lundi 20 mai 2013

LA SAGA REDOINE FAID : ENCORE UN ECHEC POUR VALLS ?




" Des cités au grand banditisme. En 2010, Redoine Faïd racontait son parcours dans un livre - Braqueur, des cités au grand banditisme . Son histoire ? Celle d'un petit délinquant des cités, à Creil, devenu une étoile montante du grand banditisme et du braquage dans les années 90. Sa spécialité ? Les attaques de fourgons blindés.

Des attaques inspirées du cinéma. Lors de sa tournée des plateaux télés pour son livre - alors qu'il était en liberté conditionnelle - il racontait comment le cinéma, et notamment des films avec Robert de Niro, l'avait inspiré pour mettre au point ses attaques.

Un "repenti" auto-proclamé. En 2010, à la sortie de son livre, Redoine Faïd jurait à qui voulait l'entendre, qu'il avait tourné la page. "10 ans derrière les barreaux, ça suffit", disait-il en parlant de la prison comme d'"une vie de merde". Il devient agent commercial mais joue aussi, à l'occasion, les conseillers techniques sur les plateaux de cinéma. Le cerveau de l'attaque sanglante de 2010 ? 


Les policiers, eux, n'ont jamais vraiment cru que le "braqueur repenti" avait coupé les ponts avec le Milieu. La PJ parisienne, notamment, pense qu'il est le maître d'oeuvre d'un projet d'attaque à main armée qui s'est soldé par la mort d'une policière municipale Aurélie Fouquet, 26 ans, en mai 2010 à Villiers-sur-Marne. La jeune femme avait été tuée lors de la course poursuite qui avait suivi l'attaque ratée d'un fourgon blindé.

Arrêté un an plus tard à Lille. Après avoir échappé de justesse en janvier 2011 à un premier coup de filet, Redoine Faïd est arrêté six mois plus tard à Lille. Mis en examen dans plusieurs dossiers pour association de malfaiteurs, il attendait aussi d'être jugé pour le braquage d'un fourgon blindé dans le Pas de Calais.

Dans la nature pour un moment ? A 40 ans, Redoine Faïd savait qu'il n'était pas près de sortir de prison. D'après un haut responsable de la PJ, "il ne sera pas facile de lui remettre la main dessus". "


La presse gauchisante et notamment CANAL PLUS en font un héro repenti. Ils promotionnent même la sortie de son livre.


Ces débiles de gauche en font du même coup un héro pour les racailles des citées. Aujourd'hui ils doivent être bien vexés de s'être fait manipuler en profitant de leur ignorance et leur naïveté. Un cas de plus à rajouter à l'incompétence de nos gouvernants et au mur des " Chances pour la France ".


SAID ARIF EN FUITE


" En résidence surveillée à Brioude (Haute-Loire) depuis octobre 2012, est actuellement en fuite. Un départ visiblement programmé. Le mois dernier, il avait été aperçu en compagnie de trois islamistes radiaux. 
«Je me sens trahi… C’est très difficile à digérer pour moi?! Il est bien plus malin que nous, c’est tout ». A Brioude (Haute-Loire), Philippe Nicolas, le patron de la Vieille Auberge, où  Saïd Arif séjournait depuis six mois, en aurait presque les larmes aux yeux.
« Lorsque je suis arrivé vers 8h30 sur le parking de l’hôtel, j’ai aussitôt vu que la voiture de société flambant neuve de ma femme avait disparu ». Relevant sa manche comme pour remonter le temps, le propriétaire retrace : « Je ne sais pas pourquoi mais j’ai aussitôt fait le lien avec Saïd Arif. J’ai filé dans sa chambre mais il avait disparu. » Pris de panique, le restaurateur saisit son téléphone et prévient les gendarmes aux alentours de 8h45.
Un quart d’heure plus tard, Saïd Arif ne se rend pas à la gendarmerie de Brioude comme il en a l’obligation, quatre fois par jour, dans le cadre de sa condamnation pour terrorisme en 2007 et de son assignation à résidence.
Aux alentours de 9h30, le plan Milan est activé sur l’ensemble du département de la Haute-Loire. Des barrages sont installés, en vain. L’islamiste algérien de 47 ans a été vu pour la dernière fois à Brioude samedi à 22 heures. 
Alors que débute le ballet incessant des gendarmes, une foule d’interrogations émerge. L’une d’entre elle revient en boucle : Saïd Arif a-t t-il soigneusement orchestré sa fuite ? Pour Philippe Nicolas, rien ne laissait supposer un tel départ précipité : « Comme tous les soirs, je lui ai préparé hier son dîner halal. Tout paraissait normal.  » « Il a quand même été classe, ajoute-t-il, il a vidé la voiture de ma femme de ses effets personnels, et notamment des lunettes Chanel qui je venais de lui offrir, avant de voler le véhicule »
D’autres éléments restent troublants, Saïd Arif venait de percevoir très récemment la somme de 5.000 euros de l’agence Pôle Emploi de Brioude. Un pécule conséquent qui pourrait faciliter son escapade.
Un second fait est encore plus frappant. Selon une source proche de l’enquête, trois islamistes radicaux, venus de Lyon, auraient rendu visite à Saïd Arif, il y a un mois et demi. Les quatre hommes auraient choisi l’habitacle d’une voiture pour converser à l’abri d’oreilles indiscrètes. Le quatuor aurait été aperçu, sillonnant la cité Saint-Julien.
De même, Saïd Arif n’utilisait plus son téléphone portable depuis quelque temps mais une cabine téléphonique pour passer ses appels. Son portable a été retrouvé dans sa chambre avec une collection intacte de chaussures de sport et d’habits. 
Les enquêteurs du SRPJ de Clermont-Ferrand, saisis du dossier, se sont rendus sur les lieux, hier après-midi. Equipés de gants, ils ont effectué des prélèvements d’usage constatant notamment qu’il ne s’était pas rasé avant son départ. 
Un avis de recherche a été lancé au sein de l’espace Schengen. La peine encourue pour le non-respect des obligations à résidence est de trois ans de prison. Récidiviste, Saïd Arif risque davantage.

Carole Eon-Grolier et Jean-Baptiste Ledys

Saïd Arif, qui était en résidence surveillée depuis octobre 2012 en Haute-Loire (lire notre article ici), d'abord à Langeac puis à Brioude, avait été condamné en 2006 puis en appel en 2007 pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. A l'issue de sa détention, il avait été placé en résidence surveillée à Millau (Aveyron). Déjà, il avait pris la poudre d'escampette et avait été interpellé quelques temps plus tard en Suède, où il voulait rejoindre sa femme et ses enfants. "


Incompétence des tribunaux, incompétence du gouvernement et incompétence caractérisée de VALLS et sa clique et une histoire de plus à accrocher au mur des " chances pour la France "...

VALLS DEPASSE PAR LES EVENEMENTS ?

On se demande quelles sont les compétences de nos gouvernants ! Un gosse met en échec près de 700 policiers et fonctionnaires ( 750 personnes mobilisées, 850 d'ici Mardi ) en Alsace alors qu'il aurait proféré des menaces, via internet, contre un lycée. Trois policiers sont agressés par des chauffards en une semaine lors de rodéos et de contrôles routiers, sans compter tous les larcins divers et les agressions, la loi est-elle encore appliquée dans ce pays ? Surtout qu'il n'y a pas si longtemps on n'était même pas capable de faire face aux émeutes du Trocadéro. 
On ne peut qu'être inquiet. Non seulement les chiffres annoncent une montée de l'insécurité, mais on a vraiment l'impression qu'il y a peu d'application des peines. Les émeutiers à Paris semblent passer au travers des mailles de la justice avec seulement une quarantaine d'arrestations, alors qu'il y avait près d'un milliers de casseurs, pour aboutir à une seule condamnation dont on ne sait même pas si elle sera appliquée. Il semble surtout que la Police ne fait plus peur. Le manque de peines sévères et d'assignations à résidence montrent bien leurs limites. A croire que les auteurs d'actes illégaux se sentent protéger dans l’exécution de leurs forfaits. La faute à qui, si ce n'est à celle de nos gouvernants ? Avec une TAUBIRA qui s’inquiète plus des conditions de vie des prisonniers et de l'état d'âme des malfrats et une presse qui passe son temps à minimiser ou à donner des informations incomplètes, on se demande si être honnête n'est pas être né du mauvais côté de la barrière.
VALLS déclare aujourd'hui que les personnes qui s'en prennent aux forces de l'ordre doivent être puni de manière exemplaire. On a vu ça avec les émeutiers du Trocadéro, on est passé pour des nuls dans le monde entier et avec une seule condamnation à la clef. 
On en revient aussi à la falsification des informations où les noms des personnes mises en examen sont cachés du moment où ça pourrait heurter la sensibilité de certaines communautés. Dernier exemple, le cas de ce père de famille qui a égorgé ses deux enfants et dont on vous dit qu'il est d'origine Britannique ( encore que, suivant les journaux, certains vous disent que c'est lui qui ce dit d'origine Britannique. Ce qui n'est quand même pas la même chose ! ), pourquoi ne pas donner son nom ?

En bref, comme la droite en son temps, on voit que la gauche n'est pas plus douée à résoudre les problèmes d'insécurité. Pire, il semble que la dégringolade s'accélère ! Tant qu'on se refusera à prendre le taureau par les cornes, il est clair que rien ne pourra se résoudre tout seul ( comme le chômage, l'économie et tant d'autres choses ). VALLS semble complètement dépassé comme l'est l'ensemble de ce gouvernement sur tous les sujets. Pendant ce temps là, des Redoine FAID continuent à courir et à se moquer ouvertement de la France et de ses représentants.

A méditer :

" Les chiffres officiels ne sont que très fragmentaires. Quand ils parlent de 4 millions d'infractions, les enquêtes de victimisation de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales en dénombrent 12 millions. Une femme violée sur dix porte plainte. La réalité des enquêtes de victimisation, c'est 13 000 vols, 2 000 agressions et 200 viols par jour. Les projets de réforme du ministre de l’Intérieur peuvent-ils permettre plus de transparence ? S’agit-il seulement de masquer son piètre bilan comme l’en accuse la droite ? On peut mettre trois actes au crédit de Manuel Valls : la suppression du "récépissé" de contrôle d'identité, la fin de l'hémorragie des services de police, la fin de l'absurde politique du chiffre. Mais Valls est avant tout un VRP de la fermeté sans échantillon dans sa mallette, comme bien d'autres avant lui. La France n'a pas besoin d'un ministre qui se rend au chevet d'un délinquant parce que celui-ci s'est fait bobo en fuyant la police, comme récemment à Villiers-le-Bel, ou qui va réconforter l'amicale des charcutiers parce qu'un charcutier s'est fait voler une saucisse. Chirac faisait tout ça très bien, on connait son bilan en matière de sécurité.

Les discours et les postures ne tiennent plus, il faut des actes, dépassant de loin le seul rôle d'un ministre de l'Intérieur. Il faut notamment se demander sans détour qui sont les criminels et pourquoi ils persistent souvent à l'être après avoir été confrontés à la justice. Car qui dit Manuel Valls dit Christiane Taubira. D'un côté le discours martial, de l'autre la suppression de la rétention de sûreté, des peines plancher, des audiences correctionnelles pour mineurs...

L'insécurité est depuis longtemps un théâtre de politiciens. Mais dans les coulisses, derrière l'échec de la droite et de la gauche, il n'y a pas qu'un "sentiment", il y a des victimes, nombreuses et réelles. 


MORT DE DEUX POLICIERS ( février 2013 )


 Le chauffard en état d'ébriété et sans permis de conduire

Le conducteur du 4X4 qui, selon une source proche de l'enquête, n'aurait pas freiné avant de percuter la voiture de police se nomme Malamine Traoré. Âgé de 22 ans, il serait originaire du XIXe arrondissement de Paris et déjà impliqué dans des vols et petits trafics de stupéfiants, il a déjà été condamné à huit reprises, dont cinq fois pour des délits routiers. Il était en état d'ébriété et «en défaut de permis» au moment du drame. Il conduisait avec 1,4 gramme d'alcool par litre de sang (limite 0,5 gramme/litre de sang). La nature du défaut de permis, annulation, suspension ou non passage de l'examen, n'a pas été précisée. Il a été placé en garde à vue pour «homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique».

Le passager, Mehdi Bensassou, âgé aussi d'une vingtaine d'années était également sous l'emprise de l'alcool au moment des faits (1,6 gramme/litre de sang). Son casier judiciaire est vierge, mais il devait être jugé fin février pour son implication présumée dans un trafic de stupéfiants.

La société de location faisait l'objet d'une enquête :
Le chauffard qui a tué jeudi deux policiers en percutant leur voiture avait loué son 4x4 à une société de location de voiture de luxe, qui faisait «l'objet d'une enquête» de le part de la police, a expliqué le directeur de de la police judiciaire parisienne. «Le numéro d'immatriculation (de la voiture du chauffard, NDLR) faisait l'objet d'une fiche de surveillance de la part de la police», a expliqué Christian Flaesch, directeur de la PJ. «Il n'était pas balisé par la police. Mais simplement nous avons une enquête en cours, même si nous aurions préféré qu'elle soit discrète, sur la société de location puisque effectivement nous avons des doutes. Tous les véhicules loués par cette société faisaient l'objet d'une fiche d'attention», a-t-il poursuivi.
Le patron du 36 quai des Orfèvres a également expliqué que depuis plusieurs mois, la police parisienne relevait «un certain nombre d'identité de conducteurs de véhicules de luxe qui circulent notamment sur les Champs-Elysées. Et lorsque nous avons une inadéquation entre le profil du conducteur et le montant de la location de ces véhicules, nous ouvrons une enquête», a-t-il précisé.
L'enquête concernant la société de location a été ouverte après un contrôle effectué en 2012 sur un véhicule de luxe «loué dans des conditions où il nous semblait que le conducteur n'avait pas les moyens officiels de louer ce type de véhicule», a précisé M. Flaesch.

ET LA PETITE FIONA ? ON EN PARLE PLUS ?


Cinq jours après la mystérieuse disparition de Fiona, cinq ans, dans un parc de Clermont-Ferrand, le père de Fiona a décidé à son tour de se porter partie civile, vendredi soir. Depuis la disparition de sa fille, Nicolas Chafoulais s'est fait extrêmement discret, au point de ne jamais apparaître en public et de ne pas participer aux recherches.

Pour l'heure, les enquêteurs étudient également la piste d'un ancien compagnon de la mère, acuellement enceinte de six mois, qui aurait pu enlever la fillette par vengeance. Cet homme de 34 ans, «qui a entretenu une relation avec la maman de Fiona au printemps 2012, aurait menacé d'enlever la fillette et de l'emmener en Algérie», après que la jeune femme a porté plainte contre lui pour «viol et séquestration, le 5 mai 2012», soit «un an tout juste» avant la disparition. Par ailleurs, selon Me Gilles-Jean Portejoie, avocat de la maman de Fiona, un signalement de la fillette est arrivé directement jeudi soir à son cabinet à Clermont-Ferrand