mardi 13 août 2013

LES VIGNOBLES FRANCAIS BLANCHISSENT-ILS L'ARGENT DU TERRORISME ?

" La cellule française de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (Tracfin) met en garde contre le risque de blanchiment d'argent dans les vignobles français rachetés par des investisseurs étrangers, rapporte mardi Le Figaro.
Dans son rapport 2012 publié fin août, le service de renseignement financier français "s'intéresse au secteur vitivinicole" et pointe des risques de montages juridiques complexes, écrit le quotidien.
"Sur les 27.000 déclarations reçues chaque année par Tracfin pour des soupçons d'argent sale, une dizaine concerne le secteur du vin. En 2007, les inquiétudes au sujet de son commerce portaient seulement sur quatre ou cinq cas à travers la France", ajoute-t-il. "Depuis 2010, le chiffre a triplé."
Les opérations sont réalisées avec des "sociétés en cascades installées dans des pays à fiscalité privilégiées", note Tracfin qui appelle les notaires et les banques à faire preuve d'une "vigilance accrue" face aux mouvements financiers pour les propriétés vitivinicoles."
"Un investisseur peut avoir un comportement rationnel au début de la transaction et le maillon faible peut se dévoiler trois, voire cinq ans plus tard", souligne une source à Bercy citée par Le Figaro. "

LES FRANCAIS CONTRE LE PORT DU VOILE

" Il y a des pays où ne pas porter le voile expose les contrevenantes à des sanctions. Il y a des États où le même motif vaut châtiment. Il y a des régions où un jet d’acide sur le visage apprend les bonnes manières aux impudiques non voilées. Il y a des endroits où des petites filles voilées sont mariées à des vieillards qui, selon la loi ou le Coran (et souvent c’est la même chose), auront seuls le droit de les dévoiler. Dans d’autres, plutôt rares, la lapidation punira ce type d’attentat à la pudeur, ce qui est considéré par les islamistes modérés comme légèrement excessif.

En France, des milliers de femmes portent le voile, le niqab, la burqa. Certaines y sont contraintes par leur famille, leurs copains de quartier ou leur époux. D’autres, certainement nombreuses, sont volontaires et ont choisi librement cet accessoire vestimentaire. Ce qui autorise différentes organisations musulmanes à protester contre l’islamophobie ambiante qui stigmatiserait ces femmes dignes, fières et libres !

Mais dans quel monde vivons-nous ? Et de quelle façon peut-on traduire le nom de Tartuffe en arabe ? Mais pourquoi les imbéciles, les dévots et les allumés qui crient « touche pas à mon voile ! » n’ont-ils pas encore été submergés par une lame de fond balayant ces précieux ridicules ?

Le Haut comité à l’intégration vient de suggérer l’interdiction du voile à l’université. Au nom de la laïcité. Dans tous les sondages, les Français interrogés se déclarent hostiles au voile. Au nom de la laïcité ? Pas du tout. La laïcité est un concept parfaitement honorable, mais totalement paresseux, juste propice aux effets oratoires. La réalité est tout autre.

Chaque fois que nous croisons une femme voilée dans la rue, nous ressentons confusément le sentiment qu’elle insulte celles qui, non voilées, se font martyriser en terre d’islam. Chaque fois que le Conseil français du culte musulman proteste contre nos lois « islamophobes », les images des filles assassinées, fouettées, défigurées parce que rebelles aux lois coraniques se présentent à nos yeux.

Oui, les femmes voilées en France sont d’une certaine façon complices des bourreaux imbéciles à Sanaa, Lahore, Riyad, Khartoum, etc. Au bal des hypocrites elles dansent et dansent. Non, les Français ne sont pas islamophobes. Les seuls islamophobes avérés sont à chercher du côté de certains tenants de l’islam qui, en son nom, s’autorisent certaines abjections. Dans nombre de pays arabo-musulmans, il y a des hommes et des femmes courageux qui payent de leur vie leur lutte contre ces obscurantistes bêtes à manger du foin. Serait-il interdit de les préférer aux femmes voilées que l’on croise dans nos rues ? "

COLOMBES : UN RECIDIVISTE AGRESSE DEUX FEMMES

" Deux femmes ont été agressées, mercredi 7 août au soir, à Colombes (Hauts-de-Seine). Cinq jours après les faits, un suspect a été placé en garde à vue, lundi 12 août au matin, rapporte Le Parisien. Il est soupçonné d'avoir agressé une femme de 32 ans, toujours dans le coma, et d'en avoir violé une autre, âgée d'une vingtaine d'années, quelques dizaines de minutes plus tard. Le parquet de Nanterre a en outre révélé que cet homme de 26 ans avait commis des faits similaires en 2009.

L'auteur présumé était "connu très défavorablement des services de police pour de nombreux faits de violence, de vols et une agression sexuelle commise en juin 2009 et pour laquelle il avait déjà purgé sa peine", a indiqué le procureur de Nanterre. En prison depuis août 2012, pour "conduite en état d'ivresse, conduite sans permis de conduire, recel, refus d'obtempérer, dégradation", il bénéficiait d'une semi-liberté depuis mai 2013.

Identifié grâce aux images de vidéosurveillance
Les agressions remontent au mercredi 7 août. Vers 22 heures, une jeune femme sort de la gare de Colombes pour regagner son domicile. Elle est au téléphone avec un ami lorsque ce dernier entend un cri étouffé. Inquiet, il prévient la police qui retrouve la victime gisant au sol, inconsciente. "Ma fille baignait dans une marre de sang. Elle a été frappée à coups de poing au visage à de très nombreuses reprises. Elle est actuellement toujours dans le coma à l'hôpital Beaujon" à Clichy, a raconté sa mère.

Une quarantaine de minutes plus tard, l'agresseur présumé s'en prend à une autre jeune femme, qui regagne également son domicile depuis la gare de Colombes. Il la viole sous la menace d'un couteau et lui dérobe son sac. Le suspect a été identifié grâce aux images de vidéosurveillance. Lundi matin, la police judiciaire l'a interpellé à son domicile. Des vérifications ADN sont actuellement en cours. "

20 DETENUS LIBERES

" Le ministère de la Justice a examiné près de 95% des condamnations susceptibles d'être concernées par la décision de la Cour de cassation dont un arrêt de fin juin a rendu caduc un décret de 2004 portant sur les conditions de la prescription des peines. Sur 3 313 des 3 499 cas, 20 détenus libérables ont été remis en liberté, a annoncé la Chancellerie dans un communiqué, lundi 12 août.
Quinze de ces prisonniers purgeaient des peines inférieures ou égales à 8 mois, quatre inférieures ou égales à 1 an et une égale à 3 ans, selon le ministère. La Chancellerie souligne que "17 autres condamnés ont été maintenus sous écrou pour purger d'autres peines d'emprisonnement".

Les faits concernés sont des délits, exclusivement. En voici la liste établie par le ministère : "violences par conjoint, vol aggravé, abus de confiance, falsification de chèque et usage de chèque falsifié, conduite en état alcoolique, vol avec violence, recel, extorsion avec violence, vol en réunion, faux et usage de fausses plaques, menace ou acte d'intimidation, trafic de stupéfiants, usage de stupéfiants, refus de se soumettre aux vérifications relatives à l'état alcoolique, refus de se soumettre aux prises d'empreintes digitales et de photographies, conduite sans permis". "