lundi 29 juillet 2013

FRONTIGNAN : APRES LE PASSAGE DES CARAVANES ON BARRICADE LE STADE

" L'entrée du stade bloquée par des rochers à Frontignan dans l'Hérault,  pour empécher l'installation de campements.

Depuis lundi matin, les engins installent des rochers pour barrer l'entrée des stades de Frontignan, envahis ces derniers jours par d'imposantes communautés de gens du voyage. Dimanche, en fin d'après-midi, environ 150 caravanes, installées depuis le début de semaine, ont quitté les lieux. "

L'AMABILITE DES GENS DU VOYAGE

" Jean-Paul Franc, le maire d'Aimargues, n'en revient toujours pas du comportement des gens du voyage qui se sont installés illicitement sur le stade municipal, ce dimanche. Une situation qui a failli dégénérer lorsque le premier magistrat est allé à leur rencontre...

Le premier magistrat d’Aimargues, Jean-Paul Franc, Marianne d’or 2013 notamment pour ses actions en matière de démocratie de proximité, était encore sous le choc, hier, en fin de matinée.

Il est 10 h 30 quand il reçoit un coup de fil l’avertissant qu’un convoi de gens du voyage est aux portes de la commune, au rond-point de Vauvert, et convoite le stade municipal tout proche. Jean-Paul Franc monte dans sa voiture, arrive sur place, constate que les premières caravanes ont pénétré dans l’enceinte sportive et se sont posées sur la pelouse du stade de football, alors que d’immenses champs s’étirent à perte de vue dans la plaine voisine. Il faut dire que cette pelouse, dotée d’un système d’irrigation enterré, est splendide. Aucun terrain de camping n’est en mesure d’offrir aux touristes une herbe aussi verte, aussi douce, aussi fraîche, aussi précieuse.

Il a fait de son corps un rempart devant le stade

"J’ai garé ma voiture en travers, sur le chemin d’accès, pour les empêcher de continuer à passer", raconte le maire. Mais son véhicule étant trop court, des caravanes ont continué à se faufiler. N’arrivant à rien, le maire, qui s’était présenté et avait demandé aux intrus de rebrousser chemin, s’est alors placé devant le convoi, faisant de son corps un rempart pour le stade.

"Le ton est monté, je leur ai dit qu’ils n’avaient pas le droit de s’installer et endommageaient très gravement la pelouse, mais ils m’ont foncé dessus et m’auraient écrasé si je ne m’étais écarté. J’ai alors tapé sur un véhicule forçant le passage, de la paume de la main, rien de plus."

"J'ai failli me faire lyncher"

Ce geste a mis le feu aux poudres explique le maire. "J’ai failli me faire lyncher. Des jeunes se sont précipités sur moi, les poings en avant, me disant “On va te faire la peau”." Le maire raconte ensuite que les gendarmes sont arrivés et qu’ils ont gelé la situation. "Les gens du voyage ont dit qu’ils allaient porter plainte contre moi et ont exigé que les gendarmes dressent un P.-V. selon lequel j’aurais dégradé un véhicule".

"C'était des fous furieux"

Les choses se sont ensuite encore envenimées rapporte l'élu dont la voiture a été poussée de là par les gens du voyage. "On n’a pas pu discuter, ils voulaient me tuer, ils se fichaient que je sois le maire, un truc de fous furieux. Les gendarmes m’ont dit que je ne pouvais pas rester là et que ça pouvait devenir dangereux. Ils m’ont fait monter dans un véhicule de la gendarmerie pendant que les gens du voyage me criaient “On t’aura” ; et j’ai cru qu’ils allaient renverser la voiture des gendarmes qui a démarré sirène hurlante et m’a ramené à mon domicile".

À 12 h 30, le calme était revenu. Il n’y avait plus de cris, plus de gendarmes et la pelouse était totalement occupée par une cinquantaine de caravanes.

SCANDALISÉ, LE MAIRE A DÉPOSÉ PLAINTE HIER
Le maire d’Aimargues a déposé plainte à la gendarmerie, hier après-midi, pour dégradations de biens publics (le portail du stade cassé, la pelouse et l’arrosage à refaire...) et pour avoir été victime, à deux reprises au moins, sur une voie publique, de tentative visant à l’écraser.

"Et j’ai failli être lynché ! C’est une des premières fois de ma vie que j’ai vraiment eu peur et que j’ai affaire à des fous furieux. J’ai failli demander au préfet, que je n’ai pas encore eu au téléphone, qu’il assure ma protection tellement j’ai eu peur et d’ailleurs je n’exclus pas de le faire."

Le maire va déposer ce matin un référé expulsion. Mais "sans conviction", la démarche prenant plusieurs jours, le temps de la halte des intrus. "Ils partiront dans une huitaine de jours mais j’ai l’intention d’aller au bout et je veux qu’ils remboursent toutes les réparations qu’on va devoir faire. Et qu’on ne nous dise pas qu’ils sont insolvables parce que je ne le comprendrais pas quand on voit les voitures qu’ils ont et qui peuvent dépasser les 100 000 €." "

http://www.midilibre.fr/2013/07/28/le-stade-d-aimargues-envahi-par-des-caravanes%2c739770.php

C'est quoi cette justice ?! Plus facile et moins dangereux de s'en prendre aux femmes et aux enfants de la manif pour tous, Mr VALLS !

LES CONVERTIS A L'ISLAM SONT AUSSI DANGEREUX QUE LES ISLAMISTES DE SOUCHE


" Suite à une vidéo, postée mi-juillet par l'un des jeunes toulousains, appelant des volontaires à la guerre sainte à venir les rejoindre en Syrie un homme de 47 ans, originaire de Toulouse, a été interpellé dans le Territoire-de-Belfort dans le cadre d'une opération antiterroriste. Il est soupçonné d'avoir voulu rejoindre le jihad en Syrie.  L'homme a été relâché, aucun élément n'ayant permis de corroborer l'imminence de son départ,

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a récemment évalué à au moins une cinquantaine le nombre des Français partis combattre en Syrie. "Cinquante, peut-être plus encore, sont sur place, quarante sont en transit, une trentaine sont revenus et sont en tout cas sous la surveillance de nos services. Une poignée sont décédés, morts dans des combats sur place", avait-il indiqué sur France 2 le 18 juillet, interrogé sur les Français combattant en Syrie.

Le ministre avait par ailleurs estimé que "600 Européens sont dans la même situation", évoquant un phénomène "très inquiétant". Selon une source judiciaire, 14 enquêtes judiciaires relatives à des infractions terroristes en lien avec la Syrie sont actuellement en cours à Paris et 5 informations judiciaires ont déjà été ouvertes. Au total, ces enquêtes concernent 36 personnes mises en cause. "