vendredi 13 décembre 2013

LE DANGER ISLAMISTE EN EUROPE ET EN FRANCE

" Faisant face au danger que présente le terrorisme islamiste, les sociétés européennes commettent une erreur qui leur pourrait être, sur le long terme, fatale.

En analysant la situation Syrienne, en étudiant les attentats du 11 Septembre 2001 ainsi que les attaques de Madrid et de Londres, et en faisant le lien avec les guerres menées en Tchétchénie, au Kosovo, en Bosnie et en Algérie, il semblerait que le concept de Jihad ne soit qu’une forme de justification religieuse que se donnent des groupes armées musulmans pour atteindre leurs objectifs socio-politiques. Néanmoins, une grave faille stratégique peut dériver du fait de limiter la notion de Jihad à un type de conflit généré par des groupuscules fondamentalistes proches ou sympathisants avec l’idéologie apocalyptique d’Al Qaeda. Il est certainement vrai que les fous d’Allah qui se font exploser dans les bazars pakistanais partagent la même vocation que ceux qui brûlent des Eglises en Syrie et en Egypte, inspirant ainsi les imams des banlieues européennes. Pourtant si la violence d’une explosion peut en elle-même prouver la force de l’idéologie Jihadiste, elle peut voiler les yeux face à une réalité qui est en elle-même plus grave et largement plus néfaste pour l’Occident et la civilisation Judéo-Chrétienne. Le Jihad, en tant que concept religieux ne se limite pas simplement à la violence armée à des fins de prosélytisme, au contraire la forme armée du jihad n’est considérée dans le Coran que comme une variante mineure du plus large effort que tout musulman doit accomplir dans sa vie pour se rapprocher de Dieu, entre autre se garantissant une place au paradis en propageant sa foi et sa vision de la loi divine.

Dans un découpage géopolitique aussi simple que fonctionnel, l’Islam divise le monde en deux entités. Dar-Al Islam, territoires où la loi Coranique est appliquée, et Dar-Al Harb, territoires en guerre avec le monde musulman dans lesquels la loi Coranique n’est pas encore appliquée. Théologiquement, aucune paix absolue n’est envisageable entre ces deux entités, seulement des périodes de non-guerre peuvent être considérées comme souhaitables, périodes qui servent au monde musulman à s’enrichir et à préparer le terrain pour une meilleure approche dans l’optique finale de propager la religion de Mohammed.

Cette considération est structurelle pour comprendre au mieux la relation qui existe entre une grande portion des communautés musulmanes résidant en Europe et leurs pays d’accueil. L’ex-Rais libyen avait été cité en disant que l’Islam n’a pas besoin de bombes pour envahir l’Europe, simplement de ses femmes. Effectivement le poids démographique des populations Islamiques résidant en Europe, lié à la tendance et au prosélytisme de ces mêmes communautés, est une arme beaucoup plus efficace que n’importe quelle attaque ou destruction. Pour cela deux exemples doivent être adressés pour comprendre le risque que l’Europe et la France courent en ce moment.

Au cours d’une patrouille Vigipirate dans le quartier d’affaires parisien de la Défense, un militaire a été gravement blessé le 26 Mai 2013. Un homme invoquant sa volonté de mener un Jihad personnel contre l’Etat a attaqué le soldat qui était en train de d’accomplir sa mission. Cette forme d’attentats, aussi dangereuse et dramatique soit-elle, a des effets bien plus négatifs que l’on puisse l’imaginer. Elle permet à l’opinion publique de s’asseoir dans l’idée que le danger Islamiste ne provient que d’une très faible minorité d’individus prête à tuer et à être tués pour la propagation de leur foi.

Au contraire, l’Islamisation se fait de manière plus subtile et plus travaillée que cela, elle implique une plus large tranche de la population musulmane de France et elle s’insère dans toutes les failles possibles de notre système.

Le 27 Novembre 2013, le tribunal administratif de Grenoble a obligé la prison de Saint-Quentin-Fallavier à servir des repas halal à ses détenus musulmans, ou à tout détenu souhaitant recevoir ce type de repas. En soi, cette nouvelle peut facilement passer inaperçue pourtant elle devrait être considérée pour ce qu’elle représente réellement. Le musulman a la possibilité de mener un jihad, un combat personnel, ayant des résultats beaucoup plus forts que l’attaque au cutter contre un militaire en patrouille. L’action personnelle liée aux revendications communautaires est beaucoup plus efficace à propager l’Islam dans les démocraties occidentales. Le droit de pratiquer sa religion dans un centre pénitentiaire est certainement un droit de tout citoyen dans une démocratie moderne, pourtant en sachant qu’un très grand nombre de conversions à l’Islam a lieux en prison ou dans les quartiers avec une forte population ayant connue des situations carcérales, l’innocence de telles requêtes ne peut qu’être légitimement mise en doute. Le lien doit être fait entre cet épisode et les prières de masse dans les rues parisiennes, les menaces faites aux non-musulmans dans les quartiers où ces derniers sont en minorité ainsi qu’avec les efforts faits pour adapter les règles des institutions républicaines aux besoins propres à une communauté.

Dans son œuvre présentant une vision post-apocalyptique d’une France Islamisée, l’auteur russe, Elena Tchoudinova, écrit : « Quand on commence à faire des concessions, on ne peut plus s’arrêter ». Cette maxime semble avoir été bien comprise et assimilée par les communautés musulmanes qui vivent en Europe mais qui considèrent que leur devoir est celui d’Islamiser cette terre et non pas de s’adapter à ses règles. Pour cela, l’action armée aussi dangereuse soit-elle ne doit pas être une poudre dans les yeux des sociétés européennes. L’acte terroriste en soi ne doit pas être vu comme le début et la fin d’un processus qui serait contré par des mesures sécuritaires. Le jihad qui vise à faire de l’Europe une partie de Dar al-Islam se base sur une volonté de vaste communauté à vivre avec un seul but, obliger des gouvernements faibles et ignorants à entrer dans une logique de concessions qui n’a pas de limites. "

MANDELA : UN TRADUCTEUR SOURD ET MUET PARTICULIER...


" De l’hommage à Nelson Mandela, nous garderons aussi le souvenir ému de la performance du traducteur en langage des signes. Pour les bien entendants, les mouvements du personnage pouvaient faire illusion. Grave, imprégné de son rôle, l’expert semble retranscrire tous les propos tenus à la tribune… Dès le lendemain, les associations de sourds et malentendants dénoncent l’imposture : les gestes ne correspondaient à aucun langage connu.

Les handicapés auditifs présents devant leur téléviseur n’ont donc peut-être toujours pas compris de quoi il retournait. Mandela décédé, personne n’a pu échapper à la nouvelle, mais que disaient les personnalités venues discourir à la tribune ? Peut-être en disaient-elles du mal ? Peut-être affirmaient-elles que sa femme était une traînée… Allez savoir. Seule la lecture des divers hommages pourra dissiper le doute.

Outre l’aspect hautement comique de la prestation, la présence aux côtés des grands de ce monde d’un émule du mime Marceau pose question. Comment un personnage anonyme sans aucune qualification a-t-il pu arriver là ? Nul en langage des signes, nous sommes d’accord, mais virtuose de l’embrouille ! Le passe-partout des cérémonies ! Al-Quaïda le réclame ! À trente centimètres d’Obama, il mouline… comme s’il avait fait ça toute sa vie. Avec une bonne ceinture d’explosifs, le gars vous liquide tout le gratin du G20 en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.

Le gagman de l’hommage à Mandela se dénomme Thamsanqa Jantjie. Plusieurs spécialistes en surdité se sont cassé un bras en essayant de traduire son nom, d’où peut-être une pulsion à se charger du travail lui-même. Le lendemain, remis de ses émotions, notre gars plaide la schizophrénie. Un moment d’égarement, en quelque sorte. Une envie soudaine de gesticuler aux côtés des grands de ce monde. Syndrome rarissime. Admettons. Reste le mystère de son incursion jusqu’à ce poste stratégique. Qu’il écrive un livre pour nous expliquer sa stratégie. Nous l’achèterons.

Il serait injuste de trop ridiculiser Thamsanqa Jantjie, car en assistant de François Hollande, il ferait des merveilles. En quelques gestes bien sentis, il lui expliquerait où est l’avion. Là devant : les ailes (mouvement des bras). Le fuselage (signe transversal). Les nouvelles taxations seraient enfin expliquées en langage imagé. Majeur tendu vers le haut pour les uns, quenelle pour les autres, le peuple comprendrait plus vite…

Thamsanqa Jantjie, je te le dis, la France a besoin de toi. "


NOUVELLE AFFAIRE CHARLIE HEBDO

" Comment se fait-il que personne n’en ait parlé ? Voilà la première question que l’on pourrait se poser après avoir pris connaissance d’un article de Laurent Léger publié ce 5 décembre sur le site de Charlie Hebdo.

Le journaliste accuse Mustapha Saha — un collaborateur de l’Élysée — d’avoir attaqué le journal à plusieurs reprises en « téléguidant des articles dans la presse algérienne ». Articles dans lesquels Charlie Hebdo est accablé de critiques d’ordinaire réservées aux journaux d’extrême droite (ça doit leur faire tout drôle, ce petit dépucelage) : colonialistes et maurrassiens, racistes et menteurs, tombés dans le « caniveau de la xénophobie », affublés du « masque hideux du racisme », « l’islamophobie » pour marque de fabrique et la « maghrébophobie » comme fonds de commerce.

Pour Charlie Hebdo, la cause de cet acharnement paraît évidente : le 23 octobre dernier, le journal publiait une enquête « précise et factuelle » sur Faouzi Lamdaoui, conseiller à l’égalité et à la diversité auprès de François Hollande. Ce dernier a bénéficié, durant plusieurs mois, d’une protection policière et d’une voiture de fonction suite à des lettres de menace. Or, ce traitement coïncide également avec le retrait de son permis de conduire, survenu peu de temps auparavant, ce que n’a pas manqué de relever le journal.

Cette protection fut levée début août. Les fonctionnaires du Service de protection des hautes personnalités (SPHP), déjà sceptiques face à l’affaire, n’avaient, paraît-il, pas apprécié la fâcherie de Faouzi Lamdaoui un matin de juillet. Celui-ci avait déploré que la « consigne » n’ait pas été respectée : « On ne vous a pas dit qu’il faut m’acheter un pain au chocolat le matin ? », avait-il demandé aux officiers incrédules. Christophe Crépin, syndicaliste UNSA Police, déclarera à ce propos : « Les fonctionnaires du SPHP sont des policiers aguerris dont le métier ne consiste pas à faire les courses à la boulangerie. »

Après l’enquête à charge de Charlie Hebdo, Mustapha Saha se serait alors mis en tête de défendre Faouzi Lamdaoui, dont il est le « collaborateur officieux ».

Tsa-algerie.com, elwatan.com, maglor.fr sont autant d’organes ayant servi d’antenne à Mustapha Saha pour disperser sa calomnie. Et comme le bougre craint encore moins le ridicule que le mensonge, il n’a pas hésité à dresser une comparaison douteuse entre Faouzi Lamdaoui et Christiane Taubira, tous deux victimes des « propagandistes d’extrême droite » et des « antidémocrates » qu’il accuse de tirer à vue sur les « quelques dirigeants franco-maghrébins et franco-africains sortis de l’ombre ». Évidemment.

Visiblement plus fanfaron que prudent, Mustapha Saha s’est empressé d’envoyer sa prose à tout son entourage, si bien que Charlie Hebdo a pu mettre la main sur le texte et remonter ainsi à la source du méfait. La mention « Présidence » et le nom de Vanessa, secrétaire de Faouzi Lamdaoui, apparaissaient encore dans les propriétés du fichier. Le texte, notamment publié sur le site maglor.fr sous la plume d’une certaine Arlette Colin, a disparu du site « une fois découvert le pot aux roses ».

Je ne sais pas ce qui inspire le plus de mécontentement dans cette affaire. Est-ce la tromperie sans vergogne de gens qui résident aux plus hautes instances du pouvoir, ou est-ce le pathétique d’un collaborateur vautré dans sa fange qui est, à l’image du gouvernement qui l’emploie, incapable de compétence.. même dans le mensonge ? "

RAPPORT SUR L'INTEGRATION : TOUT BONNEMENT DESESPERANT

" C'est un rapport qui marque un tournant dans la conception des politiques d'intégration en France. Pilotés par le conseiller d'Etat et spécialiste de la question Thierry Tuot, cinq groupes de travail sur la refondation de la politique d'intégration ont remis leurs conclusions au Premier ministre le 13 novembre dernier. Leur travail vient d'être mis en ligne sur le site de Matignon.

Après la dissolution du Haut Conseil de l'Intégration (HCI), le 24 décembre 2012, Jean-Marc Ayraulta fait part de son intention de "renouveler en profondeur l'approche des questions d'intégration en France". La fuite, au coeur de l'été, d'un rapport du HCI sur le voile à l'université, et l'interpellation d'une femme portant le voile intégral à Trappes a remis au premier plan le débat sur les politiques d'intégration. 
Que disent ces rapports? Le travail de ces groupes, constitués de représentants d'associations, de fonctionnaires, de syndicalistes et de chercheurs, recoupe un champ très large et traite des questions du vivre ensemble, de la protection sociale, de la connaissance et de la mémoire, des mobilités sociales et de l'habitat. 

L'approche de Thierry Tuot consiste à repenser la conduite des politiques publiques en matière d'intégration. Il est ainsi proposé de créer une "gouvernance de l'Etat" pour la lutte contre les discriminations (création d'une autorité indépendante de lutte contre les discriminations sociales et ethno-raciales, d'une instance de pilotage des politiques publiques en la matière, d'un institut nationale et d'un fond d'investissement). Le rapport propose également la création d'un délit de harcèlement racial ou encore d'une "Cour des comptes de l'égalité". 

Une laïcité "inclusive"
Le rapport "faire société commune" s'attaque également à la question de la laïcité à l'école, et plus précisément à l'encadrement des sorties scolaires. Il prend l'exemple de la circulaire "Chatel" du 27 mars 2011, qui stipule que les parents accompagnateurs sont soumis au pincipe de laïcité. "Cette circulaire se fonde sur une approche de la laïcité (...) orthodoxe ou néo-républicaine attachée à rappeler de façon descendante et universelle ses principes", estiment les auteurs. 

Ils dénoncent les "effets discriminatoires" de ce texte, "fondé sur un critère d'appartenance religieuse". cette circulaire conduirait à un renforcement des inégalités sociales.  

A rebours d'une laïcité "orthodoxe", les auteurs proposent donc de se rallier à "une conception inclusive et libérale de la laïcité, sensible à la fois aux contextes et aux conséquences de sa mise en pratique", propose le rapport. Et d'expliquer: "Faire société commune dans ces conditions ne présuppose pas que ce qui fait le commun soit prédéterminé, pré-établi par la société majoritaire et ses élites mais au contraire soit le fruit d'un processus à la fois ascendant et descendant, fait de coopérations, de compromis, d'apprentissages réciproques, de confrontations pour in fine constituer le commun comme nouvelle forme d'universalité au bénéfice de tous". 

Sur ces bases, le rapport propose ainsi de revoir l'ensemble des circulaires et textes de loi "qui comportent des mesures discriminatoires ou dont les effets induits sont des processus discriminatoires". 

L'école, laboratoire d'une nouvelle politique d'intégration
Le rapport dénonce également vigoureusement "la production industrielle de l'échec scolaire en France", et "l'incapacité depuis 30 années à tarir le flux de sortants sans diplôme qui enchaînent ensuite entre 3 et 5 ans en moyenne de parcours d'insertion incertains, sans perspective de carrière, mais aussi par le nombre de jeunes sortant avec des diplôme obsolètes, dont une partie est si disqualifiée dans l'éducation nationale elle-même, qu'elle ne débouche sur aucune poursuite d'étude". Les auteurs préconisent encore de renforcer les méthodes pédagogiques de l'école pour les enfants de milieux populaires en difficulté, et de repenser totalement l'orientation. 

Enfin, pour promouvoir la connaissance de l'immigration, les groupes de travail proposent de repenser les programmes scolaires, afin d'intégrer, dès l'école primaire, "l'histoire des mouvements de population dans leur globalité", "ceux liés à l'esclavage et à la traite négrière, aux colonisation, à l'immigration économique..." " 


Pour ceux qui n'auraient pas compris : Les immigrés n'auront plus besoin de chercher à s'intégrer, les Français s'intégreront à vous !