mardi 3 décembre 2013

MELENCHON LE MANIPULATEUR



" L'interview de Jean-Luc Mélenchon au JT de TF1 dimanche le montrait campé devant de nombreux manifestants agitant des drapeaux, mais une photo prise d'un balcon par un journaliste montre que ce groupe isolé n'était là que pour le décor. 

L'interview du leader du Front de Gauche a été réalisée par la chaîne en direct dans l'avenue des Gobelins, à Paris, vers 13 h 05, un peu avant le début de la manifestation du mouvement contre l'injustice fiscale, prévue à 13 h 30.

Juste au moment de l'interview, le journaliste néerlandais Stefan de Vries, qui habite au-dessus, regarde la scène et la photographie depuis son balcon. Sur sa photo, qui circule sur Twitter, on voit Jean-Luc Mélenchon en train d'être interviewé. Et derrière lui, quelques dizaines de manifestants réunis en un carré compact, mais personne autour. Ce qui est logique puisque non seulement la manifestation n'a pas encore commencé mais elle est prévue 150 mètres plus loin.

Le JT de TF1 donne cependant l'impression d'une foule nombreuse déjà rassemblée derrière Jean-Luc Mélenchon. «J'étais chez moi, avenue des Gobelins, juste au dessus de l'endroit où se faisait l'interview», a raconté Stefan de Vries, correspondant en France de RTL Pays-Bas et chroniqueur pour France24 et La Croix. «J'ai été surpris de voir des manifestants arriver là alors que la manifestation commençait plus loin, place d'Italie, à environ 150 mètres. Puis, j'ai vu que Mélenchon arrivait, c'était clairement une mise en scène, c'était flagrant. En plus, ils ont utilisé un zoom, ce qui donne l'impression que Mélenchon est entouré d'une énorme foule, alors qu'il s'agissait de 20 à 30 personnes».

Une interview orchestrée pour le direct de TF1

Le journaliste poursuit : «Quand j'ai vu qu'on faisait une interview avec des caméras, j'ai zappé sur la télé et j'ai vu que c'était en direct sur TF1. Alors j'ai pris la photo depuis mon balcon, puis j'ai photographié l'écran de ma télé. Il y a une différence d'environ 10 secondes entre les deux clichés. Après l'interview, les manifestants sont partis». «Mais je ne veux pas dire qu'il n'y avait personne à la manif», a-t-il nuancé. «Ils ont juste orchestré ça pour le direct et délocalisé la manif».

Interrogé, TF1 n'a pas fait de commentaires. Plus gênant, c'est la seconde fois que le JT de TF1 se fait épingler en un mois. La chaîne a reçu vendredi une «mise en demeure» du CSA pour manquement à ses obligations déontologiques, après avoir, en diffusant un reportage consacré à des huées contre François Hollande à Oyonnax le 11 novembre, décalé le son de ces huées, donnant l'impression que le président de la République était conspué en sortant de sa voiture.

La photo de Stefan de Vries qui révèle la mise en scène de l'interview de Jean-Luc Mélenchon était très largement relayée sur Twitter depuis la veille. "


Et dire qu'il y a encore des cons pour suivre ce type...

UNE TERRORISTE DU FLN SOIGNEE A PARIS

" Elle avait lancé un appel à l’aide à la fois émouvant et scandalisant: Djamila Bouhired va enfin être prise en charge. Celle qui a bouleversé tout le peuple algérien par son SOS qui a déshonoré encore plus cet Etat frappé de myopie, bénéficiera d’une prise en chargé médicale, a annoncé jeudi 24 décembre 2009, le Sénateur et ex-ministre Mahieddine Amimour, cité par la chaîne Al Jazeera. La militante Djamila sera soignée à Paris, précise-t-il. M. Amimour a indiqué que c’est le président de la République Abdelaziz Bouteflika qui est intervenu pour s’occuper du cas Bouhired. Il était temps, car cette moudjahida s’était adressée directement à lui dans une lettre publiée par la presse nationale. Celle qui a côtoyé les grands de ce pays et de ce monde a marqué un point d’honneur en refusant «la charité» des étrangers et en s’adressant directement au peuple algérien, laissant le pouvoir en place abasourdi par l’élan de solidarité manifesté pour cette figue de la lutte contre le colonialisme. Djamila Bouhired, qui n’est plus à présenter, n’aurait jamais du en arriver là. Honte à nos gouvernants.

Hicham B. pour Algérie-Focus "


Petit rappel du CV terroriste de cette dame :

" Née dans une famille de classe moyenne d'un père algérien et d'une mère tunisienne, elle est scolarisée à l'école française. Elle rejoint le Front de libération nationale durant ses années étudiantes. Elle travaillera plus tard comme officier de liaison, membre du « réseau bombes » et assistante personnelle de Yacef Saadi, chef de la Zone Autonome d'Alger pendant la bataille d'Alger. Elle dépose, le 30 septembre 1956, une bombe qui n'explose pas dans le hall du Maurétania. Elle recrute Djamila Bouazza qui, elle, déposa le 26 janvier suivant dans le cadre d'une vague d'attentats une bombe très meurtrière au café Coq Hardi.

En avril 1957, elle est blessée dans une fusillade et capturée par la 4e compagnie du 9e régiment de Zouaves (cantonnée dans le palais Klein Basse Casbah) pour un attentat à la bombe à Alger. Elle est soupçonnée d'être une militante de la cause algérienne, inculpée et condamnée à mort. Son exécution est stoppée par une campagne médiatique menée par Jacques Vergès et Georges Arnaud. Ils écrivent un manifeste, Pour Djamila Bouhired, publié la même année aux Éditions de Minuit. C'est, avec La Question d'Henri Alleg, l'un des manifestes qui alerteront l'opinion publique sur les mauvais traitements et les tortures infligées par l'armée aux combattants algériens. Devant le tollé international soulevé par sa condamnation, elle est finalement graciée et libérée en 1962. "

Après sa libération, elle travaille avec Jacques Vergès – qu'elle épousera en 1965 – sur Révolution africaine, un magazine centré sur les révolutions nationalistes africaines. De son mariage avec Vergès, elle a eu deux enfants, Meriem et Liess Vergès. Le 20 novembre 1995, elle a une petite-fille, Fatima Nur Vergès-Habboub, de sa fille Meriem et du mari de celle-ci, Fouad. "

ST OUEN : BRAVO LES COMMUNISTES


Jacqueline Rouillon Maire PCF remercie ouvertement les terroristes du FLN des massacres en Algérie. A bon entendeur...

LA CHRISTIANOPHOBIE EN FORTE HAUSSE

" Dans un récent communiqué, l’Observatoire national contre l’islamophobie annonce une augmentation de 11,3% des attaques ces neuf premiers mois. Pour une même période, ils sont passés de 141 à 157 entre 2012 et 2013.

Il y a quelques jours, parce qu’une gamine agitait bêtement une banane, l’intégralité des Français de souche subissait un procès en racisme de la part de tous les grands pourfendeurs de l’amalgame. Comme racistes et islamophobes sont dans leurs esprits allergiques à la distinction, la même accusation, il convient d’en finir une fois encore avec cette entreprise de culpabilisation.

Les actes islamophobes recensés englobent les actions et les menaces, c’est-à-dire également les critiques de l’islam. L’Observatoire de la christianophobie, quant à lui, ne recense que les actes : profanations, destructions, agressions. Ainsi, pour cette même période, 250 actes sont recensés, dont 8 agressions de prêtres, 17 tentatives ou incendies et 70 profanations d’églises ou de lieu de culte chrétiens, 25 profanations de cimetières.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les chrétiens subissent plus d’agressions en raison de leur religion que les musulmans. Il est quand même intéressant de remarquer qu’aucune personnalité politique ou médiatique ne s’en émeut pour la bonne raison qu’ils sont peut-être un peu partie prenante de ce climat ambiant. Intéressant, également, de noter que les chrétiens ne font pas pour autant parler d’eux autrement qu’en organisant des chaînes de prières…

Mais ces agressions ont de beaux jours devant elles, sachant que la christianophobie est devenu un sport national, surtout dans ces hautes sphères dans lesquelles la gauche excelle ; une fois n’est pas coutume.

Mercredi dernier, une église brûlait à Carcassonne, la statue d’une Sainte Vierge était décapitée dans le Morbihan ; mais ce même après-midi, c’est l’islamophobie et l’antisémitisme que Manuel Valls dénonçait à l’Assemblée.

Jeudi, Bertrand Delanoë inaugurait en grande pompe un nouveau centre islamique à Paris, signant par ailleurs et sans la moindre émotion la destruction de l’église Sainte-Rita.

Est-il nécessaire de rappeler les propos de Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale, appelant de ses vœux un arrachement des enfants à la religion catholique, précisant : « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique… »

Mauvaise nouvelle pour ceux qui font de cette accusation de racisme ou d’islamophobie un fonds de commerce, le marché semble lasser : un millier de personnes à la Mutualité, 552 dans les cinémas pour aller voir la propagande de Djamel Debbouze et quelques milliers dans les rues samedi… Comme quoi la lutte antiraciste ne paraît pas mobiliser les foules… "