dimanche 28 avril 2013

IL PROSTITUAIT SA FEMME ( 10/11/12 )


Radouane, 28 ans, forçait, sous la menace, sa jeune épouse à se prostituer. Les faits s’étaient déroulés entre juin et juillet derniers à Vic et Montpellier, alors que la victime était encore lycéenne.  Les passes variaient avant cela entre 30 € et 150 € et lui auraient rapporté quelque 10 000 €.

"Tu pars, tu fais des sous, sinon je vais te tuer !"

Voilà le genre de menace dont était coutumier Radouane à l’endroit de sa jeune épouse. Et que ce Montpelliérain de 28 ans avait, entre les mois de juin et juillet derniers, forcé à se prostituer. Et si les mots n’y suffisaient pas, l’époux idéal avait, par-devers lui et pour appuyer son argumentaire, un brise-vitre et un couteau. Il y avait les coups aussi. Mais pour ne pas trop marquer sa marchandise de femme, il frappait à dessein.

10 000 € en un mois

Jusqu’à ce jour de juillet. Lorsque la jeune fille a décidé de déposer plainte. Et ce, après avoir tenté d’augmenter ses tarifs pour décourager les clients de la choisir. Un subterfuge dont s’était rapidement rendu compte le mari. Lequel était alors entré dans une colère noire et s’était mis à cogner la jeune femme avant de tenter de l’étrangler. Des marques et ecchymoses ensuite mises au jour par un médecin légiste.

Un casier déjà noirci par huit condamnations

Les passes variaient avant cela entre 30 € et 150 €. Ce qui, en un gros mois, aurait rapporté à son bourreau quelque 10 000 €. De l’argent que les enquêteurs n’ont jamais retrouvé. Et que le prévenu, dans le prétoire de la correctionnelle, face à la présidente Laporte, jure ne pas avoir secrètement placé dans une banque marocaine.

Reste à comprendre comment une lycéenne de 19 ans, en terminale professionnelle, a ainsi pu tomber entre les griffes d’un garçon qui, quelques jours avant leur première rencontre et leur mariage quelques semaines plus tard, purgeait une énième peine de prison et dont le casier était déjà noirci par huit condamnations (vols, aggravés ou non, en réunion, violences avec arme...).

Bref, un humaniste. Vivant des minima sociaux depuis 2010, après avoir enchaîné des contrats par intérim dans le BTP ou l’automobile. Et que des témoins disent avoir vu, tant du côté de Vic-la-Gardiole, que du quartier des Arceaux, conduire la victime sur ses lieux de passes. Et une fois sur place, l’intéressé attendait patiemment dans sa voiture le retour de sa gagneuse.

"Mais elle faisait ses trucs en cachette, j’en sais rien"

 Déni total. Jusqu’au bout des débats, Radouane a nié. Nié s’être drapé dans les oripeaux du proxénète d’opportunisme. Mais ayant apparemment du mal à défendre sa position. Preuve, lâchée tout-à-trac : "Non, aujourd’hui, je ne nie pas les faits, je les conteste, c’est tout ! Elle ne m’a jamais remis d’argent. Mais elle faisait ses trucs en cachette, j’en sais rien. Elle est très jalouse, elle me provoque, elle ramène des mecs."

- "Et vous acceptez cela ? Pourtant, vous êtes un bon chrétien si je puis dire, vous faites le ramadan", objecte la magistrate.

- "Comme elle refusait la rupture, elle a décidé d’en découdre", poursuit le prévenu.

- "Aujourd’hui vous niez tout en racontant n’importe quoi !", s’agace la présidente.

- "Il m’a empêché d’avoir un téléphone, de voir ma famille, mes copines, d’avoir une vie normale. Là, j’ai repris mes études au lycée où j’étais", raconte la victime à la barre.

"Tu peux faire de l’argent avec ton corps"

Laquelle aurait, peut-être, pu imaginer ce qui allait se passer. Lorsque, quelques mois plus tôt, son mari lui avait lancé tout de go : "T’es jeune, t’es belle, bien foutue. Tu peux faire de l’argent avec ton corps." Soit un ensemble de faits, "odieux comme l’est l’attitude de monsieur", constate l’avocate de la jeune femme.

Un "avilissement de la personne, une atteinte profonde à la dignité humaine", estime le représentant du parquet. Lequel, "face au caractère ignoble de son comportement (celui du prévenu, NDLR)", requiert trois ans ferme, assortis d’un mandat de dépôt sur l’audience.

"Il avait découvert qu’elle s’adonnait à cette activité. Il ne l’a pas contrainte. Son erreur a été de ne pas la sortir de là", plaide le conseil du jeune homme.

Un argumentaire qui n’a pas convaincu les magistrats, qui ont suivi point par point les demandes du parquet. Provoquant l’ire des proches du prévenu. Et dont certains ont alors directement menacé de représailles la victime, avant d’être évacués par des policiers appelés en renfort...

LA GROSSE FARCE DU CDII


" Ces gens qui vous disent qu’ils luttent contre la précarité des CDD vous inventent Boulevard Wagram, dans l’ANI, un « CDI intermittent » (sic) encore plus précaire.

Article 22 de l’ANI – Le CDII
Le CDII ou contrat à durée indéterminée intermittent est, de fait, une sorte de contrat à temps partiel annualisé : le salarié va alterner des périodes travaillées et non travaillées, et sa rémunération sera « lissée » sur l’année : comment payer quatre mois de travail en douze fois ? Il sera « ouvert » aux entreprises de moins de 50 salariés (dans un premier temps dit « expérimental »).

Ce sera une alternance de périodes travaillées et non travaillées : Le CDII implique une précarisation des salariés encore plus grande que le CDD. Il peut avoir pour effet de faire travailler le salarié que quelques semaines ou quelques mois dans l’année – sans bornes. Les horaires sont de plus extrêmement flexibles et mouvants. Le salarié a donc de grandes difficultés à prévoir la répartition des horaires et donc à concilier son CDII avec un autre CDII ou un autre CDI à temps partiel.

Pire qu’un CDD, un temps partiel et un contrat saisonnier :

Par rapport à un saisonnier : le « CDD saisonnier » permettait au moins de percevoir les allocations chômage quand le salarié ne travaillait pas. Ce ne sera plus le cas avec le CDII : les périodes non travaillées n’ouvrent pas droit à l’assurance chômage :

Par rapport à un CDD : pas de prime de précarité de 10 % et pas d’indemnisation chômage pour les périodes non travaillées. Aucune des mesures (quand elles sont bonnes) encadrant le le CDD n’est « reportée » sur ce contrat. Aucune mesure de compensation non plus dans les « intervalles », on aurait pu imaginer que les périodes non travaillées donnent lieu à des indemnisations qui représenteraient 20 ou 30 % du salaire, mais non.

Par rapport à un temps partiel : le CDII ne garantit aucune durée minimale de travail. C’est une sorte de temps partiel modulé sur l’année. Par analogie avec ce que dit l’ANI sur le temps partiel, les signataires auraient dû au minimum prévoir une durée moyenne de travail ne pouvant être inférieure à 24 h par semaine. Non, le volume d’heures est laissé à la négociation de gré à gré, et comme il n’y a pas de socle légal ou conventionnel minimum, le contrat de travail pourra se limiter à une poignée d’heures par an.

Pour ces raisons, il était indispensable de ne pas étendre la possibilité d’utilisation de ce type de contrat qui vise uniquement à dénaturer le CDI.
Le patronat des petites entreprises le réclamait pour toutes les entreprises de moins de 50 salariés ; l’accord ne prévoit qu’une expérimentation dans trois branches : 

 organismes de formation, 
 commerce des articles de sport, équipements de loisirs, chocolatiers.
Pas de hasard, ces trois secteurs sont sensibles. 
Aujourd’hui, ce type de contrat existe déjà, mais lorsqu’il est autorisé par un accord de branche qui pose des limites. Dans le nouveau champ de « l’expérimentation », ces limites n’existeront pas et l’idée du patronat est de le généraliser au terme de « l’expérimentation ».

 La « formation » : c’est toute la convention collective de la formation du privé qui est remise en cause derrière. 
 Les articles de sports : c’est tout le secteur du loisir qui sera concerné. 
 Les chocolatiers : c’est tout le secteur agro-alimentaire qui est ouvert à cette nouvelle forme de précarité. Demain les industries du jouet, de l’habillement, etc. le seront ! "

CES POLITIQUES QUI N'AIMENT PAS LA FRANCE : Michel VAUZELLE


PROFANATION DE L'EGLISE DE MARMOUTIER ( 08/10/12 )


Dans la nuit du 7 au 8 octobre 2012, l’église abbatiale de Marmoutier, dont les orgues datant de 1710, connues dans le monde entier, sont les deux seules que l’ont ait conservées du célèbre facteur d’orgues André Silbermann, a été profanée. Les portes sécurisées ont été fracturées, le tabernacle a été profané, les hosties jetées au sol et éparpillées, et sept calices dorés ont été dérobés.

Ce n’est pas une mosquée, ni une synagogue, donc les médias n’en parleront pas : la gauche journalistique n’aime peut-être pas beaucoup les juifs, mais elle aime encore moins les catholiques, qui rappellent trop les racines de l’Europe qu’ils veulent remplacer.

Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

REGLEMENTS DE COMPTES A CANNES ( 08/09/12 )


Un repris de justice de 35 ans, très connu des services de police, qu’on appellera pour l’instant I.Z., était en train d’attacher son scooter lorsqu’il a été criblé de balles de mitrailleuse dimanche peu avant minuit à Mougins, près de Cannes.

Il a été atteint à l’abdomen, au thorax et à la bouche, et est mort avant l’arrivée des secours.

Le tireur a pris la fuite sur un scooter.

Toujours à Cannes, le GIPN a procédé hier à de nouvelles découvertes dans le cadre du démantèlement d’une cellule islamiste de noirs récemment terroristes convertis à l’islam.Cette fois, c’est un appartement du bd Carnot, dans la cité des Festivals, que la police a fouillé sans arrêter personne.Selon les ordinateurs, les téléphones portables et les « testaments » saisis, ce serait à Cannes que se situe la plaque tournante de ce groupe de musulmans radicaux autour duquel planent en permanence l’ombre de Mohamed Merah.

V.G. a été interpelé à Paris. Condamné pour trafic de drogue, il hébergeait Jérémie Louis-Sidney dit James, dont les liens avec Mohamed Merah se confirment, sur la cote d’Azur.S.D a été apréhendé à Torcy.Yann Nsaku, un congolais ancien footballeur, et également soupçonné d’avoir participé à l’attentat de l’épicerie juive.Sur son mur facebook, une fausse photo montrant un soldat israélien pointant son arme sur un enfant, et ce commentaire : « Comment Ne Pas Etre Haineux Envers Ce Peuple Maudit ! ! ». Et après cela, les journalistes soutiennent ne rien avoir à faire avec l’incitation des musulmans à agresser les Juifs. Ben voyons…

Le GIPN a également appréhendé un Français d’origine tunisienne dans le centre de Cannes, et un tunisien, près de la Croisette.

Dans le quartier, personne ne s’étonne : « Du jour au lendemain, un groupe d’une vingtaine de personnes s’est constitué, qui voulaient que tout le monde ici entre en religion. Ils disaient que tous ceux qui parleraient mal de l’islam seraient punis, et il n’y avait quasiment plus moyen de prier tranquille à la mosquée sans subir leur influence malsaine. », explique un jeune éducateur cannois.

« Certains jeunes d’ici considèrent (Mohamed Merah) comme un héros plutôt que comme un salaud, et un résident du quartier est carrément parti faire un stage en Afghanistan », explique ce voisin.

« Depuis vingt ans, il y a des salafistes à Cannes. L’islam des caves, faute de lieu de culte, n’est pas une vue de l’esprit, et quelques extrémistes jouent de cette frustration pour propager une idéologie anti-occidentale », constate David Lisnard, premier adjoint au maire de Cannes.

DES RAPPEURS TIRENT A LA KALACHNIKOV ( 08/09/12 )

Le rappeur Pap et son groupe Negrescro, à Nice (France ; où d’autre d’ailleurs, avec un truc pareil…) ont prôné la violence dans une vidéo postée sur YouTube. On y voit des hommes masqués tirer au fusil et à la kalachnikov. D’autres hommes font du rodéo à moto en pleine ville. Et un groupe hisse sur la façade d’une église un immense drapeau algérien. Ils ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire (c’est bien surprenant…). Christian Estrosi, maire de Nice avait en effet saisi la justice (on se réveille…). Les enquêteurs ont retrouvé une douille percutée, correspondant au calibre de la kalachnikov, sur le lieu de tournage de la vidéo.