jeudi 28 novembre 2013

UN SURVEILLANT SCOLAIRE PRATIQUE LE RACISME ANTI-BLANC


" Alors que bien souvent le racisme anti-blanc est marginalisé quand il n’est pas le plus souvent nié, ce fait divers nous renvoie la réalité à la figure. Brutalement.

Les réseaux sociaux ont ceci d’intéressant qu’ils permettent de capturer l’instant. Le compte Twitter de Joyce GBE qui se présente comme un surveillant scolaire est terrifiant. Jeune embauché, cet homme affirme « J’men régale de les punir ahaha. Et j’favorise les Noirs et les Tissmey – Si y’a un Babtou il se tape avec un Noir, j’puni pas les deux. Le Babtou il doit dire « pardon » et il va au coin. Le noir il peut aller jouer – J’vais punir tous les petits Babtou qui font les malins dans la cour de Récrée ». Depuis, son compte Twitter a été suspendu…

Sans détour ni honte, ce personnage nous explique sa façon bien à lui de traiter des enfants en bas âge qui sont pourtant particulièrement fragiles dans cette période de construction. Cette situation a le mérite d’exploser au grand jour, grâce à la bêtise de son auteur qui croit bon s’en vanter sur la place publique. Mais pour un Joyce GBE exposé sur la place publique, combien d’intervenants partageant cette façon de faire ? Et la justification « Bah ouai j’me venge » est-elle tolérable ?

Quand on évoque les dangers du multiculturalisme, on omet bien trop souvent de parler de ce genre de situations, pourtant banales j’en ai bien peur, ayant été moi-même le témoin à plusieurs reprises de groupes périscolaires menés par des « jeunes » qui n’avaient manifestement aucune qualification ni même tenue, paradant ostensiblement casquette à l’envers et sweat « Ici c’est Paris, Fuck Marseille ».

Monsieur Peillon, tant occupé à pousser la théorie des genres dans les programmes scolaires, ferait bien de se pencher sur ce cas en particulier mais également sur ce qu’il dit d’une certaine idéologie qui pourrait progresser à l’école. La réforme des rythmes scolaires semble dès lors très éloignée de l’urgence qu’il y a à s’assurer de la probité du personnel recruté, ce personnel en première ligne face à des têtes blondes qui imprégneront forcément ce qu’elles voient. Au fait, Monsieur Peillon, c’est bien cette semaine que vous lancez votre plan « contre-le-harcèlement-à-l’école » ? S’il faut même se méfier du personnel éducatif, maintenant… "




DE PLUS EN PLUS DE PERSONNALITES EPINGLEES AVEC LE GESTE DE LA QUENELLE



" Après Yann Barthès, Mamadou Sakho. Le défenseur de l'équipe de France de football, et héros de la qualification pour le Mondial face à l'Ukraine, a expliqué, mercredi 27 novembre, avoir été "piégé" après la diffusion d'une photo le montrant faire une "quenelle".

Le 25 novembre, l'humoriste Dieudonné a montré, dans une vidéo postée sur YouTube, une photo non datée de Mamadou Sakho faisant une "quenelle", un geste polémique inventé par l'humoriste au début des années 2000, et depuis récupéré par l'extrême droite. Interpellé sur Twitter, le footballeur s'est défendu en avouant qu'à l'époque, il ne connaissait pas la signification de ce geste.

@ElgabinchGabin Cette photo date d'il y a 6 mois, je ne connaissais pas la signification de ce geste, je me suis fait piéger !
— Mamadou Sakho (@mamadousakho3) 27 Novembre 2013

Mamadou Sakho n'est pas le premier à être utilisé par l'ancien leader de la liste antisioniste aux élections législatives. D'autres photos de sportifs ou de stars faisant la "quenelle", un geste considéré par certains comme un salut nazi à l'envers, ont émergé. Parmi eux, Didier Dinart et Nikola Karabatic, de l'équipe de France de handball, le joueur de basket Tony Parker ou encore le chanteur Yannick Noah, rappelle Slate. "

http://fr.news.yahoo.com/photographi%C3%A9-faisant-quenelle-mamadou-sakho-dit-pi%C3%A9g%C3%A9-120133976--spt.html

Bizarrement aucune manifestation indignée de la LICRA, de SOS RACISME et de toutes les organisations anti-racistes !???? Il semble que certaines personnalités soient à l'abri, seraient-elles de gauche ?

HOLLANDE AVOUE SON ECHEC FACE AU CHOMAGE



" François Hollande a réaffirmé jeudi sa volonté d'inverser la courbe du chômage, sans toutefois promettre, comme il s'y était engagé, d'y parvenir avant la fin de l'année.

"Il y a cet objectif que j'ai fixé, l'inversion de la courbe du chômage", a-t-il déclaré à quelques heures de la publication des chiffres du chômage pour octobre lors d'un déplacement sur le thème de l'emploi à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).

"Nous allons y arriver à cette inversion de la courbe, mais avant que ça (ne) rentre dans la perception de nos concitoyens...", a ajouté le président français.

Un peu plus tôt, il avait souligné que l'inversion de la courbe du chômage prendrait "tout le temps qui est nécessaire". "


Comme foutage de gueule on trouve pas mieux ! Pour ma part, je vous annonce qu'un jour l'hiver va se terminer, qu'après la pluie il y a de grande chance qu'il y ait du beau temps, que si vous ne mettez pas de carburant dans votre voiture il y a de forte chance pour que vous tombiez en panne...

LA JUSTICE IMPOSE A UNE PRISON DES REPAS HALAL

" Le tribunal administratif de Grenoble a enjoint au centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) de servir des repas halal à ses détenus musulmans au nom de la liberté d'exercer sa religion, a-t-on appris mercredi. "C'est une décision très importante, la première fois qu'une juridiction administrative condamne un établissement pénitentiaire à servir des plats halal aux détenus", a réagi Me Alexandre Ciaudo, du cabinet DGK Avocats, confirmant une information de France Bleu Isère.

En mars dernier, le client de Me Ciaudo, Adrien K., avait demandé au directeur de la prison de permettre aux détenus musulmans de disposer de menus composés de viandes halal. Le directeur avait refusé de donner suite à cette requête. Adrien K. avait alors saisi le juge administratif. Dans une décision rendue le 7 novembre 2013, la juridiction enjoint au directeur du centre pénitentiaire de proposer "régulièrement" des menus composés de viandes halal "dans un délai de trois mois".

Convention européenne des droits de l'homme

Le tribunal souligne en effet que le principe de laïcité "impose que la République garantisse le libre exercice des cultes" et qu'il ne fait donc "pas obstacle à ce que les détenus de confession musulmane se voient proposer des menus comportant des viandes respectant les rites confessionnels de l'islam". En refusant de proposer des menus halal, le directeur de la prison méconnaît en outre les dispositions de l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme qui garantit le libre exercice des cultes, a estimé le tribunal.

La distribution de repas halal n'entraînerait par ailleurs "pas de surcoût prohibitif pour l'établissement" et ne présenterait pas non plus "de difficulté technique particulière", a souligné la juridiction. Interrogée par l'AFP, la direction du centre pénitentiaire n'a pas souhaité faire de commentaire. "C'est une décision qu'on va faire connaître", s'est félicité Nicolas Ferran, responsable juridique de l'Observatoire international des prisons (OIP). Selon lui, si l'administration pénitentiaire n'applique pas cette décision, "elle risque de se retrouver confrontée à une vague de contentieux".

"Carences alimentaires réelles"

Dans un avis rendu le 24 mars 2011, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, avait déjà attiré l'attention de l'administration sur les "carences alimentaires réelles" de détenus "se plaignant fréquemment de ne pas manger à leur faim" du fait de l'absence de repas respectant leurs prescriptions religieuses. À l'heure actuelle, "à de rares exceptions près, tous les lieux de privation de liberté sont en état de fournir des repas de nature diversifiée", a souligné Jean-Marie Delarue dans cet avis.

Pourtant, très peu de prisons "offrent des aliments conformes à des prescriptions rituelles", avait-il ajouté. "La fourniture de viandes ou d'autres aliments préparés selon les rites approuvés par les autorités religieuses compétentes doit être recherchée et mise en oeuvre", avait estimé le contrôleur général, précisant que les prix pratiqués pour ces types d'aliments "apparaissent parfois inférieurs à ceux des produits habituellement achetés". "


Et demain ? La justice imposera le halal dans quoi ?