dimanche 10 novembre 2013

LE DIRECTEUR DE CAMPAGNE DE GILBERT COLLARD AGRESSE

" Le directeur de campagne de Gilbert Collard a été hospitalisé samedi soir après avoir été agressé par une trentaine de personnes à Saint-Gilles.

«D'après les premiers éléments de l'enquête que nous avons, cela aurait été un véritable guet-apens», explique Gilbert Collard après l'agression dont a été victime samedi soir son directeur de campagne, Philippe Ascenscio. Les faits se sont produits à Saint-Gilles dans le Gard, ville où Me Collard sera candidat FN lors de la prochaine élection municipale. «Il a été guetté à la sortie du Café de la Gare, poursuit-il, et d'après l'évaluation des témoins, une trentaine de personnes se sont ruées sur lui et l'ont frappé à coups de pieds et de poings.»

Selon Gilbert Collard, qui l'a rencontré dimanche matin sur son lit d'hôpital, Philippe Ascenscio aurait perdu connaissance durant une vingtaine de minutes avant d'être transporté aux urgences. «Cela s'appelle un lynchage», s'insurge Gilbert Collard. Il est rentré chez lui dimanche. Philippe Ascenscio a fait partie de l'administration pénitentiaire où il fut représentant syndical FO. Il est marié et père d'un jeune enfant. «Tout le monde sait qu'il me représente à Saint-Gilles et c'est d'ailleurs à ce titre qu'il a été cogné», précise le député FN en notant que l'homme n'aurait pas d'ennemis connus dans cette ville et qui s'occupe des jeunes à travers le rugby.

Gendarmerie mobilisée

«Les plaintes vont être déposées. La gendarmerie se mobilise vraiment. L'enquête progresse. Je condamne ce lynchage et j'appelle tout le monde à rester dans le respect de la paix civique et des lois républicaines parce qu'une campagne électorale n'est pas une guerre civile». Le candidat FN se dit «plus que jamais renforcé» dans sa «détermination». Il estime que «les coups reçus» par son directeur de campagne l'auraient également visé. «Je m'étonne du silence des autorités qui d'habitude, avec raison, sont plus promptes à condamner toute forme de violence» conclut-il. Invitée sur France Inter dimanche soir, Marine Le Pen, présidente du Front national, avait conclu l'émission «Tous politiques» en évoquant cette agression. "

SEGOLENE ROYAL : AUSSI IMPOPULAIRE QU'HOLLANDE ALORS POURQUOI ON LUI DONNE ENCORE LA PAROLE ?

" Que pensent les Français de Ségolène Royal ? Selon un sondage BVA paru ce dimanche dans " Le Parisien ", 64% des sondés ont une mauvaise opinion de la présidente de la région Poitou Charentes. La majorité d'entre eux ne souhaitent pas qu'elle accède à de plus hautes fonctions. 81 % des personnes interrogées, dont 71 % de sympathisants de gauche, ne veulent pas la voir à Matignon. Plus de la moitié des Français seraient hostiles à ce qu'elle redevienne ministre. Enfin, 78 % des sondés s'opposent à ce qu'elle représente le parti socialiste à l'élection présidentielle de 2017.Meilleure que François Hollande ?Si 61% des Français pensent qu'elle aurait été une moins bonne présidente que Nicolas Sarkozy, la comparaison est plus flatteuse quand on évoque son compagnon. Près d'un sondé sur deux considère qu'elle ferait un meilleur chef d'état que François Hollande. Toujours selon " Le Parisien ", la majorité des personnes interrogées louent son courage, son autorité et son dynamisme. Mais elles estiment également que l'ex-ministre est trop " perso " (64%), impulsive, voire incontrôlable (57%). "

GROGNE SOCIALE... BIENTOT LA REVOLUTION ?

" La fronde sociale gagne du terrain en France dans le sillage du mouvement breton des "bonnets rouges" et avec elle les alertes politiques et syndicales, qui exhortent l'exécutif à un changement de cap et/ou d'équipes.
Plus de sept Français sur dix (72%) estiment que les mécontentements sociaux actuels vont déboucher sur un mouvement de grande ampleur, selon un sondage Tilder-LCI-Opinionway diffusé cette semaine.

"Le 'sentiment' de fronde populaire et sociale est maintenant plus que majoritaire et cette inquiétude devient réalité par la multiplication des mouvements qui occupent quotidiennement l'espace médiatique", note Tilder.
Des manifestations contre l'écotaxe, cette taxe environnementale dont le gouvernement a annoncé la suspension mais pas la suppression, se sont déroulées durant le week-end dans plusieurs départements alors qu'elles étaient pour l'heure circonscrites à l'Ouest.

Des routiers ont organisé des "opérations escargots" dans la région lyonnaise, dans les Bouches-du-Rhône et le Nord. Des portiques écotaxe ont été endommagés dans le Gard, en Charente, dans les Deux-Sèvres.
Les services du Premier ministre ont refusé de commenter une information du Monde selon laquelle l'écotaxe serait introduite le 1er juillet 2014.

Cette éco-redevance sur le transport routier décidée par la précédente majorité dans le cadre du Grenelle de l'Environnement devait entrer en vigueur le 1er janvier prochain. Selon une source gouvernementale citée par Le Parisien Dimanche, ce dispositif "ne verra jamais le jour". "


Mais comme d'habitude, nos élites politiques UMPS refusent d'entendre ! Si il y a grogne sociale sur les impôts, c'est parce que les Français en ont marre de payer pour ceux à qui l'ont donne tout sans rien faire. Ils en ont assez de ces gens qui passent leur temps à réclamer leurs droits sans vouloir respecter leurs devoirs. Ils en ont assez de cette Europe qui pond ces lois sorties de leur intelligence foireuse, sans jamais s’inquiéter des applications sur le terrain. Ils en ont assez de l'ouverture des frontières au détriment de notre population, de notre histoire et de nos entreprises. Ils en ont assez de l'insécurité galopante et de la justice sélective. Ils ont assez d'avertir nos politiques sur ces sujets qui les préoccupent et que personne ne réagisse. Et quand il y en a qui essaient, ils sont de suite catalogués de racistes, de fascistes, d'homophobe ou atteint d'on ne sait quelle autre phobie.

Vous pouvez trembler maintenant ! La grogne sociale est à tous les niveaux. Et de voir ou entendre ceux qui hier soutenaient le pouvoir en place ( la mère ROYAL, le BAYROU, le MELENCHON, toujours prêt à s'associer avec le diable, et tant d'autres qui ont voté et qui voteront encore pour des idées dénuées de bon sens ) avoir aujourd'hui d'autres solutions sorties comme par magie du fond de leurs poches, ne convaincra personne et ne les sauvera pas de la fureur populaire. Idem à droite, avec des COPE ou des FILLON qui pensent plus à leur guerre pour le pouvoir qu'au bien être de la population. La fureur populaire est peut-être bien en marche et si elle débouche sur une révolution, aucun camp ne sera épargné et il faudra rendre des comptes. Car personne n'oublie que pour profiter du peuple et vous engraisser, droite et gauche ont toujours été unis. 


INTERVIEW DE PHILIPPE MARTEL

" Il assure que ses "opinions politiques n'ont guère varié", à part sur l'Europe. Dans un entretien au Journal du Dimanche, dimanche 10 novembre, Philippe Martel explique pourquoi il a quitté l'UMP pour rejoindre le cabinet de Marine Le Pen. "On ne trouvera pas la moindre trace d'antisémitisme ou de racisme en moi, mais je considère que l'immigration est un énorme problème", résume-t-il.

"Je crois aussi que Marine Le Pen est la mieux placée pour réduire la fracture que la terrible affaire algérienne a créée à droite. Qui parle aujourd'hui de la nation, de la souveraineté ?", feint-il de s'interroger, avant de confier son regret d'avoir voté le traité de Maastricht. "Je n'avais pas compris que la République française allait devenir un simple 'Etat membre'", regrette-t-il.

"Deux anciens ministres de droite m'ont félicité"
Quels sont ses objectifs au côté de Marine Le Pen ? "J'espère pouvoir l'aider à parachever la transformation de son mouvement en parti de gouvernement", lance celui qui a voté Nicolas Sarkozy en 2007 et 2012. Et d'expliquer que l'ambiance militante au Front lui "rappelle celle du RPR des années 1980".

Quant aux réactions de son ancienne famille politique, il assure qu'elles sont positives. "Deux anciens ministres poids lourds de droite m'ont félicité. Et je ne compte pas les ex-conseillers ministériels ou cadres du RPR qui me disent 'Comment peut-on t'aider ?", révèle-t-il. Depuis la rentrée, il est le chef de cabinet de la présidente du Front national. "