mardi 24 décembre 2013

HOLLANDE SOIGNE SA PETITE VILLE DE TULLE ( AUX FRAIS DU CONTRIBUABLE )




" La ville de Tulle, dont François Hollande a été le maire pendant sept ans, bénéficie de généreuses subventions depuis son élection à la présidence de la République.

François Hollande ne renie rien de ses racines en Corrèze. Bien au contraire. Le Président est toujours prêt à donner un coup de pouce au département et à sa ville de Tulle, dont il a été le maire de 2001 à 2008. Celle-ci bénéficie de généreuses subventions depuis son élection à la présidence de la République.

Des subventions en pagaille

Mercredi dernier, avec son conseiller spécial Bernard Combes qui l'a remplacé à la mairie de Tulle, François Hollande a encore fait le tour des dossiers corréziens, notamment celui des accordéons Maugein, une manufacture en difficulté avec une vingtaine d'emplois menacés. "De quoi as-tu besoin ?", lui a aussitôt demandé le Président, toujours prêt à aider sa ville. 

De fait, de nombreuses subventions ont été accordées par différents ministères à la ville de Tulle. 3.300.000 euros pour le clocher de la cathédrale, 3 millions d'euros encore pour l'hôpital, 500.000 euros pour rénover l'habitat et un chèque de 200.000 euros de Matignon pour le parvis du nouveau cinéma. Sans parler du maintien du tribunal de grande instance.

12 millions d'euros au Conseil général

"François Hollande est le Père Noël de Tulle", ironise le conseiller général UMP, Frédéric Soullier. "C'est une pratique de clientélisme que nous voyons poindre depuis deux ans", ajoute-t-il. "Non, aucun favoritisme, juste un accompagnement discret", répond le Tulliste Bernard Combes. "À Tulle, on n'est pas arrosés, nous sommes humidifiés. Un léger arrosage qui vient, grâce au président de la République, de manière tout à fait républicaine", poursuit-il.

Ultime cadeau de fin d'année : une subvention exceptionnelle de 12 millions d'euros accordée au Conseil général pour soulager la dette du département. Et en prime, les portes de l’Élysée ouvertes aux Corréziens pour une dégustation de truffes la semaine dernière, arrosée de l'eau minérale de Treignac, toujours servie à la table présidentielle. "


Et il nous l'a met encore profond !

LILLE : DES ROMS PORTENT PLAINTENT POUR ETRE RELOGER ET IL EN COUTERA 100 EUROS PAR JOUR ET PAR FAMILLES AUX CITOYENS FRANCAIS



" Le tribunal administratif de Lille, saisi en référé par des familles Roms qui veulent contraindre le préfet du Nord à leur proposer une solution d'hébergement, rendra sa décision après Noël, a-t-on appris mardi 24 décembre auprès de l'avocate des demandeurs.

"La décision sera rendue jeudi 26 décembre ou vendredi 27, parce que le 24 décembre après-midi et le 25 décembre, le tribunal administratif est fermé", explique Me Eve Thieffry, qui a plaidé lundi et mardi les dossiers de 22 familles.

Ces dernières, hébergées à la Bourse du travail de Lille depuis leur expulsion d'un campement fin octobre, avaient saisi le tribunal administratif pour "atteinte gravissime et manifeste à une liberté fondamentale commise par le préfet du Nord", celle du droit à l'hébergement d'urgence.

La préfecture du Nord, qui avait mobilisé des places d'hébergement pour une partie de la centaine de Roms de la Bourse du travail sous réserve de l'évacuation des lieux par tous le 18 décembre au plus tard, avait annoncé vendredi qu'elle retirait son offre, après le refus des familles.

"Rien ne permet de conditionner le droit des uns aux droits des autres (...) Le droit à l'hébergement d'urgence est une liberté fondamentale", avait plaidé lundi Me Thieffry, demandant au juge des référés d'enjoindre le préfet du Nord de proposer une solution d'hébergement aux familles sous deux jours, sous astreinte de 100 euros pour chaque famille par jour de retard.

Début avril, le tribunal administratif de Lyon avait condamné le préfet du Rhône à reloger dans un délai de quatre jours dix familles qu'il avait fait expulser le 28 mars d'un campement à Villeurbanne, et qui étaient depuis hébergées dans une paroisse, avec une astreinte de 75 euros par jour de retard. "


Vous savez à quoi servent vos impôts maintenant...

LA VOIX DE LA RUSSIE : NOEL EN HOLLANDIE


Pour ma part, je conseille aux " FEMEN " d'aller pisser dans une mosquée pour voir !

LA VOIX DE LA RUSSIE : LE VRAI VISAGE DU SYNDICALISME

ET APRES ILS VOUS DISENT QUE LE RAPPORT SUR L'INTEGRATION N'ETAIT QU'UN PROJET

" Les mères voilées accompagnant des sorties scolaires ne sont pas soumises, par principe, à la neutralité religieuse, a estimé le Conseil d'Etat lundi 23 décembre. La plus haute juridiction administrative a tout de même rappelé que « les exigences liées au bon fonctionnement du service public de l'éducation peuvent conduire l'autorité compétente, s'agissant des parents qui participent à des déplacements ou des activités scolaires, à recommander de s'abstenir de manifester leur appartenance ou leurs croyances religieuses ».
Interrogé par le défenseur des droits sur plusieurs questions relatives à la laïcité et au service public, notamment l'accompagnement de sorties scolaires par des mères voilées, le Conseil d'Etat n'a fait aucune mention explicite, dans son étude, de la circulaire Chatel. Ce texte de l'ancien ministre de l'éducation Luc Chatel, datant de 2012, demande que les mères d'élèves accompagnant les sorties scolaires ne portent pas de signes religieux ostentatoires. Dans les faits, elle continue de s'appliquer, rappelle le ministère de l'éducation.

Dans sa saisine, le défenseur constatait que, « sur le terrain », les « dispositions prises [variaient] d'un établissement à l'autre ». Dominique Baudis évoquait des « zones d'ombre » dans les textes et souhaitait « pouvoir être en mesure d'apporter des réponses étayées » aux personnes qui l'avaient interrogé. « La présente étude, purement descriptive, n'a [...] pour objet ni de dresser un panorama de la laïcité ni de proposer des évolutions, quelles qu'elles soient, mais de dresser un constat du droit en vigueur », rapelle le Conseil d'Etat dans son étude.

APPEL À UNE « OFFENSIVE LAÏQUE »

Réagissant à la publication de cette étude, le ministère de l'éducation s'est empressé d'affirmer que la circulaire Chatel « rest[ait] valable ». Le ministère réaffirme que « le milieu scolaire est un cadre qui doit être particulièrement préservé » et estime, dans un communiqué, que cette circulaire datant de mars 2012 « est mise en œuvre sur le terrain avec intelligence, en privilégiant toujours la voie du dialogue ».

L'ancien ministre de l'éducation nationale Luc Chatel a lui-même réagi à cette décision, estimant qu'« il ne [pouvait] y avoir de laïcité à géométrie variable, de laïcité à la carte » et qu'« il [fallait] renforcer la loi de 2004 sur les signes religieux ostentatoires à l'école ». L'avis du Conseil d'Etat « souligne le flou et l'ambiguïté de la législation actuelle », a ajouté l'actuel vice-président délégué de l'UMP, qui a appelé « les républicains de tout bord [à] s'unir pour défendre la laïcité et la neutralité du service public ».

La présidente du Front national, Marine Le Pen, a pour sa part invité le gouvernement à « ne pas suivre cet avis » et à proposer une loi « interdisant de façon définitive ces signes religieux ostensibles chez les accompagnants ». 

L'avis du Conseil d'Etat « confirme l'affaiblissement considérable du principe de laïcité dans notre pays », a condamné Marine Le Pen dans un communiqué. « Devant la progression inquiétante du communautarisme et des revendications politico-religieuses [...], seule une offensive laïque majeure face à tous les obscurantismes permettra de stabiliser nos principes essentiels », selon elle.

L'AFFAIRE BABY LOUP

L'avis du Conseil d'Etat n'est pas sans rappeler l'affaire Baby Loup, lorsque Fatima Afif est licenciée en décembre 2008 pour « faute grave » en raison de son souhait de porter le voile sur son lieu de travail. En France, l'affaire est devenue emblématique des rapports entre islam et laïcité. A la suite de nombreux rebondissements judiciaires, Dominique Baudis avait demandé que soit clarifiée la frontière entre « missions de service public et missions d'intérêt général », qui n'imposent pas les mêmes règles aux intervenants.

Après la décision de la cour d'appel de Paris en novembre, qui a confirmé la légalité du licenciement de la salariée voilée, la Cour de cassation sera amenée à se pencher une nouvelle fois sur l'affaire Baby Loup au début de 2014. Les précisions du Conseil d'Etat sur les contours des différentes missions, et donc des différentes obligations, constitueront un nouvel élément d'appréciation dans ce dossier. "