samedi 25 janvier 2014

EL SHENNAWY LE PARCOURS DU HERO DES MEDIAS


" Commençons par le commencement : Philippe El Shennawy est une racaille. C’est un voyou, un truand, un ennemi de la société, et si l’on songe à ses victimes, c’est un être répugnant :

1970 : premier holdup. Il a 16 ans.
1972 : 3 ans de prison pour vol avec violence.
1975 : braquage à main armée avec prise d’otages. Avec un complice, il séquestre les employés d’une banque pendant plusieurs heures, et exige 6 millions de francs. La rançon est payée et ne sera jamais retrouvée.
1977 : il est condamné à la perpétuité car les juges craignent qu’il jouisse des 6 millions qui n’ont pas été retrouvés.
1986 : sa peine de perpétuité est réduite à 20 ans.
1990 : libération conditionnelle. Il viole ses obligations, et exploite sa libération pour se rendre coupable d’un trafic de cartes bleues volées.
1990-1997 : il commet de nombreuses violences en prison qui conduisent à lui retirer une partie de ses remises de peine.
1997 : il profite d’une permission de sortie pour disparaître dans la nature – c’est une évasion. Il est arrêté au bout de 5 mois, pendant lesquels il a :

braqué une banque,
fait du trafic de fausse monnaie,
fait un trafic de faux documents,
commis des violences contre des fonctionnaires des douanes,
et il s’est rendu coupable de port d’arme,

2004 : nouvelle évasion. Il ligote des infirmiers, les menace d’une arme (factice) et prend des otages.
2004 : pendant cette nouvelle évasion, il commet trois braquages de banques en menaçant de son arme clients et employés.
2005 : il est arrêté alors qu’il repère une banque avec une voiture volée. Chez lui, on trouve des armes, des fausses cartes de police, et des fausses pièces d’identité.
2008 : il est condamné à 13 ans pour vol à main armée, enlèvement et séquestration.

Une de ses victimes, un employé de banque, Jean-Michel Bonis, qui a vu une arme pointée sur lui déclare : «  Aujourd’hui, j’ai peur tout le temps. Je vis avec un stress permanent. Je ne tournerai jamais la page ». Mais apparemment, les médias, trop nihilistes pour s’intéresser aux victimes et trop idéologues pour cacher leur tendresse pour le voleur de banques, ces symboles du capitalisme exécré, préfèrent évoquer les retrouvailles du voyou avec sa famille que les douleurs des victimes.

Mais vous ne savez pas la meilleure…

Statuant sur sa demande de libération conditionnelle en octobre 2013, le parquet a souhaité connaître l’avis de la Commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté (CPMS) dont la fonction consiste à dire si un prisonnier présente encore un danger pour la société.

Tenez vous bien :

le CMPS a émis un avis défavorable, expliquant que El Shennawy est « paranoïaque » et « dangereux ».

Donc le parquet l’a …libéré, je répète li-bé-ré. "


Encore un peu de patience et grâce à TAUBIRA ce sont les gens honnête qui iront en prison pour se protéger de la racaille en liberté.

LA FRANCE CONVOQUE L'AMBASSADEUR D'UKRAINE

" Laurent Fabius se dit "inquiet et indigné" face au durcissement de la crise politique en Ukraine. Le ministre des Affaires étrangères annonce qu'il a "donné instruction au Quai d'Orsay de convoquer, aujourd'hui, l'ambassadeur d'Ukraine en France". Il était interrogé par i-Télé, vendredi 24 janvier au matin, en direct de Davos (Suisse), où il participe au Forum économique mondial. 

Le chef de la diplomatie française entend faire ainsi "un geste pour montrer que, vraiment, il y a une condamnation de la part de la France". "Il y a eu des ordres de tirer sur la foule, ce qui est évidemment inadmissible", fustige-t-il. Il dénonce en particulier les "lois extrêmement répressives" prises à l'encontre des manifestants. Il "espère" qu'elles seront "modifiées". 

Laurent Fabius reconnaît qu'à Kiev la situation est "très difficile". Il appelle cependant "au dialogue" entre le pouvoir et les opposants. Pas sûr que son appel soit entendu. Un peu plus tôt, les manifestants pro-européens sont passés à l'offensive. Ils occupent désormais un ministère et ont dressé une nouvelle barricade dans le centre de Kiev après des négociations entre le président et les chefs de l'opposition jugées décevantes par ces derniers. "


On manque pas d'air quand même. On s'en va donner des leçons aux Ukrainiens après avoir gazer des femmes et des enfants aux manifs contre le mariage homo. On s'en va donner des leçons après avoir arrêter arbitrairement des gens pour le port d'un tee-shirt rose et d'un bonnet rouge. On fait intervenir les CRS contre les Mères Veilleuses. On interdit des spectacles ou des associations au nom de la morale en oubliant le mot " Liberté ". On s'en va donner des leçons alors que notre président fricote aux frais du contribuable avec la moindre greluche en mal de pouvoir. Si on nous écoute encore, c'est qu'on est très fort !

LA JUSTICE INVALIDE LA SUSPENSION D'UN MUSULMAN RADICAL

" Le tribunal administratif de Nice a invalidé vendredi un arrêté pris par le préfet des Alpes-Maritimes qui suspendait l'habilitation d'un agent de sûreté aéroportuaire de l'aéroport de Nice soupçonné de "radicalisation religieuse", a-t-on appris de sources concordantes. "Le tribunal administratif a suspendu, pour la deuxième fois, la décision préfectorale", s'est réjoui dans un courriel à la presse Me Sefen Guez Guez, l'avocat du jeune homme, qui doit tenir une conférence de presse dans l'après-midi. 

L'employé travaillant pour la société sous-traitante ICTS au service de contrôle des bagages en soute, avait contesté mardi devant le juge des référés la suspension par la préfecture de son habilitation à circuler en zone réservée de l'aéroport. Tout avait débuté le 13 novembre par un arrêté du préfet Adolphe Colrat, suspendant pour deux mois l'habilitation de cet employé âgé de 25 ans à cause d'un "certain nombre de présomptions". Ce premier arrêté, mal étayé, avait été suspendu par le tribunal administratif le 12 décembre. Mais le préfet en avait pris un second allant dans le même sens le 17 décembre.

"Il répondait en arabe"

"Nous avons agi à titre conservatoire", la police aux frontières (PAF) ayant été "avisée d'un comportement particulier de l'intéressé", avait indiqué le directeur de cabinet du préfet Jehan-Éric Winckler à l'audience mardi : le fait qu'il ne faisait pas la bise à ses collègues féminines ou encore qu'il "répondait en arabe" à certains interlocuteurs. Le jeune homme n'aurait également, selon lui, "pas montré de répulsion" à l'évocation de certains "actes terroristes".

Français d'origine algérienne, l'agent de sûreté incriminé est père de famille, délégué syndical CGT et élu au CHSCT de son entreprise. C'est "quelqu'un de très intégré" dans l'entreprise, de "très bien perçu" et qui n'a "jamais posé problème", avait assuré en marge de l'audience Laury Bouhachi, délégué CGT. Pour Me Sefen Guez Guez, le dossier contre lui était vide. "Il n'y a aucun élément" corroborant les accusations de prosélytisme et de radicalisation contre son client et des "jalousies" au sein de la société pourraient être à l'origine de l'affaire, avait-il indiqué. "


En serait-il de même pour un Chrétien qui répondrait en Latin, ferait la messe au boulot ou afficherait des tendances radicales ?

CONFIRMATION DES BONS RESULTATS DE VALLS : LES COMMERCANTS DE PLUS EN PLUS NOMBREUX A SE DEFENDRE

" Face à la recrudescence de braquages, les commerçants sont de plus en plus nombreux à se défendre eux-mêmes, parfois avec l'aide de témoins.

Dernier exemple en date hier soir à Blanc, une petite commune de l'Indre. Trois malfaiteurs, dont l'un est armé, visent une bijouterie . Ils parviennent à prélever des bijoux se trouvant sur des présentoirs, neutralisant les propriétaires avec du gaz lacrymogène. Alertés par les cris et l'agitation, passants et commerçants des alentours interviennent. Deux des braqueurs, âgés d'une vingtaine d'années, sont maîtrisés ; le troisième homme parvient lui à prendre la fuite, en voiture.

Le 15 janvier dernier, un braqueur déjà connu des services de police s'est retrouvé ligoté avec de la ficelle par les gérants d'un bar-tabac de Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime). Interrogée par Le Figaro, Christine, la gérante, louait l'intervention d'un client présent au moment de l'incident: «S'il n'avait pas réagi, on se serait sans doute laissé faire». Un mois et demi plus tôt, à Maromme, dans l'agglomération rouennaise, un couple de commerçants quadragénaires ne s'est pas non plus démonté. A quelques minutes de la fermeture, deux individus entrent dans le commerce. Les enfants du couple, âgés de 12 et 15 ans, sont présents. Avec insistance, les malfrats demandent la caisse. Mais les gérants, déterminés, résistent, même lorsqu'une arme de poing menace le plus jeune de leurs enfants. La commerçante, à ce moment-là, tente de faire diversion: «J'ai chargé celui qui avait un couteau avec mon balai». Le gérant est blessé par ce dernier, mais les braqueurs prennent la fuite.

Un commerçant marseillais a lui aussi évité le pire, et a eu le bon réflexe. En tirant des balles en caoutchouc dans le véhicule de ses quatre agresseurs présumés, il n'a blessé personne et évité le braquage de son commerce.

Mais ce genre de tentatives peuvent parfois tourner au drame. Le 11 septembre dernier, un bijoutier niçois, victime pour la deuxième fois d'un cambriolage, avait abattu l'un de ses agresseurs. L'affaire avait suscité une vive émotion et relancé le débat sur la légitime défense. Alors que le bijoutier avait été mis en examen pour homicide volontaire, une vaste vague de soutien avait déferlé. A Sézanne (Marne), un bijoutier a été placé en garde à vue pour homicide volontaire sur un autre braqueur. Le juge doit déterminer si le bijoutier a agi dans le cadre de la légitime défense. "


Au lieu de se poser la question de la légitime défense, on aimerai avoir droit à plus de sécurité et moins d'impunité de la part de l'Etat et de la Justice !

RAMA YADE CONDAMNÉE


" L'ancienne secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme Rama Yade a été condamnée ce vendredi à 800 euros d'amende pour avoir injurié la présidente du FN Marine Le Pen et son père Jean-Marie Le Pen. 

Rama Yade avait publié sur son blog le 30 janvier 2011 un article intitulé L'imposture Marine Le Pen. Le tribunal correctionnel de Paris a estimé que les expressions "famille de profiteurs", "qui ne font de la politique que pour s'enrichir sur le dos des gens", et "s'en met plein les poches" sont injurieuses. 
Rama Yade a en revanche été relaxée pour la phrase "leur seule obsession, c'est l'argent". 
En plus d'une amence, elle a devra verser un euro de dommages et intérêts à chacun et 1000 euros pour les frais de justice. Le tribunal a également ordonné la diffusion d'un communiqué judiciaire. "


Pour une fois que la justice a fait son boulot...

MARINE LEPEN CONDAMNEE POUR AVOIR PORTER PLAINTE


" La plainte pour diffamation n'avait pas lieu d'être. Le tribunal correctionnel de Paris a condamné ce vendredi la présidente du Front national à verser 1500 euros de dommages et intérêts à Georges Tron et à l'AFP. Marine Le Pen les avait poursuivi en diffamation.

Ce dossier trouve son origine dans l'affaire d'accusations de viols et agressions sexuelles, dans laquelle le maire UMP de Draveil (Essonne) a récemment bénéficié d'un non-lieu. Le 25 mai 2011, l'ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique Georges Tron avait déclaré à l'AFP observer "que cela vient de Me Gilbert Collard, qui est un proche de Marine Le Pen, avec laquelle je suis en conflit depuis des mois". Il réagissait à la plainte déposée par deux anciennes employées municipales de sa ville de Draveil, dans l'Essonne. 

Relaxe et condamnation
Le tribunal correctionnel de Paris a estimé que "c'est par le fruit d'extrapolations" que Marine Le Pen "prétend qu'il lui serait imputé d'être à l'origine de dénonciations calomnieuses". Pour les juges, Georges Tron n'indique ni ne laisse entendre qu'elle "serait personnellement intervenue pour persuader les deux anciennes employées municipales de porter plainte mensongèrement et sans évoquer, même par insinuation, le moindre fait précis qui lui serait imputable". 

Ainsi, le tribunal a non seulement relaxé l'ancien secrétaire d'Etat et le PDG de l'Agence France-Presse Emmanuel Hoog, mais a jugé abusives les poursuites engagées par la présidente du Front national, car "l'allégation diffamatoire prétendue relevait d'une interprétation manifestement tendancieuse et exagérée du texte". 

Marine Le Pen, qui demandait un euro de dommages et intérêts, va faire appel, selon son avocat dans ce dossier, Me David Dassa Le Deist. 

Lors de l'audience, l'avocat de Georges Tron, Me Olivier Schnerb, avait demandé 10 000 euros de dommages et intérêts pour procédure abusive. Rappelant la profession d'avocate de Marine Le Pen, le conseil de l'AFP Me Yves Baudelot avait souligné que le FN sait "parfaitement" qu'il engage des plaintes qui n'ont "aucune chance d'aboutir". Il avait quant à lui demandé 5000 euros de dommages et intérêts. "


Ce qui veut dire qu'à l'heure actuelle on peut être condamné si on porte plainte. C'est un comble ! Mais non, mais non, on est en démocratie...