samedi 18 mai 2013

INCOMPETENCE : SOUVENEZ-VOUS DE KADER ARIF


Le ministre, qui était à l'Assemblée pour débattre d'un texte UMP sur les Anciens Combattants, a réclamé la parole pour annoncer la nouvelle de la libération, sans plus de précisions. Mais il est revenu sur ses propos quelques minutes plus tard, indiquant qu'il n'y a « pas de confirmation officielle » d'une libération.
« Il s'agissait d'informations transmises par voie de presse, il n'y a pas pour le moment de confirmation officielle à ce stade » de la libération, a bêtement déclaré le ministre.
E Quand un ministre est un illustre inconnu, il veut se faire connaître, reconnaître et applaudir. Tout est alors bon pour jouer celui qui annonce en « scoop » une « bonne nouvelle ». Sauf que dans le cas présent, la nouvelle est… qu’il n’y a malheureusement pas de « bonne nouvelle » ! Y a-t-il un seul ministre compétent dans ce « gouvernement » ?

VIANDE DE CHEVAL : UNE AFFAIRE PLUS GRAVE QUE CE QUE L'ON PENSE ?


" Roumanie, chronique d’un massacre pour nos boucheries chevalines

Il y a quelques mois, en février 2011, un article paraissait dans la presse roumaine, signé Cornel Ivanciuc, dont voici de larges extraits, traduits en français :

Son titre : « Y aurait-il en Roumanie une mafia de la viande, en liens avec des français et des italiens notamment ? »

« Lorsqu’il était Ministre de l’Agriculture roumaine, Gheorghe Flutur a été contacté par le patron du « complexe de viande de Bordeaux ». En date du 22 mai 2006 ce patron a même écrit au Ministre, précisant que, « suite à ses nombreux voyages en Roumanie, je vous réitère ma proposition d’acheter tous les chevaux malades (atteints par l’AIE, anémie infectieuse équine) soit environ 14 à 15.000 chevaux ».

« L’offre de ce français (qui répond à un nom basque bien connu du côté de Bayonne)* présentait une cotation, soit 200 euros la tonne, et une proposition de lieu d’abattage, à savoir dans les locaux de la Société Européenne de Sibiu, Strada Ecaterina Teodoroiu nr. 39, société créée en 1994, avec une longue expérience dans le domaine de la commercialisation de viande de bovins, ovins et chevaux.

Il semble que cette offre ait été suivie d’effet puisqu’une grande quantité de chevaux roumains sont venus compléter la demande de l’Union Européenne de 2,3 millions de chevaux par an. Initialement le Ministre avait annoté le courrier en provenance de France d’un « rog analiz » (je demande une analyse), en date du 25 mai 2006. A cette époque la consommation de viande de cheval ne faisait pas l’objet d’une loi européenne. C’est seulement en 2009 que l’UE a fait ses premiers pas notamment dans le but d’interdire l’abattage des chevaux en vue de la consommation, pour des raisons sanitaires, puisque les médicaments pouvaient pénétrer l’organisme des consommateurs.

Toutefois le modèle « Flutur » semble avoir très bien fonctionné. Par exemple en avril 2010 étaient comptabilisés sur le territoire roumain 7.500 chevaux atteints de cette anémie infectieuse, dont 400 dans le département de Brasov. Ces derniers ont été sacrifiés dans un abattoir spécialisé et leur viande est partie vers l’Italie pour y préparer des saucissons secs…. 

En 2008, la Roumanie a exporté 3.300 tonnes de viande de cheval, dont une grande quantité provenait de ces animaux atteints de l’AIE. En 2009 ce sont 14.000 chevaux vivants qui ont été de nouveau expédiés vers l’Italie. Un rapport de la Direction pour l’alimentation et les services vétérinaires de la Commission Européenne a mentionné l’échec complet de l’identification des chevaux au moyen de « chips », en ce qui concerne la Roumanie. Ces chevaux sont encore et toujours sacrifiés dans des abattoirs illégaux, et les animaux malades continuent à ne pas être marqués donc restent non identifiables. » 

2 petits ajouts à ces extraits :

-Les paysans qui reçoivent la visite des services vétérinaires roumains touchent une indemnité de 350 lei par animal réquisitionné (soit 85 euros), à peine de quoi louer un tracteur pour retourner leur terrain la saison prochaine. Car en Roumanie un terrain agricole non entretenu entraîne automatiquement une amende de l’Etat… la boucle est bouclée … reste à vérifier si les responsables des services vétérinaires ont reçu des aides de l’UE pour investir dans les tracteurs agricoles …

-sur France 24, l’émission « Reporter » a programmé en juillet 2011 un reportage sur le futur abattage des chevaux sauvages, en liberté dans le Delta du Danube (une réserve naturelle de plus de 3.000 km² enregistrée dans le projet Nature 2000 de l’Union Européenne). Ces chevaux sont plusieurs milliers, ne sont pas malades, et paraît-ils abiment les cultures !?!?

 Nul doute qu’un lien existe entre ce besoin en viande de cheval sur les étals de France et d’Italie et ce massacre programmé. Nul doute que ce sont les mêmes margoulins qui sont derrière. Nul doute que les projets de l’Union Européenne ne sont pas vus de la même manière selon qu’on se trouve à Bruxelles, Bucarest ou Bayonne ! "

QU'EST-CE QUE VOUS PRENDREZ ? UN PEU D'HUILE DE MOTEUR SVP



L’UE autorise l’huile de moteur dans l... par DJAMELITO-UPR


Nous le savions tous déjà : la Commission européenne n’est pas là pour défendre les intérêts des Peuples mais ceux de la finance… Mais en voici quand même une preuve supplémentaire… des fois qu’il y ait encore quelques sceptiques attardés.
Depuis 2007, l’UE autorise l’intégration de 10% d’huile de moteur dans les mayonnaises, les plats cuisinés, les vinaigrettes industrielles et les conserves à l’huile. Alors, bon appétit !

L'AUTRICHE EN A MARRE DES TURCS


C'était en 2010. On voit mal ce qui a changé aujourd'hui ! En tout cas, ce Monsieur n'y va pas par quatre chemins et ses arguments résument bien la pensée de beaucoup. 

ATTAQUE AU GRAND JOURNAL DE CANAL PLUS


Par la rédaction de Puretrend.com

" 20h07 vendredi soir, des coups de feu retentissent sur le plateau du Grand Journal installé, comme chaque année, sur la Croisette pendant le Festival de Cannes. Une "attaque" qui survient quelques heures après l'annonce du départ de Daphné Bürki, co-présentatrice de l'émission de Canal + au côté de Michel Denisot. Rien ne va plus au Grand Journal !

Les acteurs et membres du jury de Cannes 2013 Daniel Auteuil et Christoph Waltz ne s'attendaient certainement pas à ça. Vendredi soir, les invités comme le public du Grand Journal ont eu une belle frayeur. Un forcené s'est présenté armé d'une grenade et d'un pistolet heureusement factices à proximité du plateau de tournage et donc des présentateurs Daphné Bürki et Michel Denisot. L'homme a tiré deux fois avant d'être arrêté par une brigade de policiers déterminés. Si les motivations du personnage sont encore floues, on est sûrs d'une chose : l’événement a dû conforter Daphné qui vient d'annoncer son départ de l'émission. "



ESCLAVAGE MODERNE ( mai 2013 )


" Un père de famille nombreuse, accusé d’arrondir ses fins de mois en exploitant huit personnes, séquestrées, battues et violées, a été mis en examen vendredi à Boulogne-sur-Mer pour esclavagisme, avec sa femme et leur fils aîné.

Le juge a retenu les chefs de « traite d’être humain », « séquestration », « violences volontaires » et « travail dissimulé ». Le père de famille, équipé d’un bracelet électronique pour une peine antérieure, est également mis en examen pour viol et agression sexuelle, a précisé une source judiciaire.

Le père, sa femme leur fils aîné ont été incarcérées dans différents centres pénitentiaires du Nord/Pas-de-Calais et de Picardie.

8 personnes exploitées

Les trois membres de la famille impliqués avaient été arrêtés, mardi, à la suite d’une enquête d’environ un an sur le fonctionnement très particulier d’une petite affaire familiale, dans laquelle huit personnes étaient contraintes de travailler sans être payées à Saint-Josse-sur-Mer (Pas-de-Calais).

Personnes fragiles psychologiquement

Ce sont, d’abord, la rénovation du corps de ferme, propriété du père de famille, le principal suspect, puis des vols sur des chantiers et des constructions sans permis, qui ont poussé les gendarmes à s’intéresser, de façon discrète, à cette famille de 10 enfants.

Pour assurer la réalisation des chantiers de rénovation, le père a recruté plusieurs personnes fragiles psychologiquement, qu’il nourrissait et hébergeait dans de vieilles caravanes délabrées, installées sur sa propriété. Des logements de fortune fermés empêchaient la fuite des personnes séquestrées.

« Impulsif et violent »

Le chef de clan est « impulsif et violent, ne reconnaissant que ses idées comme la seule loi », a souligné l’adjudant Allain. Issu d’une fratrie de 23 enfants, il avait fait l’objet d’une dizaine de condamnations dans le département du Nord, dont l’une de trois mois de prison ferme pour escroquerie. Pendant qu’il purgeait sa peine avec un bracelet électronique, il obligeait ses employés à travailler de 7 h 00 à 21 h 00.

« Il exerçait sur eux une forte pression morale et physique, brisant des objets sur le dos de ses victimes », selon un enquêteur. Une des victimes, âgée d’une cinquantaine d’années, a perdu l’usage d’un œil, après avoir été battue par le principal suspect, pour avoir tenté de fuir en 2012.

Violences sexuelles

Les gendarmes ont aussi découvert que le père abusait sexuellement de plusieurs femmes recrutées pour les taches ménagères à son domicile, des actes commis avec violences, ont raconté les victimes, qui ont toutes été prises en charge par les services sociaux, a indiqué le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Jean-Philippe Joubert.

Les enquêteurs ont saisi une moto de marque réputée, une grosse berline allemande, plus de 10 000 € en espèces et pour plus de 23 000 € de bijoux, dont une montre estimée 9 000 €. Le couple était bénéficiaire du RSA.

Cette affaire intervient alors que les députés ont adopté mardi un amendement du PS créant un crime d’esclavage et de servitude, puni de 15 ans de réclusion pour répondre aux formes d’esclavage moderne. "

Toujours pas de nom ! Mais réfléchissons, bénéficiaire du RSA, famille nombreuse...

DONNEZ, DOOONEZ ! DONNEZ, DONNEZ MOI ! ( mai 2013 )


" Quatre membres d'une famille soupçonnés d'avoir mis en place une vaste escroquerie à la charité ont été mis en examen par un juge d'instruction de Créteil vendredi soir, a-t-on appris de source judiciaire confirmant une information du Parisien.

Maître d'oeuvre d'associations prétendument caritatives, cette famille aurait empoché près d'un million d'euros depuis 2011, en revendant à son profit des marchandises et denrées qu'elle était censée redistribuer aux nécessiteux.

Interpellés en début de semaine, les membres de cette famille qui disposait notamment d'une épicerie solidaire à Montreuil (Seine-Saint-Denis), ont été mis en examen pour escroquerie en bande organisée, blanchiment aggravé, abus de confiance, faux en écriture et travail dissimulé, a précisé le parquet de Créteil samedi.

L'un des suspects a été placé en détention provisoire, tandis que deux autres étaient placés sous contrôle judiciaire et qu'une jeune femme était remise en liberté.

En charge de l'enquête, les policiers du commissariat de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), aidés de l'Unité de traitement des infractions à la législation sur les étrangers (Utile), avaient été mis sur la piste de ces escrocs après qu'une association caritative eut déposé plainte en septembre 2012.

Selon Le Parisien, cette association aurait confié aux membres de la famille incriminés près de 10 tonnes de marchandises (électroménager, vêtements, cosmétiques, denrées, etc.) avant de s'apercevoir que les dons n'avaient jamais bénéficié à des personnes dans le besoin. "

Encore une fois, pas de nom !

RAPPORT TUOT


C’est peut-être le plus grand scandale politique de la France sous François Hollande. Il s’agit d’un rapport propagandiste, anti-français et islamophile sur l’intégration. En effet, dans un rapport sur la « politique d’intégration des étrangers » remis au Premier ministre français, un certain Thierry Tuot, propose d’accorder un titre aux clandestins et de cesser les « polémiques » sur le port du voile.

Thierry Tuot, auteur du rapport
Ce rapport commandé par Matignon dresse un bilan – insultant pour les Français – de la politique d’intégration menée depuis 30 ans et il propose plusieurs « réformes », dont la création d’un titre de tolérance pour régulariser par étapes une grande partie des sans-papiers. « La politique de lutte pour l’intégration des immigrés a toujours été un désir ou un regret plutôt qu’une réalité », écrit Tuot dans le rapport. Les responsables, tous partis confondus, auraient oublié jusqu’au mot même d’intégration et auraient détruit les outils de cette politique, en coupant les crédits des établissements et des associations. Le rapport Tuot de devait être remis vendredi dernier au Premier ministre. Qui a annulé la remise et présentation du rapport au dernier moment pour des raisons d’agenda soi-disant.

Tuot propose d’aborder avec franchise les réalités de l’immigration afin de dissiper les fantasmes. Si je comprends bien, 80% des Français ont des fantasmes sur l’islam et sur l’immigration. Tuot prétend que l’État doit avouer (sous la torture ?) que la majorité des sans-papiers sont « inexpulsables », soit parce que le pays vers lequel on les reconduirait leur ferait un très mauvais sort, soit en raison de leur situation personnelle (enfants ; santé ; etc.). Il faut, selon Tuot, commencer à intégrer les clandestins en créant un « titre de tolérance », leur permettant – avec des droits réduits, au moment de la délivrance, et, un parcours étalé sur 5 ans – d’aboutir à une régularisation.
Tuot veut censurer le débat sur le voile islamique et il donne cet argument massue : « La France a-t-elle jamais dépendu de ce qu’un bout de tissu – boubou, coiffe bretonne, chèche ou béret – soit porté d’une façon ou d’une autre ? »

A 13 ANS BRULE A L'ACIDE


Un garçon de 13 ans, résidant à Pépieux mais scolarisé en classe de 5e au collège d’Olonzac a été victime d’un jet d’acide nitrique par l’un de ses camarades de classe en plein cours de sciences.Les faits remontent au mois de décembre dernier, mais aujourd’hui, l’affaire prend une autre tournure avec l’envoi par l’avocat de la famille de la victime d’une plainte au procureur de la République de Béziers.

Le 20 décembre, le jeune Jonathan A. est en cours de SVT. Comme tous ses camarades de classe, par petits groupes de quatre, il manipule divers produits dans le cadre d’expériences ayant trait au cours enseigné. Quand tout à coup, un différent oppose Jonathan à l’un de ses camarades. Ce dernier finit par jeter le contenu d’une pipette au visage de Jonathan. Ces faits reconnus par les parents et l’équipe enseignante du collège auraient pu n’être que très banals, sauf que la pipette en question contenait de l’acide nitrique.

Aussitôt, le professeur nettoie le visage de Jonathan avec de l’eau et le conduit à l’infirmerie. Selon les parents : «Nous avons été appelés à 11 heures par l’infirmière. Personne n’a appelé les pompiers, alors que la caserne ne se situe qu’à 500 mètres du collège. On nous a d’abord dit que c’était de l’alcool iodé puis plus tard de l’acide éthylique. En réalité c’était de l’acide nitrique». La mère de Jonathan le conduit chez le docteur.

«La fille de notre docteur est dermato chirurgienne à Toulouse. Elle a donné toute la marche à suivre. Le dermatologue a ensuite reçu Jonathan le lendemain. Il l’a mis sous antibiotiques et donné un traitement pour la peau. Il ne pourra pas s’exposer au soleil ou aux UV pendant un an». Selon le père «le collège n’a pas voulu reconnaître les faits. Pire Jonathan a été puni avec une journée d’exclusion du collège en prétextant que c’est lui qui a déclenché la dispute et l’enfant qui a lancé la pipette n’a eu que deux jours d’exclusion. Nous avons porté plainte à la gendarmerie et pris un avocat».

Me Stéphane Cabée, à Carcassonne, explique : «Fort heureusement, Jonathan n’a pas été atteint aux yeux. Là, ça aurait été une autre histoire. Aujourd’hui, ses brûlures ont presque disparu mais nous ne savons pas quelles séquelles il gardera et il ne peut pas s’exposer au soleil pendant un an. Il faut qu’il soit changé de collège. Jonathan devait faire sport-études. Ses parents souhaitent qu’il intègre le collège Varsovie à Carcassonne qui prépare justement à sport-études. Mais je n’ai à ce jour aucune réponse du rectorat. J’ai donc porté l’affaire devant le procureur de la République de Béziers». Pour le proviseur du collège, M. Brisot : «Cet accident est malheureux mais à cet âge-là, les élèves sont censés ne pas avoir un tel comportement et les produits manipulés sont dilués. J’ai proposé aux parents de Jonathan qu’il change de collège et intègre celui de Rieux-Minervois. Pour ce qui est de sport-études, c’est différent, cela ne se fait pas comme ça». Affaire à suivre donc… En attendant, se pose une question, celle de la sécurité en classe en raison du manque de maturité de certains jeunes.

CHAUFFEUR DE BUS POIGNARDE ( février 2013 )


Un chauffeur de bus de la société CSO a été poignardé mardi matin à la gare routière de Poissy (Yvelines). Vers 7h20, une femme prévient la police qu’un homme venait de porter un coup de couteau au niveau thorax du chauffeur de bus avant de prendre la fuite. Les policiers arrivent rapidement sur les lieux, et découvrent que le chauffeur de bus Veolia est encore conscient. Pris en charge par les secours, il a été transporté à l’hôpital Bichat (Paris XVIII).Un suspect de 44 ans a été interpellé et conduit au commissariat. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur des coups, d’origine sénégalaise, est venu régler un contentieux d’ordre privé avec le chauffeur sur son lieu de travail. Les deux hommes se sont battus. Le chauffeur de bus a été blessé au thorax et son pronostic vital est engagé. L’agresseur, qui a été blessé à l’arcade sourcilière, soutient qu’il a utilisé son couteau pour se défendre.

Les chauffeurs de bus de la compagnie des Courriers de Seine et Oise (CSO), qui appartient au groupe Velioa Transport Transdev, ont exercé leur droit de retrait après cette agression contre l’un des chauffeurs de la ligne 2. «?Nous sommes solidaires et avons demandé à tous les conducteurs de rentrer au dépôt. Nous attendons des nouvelles de notre collègue qui a été poignardé. C’est plus qu’un ras-le-bol?», indiquait dans la matinée Fayçal Maalem, délégué syndical CFDT. Le service de bus est interrompu dans la Boucle de Seine autour de Poissy, Carrières-Sous-Poissy, Saint-Germain-en-Laye, Conflans-Sante-Honorine. Les liaisons vers Mantes-la-Jolie, Versailles et Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) sont également touchées.

DROITS DE SUCCESSION : ON SE FAIT ENCORE METTRE


Par 44 voix pour, celles de la gauche, et 17 voix contre, celles de l'UMP et du centre, les députés ont approuvé, jeudi 19 juillet une baisse de 159 000 à 100 000 euros par enfant, de l'abattement sur les droits de succession, c'est-à-dire la partie d'un héritage ou d'une donation exonérée des droits de mutation payés par les bénéficiaires à l'Etat. Les exonérations en faveur des conjoints survivants seront conservées.
Le seuil de 100 000 euros, qui entrera en vigueur dès la promulgation du budget rectificatif, ne sera pas revalorisé dans l'avenir, contrairement à ce qui s'était passé dans les cinq derniers années: le seuil de 150 000 euros instauré en 2007 était ainsi passé à 159 325 euros cette année. Le texte augmente par ailleurs de dix à quinze ans le délai avant une succession ou une donation pendant lequel les donations précédentes doivent être réintégrées dans le total imposable.