jeudi 18 avril 2013

APRES LE FILS TRIERWEILER, LE FILS FABIUS

 Thomas Fabius, fils de l'ancien premier ministre Laurent Fabius, a été condamné, mercredi 1er juin, à 15 000 euros d'amende, dont 10 000 euros avec sursis, pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris, dans le cadre d'une procédure de "plaider-coupable".

La comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), dite "plaider-coupable", a pour objet d'éviter un procès à condition que l'intéressé reconnaisse sa culpabilité et accepte la ou les peines proposées.
 
Mercredi, lors d'une audience de quelques minutes devant le juge homologateur, Thomas Fabius a reconnu avoir "détourné des fonds d'un montant de 90 000 euros qui lui avaient été remis" par un investisseur pour co-financer un projet de cartes à puce sécurisant les paiements à distance.
VISÉ PAR DEUX PLAINTES
Depuis septembre 2009, Thomas Fabius est visé par deux plaintes pour abus de confiance, l'une par un entrepreneur avec lequel il avait monté son projet et la seconde par un investisseur. L'investisseur qui était celui concerné par la procédure jugée mercredi reprochait à Thomas Fabius d'avoir fait disparaître les 90 000 euros qu'il lui avait confiés pour son projet de cartes à puce.
"Je devais trouver des partenaires financiers et présenter ce projet aux banques", a expliqué mercredi Thomas Fabius, ajoutant que le projet avait finalement échoué, car "la technologie n'était pas assez solide". Selon lui, les 90 000 euros auraient été utilisés par la société en création afin de "joindre les deux bouts".
A l'issue d'un accord avec la partie civile, celle-ci a abandonné sa plainte. Thomas Fabius a alors négocié sa peine avec le parquet, peine qui a été homologuée mercredi. Elle ne sera pas inscrite au casier judiciaire du prévenu, qui a indiqué au tribunal être maintenant "dans l'immobilier".



Une vieille affaire puisqu'elle date de 2010, mais vous connaissez beaucoup de condamné qui peuvent négocier leur peine et s'arranger pour qu'elle ne figure pas sur son casier judiciaire ?

INQUIETTANT



LETTRE OUVERTE : La Tolérance

UN PEU DE TOLÉRANCE !
Je suis perplexe voire choqué quand je vois tant de mes amis s'exprimer contre le projet de construction de mosquées dans nos bonnes vieilles villes Françaises. Je crois que chacun devrait s'efforcer de rester tolérant, et c'est dans un esprit de tolérance que ces mosquées devraient être autorisées. C'est pourquoi je proposerais qu'une boîte homosexuelle ouvre ses portes tout près de ces édifices, afin d'aider à la diffusion du concept de tolérance à l'intérieur de la mosquée. Ce club pourrait adopter comme enseigne "La Mecque des mecs". Juste en face de la mosquée, aurait parfaitement le droit et la liberté de s'installer un charcutier-traiteur qui en terrasse, l'été, tiendrait barbecue permanent avec deux fois par semaine comme plat du jour de délicieuses côtes de porc ( halal bien sûr ! ), en alternance avec des ribs, lentilles à la saucisse de Morteau, andouillette à la moutarde, tripes à la provençale, cassoulet de Castelnaudary le tout accompagné d'une bière d'Alsace ou d'un verre de pinot gris. A quelques mètres de la mosquée, sur la gauche, je verrais assez bien "Aubade" ouvrir une boutique de prestige " Les dessous de Cécilia ", avec des mannequins en vitrine présentant en situation (et en 3D) les affriolants sous-vêtements de la marque. Pour faire le pendant -si j'ose dire- au magasin de lingerie, sur la droite de la mosquée on verrait jour et nuit scintiller l'enseigne au néon géante d'un sex-shop "chez Déesse K", ouvert jusqu'à deux heures du matin. Si vous aussi vous êtes d'accord de promouvoir la tolérance , alors ne vous privez pas : faites suivre...
Moi, je fais suivre avec plaisir !!! Mais c'est normal: je suis tolérant.

LETTRE OUVERTE : Scénes de vie

Strasbourg : scènes de la vie quotidienne d’une Française en France
Ceci n’est qu’un témoignage, il n’a pas les qualités d’une analyse sociologique documentée, mais il est illustratif, je pense, du climat qui règne actuellement dans de nombreuses régions de notre pays
En 2006, j’achète un appartement dans ma ville, Strasbourg. Toute joyeuse lorsque je me gare pour la première fois devant mon nouvel immeuble, me voici immédiatement prise à partie et invectivée par un jeune homme d’origine maghrébine, qui m’accuse d’être stationnée « sur sa place » dans la rue !! « Bon début », me dis-je… Il s’avère que ledit personnage est un algérien musulman qui habite la résidence, et que je vais avoir à subir une année durant une vie de cauchemar : munsters déposés sous mon paillasson, ketchup et mayonnaise versés dans ma boîte aux lettres, insultes racistes et sexistes diverses (« sale chrétienne », « vieille pute » etc), menaces de mort, menaces d’agression physique. Il se trouve que je suis une femme seule, donc illégitime puisque non « protégée » par un mâle, et de surcroît détentrice d’une once d’autorité puisque devenue conseillère syndicale de la copropriété. Il peut donc s’en donner à cœur joie. Je dépose plainte. L’affaire est classée sans suite. Sans doute parce que le monsieur, dont les sept frères, connus de la police, vivent dans la cité « sensible » voisine, risquent de créer une émeute. Mieux vaut sacrifier une quinquagénaire seule et sans défense….J’ai revendu au bout d’un an.
En 2010, en voiture dans une avenue de Strasbourg en pleine journée, je m’arrête au feu rouge. C’est alors qu’un scooter me double par la droite à pleine vitesse et brûle le feu. Je donne un petit coup de klaxon réprobateur à l’intention du scooter dangereux. Demi-tour instantané du conducteur, un jeune d’origine maghrébine, qui fonce sur mon véhicule et tente d’ouvrir la portière. Heureusement, j’ai le réflexe salvateur de déclencher la fermeture centralisée, et j’en serai quitte pour un crachat et un coup de poing sur la vitre avant que fort à propos le feu ne repasse au vert. Je redémarre en tremblant encore de cette violence…..
En 2011, dans l’après-midi, je traverse un centre commercial de Strasbourg pour me rendre au cinéma voisin. A un certain endroit, la galerie se rétrécit légèrement et là, arrivant en face de moi, un jeune homme très barbu, qui avait décidé que j’étais dans son chemin, m’a envoyé un violent coup d’épaule pour me pousser hors de sa route, me projetant contre la vitrine d’un magasin. Je me suis retournée pour lui dire qu’il aurait pu s’excuser. Il fait brutalement demi-tour et revenant vers moi, m’insulte de manière insupportable (« Sale pute, va te prostituer ailleurs ! etc) devant de nombreux témoins Je précise que suite à un cancer du sein, j’ai bénéficié d’une reconstruction et que si le coup d’épaule m’avait atteint 10 cm plus bas, ma prothèse mammaire aurait explosé. Dépôt de plainte et affaire classée sans suite, malgré les témoignages et les caméras du centre commercial qui ont filmé la scène….J’ai appris que ce personnage était connu des commerçants, sa femme porte le niqab et il refuse d’être servi par des vendeuses.
En 2012, de retour d’un déplacement en train, j’embarque vers 23 heures dans le taxi en tête de file à la gare de Strasbourg. Dans le véhicule, rap à fond. Le conducteur, un jeune maghrébin, pendu à son portable, commence par partir dans la mauvaise direction. Après rectification, et dans le bruit de ses conversations personnelles tenues à tue-tête pour dominer les décibels, le chauffeur me demande à un carrefour s’il doit continuer tout droit ou tourner à droite. Comme nous étions sur une voie fléchée « virage à droite », je lui réponds qu’il convenait de tourner à droite. Le feu passe au vert- et le chauffeur fonce tout droit. Agacée depuis le départ, je lui fais remarquer qu’il ne respectait pas le code de la route. Crissement de pneus, le type s’arrête net et me débarque en pleine nuit, jetant ma valise sur le trottoir. J’attends toujours des nouvelles de ma réclamation auprès des services de la Préfecture…..
En 2012 enfin, bénévole dans une association d’aide aux malades, je dois aller distribuer dans les pharmacies des quartiers défavorisés une brochure multilingue (en arabe, turc etc) de sensibilisation à l’importance du dépistage face au risque du cancer. Je me gare donc devant la pharmacie qui jouxte le supermarché hallal d’une cité de Strasbourg pour y déposer le document. Il ne m’a pas fallu trois minutes pour accomplir cette mission que déjà, regagnant ma voiture, je l’ai trouvée cernée par une dizaine de jeunes hommes d’origine immigrée, que j’ai dû prier humblement, la boule au ventre, d’avoir l’amabilité bien vouloir consentir à s’écarter pour me laisser accéder à mon véhicule. Ca donne envie d’aider…
Je passe sur l’anxiété quand je croise des bandes de jeunes casquettés/cagoulés, déambulant de ce pas primaire dit « pimp walk » ‘(« démarche des macs ») héritée des prisons américaines et qui vous dévisagent avec arrogance et mépris jusqu’à ce que vous détourniez les yeux, sur la multiplication insensée, quasi-exponentielle, du nombre des femmes voilées ou niquabées dans le centre ville de Strasbourg, des mosquées qui s’érigent un peu partout, financées à 25% sur nos impôts…
Voilà, ce témoignage vaut ce qu’il vaut, peut-être trouvera-t-on qu’il y a des problèmes plus graves dans la vie. Mais moi, à 60 ans, je ne supporte plus de vivre cela et envisage de quitter ma région.