mercredi 16 octobre 2013

BELLILE DIAB, AGRESSEUR DE POMPIERS

"  Le ministère public a requis mercredi deux ans de prison ferme contre le jeune homme de 21 ans jugé par le tribunal correctionnel de Toulouse pour sa participation présumée à l'agression de trois pompiers en intervention dans un quartier sensible en août. «A cause de lui, ils ont failli à leur mission ce jour-là», a dit le représentant du ministère public en parlant du prévenu, Bellile Diab, et des hommes du feu que l'agression avait empêchés de porter secours à une vieille dame.

Actes commis en bande

Le prévenu, cuisinier de profession et habitant le quartier sensible du Mirail à Toulouse où s'est déroulé l'incident, réponsait seul, à partir de 14 heures, de ces faits pourtant commis en bande. Certes, c'est un renseignement anonyme qui a mis les policiers sur la trace du prévenu. Mais les enquêteurs ont été largement déçus dans leur espoir de voir la gravité de l'affaire convaincre les habitants de rompre la loi du silence pour leur livrer d'autres protagonistes.

La victime finalement transportée par ses proches

Les violences avaient suscité d'autant plus d'émoi au coeur de l'été que les trois secouristes, molestés et caillassés, n'avaient pu mener à bien leur mission: face au retard des secours, les proches de la septuagénaire s'étaient résolus à la transporter eux-mêmes aux urgences.

Encore récemment, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, condamnait l'incident devant le 120e congrès des sapeurs-pompiers, à Chambéry: «Je n'accepte pas que les sapeurs-pompiers, que nos soldats du feu, soient pris pour cibles par des individus souvent lâches et qui auraient tant à apprendre d'eux, comme ce fut le cas cet été à Toulouse». Dans la soirée du 3 août, deux hommes sur un scooter avaient, pour des raisons encore obscures, volontairement barré la route du véhicule des trois secouristes à proximité des lieux prévus de leur intervention.  Selon l'avocat des pompiers, un dialogue de sourds s'était alors engagé tandis qu'une vingtaine de jeunes, à visage découvert, se regroupaient autour des secouristes. Les invectives avaient débouché sur des violences physiques.

7 ans de prison et 100.000 euros d'amende

L'un des pompiers avait reçu un coup de pied au visage alors qu'il tentait de ramasser sa radio projetée au sol par un premier coup de pied.

Les pompiers avaient rebroussé chemin en attendant une escorte policière pour secourir la dame âgée. Les forces de l'ordre et les pompiers avaient été caillassés, une pierre endommageant le pare-brise, pourtant renforcé, du véhicule des pompiers.

Le prévenu est poursuivi pour violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique et entrave aux mesures d'assistance. Ce second délit est passible de sept ans de prison et 100.000 euros d'amende. L'homme, qui selon son avocat reconnaît une partie des faits qui lui sont reprochés, est connu des policiers et des gendarmes pour des cambriolages, des vols de véhicule et infraction à la législation sur les stupéfiants. "


Seulement un sur vingt !

FAITS DIVERS : DE MIEUX EN MIEUX

15/10: Hérault: six ans de prison pour un ‘jeune’ pyromane d’Agde 
15/10: Ain: La comptable d’Ainterexpo voulait détourner 78.000€ 
15/10: Nouvelles violences sur fond de trafic à La Courneuve (93)
15/10: Aurélien.L/Caroline.C: braquage de bar-tabac à Toulouse
15/10: 2 Gitans violeurs: menaces/casse au commissariat de Rennes 
15/10: Paris XVIe: les cambrioleurs dérobent 300.000€ de bijoux
15/10: La Sône (38) Il tue son beau-père à la hache puis au fusil 
15/10: Joseph.P, 79 ans tue sa femme de 83 ans à Meschers (17)
15/10: Vol et trafic/revente de champagne au Crazy Horse à Paris
15/10: Paris IXe: 200.000€ de bijoux volé aux Galeries Lafayette 
15/10: Cellule jihadiste de Cannes-Torcy: trois nouvelles arrestations
15/10: (93) Il revendait des sujets d’examen pour 250.000 euros

14/10: Toulenne (33) Vandalisme, des pneus crevés sur 30 voitures 
14/10: Pardies (64) Déferlement de violences après un match/foot 
14/10: Un bar tabac braqué par deux malfaiteurs à Marseille XIe 
14/10: Crédit Agricole: 4 ex-employés escroquent 100 millions d’€ 
14/10: Paris: une habitante jette de l’acide sur un bébé et son père
14/10: Montreuil: en scooter volé, il fuit la police, accident, il meurt 
14/10: Un jeune homme poignardé à Asnières dans un état grave
14/10: Marseille: un homme de 27 ans tué d’un coup de couteau
14/10: Bordeaux: Un Turc tire sur sa famille, deux ados décédés
14/10: Garges (95) Une proviseur agressée par 2 individus cagoulés
14/10: Cambriolage et menace au couteau à Pernes-les-Fontaines
14/10: Aubervilliers (93) Course-poursuite de voleurs à la portière
14/10: Villepinte: détenu à la maison d’arrêt, il menace un policier

13/10: Fontenay: bagarre entre 30 ‘jeunes’ au centre commercial
13/10: Marseille: 4,1 kilos de cocaïne saisis dans les quartiers Nord 
13/10: Stains: un homme se fait tirer dessus, cité du Moulin-Neuf
13/10: Arles (13) Interpellés après avoir volé une BMW à un couple
13/10: (40) Interpellé pour excès de vitesse, il frappe un gendarme 
13/10: Grigny (91) Arrestation houleuse de quatre ‘ados’ voleurs 
13/10: Val d’Oise: Une femme meurt, frappée par son compagnon 
13/10: Meximieux (01) De nombreuses victimes pour un DAB piraté

12/10: Deux policiers poignardés à Lorient (56) un policier décédé
12/10: Vol sous la menace d’une arme à Soyons (07) relaxe tribunal
12/10: Le corps d’une femme retrouvé dans le coffre d’une voiture
12/10: Le Vesinet (78) La maison de Laurent Cabrol cambriolée

11/10: Sept maisons cambriolées en pleine nuit vers Chambéry 
11/10: Briançon (05) Ils cambriolent la gendarmerie 2 fois: procès 
11/10: 11 tonnes de tabac saisies à Nîmes dans un camion bulgare
11/10: Paris XIIe: coups de couteau après un échange de regards 
11/10: Évasion d’un détenu dangereux à l’hôpital de Pontoise (95)
11/10: Samil= viol, Eric/Ludovic= meurtre: tribunal de Montpellier
11/10: Les Angles (30) Tabassé parce qu’il a voulu rendre service
11/10: Grenoble: il exhibe une arme pour lui voler son téléphone
11/10: Valence (26) Armé d’un fusil, il braque la caissière du Dia
11/10: Gaillard (74) Entendu pour atteinte sexuelle sur un mineur
11/10: Toulouse: passé à tabac et laissé pour mort sur le trottoir
11/10: Un demandeur d’asile agresse sexuellement une ado (74) 
11/10: Meurtre d’un policier à Chambéry: le meurtrier en Tunisie
11/10: Arnaque aux personnes âgées par des faux policiers

Tous les liens sur l'excellent site : http://faitdiversfrance.wordpress.com/

Rassurez-vous, avec la loi TAUBIRA bientôt la rubrique " faits divers " n'existera plus !

LA GAUCHE PRISE AU PIEGE DE SES IDEOLOGIES

Déclarations, contre-déclarations, orientation sur un cap puis un coup bâbord pour finir à tribord, nos élus gauchistes ne savent plus comment réagir et sont confrontés aux limites de leurs propres idées.

- Affaire ROM : VALLS se déclare prêt à expulser cette population qu'il juge incapable de s'intégrer et pourtant, il faudra moins de 48 heures pour qu'il s'aligne sur le contraire. Difficile de faire régner la sécurité avec une population qui vit de rapines, de vols et cambriolages. Mais se déclarer pour le renvoi des ROMS c'est se déclarer contre les idées de gauche.... Dernier exemple en date l'histoire de la petite Kosovare qui intéresse tant les journalistes et les associations. Comment faire appliquer la loi, alors qu'on a des idées engagées contre la loi ? Alors on tergiverse, on fait des enquête pour justifier ceci ou cela. Le résultat sera inévitablement le retour en France de cette gamine de 15 ans ainsi que de toute sa famille. C'est avec lâcheté que le gouvernement fera marche arrière pour flatter un électorat de plus en plus réduit et qui, au nom  des droits de l'homme fouleront au pied les lois de notre pays. N'y a t'il pas plus anti-républicain que cela ? Ceux là même qui vous demandent de respecter le 90 ou le 110 sur les routes, crachent sur la législation du moment que cela puisse servir leur prétention et leur idéologie.

- Affaire GHALI : Une femme qui se trouve en tête des primaires socialistes et par là même en tête d'un barrage de nantis socialistes qui ne veulent pas perdre leurs postes et leurs privilèges. Que de contradictions à la fois dans les idées et les principes démocratiques ! Directement issue de la catégorie de population qu'ils sont censés soutenir, nos élus gauchos bobos n'hésitent pas un instant et à la vue de tous, à se soulever contre celle là même qu'il soutienne en parlant des gens issus de la diversité. Bousculés dans leurs combines arrivistes, leurs principes moraux et politiques, ils se trouvent en opposition avec leurs grandes convictions. C'est un peu comme l'histoire de CRESSON avec les gens du voyage. Tant qu'ils allaient chier sur les terrains des autres ça ne la dérangeait pas, maintenant que c'est sur ses terres, c'est une autre histoire. GHALI ne servait qu'à montrer aux gens, " vous voyez, on est pas raciste, on a même des gens issus de la diversité qui occupe de hauts rangs ". Manque de bol, l'agneau s'est révélé être un loup et supplante le maître dans la course à l'arrivisme. Comment vont-ils gérer cette crise ? Continuer dans cette optique montrerait clairement que les élus de gauche ne sont certainement pas en place pour le peuple mais pour leur carrière et les principes fondamentaux du socialisme en prendraient pour leurs gardes.

Depuis un an, les déclarations et allégations socialistes ne sont qu'une suite de quiproquos et de revirements. Le moins qu'on puisse constater c'est que l'idéologie socialiste ne s'éloigne guère de l'idéologie communiste avec tous les risques qu'elle comporte. Anti-démocratique et anti-républicain semblent bien être les deux mamelles du socialismes. Eux qui passent leur temps à donner des leçons de morale, ne savent appliquer à eux-mêmes ce qu'ils demandent de force aux autres. Pas étonnant que leurs propres partisans fuient le parti et se tournent vers des gens plus responsables et convaincants.

BUDGET 2014 : ZIZANIE A L'ASSEMBLEE, FRANCAIS PREPAREZ VOTRE PORTE-MONNAIE

" Est-ce le climat politique ambiant particulièrement tendu ces jours-ci ou parce que le gouvernement ne sait plus comment gérer le ras-le-bol fiscal ? En tous cas, on a rarement vu pareille zizanie à l’Assemblée au début d’une discussion budgétaire.

Personne n’est d’accord sur rien, ni sur les réductions de dépenses annoncées ( officiellement 15 milliards d’euros mais moins d’un milliard et demi d’après l’opposition, qui parle de budget "insincère" ), ni sur le montant des augmentations d’impôts prévues pour l’année prochaine ( une "paille" de trois milliards d’après les voix gouvernementales, le "matraquage fiscal" qui continue pour la droite et le Front de Gauche ). Et, pour compléter le tableau, Pierre Moscovici, le ministre de l’Economie et Bernard Cazeneuve, le ministre du Budget, sont en froid depuis "l’affaire" de la taxe sur l’EBE ( Excédent Brut d’Exploitation ), ce qui ne facilite pas les arbitrages.

Petit rappel : les services de Bercy avaient sorti l’EBE du chapeau ( espérant faire tomber quelque deux milliards et demi d’euros supplémentaires dans les caisses de l’Etat pour réduire le déficit ), alors que François Hollande tentait de calmer "le ras-le-bol fiscal" en décrétant une pause. Ce qui s’avérait impossible, car on ne modifie pas l’architecture d’un budget de manière significative en septembre, les grands arbitrages étant faits entre juin et la fin de l’été. La confusion a atteint son comble lorsque Jean-Marc Ayrault a renvoyé la pause à plus tard, le projet d’instaurer cet EBE venant brouiller encore un peu plus le message gouvernemental.

Il faut dire que d’un point de vue arithmétique, cette taxe sur l’EBE, véritable machin technocratique, aurait été bienvenue pour les caisses de l’Etat. Mais elle est morte née sous les hurlements des chefs d’entreprises qui sont sortis de leurs gonds. La rumeur dit que Bernard Cazeneuve reproche à son ministre de tutelle de ne pas l’avoir suffisamment mis en garde contre le danger de cette nouvelle disposition. Dans le camp Moscovici, on laisse entendre que le ministre du Budget était prêt à l’accepter en dépit des mises en garde ( contrairement à son prédécesseur, Jérôme Cahuzac qui, lui, n’en voulait pas ). "C’est la prime de naïveté du ministre qui arrive", commente ironiquement un spécialiste. Le bizutage de Bercy en somme ! L’effet produit par cet aller-retour a été désastreux et a contribué à accentuer l’image d’un gouvernement indécis sur les décisions pertinentes à prendre !

En fait, la marge de manœuvre du Parlement sera faible comme toujours, mais encore un peu plus cette année; car le gendarme bruxellois veille ! Toute dépense nouvelle doit théoriquement être compensée par une économie ou une nouvelle taxe. Voilà qui ne peut satisfaire en même temps des députés qui relayent le mécontentement de leurs électeurs et qui réclament des mesures significatives en faveur du pouvoir d’achat, et des chefs d’entreprises qui hurlent à l’étranglement  financier et menacent de se délocaliser ou de licencier. Les députés PS opposent les 15 milliards octroyés aux entreprises sous forme de Crédit Emploi Recherche et de Crédit Compétitivité Emploi aux cinq "petits milliards" dégagés pour le pouvoir d’achat. Ils ont obtenu le maintien de la décote en faveur des frais de scolarité, le relèvement du niveau fiscal de référence. Maigre consolation. D’où une multiplication d’offensives théoriquement vouées à l’échec.

La dernière s’est déroulée hier matin à la réunion du groupe PS. Les députés socialistes étaient appelés à se prononcer sur le sort à réserver à un amendement tendant à réduire le Crédit Impôt Recherche (en le modulant, selon qu’il concernerait la holding ou les filiales d’une entreprise), déposé par Karine Berger et Valérie Rabaut. Sur le papier, l’idée était tentante et séduisait nombre d’entre eux. Mais la contre-offensive avait été préparée. François Brottes, le président des affaires économiques, avait pris les devants en envoyant une lettre à ses collègues pour les convaincre de ne pas voter en faveur de cet amendement jugé néfaste. Hier, c’est une élue de l’Hérault, brillante ancienne chercheuse, Marie-Yvonne le Dain, Docteur en Sciences de la terre, ancienne directrice du CIRAD ( Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement ), qui est montée au créneau pour vanter, à la lumière de son expérience, l’atout que représente la présence des Centres de Recherche des grandes entreprises en France et pour souligner qu’il convient de ne pas changer brutalement la règle du jeu dans un domaine aussi sensible. Elle a été entendue ; l’amendement a été rejeté, prélude au vote en séance publique.

Quant au Crédit Impôt compétitivité auquel on reproche de profiter à des entreprises qui n’en ont pas besoin, (notamment la Poste et la grande distribution), en dépit des attaques, il devrait lui aussi être reconduit en l’état mais sera certainement réévalué…plus tard .

Concernant le maintien du taux de TVA à 7% pour les transports, ( au lieu des 10% prévus ), et quelques autres mesures "visibles" telles que la baisse d’un demi point de la TVA pour les produits de première nécessité, elles vont, sauf coup de théâtre, rester dans les cartons, réduction des déficits oblige.

Les députés de l’aile gauche du PS en sont donc réduits à masquer leur impuissance par une série de tentatives vouées à l’échec. Et face à la grogne populaire contre l’impôt, le gouvernement ne sait pas comment ajuster son discours, entre volonté de ne pas "pénaliser les entreprises créatrices d’emplois" et soutien aux plus modestes, ce qui laisse la part belle à la droite et au Front de Gauche pour dénoncer les hausses d’impôts et les fausses économies. "


Un gouvernement complètement dépassé, une assemblée qui ne représente plus rien et des députés qui ne pensent qu'à leur notoriété. Voilà où en est la France en moins de deux ans de gauchisme. Ce qui est sur, c'est que de nouveaux impôts sont en préparation et la grogne populaire risque bien de se muter en colère...

DES DEPUTES COMMENCENT A AVOIR PEUR D'UNE REVOLUTION ?

" Après Christian Jacob qui s'interroge sur la «légitimité» de Jean-Marc Ayrault, Jean-Louis Borloo a demandé mercredi à François Hollande de «réfléchir à une dissolution» de l'Assemblée nationale ou à un référendum, vu la gravité de la situation en France.

Sur BFMTV et RMC, l'ancien ministre et député centriste a tranché: «La situation est plus que grave», elle est «exceptionnelle».

Evoquant la très faible popularité du chef de l'Etat, le président de l'UDI a observé: «ça peut arriver dans une démocratie parce que vous avez des réformes très difficiles ou une mise en cause personnelle. Mais là, ce n'est pas le cas, il n'y a pas de détestation du président, c'est un problème beaucoup plus fondamental».

«Le gouvernement est un canard sans tête»

«L'acceptabilité de l'impôt commence à être un problème», selon Jean-Louis Borloo. Ensuite «nous avons un FN qui est à 24%» et «on a le sentiment que le gouvernement est un canard sans tête».

«Nous avons une colère en Bretagne et pas seulement», a-t-il énuméré. «On a un budget qui change tous les matins» et encore «un sentiment d'injustice». «Je me demande, au point où en est le gouvernement, s'il ne faut pas revenir devant le peuple», a poursuivi le responsable.

«Je demande au président d'y réfléchir». «Il faut bien à un moment donné redonner la parole aux Français. Ca peut être une dissolution ou un référendum sur un sujet particulier», mais il faut «refixer un cap», «je ne pense pas qu'on puisse continuer comme ça», a insisté le président de l'Union des Démocrates et Indépendants. "


Sentirait-il le vent de la révolution souffler ?