mardi 12 novembre 2013

L'INDIGNATION A SENS UNIQUE

Ils crient, ils s'indignent, ils cataloguent tous leurs opposants avec l'étiquette " extrême droite ", mais ils ne veulent surtout pas se remettre en question. Tous les politiques collabos UMPS se jettent à corps perdus sur le seul partis qui représente encore quelque chose dans ce pays et dont ils sentent bien qu'il va leur piquer leur place de privilégié et les envoyer pointer au chômage. Fini les palaces, les repas à 5000 euros, les voyages inutiles, le gaspillage d'argent qui ne leur appartient pas, les salaires mirobolants, les retraites insultantes...

Et oui, la contestation augmente et se radicalise et nos bons hommes politiques soucieux de leur propre avenir plus que de celui de la France, tentent le tout pour le tout pour ne pas perdre leur bonne place. Le racisme revient à toutes les sauces, à la moindre opportunité, tentant ainsi de culpabiliser une population qui refuse la vision d'avenir qu'on nous impose. Dernièrement, c'est encore TAUBIRA qui serait la cible de propos racistes de la part du journal " Minute " pour un titre qui tient plus de l'humour que la véritable attaque " raciste ". Alors nos politiciens de gauche montent sur leurs ergots et crient à l'infamie et à l'atteinte à la république mais ne disent pas un mot sur l'agression du directeur de campagne de Gilbert COLLARD.

Si vous pensiez encore avoir la liberté de parole et d'expression de vos idées, vous êtes maintenant prévenu, ce jour là est révolu au nom de la démocratie. Si vous pensiez montrer votre mécontentement face un gouvernement d'oppresseurs idéologiques et fiscaux, vous finirez au trou comme les 73 des champs Elysée. Par contre si vous êtes ROMS et que vous bloquez l'alimentation de chauffage de Paris, il faudra plusieurs pour que le gouvernement agisse ( à condition qu'on trouve un logement pour ces 900 personnes ).

Pas une seule fois, ces politiques de l'UMPS ne se sont remis en cause. Pas une seule fois ils se sont posés la question de savoir si les " grognards " d'aujourd'hui ne sont pas la conséquence directe de leurs actes irresponsables. Ils font même plus d'effort pour intégrer les clandestins et les étrangers que leur propre population. Ils ne reconnaîtront jamais leurs erreurs et ont même la prétention de sauver la République qu'ils insultent tous les jours. Se réclamant résistants comme autre fois, ils ne se rendent même pas compte qu'ils sont aujourd'hui les complices de l'envahisseur.

Alors vous pouvez crier, hurler, vous indigner, le peuple que vous méprisez tant semble ne plus être dupe de vos supercheries. Il suffit de lire les commentaires des articles à cancan qui créent des scandales là où il n'y en a pas. La recette ne marche plus et il ne vous reste qu'à agir en dictateur en faisant arrêter et faisant taire toute forme de contestation. Et comme vous savez que vous vous êtes pris en flagrant délit d'anti-démocratie, la seule manière de vous donner bonne conscience c'est de faire passer tout le monde pour des extrémistes de droite. Ce faisant vous ne vous rendez même pas compte que vous vous tirez une balle dans le pied.

HOLLANDE SIFFLE A OYONNAX

" François Hollande a tenté lundi de délivrer un message d'unité à Oyonnax, haut lieu de Résistance où il a reçu un accueil difficile, expression d'une impopularité à laquelle il doit désormais faire face à chaque sortie publique.

Comme un prolongement de son passage chahuté dans la matinée sur les Champs-Elysées, le président a été sifflé à son départ de la mairie de la petite ville du Jura où il a célébré le 11-Novembre.

Une mauvaise humeur émanant à la fois de gens hostiles à sa politique brandissant des pancartes "Hollande, démission" et d'habitants déçus d'avoir "attendu cinq heures sans pouvoir lui serrer la main".

"(François) Mitterrand, il avait descendu la rue sous les applaudissements", dit une dame derrière les barrières de sécurité en souvenir d'une visite présidentielle de 1983.

"Là, Hollande, il a tout faux", a-t-elle déploré juste après le départ de la voiture du chef de l'Etat qui n'a eu, chose rare le concernant, aucun geste d'au revoir pour la foule.

Selon un sondage Ipsos pour Le Point publié lundi, le chef de l'Etat a atteint un nouveau record d'impopularité, avec seulement 21% d'opinions favorables en novembre, soit une perte de trois points en un mois.

A son arrivée dans l'Ain déjà, quelques sifflets mêlés à des applaudissements étaient audibles dans les rues entourant la place centrale. Le président n'a serré que quelques mains et réservé sa conversation aux élus et aux anciens combattants.

C'est pourtant un message d'unité que le chef de l'Etat était venu délivrer en ce jour anniversaire de l'Armistice de 1918, en écho à son discours de jeudi dernier à l'Elysée pour le lancement du centenaire de la Grande guerre et du 70e anniversaire de la Libération.

Devant le monument aux morts, François Hollande a souligné l'importance d'"aimer la France", appelant à "ne jamais rien laisser passer face aux haines, aux intolérances, aux extrémismes, aux racismes".

"C'EST LA COMMUNAUTÉ NATIONALE QUI NOUS RÉUNIT"
En cette période de crise qui voit une partie du pays se soulever contre sa politique, comme en Bretagne, il a appelé au rassemblement.

"Notre pays ne peut rien quand il est morcelé, fractionné, divisé en territoires, en catégorie, en particularités", a-t-il dit. "Rien n'est plus indispensable que le dialogue, la responsabilité et le respect car c'est la communauté nationale qui nous réunit tous et je n'accepterai jamais qu'elle puisse être divisée".
François Hollande a assisté à une reconstitution du défilé du 11 novembre 1943 qui vit 120 maquisards braver l'interdit de Vichy en défilant dans le centre-ville en hommage à leurs aînés morts pour la France pendant la Guerre 1914-18.

Comme 70 ans plus tôt, des dizaines de figurants en habits d'époque -béret, manteau ceinturé et chausses pour les maquisards- ont défilé sous les vivats et déposé une gerbe en forme de croix de Lorraine où était inscrit: "Les vainqueurs de demain à ceux e 14-18", avant d'entonner la Marseillaise.

L'évènement, qui eut un grand retentissement à l'époque, fut considéré comme un élément fondateur de la Résistance.

L'un des rares témoins du défilé originel, Georges Rigaud, 89 ans, a raconté à la presse ce moment de bravoure.

"On n'était pas courageux, on était inconscients, on était jeunes", a dit celui dont le nom de résistant était "Jo".

Interpellé sur les huées proférées contre le président, ce témoin privilégié de l'Histoire a fait part de son incompréhension.

"C'est anormal, je ne comprends pas, c'est idiot: il est là, il fait ce qu'il peut, il fait ce qu'il pense être bon", a-t-il dit. "Ce n'est pas un jour pour faire des histoires". "