samedi 29 mars 2014

HOLLANDE SIFFLE ET HUE PENDANT LA VISITE DU PRÉSIDENT CHINOIS


La répression socialiste à l'oeuvre....

TAUBIRA VEUT SUPPRIMER LA GARDE A VUE POUR ESCROQUERIE EN BANDE ORGANISEE



" Après des mois d’orgie laxiste, passés à faire en sorte que le maximum de taulards puissent de nouveau humer le bon air du dehors, le festival Christiane Taubira se termine littéralement en feu d’artifice. Le garde des Sceaux, zombie politique d’un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci. Du moins, c’est à espérer, car on n’imagine pas qu’elle conserve son poste au lendemain du désastre électoral qui s’annonce !

Alors tant qu’à faire, le ministre pousse le bouchon le plus loin possible, quitte à écœurer encore un peu plus le monde judiciaire : au nom du gouvernement Ayrault, à l’aide d’une « procédure accélérée » (amendement adopté au Sénat le 24 février dernier), elle projette en effet de supprimer la garde à vue de 96 heures pour escroquerie en bande organisée !

Dans les colonnes du Figaro, le commissaire Mégret (oui, je sais, ça fait bizarre), numéro deux du Syndicat indépendant des commissaires de police, est révulsé : « Les grands truands reconvertis dans ces arnaques juteuses, où nous ramassons régulièrement des cadavres, auront droit au même traitement que le simple conducteur arrêté en état d’ivresse, soumis au mieux à 24 heures de garde à vue renouvelables une fois. C’est ahurissant! Il ne se passe pas un mois désormais sans que l’on ne tente de désarmer les acteurs de l’investigation. » Selon lui, « les affaires d’escroquerie en bande organisée sont complexes. Les 96 heures sont indispensables, par exemple, pour obtenir des réquisitions bancaires, car si nous les faisions avant la garde à vue, le système est à ce point poreux que les clients suspectés seraient alertés. » La décision de madame Taubira est donc pour le moins surprenante, surtout avec cette étrange volonté d’aller très vite, comme si ce texte devait être adopté en priorité.

On a en tout cas le sentiment qu’il faut faire vite avant la raclée. Car Christiane Taubira, devenue pour une majorité de Français un véritable repoussoir, n’a plus la cote même chez ses partisans. OK, il y aura toujours un dernier carré de bobos prêts à mourir pour elle mais, on l’a vu ce jeudi, ils sont de moins en moins nombreux… L’espèce d’icône était attendue à Grenoble pour assister au meeting du candidat écolo Éric Piolle en tête à l’issue du 1er tour. La gauche locale – nous apprend Le Point – n’a visiblement pas souhaité la venue de l’encombrante agitatrice de papiers. Christiane se serait donc pris un gros râteau à l’ancienne. « Taubira voulait se victimiser : elle sait qu’elle va être virée, elle voulait donc pouvoir dire que son soutien à Piolle était la raison de son limogeage », a déclaré Michel Destot, le maire PS sortant. Pour expliquer son étrange absence au dernier moment, la diva a eu une réponse pour le moins tirée par les cheveux : « J’ai raté mon train ! » "

LES SOCIALISTES PRÉVOIENT UNE DÉBÂCLE ÉLECTORALE

" L'exécutif s'attend à un revers majeur à l'occasion du second tour  des municipales. Le remaniement devrait intervenir rapidement.

Les socialistes ne respirent pas la sérénité. Il suffit de les écouter pour s'en convaincre. «Dimanche, ça va être le musée des horreurs!», «C'est la panique!», «Ça va être un cataclysme», «Ça va être d'une violence absolue, totale! Un raz de marée.» Depuis dimanche dernier, ces prophéties font florès dans les coulisses du pouvoir. Au PS, au gouvernement et même à l'Élysée, personne ne croit plus que la gauche puisse redresser la barre dimanche, comme ce fut le cas au deuxième tour des municipales de 1983. «Je ne vois pas pourquoi des électeurs qui ont voulu nous sanctionner auraient changé d'avis dimanche», analyse un haut gradé de l'Élysée.

Si, en début de semaine, certains espéraient encore que les triangulaires et le front républicain aideraient le PS à résister, c'est désormais à une amplification de la défaite que tous s'attendent dimanche soir. Car la semaine de l'entre-deux-tours n'a rien arrangé. Déni collectif du vote sanction en début de semaine. Chiffres du chômage calamiteux. Censure de la loi Florange sur les licenciements boursiers. Guerre larvée en coulisses entre les prétendants à Matignon. Rumeurs incessantes sur le remaniement…
En une semaine, la gauche a résumé tout ce que les électeurs lui ont reproché dans les urnes: aveuglement, inefficacité, amateurisme, narcissisme, coupure avec le peuple… «Que du bonheur!», soupire un très proche de François Hollande. «Nous n'avons aucun élément pour mobiliser nos électeurs, ajoute avec amertume un haut dirigeant socialiste. Tout le monde a intégré que ce serait une claque. Reste quelques interrogations sur Toulouse ou Strasbourg. Si on perd ces deux villes, ce ne sera plus une claque mais une humiliation.»

Au total, ce sont plus d'une centaine de villes que le PS redoute de perdre. Et même lorsque les socialistes ont essayé de minimiser la casse, ils se sont pris les pieds dans le tapis.La fuite sur le geste fiscal en direction des ménages que prépare le gouvernement pour contrebalancer l'annonce du pacte pour les entreprises et des 50 milliards d'économies a été perçue comme un «sauve-qui-peut».

«Il y a des gouvernements qui baissent les impôts avant les élections pour les gagner et il y en a d'autres qui les baissent après, pour s'excuser de les avoir perdues», grince un dirigeant socialiste. Les quelques mots de François Hollande au Conseil des ministres, qui a assuré avoir «entendu» le message des Français et évoqué la nécessité de réintroduire de la «justice sociale» alors même qu'il s'est lié les pieds et les mains avec son pacte et les 50 milliards, n'ont pas convaincu non plus. «Ils sont incapables de tenir une stratégie, une ligne, soupire un pilier de l'Assemblée nationale. On devait remunicipaliser les enjeux, et le président fait l'inverse, il nationalise! Sur le terrain, les copains ne demandaient qu'une chose: qu'ils se taisent à Paris! Par pitié, qu'ils se taisent!» Las.

Rue de Solferino, une blague tourne en boucle: «Les Malaisiens ont retrouvé leur Boeing. Nous, ça fait deux ans qu'on cherche notre pilote.» La pression s'est encore accentuée sur François Hollande. Conscient de la colère des socialistes, qui se sont fait «tronçonner sur le terrain» - selon les mots d'un conseiller ministériel -, le chef de l'État veut frapper «vite et fort» pour tenter de reprendre la main, dès la semaine prochaine. Le prochain Conseil des ministres a été avancé d'une heure mercredi, Hollande devant s'envoler ensuite pour Bruxelles où se tiendra le sommet UE-Afrique. Il n'est toutefois pas exclu que ce Conseil soit décalé à vendredi matin, afin de laisser au premier ministre, quel qu'il soit, le temps de composer sa nouvelle équipe.
Une chose paraît acquise: le président devrait avoir remanié son gouvernement avant la rentrée parlementaire du 8 avril. «Si c'est la même équipe qui revient aux questions d'actualité, elle va recevoir des pierres !», lance un député PS. Hollande a également prévu de faire une intervention télévisée en avril, pour expliquer ses choix et réaffirmer sa ligne. Mais, selon nos informations, celle-ci ne devrait pas intervenir dans l'immédiat, afin de la découpler des résultats électoraux. Dans l'immédiat, c'est Jean-Marc Ayrault qui va monter au front. Le premier ministre interviendra après les résultats pour livrer une première lecture du scrutin. Dimanche dernier, les socialistes l'avaient jugé crépusculaire. "

http://elections.lefigaro.fr/municipales-2014/2014/03/28/01052-20140328ARTFIG00365-municipales-les-socialistes-craignent-une-debacle-electorale.php

Sont forts ces socialistes ! Toujours pleins de bon sens ! Ils savent anticiper les événements et même leur défaite de Dimanche ! Faut dire qu'aux vues du premier tour des municipales ils risquent bien d'avoir amplement raison cette fois, ça nous changera de leurs prévisions sur le chômage, les impôts, l'Europe, les guerres rapides comme au Mali, etc etc etc.....

62 % DES FRANÇAIS PRÊTS A FAIRE CONFIANCE A UN MAIRE FN

" C'est ce qui ressort d'un sondage CSA publié dans Nice-Matin ce vendredi.
Le second tour des élections municipales a lieu ce dimanche. L'enseignement principal des résultats du premier tour est la spectaculaire poussée du Front national. Le parti de Marine Le Pen a déjà conquis une mairie, celle d'Hénin-Beaumont avec la victoire de Steeve Briois. Et le FN semble être en mesure d'en remporter d'autres. Fréjus, Forbach, Saint-Gilles, Béziers, Perpignan ou encore Avignon, autant de villes qui seront particulièrement scrutées ce dimanche. De quoi faire peur aux Français ? Pas vraiment, comme le laisse à penser un sondage CSA publié ce vendredi dans les colonnes de Nice-Matin. 

Interrogés sur leur souhait de victoire à l’issue du second tour des municipales, les Français placent à égalité, à 31% chacune, les listes de gauche et de droite. Mais 17% des personnes interrogées répondent les listes du parti de Marine Le Pen. Ces listes jouent quant à elles le rôle de "trouble fête par rapport au traditionnel clivage gauche-droite" et montrent "qu'une partie de la population est très réceptive aux idées et au programme du parti", indique Yves-Marie Cann de l'institut CSA à Nice-Matin. Cette enquête semble donc confirmer la dédiabolisation du Front national 

Mais ce sondage indique également que "62% des personnes interrogées estiment que les maires FN seraient des gestionnaires de même niveau que ceux de gauche ou de droite". Cette même enquête révèle aussi que plus d’un Français sur deux (55%) estiment que l’élection de maires FN ne constituerait pas un danger pour l’avenir des communes. Ce qui, selon Yves-Marie Cann, montre que dans l'esprit des personnes sondées, voter pour élire des maires FN "c’est le jeu de la démocratie, et si les résultats ne sont pas au rendez-vous, comme pour les autres partis, les élections suivantes seront l’occasion de ramener ces élus dans l’opposition." Rendez-vous est pris pour dimanche. "

HOLLANDE ET SES AMIS TURCS

" Hollande, vierge effarouchée dès lors qu’il s’agit de Sarkozy, devrait se méfier de ses mauvaises fréquentations. Car elles contredisent cruellement ses cris d’orfraie effarée quand son prédécesseur le soupçonne, à juste titre, de mœurs totalitaires.

C’est ainsi que notre donneur de leçons à la petite semaine n’a pas hésité à gratifier récemment d’une visite d’État de trois jours, fin janvier, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan qui dirige sans partage le pays depuis 2002. Et dont le comportement totalitaire n’a rien à envier à celui d’un Jaruzelski ou d’un Erich Honecker de sinistre mémoire. À tel point qu’aucun chef d’État ou de gouvernement d’un grand pays de l’Union européenne ne s’est plus rendu sur les rives du Bosphore depuis la répression violente de la place Taksim à Istanbul.

Ce qui n’empêche pas M. Hollande, à contre-courant de ses collègues européens, de faire les yeux doux à un état considéré par les ONG de défense des libertés comme un des pays les plus répressifs en matière de contrôle du Web. On vient une nouvelle fois d’en avoir la preuve.

Non content de vouloir renforcer le pouvoir du politique sur le Haut Conseil des juges et des procureurs (tiens, tiens…), le Premier ministre turc n’hésite pas à s’en prendre aux réseaux sociaux d’Internet (Twitter et Facebook) dont il bloque régulièrement la diffusion sur le territoire turc… Pour l’organisation internationale Internet Publishers Association, qui regroupe des éditeurs en ligne, le blocage de Twitter est une tentative de « destruction de la liberté d’expression qui confirme que la Turquie est une dictature », a déclaré l’organisation dans un communiqué.

M. Hollande aime les dictateurs qui ont de la repartie : « Nous allons supprimer Twitter. Je me moque de ce que pourra dire la communauté internationale », fanfaronnait M. Erdoğan devant des milliers de partisans lors d’un rassemblement électoral, à dix jours du scrutin municipal du 30 mars. « Ils verront alors la force de la Turquie », avait-t-il ajouté. On attend encore la réaction outragée de notre chevalier blanc…

On n’est pas plus courageux du côté de l’Union européenne. « L’interdiction de tweeter en Turquie est sans fondement, inutile et lâche », s’indigne-t-on vertueusement à Bruxelles, tout en continuant les négociations d’adhésion d’un pays qui, décidément, n’a rien à faire en Europe. "