lundi 24 février 2014

L'EXTREME GAUCHE RACISTE

" A Toulouse, ce samedi 20 février, lors d’une manifestation contre l’homophobie et l’antisémitisme après que des tags aient recouverts des bâtiments symboliques de la ville, des Juifs ont été violemment insultés par l’extrême gauche dans le cortège. Des juifs jugés indignes par l’extrême gauche de manifester contre l’antisémitisme. Parce qu’ils soutiennent Israël. Alors qu’eux défendent les dictatures islamistes autour.

Qui est le plus coupable ?

Les organisations antiracistes politiquement correctes qui décortiquent les dérapages de la droite et restent de marbre face aux propos nauséabonds de leur camp ?

La gauche, qui pour souder « l’alliance de toutes les gauches » ferme les yeux sur la dialectique antisémite maquillée en revendication antisioniste de l’extrême gauche ?

La gauche bien au fait du rapport Rufin du ministère de l’intérieur, qui depuis 2004 a démontré que « Parmi toutes les formes, subtiles, d’antisémitisme par procuration, il en est une qui doit être particulièrement distinguée car elle émerge depuis quelques années comme forme de discours dominant : c’est l’antisionisme radical ».

La gauche qui ne veut voir des fascistes qu’à l’extrême droite, « oubliant » que le Parti socialiste national allemand s’appelait Nazi, que la SFIO a donné les pleins pouvoirs à Pétain en 1940, et que Mussolini a commencé sa carrière politique au PSI, le Parti socialiste italien ?

La gauche qui pour ne pas perdre une élection, a signé des pactes avec ceux qui soutenaient le Parti antisioniste de Dieudonné et Alain Soral, en parfaite connaissance de la foi antisémite de ses dirigeants ?

La gauche qui mouillait l’œil lorsqu’un vieillard indigne légitimait les attaques terroristes des islamistes du Hamas contre d’innocents juifs - à l’exception notable de François Hollande, qui le jour des obsèques de Stéphane Hessel, le traita de menteur de la cause palestinienne, mais ne l’a jamais dénoncé de son vivant ?

La gauche de Christiane Taubira qui radieuse remit le Prix des droits de l’Homme au terroriste du FPLP Michel Warshawski qui déclarait « qu’il faut rejeter sans aucune ambiguïté l’idée même (et l’existence) d’un État juif, quelles que soient ses frontières » ?

La gauche qui trouva très digne la présence de Salah Hamouri, le terroriste palestinien qui a fait de la haine des Juifs sa raison de vivre, comme invité d’honneur à la fête de l’huma, et très indigne qu’un antisémite, Alexandre Gabriac, soit dans les rangs du FN (qui l’a exclu) ?

Ou la droite qui se laisse diaboliser d’oser parler avec sa droite, sans rappeler au PS que les racines néo-nazis du FN ne valent pas, en millions de morts, celles de leurs fétides alliés communistes ?

La parole antisémite se libère par les extrêmes. Mais autant le FN fait – ou fait semblant – de nettoyer ses rangs, autant les communistes, le Front de gauche, EELV et leurs satellites l’acceptent sans la moindre gêne.

Et ils ont bien raison : Jean-Marc Ayrault, interrogé lundi au salon de l’Agriculture sur d’éventuelles frictions (Manuel Valls a mis en cause l’extrême gauche à Notre Dame des Landes) a déclaré « on a besoin de tout le monde »… "

LA FOLIE EXTREME GAUCHE

" Il y a huit jours, des tags ont fleuri dans Toulouse – immédiatement qualifiés d’« antisémites, homophobes, racistes » –, sur les murs d’un cinéma, de l’université de sciences sociales et surtout sur la « Maison des différences », créée par la municipalité. Le maire, Pierre Cohen, celui qui affirme à chaque sortie « Je ne suis pas juif » de peur, sans doute, qu’on le confonde, s’est empressé d’envoyer un communiqué à la presse, indigné : danger pour la République, campagne électorale oblige. Les autres partis lui ont rapidement emboîté le pas de peur d’être en reste ; même Valls, de Paris, a commis aussi un communiqué.

Les tags ont vite été effacés par les employés municipaux. Si vite que je me suis demandé si l’encre était sèche quand on les a nettoyés, mais pas tous : les tags des « antifas », eux, étaient bien en place sur cette Maison de la diversité, comme si leurs tags avaient droit de cité.

Les communiqués se sont multipliés jusqu’à ceux de l’extrême gauche, les élus de la mairie rappelant la mort de Méric, les heures les plus sombres, etc. Jusqu’à ce qu’une marche contre les différences, contre l’homophobie et contre l’antisémitisme soit organisée. Cette marche a eu lieu le samedi 22 février, devant la Maison des diversités, et c’est là que l’histoire devient cocasse.

Tout d’abord, M. Cohen est venu « soutenir les manifestants devant la maison » mais n’a pas défilé. Puis les militants de l’UMP qui voulaient défiler pour « défendre la République » ont été rejetés par l’extrême gauche. Personne ne voulait d’eux. Contre les différences, oui, mais pas toutes. Le président de l’UMP locale Jean-Luc Moudenc, candidat à la mairie et ancien maire de Toulouse, a immédiatement envoyé un communiqué pour dénoncer ce qu’il appelle « le refus des différences » (de la discrimination anti-droite, peut être).

Mais le pire était à venir. Bien que la manifestation fût co-organisée par les partis politiques et le CRIF, sa présidente s’est fait huer et même traiter de juive par les extrémistes, et pas de droite mais bien du Front de gauche. Les juifs qui voulaient défiler ont été priés de faire comme Cohen : rester sur le trottoir. Non mais ! La rue n’appartient légalement et en toute impunité qu’à l’extrême gauche dans notre pays. Où voit-on que des juifs peuvent sans problème défiler contre l’antisémitisme avec les antifas, LGBT et autres décérébrés de la République ?

Cet incident haut en bêtise et en couleur locale s’est terminé par le retrait des membres du CRIF, offusqués, mais qui ont appelé à manifester ailleurs le soir même, car Dieudonné fait son spectacle et, là, les juifs vont être admis à défiler.

France 3, qui était sur place, a montré quelques images, timidement, car faire tout un reportage sur ce sujet pourrait bien poser de très gros problèmes à la récupération électorale de ces tags, dont en fait on ne sait pas du tout par qui ils ont été écrits.

À Toulouse, vous pouvez défiler contre l’antisémitisme, mais seulement si vous n’êtes pas juif, et pas à l’UMP ! "

ESCROQUERIE A POLE EMPLOI

" l a mis deux ans à être démasqué. Pendant tout ce temps, un fraudeur a réussi à escroquer deux millions d'euros à Pôle emploi. L'homme, un proche du couple Florence Rey et Audry Maupin, a été interpellé en avril 2012 par les policiers de l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi étrangers sans titre (Ocriest), révèle Le Parisien, lundi 24 février. 

Pour escroquer l'agence publique de l'emploi, l'homme s'est fait passé pour un chômeur, multipliant les fausses identités, et ce une centaine de fois. Selon une source proche de l'enquête, les dossiers servant à l'arnaque ont été "déposés dans plusieurs agences" et étaient constitués avec "de faux documents d'identité", des adresses ne correspondant pas et "des numéros de téléphone bidons". 

Près de 60 millions d'euros de fraude en 2013
Pour ne pas se faire prendre, le fraudeur a brouillé les pistes en se connectant au site de Pôle emploi via des cybercafés et en appelant le service depuis des cabines téléphoniques. Au total, assure le quotidien, une cinquantaine de comptes bancaires ont été arrosés. 

Cette affaire met en lumière certaines failles de Pôle emploi, qui n'a pas réussi à déceler certains noms d'emprunt. "On peut se poser la question de la facilité avec laquelle il a agi", s'étonne ainsi la source anonyme citée par Le Parisien. D'après le quotidien, cette affaire ne serait pas isolée. La fraude subie par l'agence publique de l'emploi s'élève en 2013 à 58,7 millions d'euros. "

PS ET EELV : DEUX PARTIS QUI SE DETESTENT MAIS QUI S'ALLIENT POUR MANGER SUR LE DOS DES CONTRIBUABLES

" Ambigus les Verts? Cette fois, c'est Jean-Marc Ayrault qui le dit. Vingt-deux mois après l'entrée des écologistes dans son gouvernement, le premier ministre s'est finalement rendu compte, publiquement, du réel problème posé par cet allié que François Hollande lui a imposé. Au lendemain du saccage de Nantes, lors d'une manifestation contre le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, Ayrault a appelé Europe Écologie-Les Verts (EELV) à «sortir de l'ambiguïté» dans une déclaration à Ouest-France. «Ces violences sont inacceptables dans un État de droit. Tous ceux qui exercent des responsabilités publiques doivent condamner les squatters de la Zad (zone d'aménagement différé dédiée à l'aéroport, NDLR), organisateurs délibérés de ces violences», a ajouté le premier ministre.

Directement concernée par cette attaque, la ministre du Logement, Cécile Duflot, n'a pas réagi dimanche, laissant la patronne des Verts monter au Front. «On a toujours dénoncé les actes de violence, donc les choses sont très simples (…) Il n'y a aucune ambiguïté de la part d'EELV», a assuré Emmanuelle Cosse dans l'après-midi. Tout juste Duflot a-t-elle approuvé cette déclaration en signalant, en fin d'après-midi dans un tweet, qu'elle était «en général et en particulier toujours d'accord» avec Emma Cosse.

La veille pourtant, c'est bien la Ministre du logement qui, avant les violents affrontements de Nantes, avait défié le premier ministre en disant, dans un entretien auMonde, tout le mal qu'elle pensait du projet d'aéroport et tout le bien que lui inspiraient les manifestants. Cécile Duflot y assurait que si elle n'était pas ministre, elle les soutiendrait «plutôt deux fois qu'une!» et ajoutait être «de cœur avec eux». Un soutien implicite donc et qui a provoqué la fureur de Jean-Marc Ayrault que les scènes de «guérilla urbaine» à Nantes ont encore amplifiée.

Des crises à répétition

Avant sa déclaration à Ouest-France, le premier ministre a toutefois appelé Cécile Duflot pour l'informer de la teneur de ses propos. «S'il avait vraiment voulu s'en prendre à elle, il aurait tapé plus fort. Sa déclaration à Ouest-France est un message à portée essentiellement locale pour calmer les gars de Nantes qui sont très remontés contre les écologistes», assure un proche de Duflot. En réalité, cette dernière se méfie plus de Valls que d'Ayrault.

C'est le ministre de l'Intérieur qui a choisi de qualifier les incidents de Nantes de «guérilla urbaine». En guerre ouverte avec Cécile Duflot, il a toutefois pris garde de ne pas s'en prendre directement aux Verts et a mis en cause un groupuscule ultraviolent d'ultragauche: les Black Bloc. Il n'empêche, au début du mois, Valls avait été plus prompt à mettre en garde la Manif pour tous contre tout risque de débordement. Même avec le mouvement des «bonnets rouges», il avait réussi à limiter la casse. Or samedi soir, il a reconnu qu'il avait, avant les affrontements de Nantes, «suffisamment d'éléments pour penser qu'il y avait des individus, des groupes, que nous connaissons bien, que nous suivons depuis longtemps, qui voulaient utiliser cette manifestation pour s'en prendre aux forces de l'ordre et à la ville de Nantes». De là à mettre en cause le ministre de l'Intérieur, il n'y a qu'un pas que les écolos n'ont pas voulu franchir.

«Nous avons eu ce débat entre nous, reconnaît-on dans l'entourage de Cécile Duflot. D'autant que normalement, la police sait tout à fait prévenir ce genre de débordements.» Sauf initiative personnelle, toujours probable chez les Verts, ils devraient donc en rester là. Et affronter une nouvelle fois le procès en illégitimité de leur présence au gouvernement.

En dépit des crises à répétition entre les écolos et Jean-Marc Ayrault ou ses ministres sur le cannabis, les Roms, le gaz de schiste, le nucléaire, le diesel, la fiscalité… en dépit de leurs critiques constantes sur la ligne économique de François Hollande et notamment son récent pacte de responsabilité, les Verts ont toujours réussi à justifier leur présence dans la majorité. Maintenant que c'est le premier ministre en personne qui la remet en cause à demi-mot, la donne change. Notamment parce que cela vient donner des arguments à ceux, nombreux, qui dans la majorité n'en peuvent plus des Verts et des crises à répétition qu'ils provoquent. C'est Bernard Tapie qui a le mieux résumé l'état d'esprit des socialistes: «Après les municipales, ciao les Verts». Mais après seulement. Car pour l'heure, Hollande a toujours besoin d'eux. "


La guerre des boulets....

FREJUS : LE FN EN BONNE VOIE AUX MUNICIPALES

"  C'est ce que révèle un sondage Ifop pour 20 Minutes et iTélé sur les prochaines élections municipales...

Le Front national pourrait s’emparer de la mairie de Fréjus. Dans cette ville d’un peu plus de 50.000 habitants, un sondage exclusif Ifop pour 20 Minutes et iTélé révèle que le frontiste David Rachline écrase les candidats UMP et PS au premier tour des élections municipales. Avec 37% des intentions de vote, il devance la liste UMP (21%) et le PS (19%).  En quatrième position, figure la liste divers droite du maire sortant Elie Brun (17%), condamné le 30 janvier à cinq ans d'interdiction de droits civiques pour prise illégale d'intérêts, et qui a fait appel. «Le score du Front national au premier tour est saissisant», note Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. 

Au second tour, le parti de Marine Le Pen poursuit cet élan. Dans l’hypothèse d’une quadrangulaire, le FN remportait l’élection avec 34% face à l’UMP (27%). Dans le cas d’une triangulaire, l’UMP et le FN font jeu égal, avec 38% d’intentions de vote pour Philippe Mougin (UMP), et 37% pour David Rachline (FN). La socialiste Elsa Di Méo arriverait troisième avec 25% des intentions. «Entre les résultats du FN et celui de l’UMP, il n’y a que l’épaisseur d’un trait», souligne Frédéric Dabi, qui ajoute que le second tour sera influencé par le premier tour. «Si le FN est aussi dominant au premier tour, il peut créer une dynamique de vote encore plus favorable».

«L’une des clefs du scrutin reste le maire sortant»

Des scores qui ravissent au parti frontiste. «Fréjus est une ville tout à fait gagnable pour le Front national», plastronne Nicolas Bay, directeur de la campagne des municipales au FN. «Nous avons un candidat bien implanté, un PS faible et une droite déconsidérée par les affaires. N’oublions pas que le candidat UMP Philippe Mougin faisait partie de la majorité d’Elie Brun», assure-t-il.  Le climat local forme l’un des axes principaux de la campagne du candidat FN, mais aussi de celle de la candidate socialiste Elsa Di Meo. «Je dénonce ce climat depuis 2008. Il nous faut sortir de ce magmat par la mobilisation».

«D’une droite ultra-majoritaire en 2008, elle est devenue fracturée en 2013, avec des listes UMP et Elie Brun», ajoute encore Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. «Mais l’une des clefs du scrutin reste le maire sortant Elie Brun». Ainsi, le retrait ou le maintien du maire sortant influencerait le score de l’UMP, peu assurée aujourd’hui de gagner. Quant à la gauche, elle pourrait se reporter in fine sur le candidat UMP. «J’ai la certitude d’être en finale de cette élection, qui reste aujourd’hui très ouverte», avance Elsa Di Meo. Mais en cas d’égalité entre l’UMP et le FN, la socialiste affirme «être claire vis-à-vis du Front national» pour le faire battre. "


Peuple de France, il est temps de savoir ce que vous voulez, vivre encore et toujours sous le joug UMPS ou se donner une chance de vivre autre chose ( De toute façon on pourra pas faire pire que ce qu'on a déjà ! ).