mardi 21 janvier 2014

LA DISPUTE ENTRE HOLLANDE ET TRIERWEILER AURAIT COUTE 3 MILLIONS D'EUROS AU CONTRIBUABLE



" Jean-Baptiste Le Roux, journaliste à Economie matin, annonce que, je le cite : « La scène de ménage de Valérie Trierweiler aurait coûté 3 millions d’euros à l’Elysée… A moins que ce ne soit le contribuable qui ne paye. » (comment douter : le contribuable paye toujours)

Il semble que soit passée sur l’Elysée la tornade Valérie, véritable scène de ménage de théâtre de boulevard : pots et vases cassés (et à l’Elysée, les vases ne viennent pas de chez Ikea), rixe, cheveux tirés, cris et pleurs, veste de Hollande déchirée, et tout le tintouin, lorsque Valérie Trierweiler a eu la confirmation que François Hollande la trompait.

« Une dispute qui ne se serait pas déroulée sans casse » dit Le Roux, citant un témoignage anonyme, selon lequel « Valérie Trierweiler, dans une colère folle, aurait saccagé le bureau présidentiel ».

Le témoin anonyme cité par Economie matin et un autre blog dit tenir ses confidences « d’un haut fonctionnaire du Mobilier National-condisciple d’un ami », car « le Mobilier National aurait été appelé en urgence dans la matinée du 10 janvier dernier, afin de procéder à quelques aménagements de la déco présidentielle, qui aurait subi, quelques dégradations. »

Jean-Baptiste Le Roux : « Des dégradations, qui selon le fonctionnaire… auraient été causées par Valérie Trierweiler, qui, emportée dans une colère folle … aurait fait volé en éclat quelques vases de la manufacture de Sèvres, des pendules précieuses, ainsi quelques « objets d’arts de très grande valeur artistique et historique ». »

Jean-Baptiste Le Roux : « L’ex-concubine du président aurait même cherché à se jeter sur le président de la République, avant d’être écartée par le service de sécurité de François Hollande, et aurait terminé sa crise de nerf dans le Boudoir d’Argent, la pièce adjacente au bureau présidentiel, où elle aurait continué « son oeuvre destructrice ». »

Jean-Baptiste Le Roux : « le Mobilier National aurait estimé le coût des dégâts à trois millions d’euros ».

Jean-Baptiste Le Roux : « On attend avec impatience de savoir si l’opposition se saisira d’un tel sujet… ou pas. »

C’est terrible mais possible. Terrible parce que nous écrivions avec humour espérer que la vaisselle de l’Elysée avait été mise sous clefs avant que le président ne révèle à la délaissée qu’il a remplacé une plus vieille par une plus jeune.

Possible parce que nous avons publié voilà quelques mois une vidéo où l’on voit une Valérie Trierweiler très agressive attraper une journaliste caméraman par la capuche et la tirer en arrière après que les services d’ordre lui avaient demandé de ne pas filmer .

Sacré Valérie. Mon petit doigt me dit qu’on n’a pas fini de se marrer, à regarder de loin la France jouer les précieuses ridicules. "

L'UMP S'ALLIE AVEC BAYROU QUI A VOTE HOLLANDE



" Jean-François Copé est fort mécontent de l'accord conclu à Pau entre l'UMP et François Bayrou pour les élections municipales, un rapprochement auquel il a été contraint, dit-il, alors même qu'il "n'oublie rien du passé".

L'accord entre le dirigeant centriste, qui tente ses chances pour la troisième fois dans la capitale du Béarn, et l'UMP Eric Saubatte, son adversaire aux élections législatives de juin 2012, passe mal au sein du parti d'opposition.

Nombreux sont les élus et cadres de l'UMP qui ne pardonnent pas à François Bayrou d'avoir voté pour François Hollande au second tour de l'élection présidentielle en mai 2012 et d'avoir vivement attaqué Nicolas Sarkozy durant son quinquennat.

A contrario, les anciens Premiers ministres François Fillon, Jean-Pierre Raffarin et Alain Juppé plaidaient pour une pacification.

"Je me suis trouvé dans une situation que je déteste mais que j'assume : celle du fait accompli", déclare Jean-François Copé pour expliquer son revirement dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles.
"Notre candidat UMP et ses militants m'ont informé qu'ils se rangeaient finalement derrière la bannière de François Bayrou dans l'espoir de battre la gauche qui dirige Pau depuis plus de 40 ans. J'en ai pris acte. Pour autant, j'en suis fort mécontent", poursuit-il.

"Parce que François Bayrou a été l'un des artisans de la défaite de Nicolas Sarkozy. Si j'ai bel et bien été contraint de valider cet accord, en revanche, je n'oublie rien du passé", souligne le président de l'UMP. "


Aucune fierté chez l'UMPS... comme disait quelqu'un de controversé, pour faire de la politique il ne faut pas avoir d'honneur. C'est même un handicap !

LE GOUVERNEMENT A FALSIFIE LA LISTE DES ÉVADÉS FISCAUX

" Le quotidien financier Agefi affirme sur son site que les autorités françaises ont falsifié en 2009 les listes d'évadés fiscaux en Suisse livrées par l'ex-informaticien de la banque HSBC Hervé Falciani, ce qu'un rapport parlementaire infirmait en juillet.

L'Agefi dit être "en mesure d'affirmer sans conditionnel que le contenu des listes a bien été modifié", "après avoir pu consulter un rapport de l'Office fédéral de la police".

Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Bercy a renvoyé au rapport présenté en juillet 2013 par le rapporteur du budget à l'Assemblée nationale, Christian Eckert, infirmant toute disparition de contribuable.
"L'élaboration des listes de contribuables établies par l'administration fiscale a donné lieu à de nombreux commentaires dans les médias. Le Rapporteur général ne peut qu'infirmer l'affirmation que des contribuables auraient "disparu"", selon un extrait de ce rapport parlementaire.

"Environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés", selon le site d'actualités financières qui rappelle que le 23 juillet 2012, le quotidien Le Monde avait déjà suggéré que "la liste des évadés fiscaux de HSBC en Suisse aurait été falsifiée".

L'Agefi précise que "la liste comprenait 8.993 noms. En retirant les doublons, il restait (selon Le Monde) 6.313 personnes physiques ou morales".

Or, souligne l'Agefi, "pendant l'été 2009, l'ancien ministre du Budget, Eric Woerth n'évoquait plus qu'une liste de 3.000 noms d'exilés fiscaux".

"Le calcul est vite fait: environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés", estime le quotidien spécialisé qui évoque des "incohérences" mentionnées dans le rapport de l'Office fédéral de la police sur les copies des fichiers remises par la France à la Suisse début 2010.

L'ancien informaticien de la banque HSBC à Genève Hervé Falciani a révélé en 2008 des fichiers permettant de découvrir des milliers d'évadés fiscaux dans le monde, ce qui lui vaut d'être poursuivi en Suisse.

Deux premières condamnations, à huit et dix mois de prison avec sursis, ont été prononcées en France à la mi-décembre dans un dossier de fraude fiscale ouvert sur la foi des fichiers HSBC remis à la justice par Hervé Falciani. "

MANIF CONTRE L'AVORTEMENT

" Les Français ont répondu en grand nombre à l’appel du collectif « En Marche pour la Vie », hier, dimanche 19 janvier. Venus de toute la France et de l’étranger, ils étaient 40’000. Ce chiffre est un record pour ce rendez-vous annuel organisé depuis dix ans. Il est vrai que le soutien d’une personnalité emblématique a signifié l’importance de cette marche : le Pape François.

A noter, une présence exceptionnelle de personnalités et délégations venues de toute l’Europe : Italie, Pays-Bas, Pologne, Hongrie, Irlande, Portugal, Allemagne, etc. Plusieurs évêques espagnols entouraient quatre évêques français.

L’Espagne où un projet de loi sera prochainement voté pour restreindre l’avortement, avait une forte délégation de députés, sénateurs et représentants des grandes associations familiales et pour le respect de la vie, hier à Paris.

Hier, la Marche 2014 a montré que l’espérance a changé de camps. L’idéologie qui a imposé l’avortement comme un droit est maintenant en recul. Dans le conflit qui oppose le droit de l’enfant conçu et le droit de la femme, les regards se portent aujourd’hui sur le plus faible, à savoir l’enfant conçu pas encore né.

Désormais, les responsables politiques français doivent regarder la réalité en face : il y a trop d’avortements en France, y compris à cause des avortements dits « de confort » ou « de convenance ». "


C'est comme tout, quand il y a trop d'abus...

HOLLANDE : LE PRESIDENT INDIGNE


" Je doute qu’on sache un jour toute la vérité sur la rupture (?) entre François Hollande et Valérie Trierweiler, mais ce qu’on sait aggrave encore ce que j’en ai dit voici peu. Il semblerait, selon des témoignages concordants, que François Hollande ait nié toute liaison quand sa compagne le questionnait, jusqu’au jour de la publication des désormais célèbres, et ridicules, photos. Il semblerait qu’à ce moment, il ait reconnu les faits et demandé aussitôt, sur suggestion de ses conseillers, la signature d’une lettre de séparation « d’un commun accord » à Valérie Trierweiler, en lui suggérant de partir vite. Elle aurait refusé de signer et de partir, et serait rentrée dans une rage violente. Il semblerait qu’ensuite Valérie Trierweiler ait absorbé des médicaments et ait été emmenée à l’hôpital, dont elle vient de sortir, discrètement.

Francois Hollande, en ce cas, n’a pas seulement menti et trompé sa compagne. Il a voulu la congédier comme on congédiait une domestique il y a deux siècles, en l’humiliant doublement par cette procédure. J’avais écrit que dans le monde qui parle anglais, lui seraient reprochés la duplicité et le mensonge. J’ajouterai que lui serait reproché un comportement plus humiliant et plus dépourvu de scrupules encore que celui qu’on aurait imaginé jusque là. Non seulement cet homme apparaît menteur et trompeur, tout en occupant une fonction où il s’agit de très graves défauts, mais il apparaît effectivement sans scrupules, sans droiture, et sans respect minimal pour l’être humain. Il apparaît prêt à humilier, rabaisser, jeter les gens comme des objets usagés. Il apparaît absolument indigne.

Ses paroles, depuis, ont été conformes a ce que je viens de décrire. Glaciales, glaçantes. Aux Etats Unis, les journalistes le presseraient de questions, et l’opinion ne pardonnerait pas. Cela semblerait pire que ce qui a été reproché à Nixon lors du Watergate ou à Clinton lors de l’affaire Lewinski. Obama, assez épargné pour l’heure par de multiples dossiers qui devraient lui valoir l’impeachment, aurait du mal à surmonter celui la, et apparaîtrait comme ayant humilié une femme aux yeux du monde, avec cynisme, et, à tort ou à raison, cela ne lui serait pas pardonné.

En France, je remarque que personne ne semble vouloir demander à Hollande de s’expliquer, personne ne semble s’indigner (François d’Orcival, dans Valeurs actuelles, dit que c’est parce que le taux de confiance envers Hollande est déjà effroyablement bas, ce qui est possible, mais pas certain), personne ne demande une démission. La droite réprouve Hollande moralement et le décrit comme ayant rabaissé gravement la fonction présidentielle, ce qui est relativement bien, mais pourrait être mieux, car il y a là davantage qu’un rabaissement de la fonction présidentielle. Une droite cynique existe aussi, et me consterne.

A gauche, ce qui domine est un discours invoquant la séparation entre la vie politique et la vie privée et disant que se conduire ainsi dans la vie privée n’a aucun impact sur la vie politique, ce qui témoigne de l’absence totale de principes des gens qui parlent ainsi. Ce qui existe aussi à gauche est une exaltation des pulsions amoureuses, sans la moindre considération pour l’éthique, l’autre personne ou les fonctions occupées : lamentable.

La gauche est en train de dissoudre le mariage et la famille, les contrats moraux cruciaux qui accompagnent l’un et l’autre. Elle est prête, pour certaines de ses franges, à rejeter tout reste de valeurs, ce qui explique pourquoi des Femen urinant publiquement sur la bible et mimant l’avortement de Jésus sur l’autel d’une église ne les dérangent pas. Elle incarne la destruction et la déliquescence, et Hollande est son chevalier sordide, coiffé d’un casque de livreur de pizza, mais pourvu du code de déclenchement de l’arme atomique, posé, sans doute, sur la table de nuit entre la boite de Viagra et les poppers.

La gauche est un danger total pour ce pays sous les angles économiques, politiques, culturels et moraux.

Nous allons non seulement vers un déclin économique accéléré qu’un virage vers une social-démocratie de carton pâte n’atténuera pas, mais vers une dévaluation vertigineuse de la fonction politique et vers la destruction des repères essentiels qui permettent à une société de tenir debout.

En lisant les commentaires de lecteurs dans la presse de gauche, je n’ai trouvé aucun mot de compassion pour une femme humiliée, bafouée, traitée comme un paillasson à l’échelle planétaire. J’ai même trouvé des propos favorables à Hollande, qui montrerait ainsi qu’il a du « caractère ». Les féministes sont très silencieuses.

La compassion est à droite, plus nette.

Et après, on voudrait que j’aie du respect pour la gauche…. "


LA VOIX DE LA RUSSIE : 26 JANVIER JOUR DE LA COLERE

LA VOIX DE LA RUSSIE : XAVIER KEMLIN

LA VOIX DE LA RUSSIE : LE POSTE DE GOUVERNANTE EST UNE AFFAIRE PRIVEE

UNE PLAINTE CONTRE TAUBIRA JUGÉE RECEVABLE


" La plainte déposée par Patrick Buisson le 13 novembre dernier contre la ministre de la Justice Christiane Taubira pour "prise illégale d'intérêt" a été jugée recevable par la cour d'appel, a-t-on appris lundi auprès de l'avocat du journaliste.

Un juge d'instruction devrait donc être nommé dans les jours à venir, précise Le Figaro.fr, qui a révélé l'information.

Le parquet général examine cependant l'opportunité d'un pourvoi en cassation, le délai étant de cinq jours, soit jusqu'à mercredi, a-t-on précisé de source judiciaire.

Patrick Buisson, visé indirectement par des plaintes concernant les sondages commandés par l'Elysée sous Nicolas Sarkozy, reproche à la ministre de la Justice d'être membre du comité de parrainage d'Anticor.
Ce statut est à ses yeux incompatible avec sa fonction puisque cette association anticorruption a porté plainte pour détournement de fonds publics et favoritisme dans l'affaire visant l'ex-conseiller de l'ancien président.
La plainte de Patrick Buisson pouvait être classée sans suite, transmise à la Cour de justice de la République (CJR) - en principe compétente pour les actes commis par un ministre dans l'exercice de ses fonctions -, ou traitée selon le droit commun.

"La cour d'appel a choisi la voie naturelle du droit commun. Je n'ai pas compris ou plutôt j'ai bien compris pourquoi le parquet avait tenté de nous renvoyer devant la CJR", a dit à Reuters l'avocat de Patrick Buisson.
Me William Goldnadel a rappelé que la garde des Sceaux avait loué l'action de l'association Anticor dans un communiqué de son cabinet daté du 13 novembre 2012, mais que cet acte était "détachable de sa fonction", comme l'a confirmé la cour d'appel.

Selon la plainte, la ministre a violé les règles de séparation des pouvoirs et a nécessairement eu une influence sur l'ensemble des magistrats instruisant l'affaire des sondages de l'Elysée.

En novembre dernier, Patrick Buisson avait publié dans Le Figaro une tribune intitulée "J'accuse Christiane Taubira". Il lui reprochait d'être "partie prenante d'une opération qui vise à instrumentaliser l'autorité judiciaire à des fins exclusivement partisanes". "