition de l'UMP. Il est quand même incroyable que les responsables politiques UMP ne prennent pas en charge eux-mêmes les surcharges financières de leur parti. Demander un effort à leurs adhérents c'est se moquer directement d'eux. M'enfin, je me fais aucun soucis il trouvera assez de couillons pour participer ! Et quand on est pas foutu de gérer les caisses de son parti, on est pas foutu de gérer les caisses du pays.