lundi 8 juillet 2013

LA GRANDE GUEULE DE MELENCHON SE FAIT MALMENER PAR LE PDG


Jouissif ! Pour ceux qui croyaient qu'il était proche des jeunes des banlieues, c'est une belle claque ! Le Front de Cloches ne respecte rien ni personne...

MELENCHON L'ANTI FRANCAIS DE SOUCHE



No comment !

FORTE BAISSE DU TAUX DU LIVRET A

" Le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer a indiqué aujourd'hui que le taux du Livret A, actuellement à 1,75%, devrait ,en application de la formule de fixation ad hoc, se situer dans le bas d'une fourchette de 1% à 1,25% «voire un peu plus bas». Précisant qu'il souhaitait attendre les prochains chiffres de l'inflation qui «sera très faible», Christian Noyer a expliqué sur BFM Business que la fourchette de «1 ou 1,25, ça me paraît être plutôt un chiffre vers le haut». «Le chiffre qui résulterait spontanément de l'application de la formule serait plutôt vers le bas de cette fourchette, voire un peu plus bas», a-t-il poursuivi.
Hier, dans un entretien au Journal du Dimanche, le directeur général de la Caisse des dépôts (CDC) Jean-Pierre Jouyet avait fait la même analyse. «Si l'on raisonne de façon mécanique», expliquait-il, «on devrait descendre entre 1% et 1,25%». Tout en jugeant politiquement délicat d'abaisser la rémunération du Livret A sous la barre de 1,5%.

Christian Noyer, auquel appartient la décision d'appliquer ou non la formule fixée par la loi, a dit avoir «deux objectifs, deux impératifs» : le premier, c'est de «favoriser la construction de logements sociaux, c'est une nécessité (...). C'est absolument incontestable, c'est une urgence». «Deuxièmement, nous devons permettre aux PME de se financer avec les taux les plus favorables possibles», a-t-il expliqué. Et «bien sûr, il faut préserver le pouvoir d'achat pour les épargnants». Cependant, «il ne faut pas se voiler la face: on ne peut pas avoir à la fois les taux les plus élevés possibles de rémunération de l'épargne et les taux les plus bas possibles par la Caisse des dépôts pour les prêts aux logements sociaux, aux collectivités locales ou les taux les plus bas possibles des banques pour les PME».

«De mon point de vue, la priorité, c'est le redémarrage de la croissance (...) et la réduction du chômage. Le fait que les taux d'intérêts baissent, d'une façon générale, c'est une bonne chose», a-t-il estimé.
Les chiffres de l'inflation sont attendus jeudi prochain. "


La dégringolade continue ! 

LES PERSONNES AGEES SONT DEVENUES LES PRINCIPALES CIBLES

" Mardi soir, vers 20 heures, un couple âgé d'environ soixante-quinze ans a été violemment agressé à son domicile.
L'épouse, grièvement touchée à la tête, a été transférée vers le centre hospitalier de Montluçon puis vers celui de Saint-Etienne. Son pronostic vital est engagé. " ( Janvier )


" Dans la nuit de jeudi à hier, un couple de personnes âgées qui habitent dans le quartier Paul-Lacombe à Carcassonne a vécu un moment de frayeur. Il était une heure et demie du matin lorsque l’homme, âgé de 89 ans, descend de la chambre située au premier étage pour se rendre aux toilettes. Il s’aperçoit que le garage est resté allumé et s’avance pour l’éteindre : c’est alors qu’il tombe sur deux hommes, cagoulés, qui viennent d’entrer dans la maison.L’un d’eux porte une arme de poing, avec laquelle il menace le vieil homme qu’il bouscule contre un meuble, avant de le ligoter autour du cou avec un pantalon de pyjama. Les deux agresseurs l’assoient sur une chaise et lui arrachent son alliance.
Pendant que l’un des cambrioleurs le tient sous la menace de son arme, l’autre fait le tour de la maison, monte au premier étage, et tombe nez à nez avec l’épouse, âgée de 77 ans, à laquelle il arrache également son alliance.
Puis les deux hommes repartent après avoir fait le tour de la maison et volé notamment quelques bijoux…Une tentative de cambriolage l’an dernierLes policiers de Carcassonne se sont rendus sur les lieux de l’agression dans la nuit, peu après les faits. Ils ont fait appel à une ambulance car le mari donnait des signes de problèmes cardiaques. En état de choc, il a été transféré à Toulouse.Ce n’est hélas pas la première fois que le couple doit subir un cambriolage. L’an dernier, des malfaiteurs avaient déjà tenté de s’introduire dans le pavillon par l’arrière et avaient échoué à monter sur le toit avant de se sauver.
Une enquête a été ouverte par le commissariat de Carcassonne, qui recherchait toujours, hier soir, les cambrioleurs en fuite. " ( Février )


" Un jeune de 21 ans a été mis en examen, hier à Versailles, pour vol en réunion. La justice lui reproche d'avoir, l'été dernier dans la zone commerciale d'Orgeval, agressé avec l'aide d'un complice deux hommes, âgés de 66 et 80 ans, pour leur dérober leur carte bancaire.

La façon de procéder des délinquants était toujours la même. Ils suivaient leurs victimes lorsqu'elles effectuaient leurs achats dans le magasin Intermarché. « Les malfaiteurs se débrouillaient pour être près d'elles au moment du paiement et retenaient le code secret de leurs cartes », raconte une source proche de l'affaire. Ils suivaient ensuite leurs proies jusqu'à leur domicile. Et alors qu'elles déchargaient leurs courses de leur voiture, les voleurs les menaçaient et les empêchaient de parler et de voir ce qui se tramait avant de s'emparer de leurs portefeuilles. « Pendant qu'un premier tenait la victime, le second en profitait pour échanger la carte de la victime contre une autre dérobée en Seine-Saint-Denis », ajoute une autre source.

Après plusieurs mois d'enquête, les gendarmes de la brigade des recherches de Saint-Germain-en-Laye découvrent que les cartes ont été utilisées pour effectuer des retraits d'argent mais aussi acheter des vêtements et des articles de luxe dans les centres commerciaux de la région parisienne. Le préjudice a été évalué à 15000 €. Les suspects ont été identifiés, entre autres, grâce aux images des caméras de vidéosurveillance.

L'un des deux hommes, déjà connus pour des faits identiques, a été interpellé chez lui mardi, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Lors de sa garde à vue à la brigade, le jeune homme est passé aux aveux. A son domicile, les militaires ont mis la main sur une montre de luxe et quelques vêtements. Son complice est toujours en fuite " ( Mars )


" Un homme encagoulé et armé a réussi à pénétrer dans la maison. Après avoir ligoté le couple à l'aide de cables informatiques, l'individu a fouillé l'habitation. Il est ensuite parti à 21h30 avec 100 euros en poche au volant du véhicule du couple.
Entravé pendant plus de trois heures, le couple a réussi à se libérer pour finalement alerté la gendarmerie.
Le soir même, lors d'un contrôle de police, l'individu a été interpellé à Douai. Ce dernier, originaire de la région parisienne, était recherché pour d'autres faits. Il a fallu quelques heures pour que la gendarmerie fasse le rapprochement avec l'agression du couple de sexagénaires de Cantin.
Samedi 9 mars dans l'après midi, le parquet de Douai a ouvert une information judiciaire. L'individu, mis en examen pour vol avec arme et séquestration, a été placé en détention provisoire. Il encourt 20 ans de prison. " ( Mars )


" Alors qu'il attendait un bus, un couple de personnes âgées a été agressé, boulevard 1848.

Ils ne s'y attendaient pas, surpris à une heure avancée de la nuit, alors qu'ils attendaient leur bus pour partir en week-end en Espagne. Pour eux, la nuit de pleine lune allait se transformer en cauchemar, et les deux jours au soleil bien compromis. C'est devant le '8 à Huit', sur le boulevard 1848, que les faits se sont déroulés.

Il était 4 heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi. Comme souvent, de petits groupes de personnes patientent et attendent leur bus pour partir en voyage, ou en week-end. Une habitude que certains ont, sans aucun doute, repérée. A 4 heures, deux individus s'approchent du couple. Les deux retraités, loin d'imaginer ce qui allait leur arriver, sont alors agressés par surprise. Les deux individus s'en prennent à la dame, lui volant son sac à main.

Le mari, qui tente de s'interposer, se blesse en tombant sur le trottoir. Choqué, le couple sera pris en charge, un peu plus tard, par les pompiers. Une caméra de vidéo surveillance, postée à proximité du '8 à Huit' du boulevard 1848, pourrait permettre d'identifier les auteurs de l'agression. Les images sont, pour l'heure, en cours d'exploitation. Une enquête a été ouverte. " ( Mai )


" Mardi vers  20h20 une alerte a été donnée  par un voisin d’une personne âgée   victime d’un vol  avec violence à Valence d’Albigeois. 
Suite à un vol  avec violence au domicile d’une personne âgée, un important  dispositif de police et de gendarmerie (section de recherche, hélicoptère…) a été mis en place afin de retrouver les voleurs  partis en voiture en direction d’ Albi. En lien avec les forces de polices albigeoises, les recherches réalisées ont quadrillé tout l’albigeois. Résultat,  la voiture a été localisée au Séquestre. Voulant arrêter cette dernière qui leur fonçait dessus,  les hommes  de la BAC ont riposté. En position de légitime défense, ces derniers ont  du faire  usage de leurs armes afin de dissuader le chauffard. Aucun blessé n’est à déplorer. A l’heure où nous écrivons ses lignes les fuyards sont toujours en fuite. Ligotée pendant l’agression  la victime est saine et sauve, n’ayant subi aucune blessure corporelle.  Motif de cette agression qui heureusement s’est bien terminée pour le retraité, selon certaines sources, les malfaiteurs étaient  intéressés par la collection d’armes du retraité. Une enquête judiciaire est en cours. " ( Mai )


" Hier, vers 11 heures, une troisième personne âgée a été violemment agressée par deux jeunes en deux-roues. Tout cela pour un butin dérisoire

Boulevard Napoléon III, hier vers 11 heures : Élisabeth (1), qui fêtera ses 73 printemps le 6 juin prochain, sortait de chez une amie. Elle allait traverser le boulevard pour regagner sa voiture lorsque deux jeunes, juchés sur un deux-roues, sont arrivés à sa hauteur. « Ils se sont jetés sur moi. Ils m'ont rouée de coups pour m'arracher mon collier en or, raconte-t-elle du fond de son lit de l'hôpital Saint-Roch où elle a été admise en urgence. J'ai mal partout. Au cou, au dos. J'ai des nausées. Je me sens si mal. »

« Elle ne s'est pas méfiée »

Hier après-midi, Élisabeth avait du mal à parler. Elle devait subir tout une batterie d'examens et de scanners pour dépister d'éventuelles lésions.

Son amie, Yolande, est tout aussi bouleversée par cette agression sauvage. « Alors qu'elle venait à peine de quitter mon domicile, je l'ai entendue hurler dans la rue. Je suis vite descendue pour savoir ce qui se passait. C'est alors que je l'ai vue étendue sur la chaussée. Nous avons appelé les pompiers et déposé plainte à la police, raconte Yolande, très choquée.

Pourtant, à la suite des agressions de personnes âgées dans le quartier, nous avions pris nos précautions. Ensemble, nous avions acheté des bombes anti-agression pour nous défendre. Mon amie n'a pas eu le temps de s'en servir. En fait, en voyant ces deux jeunes arriver, elle ne s'est pas méfiée. Elle a crû qu'ils voulaient lui demander un renseignement. »

La suite s'est déroulée autrement. Sur un mode violent pour un butin dérisoire : un pendentif en or.

« Nous avons peur »

Cette troisième agression de personne âgée, commise sur le même mode opératoire et en si peu de temps, a été prise très au sérieux par la police nationale.

C'est la Sûreté départementale qui a été chargée de l'enquête pour rassembler les faits et trouver les auteurs.

Dans le quartier, ces agressions en série visant des dames âgées, seules et proies faciles, a suscité une vague d'indignation et d'inquiétude légitime.

Hier sont parvenus à notre rédaction de nombreux coups de fils de riverains aux cheveux blancs, tous émus et révoltés. Comme Suzanne, 81 ans, qui vit depuis 35 ans dans ce quartier jusqu'à présent sans histoire. « En quelques jours, j'ai assisté à deux agressions. D'abord une de mes voisines, âgée de 91 ans à qui on a arraché son sac, et puis cette dame, agressée ce matin (lire hier matin), sous mes fenêtres. Tout cela fait peur. Dans mon immeuble, plusieurs personnes âgées sont comme moi, effrayées par ce qui se passe ici. Aujourd'hui, nous avons peur. Peur de sortir de chez nous. Peur de porter un collier ou un sac. Peur de faire nos courses. Parce que maintenant, ils agressent en pleine journée et en pleine rue. »

Et Suzanne d'appeler à des rondes de police pour sécuriser le quartier. « Avec mes voisines, nous sommes prêtes à lancer une pétition. Il ne faut plus que les gens se laissent faire. Il faut refuser de vivre dans ce climat de peur. »

Une série noire

Caucade, mercredi 19 mai

Vers 15 heures, avenue Sainte-Marguerite, une dame de 82 ans est agressée, en se rendant à l'enterrement de sa soeur, par deux adolescents en vélo qui lui arrachent la chaîne en or qu'elle porte au cou. Choquée, elle parvient à reconnaître ses agresseurs, des mineurs. L'un avoue, l'autre nie. Les deux, laissés libres, seront convoqués devant le tribunal des enfants.

Musiciens, samedi 22 mai

Rue Verdi, vers 17 heures, une dame de 62 ans est plaquée contre un mur par un individu casqué, descendu d'un deux-roues. Il lui arrache son collier en or, lui cassant le bras dans l'agression. L'homme avait un complice. Ils sont activement recherchés.

Fabron, hier matin

Devant le 102, boulevard Napoléon III, une dame de 72 ans se fait arracher son collier en or (lire les détails ci-contre).

Ces trois faits identiques en moins d'une semaine, curieusement à trois jours d'intervalle chacun, ne seraient pas les premiers, si l'on en croit certains habitants du quartier de Caucade. La semaine dernière, une dame de 91 ans aurait déjà subi le même sort. Deux ou trois autres agressions de ce genre sont également signalées ces derniers mois. De tels faits sont également survenus à Cannes, le 27 novembre dernier, et à Antibes le 24 mars 2009. À chaque fois, il s'agissait d'octogénaires dépouillées de biens précieux. " ( Mai )


" Un individu a agressé une personne âgée de 76 ans, hier, vers 11 h 30, rue Ernest-Courtin, à Châteauroux. Le malfaiteur s'est soudainement présenté à sa hauteur et lui a arraché le sac qu'elle portait en bandoulière. Le voleur a aussitôt pris la fuite vers l'impasse Sagot et a disparu dans la nature.
Le sac contenait différents papiers administratifs ainsi qu'un jeu de clefs, mais pas de numéraire, ni de carte bancaire. " ( Juin )


LES EXEMPLES SONT TELLEMENT NOMBREUX QUE JE VAIS M'ARRETER LA. JE NE PEUX QUE CONSEILLER AUX PERSONNES AGEES DE PRENDRE UN MAXIMUM DE PRECAUTIONS. VOUS ETES DEVENUS DES CIBLES PRIORITAIRES ET LE GOUVERNEMENT NE FAIT RIEN POUR VOUS ET VOTRE SECURITE.

GENS DU VOYAGE : LE RAS-LE-BOL GAGNE

" "Les choses sont très claires, il y a une loi qui dit qu'il faut avoir des terrains d'accueil avec une certaine capacité, j'en ai pour Nice", a-t-il dit au "Grand Rendez-vous" (Europe 1/i-Télé/Le Parisien), interrogé sur la présence de plusieurs centaines de caravanes récemment à Nice.

Dès lors que des terrains sont occupés "sans droit ni titre", dans certains cas après effraction, la loi doit permettre d'"expulser", a-t-il ajouté, regrettant qu'une "circulaire Valls" de l'été dernier ne le permette plus, laissant les maires "livrés à eux-mêmes".

"Donc j'appelle les maires de France à la révolte quelque part et à utiliser le mode d'emploi qui est le mien", a ajouté l'élu des Alpes-Maritimes.

"Je vais envoyer mon mode d'emploi à tous les maires de France pour qu'ils sachent pendant tout l'été quels moyens utiliser face à un pouvoir socialiste qui ne les accompagne pas dans leur difficile mission", a-t-il insisté.

Estrosi : "un mode d'emploi" pour expulser les gens du voyage
Il a cité l'exemple de gens du voyage venus s'installer sur deux terrains de football de sa ville, en exprimant le souhait de rester trois semaines. Il n'a pas voulu "céder", promettant de les "mater". Comme moyens répressifs à sa disposition, il a cité l'installation de caméras pour surveiller leurs allées et venues sur ces terrains mais aussi leurs déplacements en ville, la collecte des numéros d'immatriculation, et la possibilité de faire saisir leurs véhicules via une procédure de référé devant le tribunal.

Au besoin "on vendra les véhicules pour pouvoir se rembourser de ce que les contribuables niçois et français n'ont pas à payer", a encore dit M. Estrosi, évoquant une facture de 620.000 euros pour l'occupation des terrains de foot.

Dans la soirée, le ministère de l'Intérieur a dit à l'AFP que la situation évoquée par M. Estrosi était désormais réglée et qu'"à l'heure où l'on se parle, il n'y a aucune installation illégale de gens du voyage à Nice ou sur le territoire de la métropole".

Le porte-parole du ministère, Pierre-Henry Brandet, a insisté sur le fait que la circulaire évoquée par M. Estrosi concerne en réalité les campements illicites, comme certains bidonvilles installés le long de voies routières, et non la situation des gens du voyage. Appelant à "faire attention aux amalgames", il a ajouté que "la loi doit être appliquée avec fermeté, mais sans pour autant stigmatiser quelque population que ce soit, qu'elle soit française ou d'origine étrangère".

Quant à la mise à la disposition d'aires d'accueil pour les gens du voyage, qui est une obligation légale pour les communes de plus de 5.000 habitants, "seules quatre sur 28" dans les Alpes-maritimes la respectent (Nice étant comprise dans les quatre), a dit M. Brandet. Il n'existe sur le département aucune aire d'accueil dite de grand passage, comme la loi l'impose également aux collectivités territoriales, a-t-il ajouté.

Christian Estrosi avait lancé que "quand on rentre par effraction quelque part on est un délinquant". "Quand un citoyen normal franchit d'1 cm la ligne jaune, il est arrêté, interpellé, traité comme un voyou. Eh bien quand on rentre par effraction sur un terrain public ou une propriété d'autrui on est un voyou tout simplement", a-t-il affirmé.

Eduardo Rihan-Cypel, un des porte-parole du Parti socialiste, a jugé ses propos "totalement inqualifiables". "C'est quasiment un appel à des pogroms. Ce sont des propos d'un chef d'une milice et pas d'un élu digne de la République", a déclaré ce député sur i-Télé. Il a stigmatisé aussi les arrières-pensées électorales et la "peur" du maire de Nice face à un FN "très fort" à moins d'un an des municipales.

"Les appels à la haine de Christian Estrosi méritent les tribunaux", a réagi de son côté le porte-parole du PCF Olivier Dartigolles dans un communiqué. "

A tous les indignés du PS et du PC ( je m'adresse notamment aux élus qui sont les premiers à ramener leurs gueules ! ), puisque vous les aimez tant et que vous êtes prêts à défendre la cause des gens du voyage, je vous invite tout naturellement à les accueillir dans vos jardins et vos propriétés. Je vous suggère aussi à les inviter à se brancher sur vos compteurs d'eau et d'électricité. Comme ça, tout le monde sera content !