vendredi 3 janvier 2014

MIS EN EXAMEN POUR AVOIR TIRE SUR DES CAMBRIOLEURS

" Un homme de 28 ans a été mis en examen mercredi pour «tentative de meurtre» avoir avoir grièvement blessé par balle un homme qui tentait de cambrioler la maison de ses parents à Montcornet (Aisne), a indiqué le parquet de Laon. Le suspect, grièvement blessé au dos lundi et opéré dans la nuit de lundi à mardi, était toujours hospitalisé à Reims mercredi, plongé dans un coma artificiel, dans un état «grave mais stationnaire», selon le procureur de Laon. 

Le mis en examen, âgé de 28 ans, a affirmé avoir tiré à la carabine en direction de la voiture de cambrioleurs qui prenaient la fuite, sous le coup de l'émotion et sans intention de tuer. Il a été remis en liberté, sous contrôle judiciaire. Les faits se sont déroulés vers 17 h 45, lundi, à Montcornet, dans l'est de l'Aisne, à une cinquantaine de kilomètres de Reims.

Un blessé déposé devant une pharmacie de Reims

Le tireur, qui faisait du bricolage dans la maison de ses parents, s'est absenté et a trouvé à son retour trois individus qui tentaient de déménager un coffre-fort, selon le parquet. Prenant peur, il s'est alors emparé d'une arme de chasse et a mis en fuite les cambrioleurs, qui ont abandonné leur butin. Il a ensuite «lâché un coup de carabine en direction de la voiture qui s'enfuyait», a expliqué le procureur.

Environ 45 minutes plus tard, deux hommes ont amené un blessé devant une pharmacie de Reims avant de prendre la fuite. Les enquêteurs ont rapidement fait le lien avec le cambriolage qui avait eu lieu un peu plus tôt à Montcornet et le tireur a été interpellé.

Selon une source proche de l'enquête, le blessé est âgé de 43 ans et connu des services de police et de gendarmerie. Un juge d'instruction est saisi d'une information judiciaire portant «à la fois sur la tentative de meurtre et sur la tentative de cambriolage», a précisé M. Hussenet. "

OUVREZ LES YEUX, VOTEZ FN

" Dans la collection bibliothèque rose socialiste « Martine va à la plage contre les méchants », vous avez aimé le Mariage pour tous, et son débat finement anglé « pour ou contre l’homophobie », vous avez adoré le projet de loi pénalisant les clients de prostituées et son choix cornélien « pour ou contre la traite humaine », vous avez plébiscité le retentissement national de la Une de Minute consacrée à Christiane Taubira et  son douloureux dilemme « pour ou contre le racisme » ; alors vous allez être comblé par la nouvelle superproduction présidentielle, mobilisant tous les maquisards du pays, la chaussette Jean Moulin chevillée au corps : j’ai nommé le combat contre Dieudonné et ses quenellistes, qui sévissent, c’est dire le danger, jusqu’au cœur du Parc Astérix. Et la mobilisation de toutes les bonnes âmes est sans faille, de Laurent Joffrin à ma stagiaire de 15 ans pro-Christophe Maé et qui n’aime pas les gens chelous. L’appel au sursaut national est massif afin d’ouvrir un débat où il sera comme souvent difficile de trancher : « pour ou contre l’antisémitisme ».  Mince, c’est presque aussi tendu que « pour ou contre tuer des enfants ».

Allez, je me lance, je choisi le camp « contre l’antisémitisme ». Je sais, c’est carrément courageux, et ça me permet surtout de mener une riposte préventive pour le cas où une photo de moi en train de faire une quenelle avec Dieudonné, la mine ravie, ressortait des tréfonds d’Instagram (mais non, cette photo n’existe pas, allons !). Car me voici paré des pleins pouvoirs nucléaires contre les forces du mal. Et je vous parle des vrais pleins pouvoirs, ceux de l’article 16 de la constitution, que voici : « Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité du territoire, ou la réélection de François Hollande, sont menacés, d’une manière grave et immédiate, le président de la République prend les mesures exigées par les circonstances, après consultation de Manuel Valls et du calendrier des représentations au théâtre du Rond-Point ». Des pleins pouvoirs, modèle printemps 1956 contre le FLN, qui m’octroient maintenant les mêmes droits que le général Massu, celui d’anéantir sans débat mon adversaire, et de « courageusement » :

- Dénoncer les quenellistes à leur employeur afin de les faire virer

- Fouiller dans les archives de l’Équipe TV pour retrouver toutes les vidéos de sportifs faisant la quenelle après une victoire, afin de les faire sanctionner par la ministre du Droit des sports Valérie Fourneyron.

- Ratisser Facebook et Instagram à la recherche du « quenelliste anonyme » (de trop) pour arracher ce salopard à sa vie calme et tranquille.

- Et, si je m’enhardis vraiment – ce qui serait mon droit, ratonner les quenellistes à la sortie des discothèques lyonnaises et les enfermer dans un coffre de voiture.

Mon courageux combat de « résistant de masse » m’apportera quelques récompenses personnelles (nombreux « like » sur Facebook) et le privilège d’un port de tête altier dans les diners en ville, signe d’une pensée épurante et sainement délatrice. Mais je participerai aussi, ne m’en déplaise, à une victoire à l’arrachée (ou à une courte défaite) d’un président socialiste en 2017, dans un second tour face à Marine Le Pen. Dans un pays de grognards peu enclins aux shoots de moraline, obliger la société à se scinder entre bons et méchants, faire du Front national le dernier rempart fantasmé de la liberté d’expression, c’est lui assurer une place au second tour des élections. Mais cette fois, face à la bête immonde, le représentant des gentils frôlera plus les 50,01% que les 82,21% chiraquiens. C’est ce qui s’appelle « prendre son risque ».

Valls et/ou Hollande sont joueurs, et pour (tenter) de se faire (ré)élire, avec un 7 et un 2 dépareillés, leur martingale est vite vue : mieux vaut enfiler comme des perles les débats gagnés d’avance, que de se confronter à une réalité perdue depuis longtemps. Et ni le chômage, ni les fermetures d’usine, ni les hausses d’impôts, n’auront droit de citer dans ce combat entre les forces du bien et les afficionados de spécialités lyonnaises à base de pâte à choux. "

APPLICATION DE LA SHARIA PAR L'IMAM DE QUIMPER



" Quimper en particulier et la Bretagne en général rattrapent leur retard en matière d’islamisation.

Nantes a deux grandes Mosquées, la Mosquée Ar-Rhama et la Mosquée Assalam qui enseignent un Islam fondamentaliste contraire aux valeurs de la République avec la bénédiction de l’Etat pressé de changer de peuple.

A Brest, l’imam de la mosquée, Rachid Abou Houdeyfa, parcourt la France pour expliquer aux Musulmanes que ce qui donne de la valeur à une femme, c’est son hijab (voile islamique recouvrant tout le corps et les cheveux sauf le visage), que ce voile est obligatoire, car il la protège des « perversions » du monde occidental.

Voici ce qu’il ordonne aux femmes musulmanes :

« Allah t’a ordonné de porter le hijab. »
« Le hijab est la pudeur de la femme. »
« Allah te l’a ordonné, ne l’oublie pas et vis avec. »
« Le hijab est une protection contre les ruses des gens mauvais, c’est eux qui veulent abuser d’elle sans aucun droit. »
« Il n’appartient pas à un Croyant ou une Croyante une fois qu’Allah et son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. »

C’est clair et sans bavure, et les femmes qui se couvrent vous expliquent en vous prenant pour un imbécile que c’est leur décision librement choisie. Ben voyons.

En visite à la mosquée de Quimper le 3 août 2013, Rachid Houdeyfa décréta une fatwa conforme à la sharia au mépris du droit français :

« Toute femme qui s’est mariée sans l’accord de son tuteur, alors son mariage est nul » "

REPONSE DE BERTRAND DUTHEIL A L'EVEQUE COLLABO CLAUDE DAGENS

" Bertrand Dutheil, conseiller de Marine Le Pen, réagit (extraits adaptés) à la tribune écrite par Mgr Claude Dagens, évêque d’Angoulême, dans le JDD (à lire ici) : Dans une tribune récente publiée par le Journal du Dimanche, Claude Dagens, évêque d’Angoulême et membre de l’Académie Française, déclare : « Prenons nos responsabilités face au Front national et au discours de la peur ». Que, dans une République laïque, comme tout autre citoyen, le représentant d’une religion participe en tant que tel au débat démocratique n’a rien d’anormal. Mais, en reprenant le sempiternel discours des élites mondialisées, il range son Église dans le camp des dominants, tout en insultant les millions d’électeurs du Front National en les traitant de peureux. En revanche, il n’a pas un mot sur la réalité que vit le peuple de France avec le chômage de masse, la baisse du niveau de vie, l’insécurité quotidienne et le démantèlement de l’École.

Bertrand Dutheil : Claude Dagens, ancien élève de l’École normale supérieure, souligne que, depuis Clovis, la France serait « le mélange de populations diverses ». Mais, aujourd’hui, loin de rejeter l’Étranger, les Français savent d’expérience que notre pays n’a plus les moyens de les accueillir. « S’identifier aux humiliés de ce monde, à ceux et celles qui restent au bord du chemin et qui ne manquent pas seulement de pain et d’eau, mais aussi de respect et de confiance », pour reprendre la parole épiscopale, ne devrait pas consister à faire des promesses fallacieuses aux peuples déshérités. Ces promesses inconsidérées suscitent des milliers de candidats au mirage européen. Beaucoup trouveront la mort dans le désert ou dans les eaux de Lampedusa. Ceux qui parviendront au but ne seront qu’une armée de réserve pour faire baisser les salaires et la protection sociale. Les Français, eux, ne veulent pas être complices d’un phénomène qui est à la fois une nouvelle traite d’êtres humains et un levier contre leurs acquis sociaux.

Bertrand Dutheil : Avec Marine Le Pen, le Rassemblement Bleu Marine regrette que l’épiscopat français s’engage dans le champ politique en falsifiant le programme du Front National, comme de vulgaires politiciens UMPS, ces « politiques ordinaires », comme l’écrit Claude Dagens, en soulignant précisément le « discrédit » dont ils sont frappés. Avant de condamner, les évêques devraient d’abord dialoguer pour connaître les véritables propositions du Front National. D’ailleurs, Claude Dagens ne dit-il pas que rien « n’empêche de rencontrer des personnes du Front National » ? Qu’ils rencontrent donc ses dirigeants. Leurs portes sont grandes ouvertes, ajoute Bertrand Dutheil. "

BILAN CATASTROPHIQUE DU MARCHE AUTO FRANCAIS

" Le marché automobile français a renoué en 2013 avec ses plus bas niveaux depuis plus de 15 ans avec 1,79 million de voitures neuves vendues, et seul un léger rebond est attendu cette année.

Le recul atteint 5,7% en données brutes et 5% à nombre de jours ouvrables comparables, selon les chiffres publiés jeudi par le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). Les ventes de véhicules utilitaires légers ont baissé de 4,4% en données brutes.

L'année 2013 avait très mal commencé après un mauvais millésime 2012, mais le marché s'est progressivement redressé au deuxième semestre. En décembre, les immatriculations ont encore bondi de 9,4% en données brutes, sans que les professionnels y voient forcément la conséquence de la hausse de la TVA au 1er janvier ou du durcissement des malus auto.

"Le millésime 2013 est à oublier", estime cependant Flavien Neuvy, de l'observatoire spécialisé Cetelem.
PSA Peugeot Citroën et Renault, qui dominent le marché hexagonal avec 53% de part de marché, s'en sont dans l'ensemble mieux sorti que leurs concurrents étrangers. Renault, avec sa marque au losange et Dacia, a grappillé 0,8% mais PSA Peugeot Citroën a vendu 7,7% de voitures en moins.

L'année s'est bien passée" pour Renault, se félicite son directeur commercial Bernard Cambier, avec pour preuve la Clio IV qui est le modèle le plus vendu dans le pays. "On termine l'année avec un carnet de commandes en hausse de 24% par rapport à l'année dernière", souligne-t-il. En 2014 sortira aussi la nouvelle Twingo.

Citroën a traversé en revanche une période compliquée par "des perturbations (liées à) la fermeture de l'usine d'Aulnay", explique son directeur France Philippe Narbeburu. Résultat, ses immatriculations ont reculé de 10,6% sur l'année. Mais la production a repris normalement et la marque compte notamment sur ce modèle, plus le C4 Picasso et le C Cactus qui sera commercialisé vers juin pour tirer les ventes. A fin décembre, son carnet de commandes a progressé de plus de 20%.

"L'année a été globalement positive" pour Peugeot, a estimé son directeur France Xavier Duchemin, soulignant le succès des motorisations hybrides de la gamme. Les ventes de la marque au lion ont néanmoins baissé de 5,2%.

Parmi les marques étrangères, le numéro un européen Volkswagen a lâché 8,1% et les groupes américains General Motors et Ford ont plongé de 15,8% et de 17,3%. Seuls le japonais Toyota ("5,5%) et l'italien Fiat ("2,4%) ont connu une progression de leurs ventes.

"On a atteint le fond de la piscine et le marché devrait rester stable en 2014", estime un porte-parole du CCFA. Il est retombé à son niveau de 1997.

Son analyse est partagée par les marques et les analystes. M. Neuvy prévoit "un léger rebond de 2%". "Les prévisions macroéconomiques sont plus favorables pour 2014", souligne-t-il. Pour autant, aucun redressement significatif n'est à attendre "tant que le chômage n'aura pas significativement diminué", tempère Jean-François Belorgey, associé chez EY (ex Ernst & Young).

Tous deux estiment qu'il faudra encore plusieurs années avant que le marché ne renoue avec ses niveaux d'avant crise et plus de 2 millions d'unités.

Parmi les rares éclaircies, en 2013, les segments des 4x4 urbains et du low cost se sont bien portés et la tendance devrait se poursuivre cette année, soulignent les analystes.

En revanche "l'électrique n'est toujours pas là", avec des ventes qui restent anecdotiques, relève M. Belorgey, et les ventes de voitures diesel ont chuté de 13,3% en 2013 sur un an. La guerre des prix devrait aussi se poursuivre, ce qui n'est pas sans conséquence sur les marges des groupes automobiles dont certains, comme PSA, sont déjà mal en point.

En Europe, le marché automobile espagnol a réalisé une meilleure performance en 2013, avec un rebond de 3,3%. Il reste toutefois à un niveau très bas avec 722.703 voitures neuves vendues. "