samedi 13 avril 2013

LES PHOBIES DU GOUVERNEMENT ET DU PS

Toujours à même de rejeter la faute sur le dos des autres, le gouvernement et le PS développent de nouvelles phobies. Incapables de se rendre maitre de la situation et de reconnaitre leurs erreurs, ils voient des extrémistes partout. Plutôt que de faire marche arrière ou proposer des référendums, ils insistent lourdement à continuer une politique nationale dont les Français ne veulent pas. Ils parlent de respect de la démocratie en faisant passer de force des textes de loi qui divisent le pays. La dégringolade dans les sondages d'opinion ne semblant pas les affecter, ils sont surs d'être dans la vérité. En fait, ils préfèrent sacrifier la population et détruire leur parti plutôt que de reconnaitre qu'ils ont fait fausse route. Du coup, on entend des propos du type " les anti mariage homosexuel sont des extrémistes ", " c' est la droite et l’extrême droite qui sont responsables "...

Alors je vous propose une liste de nouvelles phobies dans la lignée des islamophobes, homophobes, que les socialistes affectionnent tant :

- Extrêmistophobie et Extrêmistophobe : C'est la peur d'une contestation quelconque, notamment si il s'agît de manifester, d'avoir un semblant de bon sens et d'aimer sa nation.

- Droitistophobie et Droitistophobe : C'est la peur de se voir contester une décision ou une loi socialiste.

- Christianophobie et Christianophobe : C'est la peur que l'on puisse garder sa tradition religieuse.

- Socialistophobie et Socialistophobe : C'est la peur de revoir des incapables au devant de la scène politique.

- Gauchistophobie et Gauchistophobe : C'est la peur des idées de gauche.

Voilà, si vous voyez d'autres phobies du même type, n'hésitez pas a laisser un commentaire et surtout n'hésitez pas à utiliser ces nouveaux termes dans vos conversations de tous les jours.

CONSEIL NATIONAL DU PS INTERROMPU


" La direction du PS s'attendait à entendre des contestations, mais pas celles-là. Une cinquantaine de salariés de PSA Aulnay se sont introduits de force, samedi 13 avril, dans le Centre des Congrès de la Cité des Sciences, à la Villette, à Paris, où se tient le Conseil national du PS. Ils ont interrompu, pendant une vingtaine de minutes les travaux du "parlement" du Parti Socialiste. Bousculant le service d'ordre, surpris, les manifestants ont gagné la salle où venait juste de s'exprimer le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, aux cris de "aucune usine ne doit fermer" ou "interdiction des licenciements".
Le chef du gouvernement a alors quitté la salle, et le ministre Pierre Moscovici a été apostrophé par des manifestants. Montés sur l'estrade, ceux-ci ont ensuite déployé une banderole "non à la fermeture de PSA Aulnay". Après quelques instants de confusion, le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a invité l'un des protestataires à s'exprimer.
Jean-Pierre Mercier, le leader CGT de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois, a réclamé un "médiateur avec de réels pouvoirs, de réelles compétences de médiation qui puisse mettre le pouvoir politique du gouvernement dans la balance pour qu'on obtienne au moins satisfaction sur le fait qu'on ne finisse pas au chômage"."Ce n'est pas à Peugeot de faire sa loi", a ajouté l'orateur."Nous sommes devant une direction qui est butée, qui ne veut pas négocier, qui ne veut pas discuter", a-t-il dit. Après avoir repris ironiquement en choeur "Le changement c'est maintenant", les manifestants ont ensuite évacué les lieux, au bout d'une vingtaine de minutes. Ils devaient être reçus par plusieurs responsables du PS, dont les députés Guillaume Bachelay et Jean-Marc Germain. "

 Le moins qu'on puisse dire c'est que les choses bougent ! Ca a serré les fesses au conseil national du PS ! Malheureusement pour ces salariés de PSA, le gouvernement ne fera et ne pourra rien faire. Ce qui est important c'est la grogne qui s'installe un peu partout. Fallait pas promettre des choses intenables ! Je crois que nos politiques ont intérêt à raser les murs dans les mois à venir. A noter que je suis déjà étonné de la présence d'un conseil national. Il reste encore des militants au PS ?!
A souligner enfin, l'incapacité du service de sécurité à stopper l'entrée des manifestants ( futurs chômeurs en perspective ) ce qui démontre une fois de plus que le PS n'est qu'une belle bande d'amateurs... et ce, dans tous les domaines...

LETTRE OUVERTE A FRANCOIS HOLLANDE

Monsieur Hollande :
Je ne vous appelle pas par votre titre, car, sauf que le respect que je vous dois en tant que citoyen, je ne vous considère pas comme mon président. Ô combien vous avez gesticulé lors de vos discours de campagne, dénigrant votre prédécesseur en disant que la situation de la France était de son fait, et que vous, 'moi président' , aviez toutes les solutions. ·Qu'en est-il à ce jour ? Pouvez vous regarder la France droit dans les yeux en disant que vous avez été honnête et que vous n'avez pas menti ?
Vous vous vouliez être à la tête d'un gouvernement exemplaire, et 'moi président', vous n'alliez pas vous entourer de gens ayant eu affaire à la justice. Presque tous,ce ne sont pas des casserolles qu'ils traînent derrière eux, mais des quincailleries !!! Dois-je vous rappeler le passé judiciaire de votre premier ministre et d'autres membres du gouvernement ? Ce fut la votre premier faux pas. Et que dire de la nomination de Lionel Jospin ? Et d'Henri Emmanuelli ? Les vieux éléphants du P.S devaient sans doute vous manquer … · 'Moi président' je serais le président de tous les français, et il n'y aura pas de chasse aux sorcières …
C'est ce que vous disiez. Nicolas Sarkozy a vraiment été un président d'ouverture, et il l'a prouvé en nommant des ministres de gauche à son gouvernement. Et vous ? Qu'avez-vous fait ?
Vous vous êtes contenté de nommer des amis, pour la plupart sans aucune véritable expérience, comme vous même d'ailleurs … Et vous faites limoger de hauts fonctionnaires de l'état sous prétexte que ce sont des proches de votre prédécesseur. Sans parler de votre compagne qui fait 'virer' des journalistes qui osent s'exprimer. Bien sûr, les autres journalistes sont à votre botte, preuve en est que lors de vos interviews ils n'osent pas poser les questions essentielles qui intéressent les français, et lorsqu'ils en posent, vous les éludez par votre sens de la périphrase et du double langage.
Alors, aujourd'hui, faisons un nouveau constat de vos actions … en vacances ainsi que votre gouvernement.
Pensez-vous que ces vacances soient bien méritées ? Hormis créer des commissions, vous balader et serrer des mains, poser sur une photo dès que vous entendez le bruit d'un appareil, qu'avez-vous fait de concret ?
Pas grand chose …
Hormis créer des impôts, détruire ce que Nicolas Sarkozy a mis en place, et faire en sorte que la classe moyenne passe à la classe basse …
La philosophie du socialisme est une belle chose quand elle est réellement appliquée : être en faveur des classes les plus défavorisées. Mais ce n'est pas ce que vous faites. Par vos mesures, vous faites en sorte de tirer la France vers le bas, je dirais même vers l'abîme. Elle est belle votre notion du socialisme !
Vous n'aimez pas les riches.Cela est une chose entendue … Mais alors vous ne devez pas vous aimer vous-même ! Car vous en faites partie… Et c'est facile d'échapper à la fiscalité en ayant créé des S.C.I. Et en ce qui concerne la valeur de vos appartements à Cannes, vous avez filé un dessous de table à l'agent immobilier pour qu'il fasse une estimation basse ?
En parlant de Cannes, cela me fait penser au Fort de Brégançon … Votre compagne s'y est rendue en avion pour vérifier qu'il n'y avait pas de risques d'être surpris par des paparazzis durant vos vacances. Qui a payé le billet ? Vous, elle, ou le contribuable ? Et les 14 cartons de coussins de luxe ? Qui paye ? Sans parler du coût de réaménagement des accoudoirs des Falcon (450,000 euros) pour pouvoir y mettre du champagne … C'est vrai que ce n'est pas la même dimension des bouteilles de jus d'orange de votre prédécesseur qui ne buvait pas d'alcool ! Vous n'aimez pas les riches, mais vous aimez le luxe !
En parlant de Falcon, cela me fait penser à avion.
Avion me fait penser à voyage.
Voyage me fait penser à étranger.
Savez-vous, monsieur Hollande, quelle est votre image à l'étranger ? Peut-être que durant vos ballades au Tour de France, au Festival d'Avignon, aux J.O de Londres vous n'avez pas eu le temps de lire des journaux tels que 'The Economist' , 'Herald Tribune' ou encore 'Der Spiegel' … Vous devriez pourtant, et vous seriez (désagréablement) surpris … Ils ne parlent pas de vos frasques vestimentaires (qui pourtant ont fait la risée du monde entier), mais simplement de votre incapacité au niveau économique et de votre capacité de gestion de crise. Il est vrai qu'au niveau économie vous devez être sur un nuage.Durant votre campagne vous disiez être au courant de tous les chiffres, ce qui 'moi président' vous permettait de vous engager sur des promesses à ce jour utopiques et irréalisables, car vous vous êtes rendus compte de la réalité des choses. Tout comme vous vous êtes rendus compte que la situation de la France n'est pas du fait de Nicolas Sarkozy, mais du fait d'une crise mondiale …
Mais il est vrai que c'est tellement plus facile de critiquer et tout mettre sur le dos de son adversaire.
Mais une fois que l'on est au pied du mur, on le voit bien. Et c'est dans ce mur que vous mettez la France.
L'Europe, le monde, est crise. Mais ce n'est pas la faute de Nicolas Sarkozy. Mais il est vrai que la France n'est pas concernée …C'est un pays riche aucunement concernée par la crise. Preuve en est que vous annulez la dette de la Côte d'Ivoire. Dette dont le montant aurait pu éviter aux salariés de P.S.A de se retrouver sur le tapis. Dois-je vous rappeler, Monsieur Hollande, que la Côte d'Ivoire a il y a quelques temps chassé les ressortissants français de façon violente, et que des soldats français sont morts pour les défendre ?
Vous disiez 'moi président' je serais celui de la transparence. Laurent Fabius fustige sur Nicolas Sarkozy qui a reçu le président de la Syrie … et vous ? Vous recevez en catimini le tyran sunnite Hamad Ben Issa El-Khalifa, roi du Bahreïn. Alors pourquoi ne pas l'avoir invité de façon officielle ? Soyez transparent comme vous disiez l'être !
Beaucoup de français aujourd'hui s'interrogent, et doutent de vous.
Même les gens de gauche qui ont voté pour vous doutent, et ne croient plus en vous.
Fin 1981, lors d'un sondage, plus PERSONNE n'avait voté pour François Mitterrand, dont vous vous réclamez être le fils spirituel.
Mais contrairement à lui, vous n'avez aucun charisme réel, hormis celui d'avoir gesticulé durant votre campagne.
Et appeler à vous une certaine catégorie de population en promettant le droit de vote (à un certain niveau) aux étrangers. Je ne vais pas fustiger moi même, mais allez donc passer vos vacances dans certains pays …
Vous verrez comment cela se passe … ·
Mais c'est vrai, avec vos appels aux voix, nous devons nous taire devant les musulmans que vous voulez si bien intégrer …
Sachez, Monsieur le 'pseudo président', que la France n'est pas aveugle.
Votre état de grâce n'a duré que peu de temps (voir les sondages), et que la France va se réveiller.
Même les français qui on cru en vous et votre séance d'hypnotisme durant votre campagne commencent à en avoir marre de votre immobilisme et de vos balades !
LA FRANCE N'EST PAS DUPE ET SAURA SE FAIRE ENTENDRE, ET ELLE SERA DANS LA RUE A LA RENTREE!
Monsieur Hollande, votre place n'est pas à celle d'un chef d'état ! Toutes considérations politiques mises à part, vous êtes souriant, ouvert au dialogue, aimant le sport et la bonne bouffe, bref, vous semblez être un homme sympa …
Alors soyez un homme sympa en quittant vos fonctions dont vous n'avez pas les épaules d'en assumer la charge.

DIMANCHE 24 Mars 2013 : REACTION DE L'ETAT A LA MANIF CONTRE LE MARIAGE HOMOSEXUEL

Face au nombre impressionnant de manifestants contre le mariage homosexuel et l'adoption d'enfants par des couples homosexuels, le gouvernement se résout à faire utiliser les gaz lacrymogènes. Mr VALLS sait qu'il ne risque rien. Ce ne sont pas des jeunes des banlieues, ce ne sont que des familles, des enfants, des vieux et des parents outrés. La conception de la démocratie version socialiste se résume à écouter les minorités. Minimisant volontairement le nombre de manifestants pour faire passer en force sa loi pour le mariage homosexuel la Hollanderie s'obstine, tandis que les télévisions du monde entier montrent la vérité. Une honte supplémentaire pour ce gouvernement et le parti socialiste si humaniste... Surtout n'oubliez jamais ces images et la démocratie version SOCIALISTE !

 Un nombre de manifestants impressionnant !


 On gaze aussi bien les enfants que les vieillards !



Les délinquants et casseurs ! Attention Messieurs des forces de l'ordre, il va falloir choisir votre camp ! Vous êtes en train de vous mettre la population à dos ! Vous préférez jouer les cow-boys à coller des procès verbaux plutôt que d'assainir les zones de non-droit. On ne peut pas dire que votre façon d'agir mérite le respect ! Pour ce qui est Mr VALLS, il semble plus facile de régler leurs comptes aux manifestants plutôt que de régler le problème des Roms ( il constate mais ne fait rien avec un racisme impressionnant qu'aucun journaliste n'a osé relever, comme si il n'y avait que les roms qui ne veulent pas s'intégrer dans le pays ! )


Télévision Russe Francophone


La manif minute par minute

LETTRE OUVERTE A FRANCOIS HOLLANDE : Kader ARIF

Monsieur le Président de la République François Hollande
à
Monsieur  le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault
pour
Nomination de Kader Arif au poste de Ministre des Anciens combattants

La Honte pour les Anciens Combattants Français, Honte pour la France ! Faut-il espérer, une erreur, une maladresse à l’égard de l’Histoire de France,  à l’égard des anciens Combattants Français,  dans la nomination de Kader Arif au poste de Ministre délégué auprès des anciens  Combattants, ou plutôt une démission, une provocation, une infiltration du gouvernement socialiste sous prétexte de réconciliation,  pour se donner bonne conscience, une récupération électoraliste de 6 millions de musulmans, une récompense tardive pour les fautes commises par les Socialistes dans la guerre d’Algérie, alors que des accusations de sources algériennes ( Salima Saa) et militaires jettent un doute sur l’appartenance de sa  famille au FLN ; ce serait une HONTE pour LA FRANCE ! Devoirs de l’Histoire de France (méconnue des Français car volontairement truquée par nos politiciens de tous bords ) : 8 mai 1945 : Alors qu’en métropole,  la France fête la Victoire sur le Reich et sur Hitler, la fin d’une guerre, la Liberté retrouvée, en Algérie, dans le Constantinois, à Sétif, 700 Algériens se réunissent pour déposer une gerbe au pied du monument aux morts.
En réalité, une population algérienne descendue des « douards », brandissant des drapeaux algériens et revendiquant l’indépendance. Alors que le cortège arrive au quartier français, les forces de l’ordre sont débordées ;  dans la panique, un jeune algérien de 20 ans est tué. La guerre civile est commencée : les massacres dureront pendant 45 jours.
La guerre d’Algérie, qui va durer 17 ans, commence ce 8 mai 1945, faute des gouvernants de l’époque, le Général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire de la République Française, le GPRF depuis le 26 Août 1944, mais aussi de son ministre socialiste Pierre Mendes-France, de ministres communistes, qui n’ont pas été capables d’organiser une décolonisation constructive, avec les honneurs,   promise dans sa Conférence de Brazzaville.

Les Socialistes et la guerre d’Algérie :
François Mitterrand «  le guillotineur »
« Quand l'insurrection algérienne éclate à partir du 1er novembre 1954, François Mitterrand est ministre de l'Intérieur: il tente d'écraser la rébellion et de rétablir l'ordre. Le gouvernement Mendès-France, dont il est membre, tombe le 5 février 1955 après huit mois d'exercice du pouvoir. Le 2 janvier 1956, il devient ministre de la Justice du gouvernement de Guy Mollet. Le président du Conseil revient d'Alger où il a été conspué.
Cette fois, il est bien décidé à écraser le FLN. La politique va se durcir. Garde des Sceaux, Mitterrand est alors le numéro trois du gouvernement. Au rythme où ceux-ci tombent, c'est bientôt son tour de diriger les affaires du pays, se dit-il. Mais pour rester dans la course, il ne faut pas faire partie des "mous". Il va alors se déclarer favorable, dans la grande majorité des cas, à l'exécution des condamnés à mort qui attendent dans les geôles d'Algérie, contrairement à ses compagnons Pierre Mendès France, Alain Savary ou Gaston Defferre. Le seul autre à approuver les exécutions est Maurice Bourgès-Maunoury, ministre des Armées, en compétition avec Mitterrand pour le poste de président du Conseil. Au bout du compte, combien de demandes de grâce a-t-il refusées? On compte 45 guillotinés tandis qu'il occupe les fonctions de garde des Sceaux. Il refusera trente-deux demandes de grâce, en acceptera huit. Cinq avis ne sont pas connus. Retenons que dans 80 % des cas connus, François Mitterrand a refusé la grâce.
Contrairement à ce qu'on a pu croire, ces premiers condamnés à mort exécutés de la guerre d'Algérie ne sont pas des poseurs de bombe. Ils ont participé à l'insurrection, mais souvent sans commettre de meurtre. L'un des deux premiers auxquels on a coupé la tête, Abdelkader Ferradj, était un musulman qui avait tenté de mettre le feu à une meule de foin ! Ce n'est qu'après Mitterrand que les poseurs de bombe du FLN d'Alger seront capturés.
Avant, les prisonniers sont juste de pauvres types qui n'ont pas fait grand-chose » .


Devoir de mémoires
C’était donc la guerre, ou plutôt des « guérillas », où l’ennemi est partout mais invisible,  avec ses chapelets d’horreurs, de blessés, de morts pour rien, à qui, par devoir de mémoire, il faut rendre hommage ici. Au total, au moins 150.000 militaires français, avec en plus 30.000 appelés du contingent, mobilisés d’office sous les drapeaux, sont tombés au champ d’honneur ou dans des embuscades, comme celle de Palestro. Palestro « Massacre des innocents » : l'une des premières et des plus meurtrières embuscades de la guerre. C'est un français, Henri Maillot  membre du parti communiste, affecté au 57e bataillon de tirailleurs de Miliana, chargé de transporter à Alger du matériel de guerre, qui livra au F.L.N. le 4 avril 1956: 74 revolvers, 10 pistolets, 121 pistolets mitrailleurs, 63 fusils de chasse et un lot important de munitions. Ce matériel servira aux rebelles pour  monter le massacre de  vingt et un  rappelés du contingent, dans  les gorges  de  Palestro, le 18 mai 1956, ajoutant à l’horreur, la mutilation des cadavres et des images insoutenables. Henri Maillot, ayant rejoint le « maquis rouge indépendantiste», considéré comme traître, fut abattu par l’armée française.  
 
Les Harkis
Depuis le début de la colonisation, la tradition de l’armée française était d’enrôler sur le terrain des soldats volontaires, touchant  soldes et retraites, pour constituer « bataillons de  tirailleurs algériens », régiments de «zouaves » , escadrons de « spahis »..  puis de 1954 à 1957,  ce furent environ 30.000 supplétifs, les HARKIS, pour infiltrer et lutter  contre les « guérillas ». En réalité, il est considéré que 10% ou plus, des effectifs de Harkis sont des «  ralliés, infiltrés ou espions du FLN » pour toucher soldes et agir de l’intérieur contre nos soldats. La guerre d’Algérie se termina théoriquement  par les accords d’Evian en 1962, un cessez-le-feu, un référendum en France, mais en réalité par une période d’anarchie, d’insécurité, avec enlèvements, règlements de comptes en tous genres, exécutions et pour éviter le pire,  rapatriement des Français d’Afrique du Nord (les pieds noirs) et environ 90.000 « français musulmans », fonctionnaires, harkis, restés fidèles à la France mais considérés comme traîtres par leur pays.
 
Kader Arif : ministre des anciens Combattants ! Fils de Harkis ou fils de FLN « infiltré » ?
KADER ARIF …une compensation aux «  guillotinés de François Mitterrand » ?  
Toutes les familles françaises ont été touchées, de près ou de loin,  par cette guerre d’Algérie. Les souvenirs sont encore brûlants et il n’appartient pas à  François Hollande qui veut une République exemplaire, de nommer Kader Arif, dont la famille est suspectée d’avoir appartenu au FLN, ministre des anciens combattants :
« Priez Dieu, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, que les 30.000 appelés du contingent, morts là bas pour la France pour rien et dont vous bafouez la mémoire, vous veuillent absoudre ». Mektoub.

ECOLES CORANIQUES EN FRANCE : un bien bel exemple


Comme promis, un article sur les écoles coraniques en France.

 " L’enquête à laquelle s’est livré Serge S. est effrayante. Pourtant, elle ne surprendra que ceux qui ne veulent pas entendre :
Lorsque la porte s’ouvra sur l’antichambre de la salle de prière, je ne savais pas très bien où tout cela allait me mener, mais l’impression que j’ai ressenti m’était inconnue. J’ai pourtant vu pas mal de choses et je ne me laisse généralement pas facilement surprendre…
C’est au début du mois de septembre que Mathieu me parla de ce rapport, ce mystérieux et inquiétant rapport, ce terrible et consternant rapport des Renseignements Généraux : il y aurait plus de 600 enfants en France qui, en âge d’être scolarisés, suivent un enseignement dans une madrasa clandestine. L’effroi me gagna quand j’appris que ce chiffre, déjà sous-évalué à l’époque, datait de 2006 !
Une madrasa clandestine est un lieu de mort. Mort de l’esprit, mort de l’âme, mort de l’intelligence, mort de la conscience, mort de la raison.
Une madrasa clandestine n’est pas une école musulmane au sens des écoles confessionnelles privées, c’est un endroit échappant à tout contrôle extérieur, et qui n’a pour seul et unique programme scolaire, un livre aux enseignements galvaudés et détournés pour insuffler la haine la plus profonde de l’autre.
Les cibles, clairement identifiées, sont des esprits jeunes, malléables, corvéables, dont le seul effort qui leurs est demandé est d’apprendre par cœur, encore et encore, des versets sans génie, écrits par un berger inculte, plagiant et déformant à volonté ce que l’humanité avait produit de meilleur en matière de spiritualité, la culture judéo-chrétienne monothéiste.

Fort de ma raison, jamais je n’aurais cru, mètre après mètre, pas après pas, remonter le couloir du temps. Le temps, celui qui forge l’humanité. Pourquoi suis-je en train de ressentir cette sensation contre nature d’aller à l’encontre de sa vague, de son courant.
J’avais pris soin de me fondre dans le paysage. Ma barbe, si typiquement méditerranéenne, n’avait rien à envier à celle de mes voisins, et finissait de donner de la crédibilité au personnage que je m’étais forgé.
En trainant vers la porte de Clignancourt, dans un café berbère, je rencontrais R. autour d’un thé à la menthe. Dans un climat de convivialité orientale, nous échangeâmes alors de multiples vues sur tout et n’importe quoi, la politique, la religion. Immédiatement, R. m’accueillit d’un grand sourire, m’enivrant de paroles de paix et de bénédiction, un voile mystique et protecteur tentait de m’envelopper de son côté moelleux.

Elle tenait une place centrale dans la vie de R. et de ses amis. Elle dictait la plupart de leurs actes et de leurs pensées, elle s’immisçait dans tous les aspects de leur vie quotidienne, du plus intime au plus général. C’était à la fois leur mère, leur femme et leur maitresse.
Petit à petit je pénétrais l’intimité de ce cercle, en distillant mon propre rapport supposé à la femme convoitée. J’avouais mon ignorance sur des aspects pourtant basique de la foi musulmane, et, très vite, on m’identifia à un musulman perdu qui recherche ses racines dans la foi religieuse.
A partir de ce moment tous firent assaut d’attention pour avoir l’honneur de me ramener dans le chemin d’Allah, les uns me citant versets et hadith adéquats, les autres puisant dans les exemples, qui se voulaient évident, de la vie quotidienne, la preuve de la bonté et de la miséricorde d’Allah et de son prophète Mohamed.
Très vite ils entreprirent de dresser de moi un portrait global, état civil, famille, origine, situation matrimoniale, enfants. Il s’agissait aussi de connaitre mes buts, mes aspirations, mon plan de carrière en quelques sortes, dans le service d’Allah.
Je ressentis très vite l’impression de passer un entretien d’embauche.
Je ne mis pas trop de temps à comprendre quel était le poste à pourvoir : un poste à la rémunération hors norme, la compassion et l’amour d’Allah qui me choisira comme un de ses fidèles serviteurs… pour peu que je me plie à ses exigences.
Et il se trouve que mes nouveaux camarades connaissaient fort bien les personnes par qui Allah, dans sa grande sagesse, transmettait les messages qu’il destine à chacun. Il ne tenait qu’à moi d’aller vers eux en confiance, car on m’assurait que c’était des gens à la grande sagesse. A ce stade, et bien que je sois envahi d’images inquiétantes et persistantes, j’acceptais de les suivre afin de voir si j’avais une chance de trouver ce que je venais chercher.
 
Je me dirigeais pieds nus dans un couloir ou mes « guides » m’ouvraient la voie, pour voir ces nouveaux Gabriel.
Je me doutais que j’allais devoir subir un moment de tentative d’endoctrinement hors norme, je me voyais prêcheur, ou kamikaze, je me voyais haranguer ou exploser, mais c’était sans compter le formidable sens de l’organisation et la parfaite maitrise des moyens de communications de mes nouveaux et pileux amis. C’est dans un petit salon sombre meublé de coussin et de tapis de prière, que l’on m’invita à m’asseoir autour d’une table basse.
Deux nouveaux interlocuteurs se trouvaient là. Un jeune aux yeux de chasseur pour qui j’avais l’impression d’être un (gros) gibier, et un homme plus âgé, dont la barbe et l’allure générale dissuadait le plus perspicace de lui donner un âge sans risque de se tromper à 3 décennies près. L’homme plus âgé, le Sage, me fixa lentement avec les yeux plein de tendresse de celui qui sait, ce regard doux du gourou aimant, avant d’envoyer à la mort ses disciples lobotomisés.
Nous nous salamalekoumons avec insistance et force souhaits, le thé fut servi, et l’ambiance conviviale, presque amicale qui s’était instaurée se changea en pesanteur mystique et artificielle.
Le discours, monologue décoché sans souffle mais non sans talent, avait clairement pour but d’assommer l’auditoire et de lui ôter toute volonté de formuler la moindre objection. Il était clair que rien de ce qui était dit ne pouvait se négocier. Nous critiquâmes alors de concert, la société, l’islamophobie et la haine du prophète, les gouvernements mécréants arabes, le scandale palestinien et finissions par former un vœux appuyé à la mort d’Israël, Inch’Allah (si Dieu veut), même si jusqu’à présent Allah n’a pas eu l’air de le vouloir.
Le vieux Sage est un homme bon, la preuve en est qu’il voue une passion aux enfants, à leur éducation, mon CV mentionnait deux garçons de 6 et 8 ans, un peu frondeur, un peu bagarreur, ils m’inquiétaient mais je gérais. Le vieux Sage aime les enfants et il sait comment les rendre meilleurs. Il a une méthode d’éducation formidable où le respect et l’obéissance est au centre du dispositif pédagogique, qui privilégie aussi le travail de mémoire et la diction.
Les enfants de son établissement sont invités à se calmer dans une ambiance fraternelle, où le seul professeur est absent mais si présent, où le seul professeur est mort il y a 1360 ans (à quelque chose près), mais dont la voix résonne encore à l’oreille de millions de disciples.
Le programme scolaire est simple : apprendre par cœur, toujours, chaque jour, la moindre phrase, le moindre mot, la moindre lettre de cette parole divine, soufflée par un ange dans l’oreille du prophète au cours d’une longue nuit étoilée dans le désert d’Arabie.
Pas de mathématiques, pas de langues autres que l’arabe, pas d’histoire, pas de géographie. Seul l’arabe a vocation à unir le monde, puisque c’est en cette langue qu’Allah a parlé à Mohamed. L’histoire ?, à quoi bon, puisque seule celle que décrit le Coran est véridique. La géographie ?, pourquoi faire, puisque c’est le monde dans sa totalité qui est appelé à devenir musulman.
Une fois cela dit, l’horreur est loin d’avoir atteint son comble.
Au fur et à mesure que le vieil homme parlait, qu’il apparaissait moins vieux et plus hideux, me revenaient en mémoire ces images affligeantes de madrasa pakistanaise où des centaines de gosses, ayant abandonné tout libre arbitre, servent de jouets à une clique d’islamistes pervers et morbides, dont le seul objectif est de faire de ces gosses des bombes humaines, tant sur un plan philosophique que sur un plan militaire.
La gangrène se serait, à entendre le vieil homme, répandue jusqu’en région parisienne. Sa fierté – mon cauchemar – prenait forme, tandis qu’un sourire illuminait son visage de dément sanguinaire à la pensée de l’œuvre qu’il accomplissait. Muter d’innocents enfants à qui la vie ouvrait les bras, en bombes humaines élevées dans le culte de la mort.
L’effroi me gagna en imaginant le destin de ces fils que je m’étais inventé, condamnés à devenir des objets de morts. Manipulés, mes fils seraient voués à l’aube de leur vie à assouvir l’insatiable désir de haine de psychopathes pour qui Dieu est une excuse plus qu’une passion.
En reprenant mes esprits, je demandais à voir la salle ou les « cours » étaient dispensés, et évaluer le nombre d’enfants présents. Il me fut opposé un refus ferme et impoli, attirant sur moi la suspicion.
Je n’eus plus que le culot, pour me sortir de ce mauvais pas, de prétendre que jamais je ne laisserais mes enfants dans un endroit que je n’ai pas inspecté avant.
L’homme chasseur pris alors le relais avec des airs dont ils ne cherchaient même pas à masquer la teneur menaçante. L’hostilité se renforça encore quand pris dans la dispute, le ton monta et attira à nous R. et ses camarades.
Je fus rapidement encerclé par la petite troupe et senti alors un besoin impérieux de changer d’air. Le vieil homme disparut, abandonnant à la violence de la dispute le discours aux accents si doux, séducteur et vicieux, sur le bonheur des enfants qui vont à la rencontre du prophète.
Mon souci principal était maintenant de sortir de ce guêpier avec un minimum de violence. Vu le rapport de force, pour tout dire, je ne voyais pas trop de solutions. L’option de la frappe préventive ne me semblait pas sans danger, je tentais une négociation ou les « woulah » se mêlaient à mes « Inch’Allah », ce qui finit par agir comme relaxant sur leurs cerveaux malades.
Petit à petit, je me retrouvais par petits pas successifs dans la salle de prière. Ma chance fut qu’avec cinq prières par jour, on n’est jamais loin de la suivante, ce qui ne manqua pas de se passer. Je proposais donc que nous nous mettions à prier, et avouait immédiatement que je n’excellais pas dans l’exercice.
Le chasseur me prit donc en main et m’indiqua rituel et paroles de la prière. Je fis de mon mieux pour observer les consignes, et surtout pour respirer et profiter de l’aubaine. Je décidais que dès la fin de la prière je saisirais la première occasion pour m’éclipser.
Cet instant de communion avec Dieu rendit mes interlocuteurs moins agressifs, et nous pûmes deviser quelques minutes encore sur les bienfaits de l’enseignement de Dieu aux enfants, avant que je ne disparaisse dans le méandre des rues de cette triste et morne cité de la banlieue nord de Paris.
Le constat que je fis de cette immersion : une fois encore l’islam radical pousse ses pions, et s’il est vrai que je n’ai pas pu voir les enfants dans la salle de cours, le Sage m’a annoncé qu’ils étaient 32. 32 enfants dans un seul quartier d’une banlieue banale, 32 enfants fanatisés, conditionnés, transformés en bombes humaines potentielles par la faute d’un embrigadement contre nature.
32 enfants à qui on apprend que le prophète attend que l’on se sacrifie pour lui en semant la mort autour de soi.
32 enfants que la République a abandonné à leur sort misérable et sur lesquels fleuriront des théories racistes.
Combien sont-ils réellement, ces gosses qui au lieu d’aller à l’école de la République, sont séquestrés au fond de mosquées sordides, où on leur apprend qu’ils sont les envoyés de Dieu, avec pour charge de punir les mécréants ?
Combien sont-ils, ces enfants, sachant qu’il existe sept cent cinquante cités sensibles en France, que le chasseur lui-même a prétendu que dans sa cité, il y a deux madrasas ?
Que penser de l’immobilisme des gouvernements successifs, alors que le signal d’alarme est tiré depuis six ans ?
Et que penser de ces médias muets devant le phénomène, qui invoqueront surement le souci de ne pas nourrir l’islamophobie, eux qui par la diffusion de nouvelles trafiquées, n’ont jamais craint d’attiser l’antisémitisme.
Dans dix ans circuleront en France des milliers de gamins élevés à l’école de la haine, de l’antisémitisme et du terrorisme.
Des gamins qui seront en âge de porter et de se servir d’armes de guerre, et qui n’auront alors qu’une envie : égaler et surpasser les Merah et autres Sydney Roy.
Je n’aurais eu qu’un regret, celui de ne pas être parvenu à pénétrer dans cette foutue salle de cours, et voir de mes yeux la preuve du carnage qui se prépare.
Ce que j’ai vu et ce que j’ai entendu est déjà de nature à me glacer le sang.
 Selon les estimations de l’Institut d’études de l’Islam et des sociétés du monde musulman (3), en France, 35 000 enfants fréquentent une école coranique, où une fille sur deux porte le foulard. On y récite le coran, et on apprend les « bons comportements » et les « relations humaines » selon les paroles et les faits du prophète de l’islam, Mohammed. "

 Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
(1) http://www.leblogdeserge.com/france-1/l-inexorable-marche-vers-la-haine/
(2) http://www.dziriya.net/forums/sujet-islam.php?p=142782&l=1&topic=tendance-de-l-ecole-coranique-en-france
(3) http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/A-Argenteuil-une-ecole-pour-former-des-musulmans-et-citoyens-_NG_-2012-03-13-777919

SENAT : NOUVEAU CAMOUFLET AU GOUVERNEMENT


" Le Sénat a infligé mercredi un camouflet au gouvernement en votant contre son avis, à la quasi-unanimité, un texte UMP prévoyant la suppression des allocations familiales et de l'allocation de rentrée scolaire aux familles qui ont perdu la garde de leurs enfants par décision de justice. La proposition de loi (PPL) de Christophe Béchu et Catherine Deroche prévoit que lorsqu'un enfant est placé auprès des services d'aide à l'enfance, le juge peut décider du maintien partiel des allocations - seulement à hauteur de 35 % maximum de leur montant - et d'autre part que le versement de l'allocation de rentrée scolaire soit automatiquement attribué au service d'aide à l'enfance. Actuellement, les juges ont la possibilité de maintenir le versement de l'ensemble des allocations à la famille, ce qu'ils font dans la majeure partie des cas alors que le Code de la sécurité sociale prévoit pourtant leur versement aux services d'aide sociale à l'enfance des départements, ont expliqué les auteurs du texte.
La PPL a été adoptée par 330 voix contre 16 à l'issue d'un débat vif où la ministre de la Famille Dominique Bertinotti, opposée au texte, a été durement critiquée y compris par les sénateurs PS. Seuls le groupe écologiste et quatre socialistes ont voté contre. Un amendement du sénateur PS Yves Daudigny prévoyant la suppression des allocations au bout d'une "période d'observation" de 3 mois après le placement a été adopté. Yves Daudigny avait déposé un texte identique fin 2012, mais l'avait retiré à la demande du gouvernement. "

Quoi de plus normal me direz-vous, alors que dans le même temps on parle de réduire jusqu'à moitié les allocations pour les familles aux revenus trop importants ? Il faut vraiment être débile de vouloir faire accepter le contraire. Mais ce qu'il faut savoir et dont on parle moins, c'est que dans le même temps ou presque, " Le Parlement a définitivement adopté jeudi, après un dernier vote de l'Assemblée, une proposition de loi PS qui supprime la loi contestée d'Eric Ciotti (UMP) de septembre 2010 destinée à lutter contre l'absentéisme scolaire, notamment en suspendant les allocations familiales. L'Assemblée a voté dans les mêmes termes le texte adopté en octobre dernier par le Sénat. Sans surprise, la majorité de gauche a voté pour la proposition sénatoriale d'abrogation, tandis que l'UMP et l'UDI ont voté contre. Mis en place en janvier 2011, le dispositif prévoit en cas d'absentéisme trop fréquent et non justifié, après une convocation des parents et un avertissement, que l'inspection d'académie puisse exiger de la Caisse d'allocations familiales (CAF) la suspension partielle des allocations. La ministre déléguée à la Réussite scolaire, George Pau-Langevin, a défendu la proposition d'abrogation, en jugeant la loi Ciotti «injuste et inefficace dans plus de 80% des cas». Il y aurait eu quelque 300.000 élèves absentéistes et 80.000 signalements notifiés lors de la dernière année scolaire. ". Ce qui semblait être une bonne prise de position d'un côté, se voit démoli d'un autre. Enfin bref, ne vous cassez plus les pieds à faire le suivi scolaire de vos enfants, de toute manière vous aurez vos allocations familiales. Pourquoi se fatiguer ?!