jeudi 31 octobre 2013

EL HADJ RELACHE POUR VICE DE PROCEDURE

" El Hadj, 29 ans, est incarcéré depuis trois semaines. Il avait été interpellé le 4 octobre lors de la fête à Saint-Michel, à Toulouse. Il se trouvait avec deux individus recherchés par la police pour une affaire de braquage à la Reynerie. 

Alors que la police procédait à l’arrestation de ses deux comparses, El Hadj aurait menacé de mort les policiers. Il aurait également commis des violences à leur encontre et refusé d’être interpellé. Il a été libéré lundi grâce à son avocat, Me Alexandre Parra-Bruguière en audience de comparutions immédiates. 

Lors de la première audience du 7 octobre, il clamait son innocence. Son avocat mettait en avant les zones d’ombre dans la procédure d’enquête. À l’issue de celle-ci, le tribunal a estimé qu’il était insuffisamment informé pour trancher sur l’éventuelle culpabilité du prévenu. Il a décidé de renvoyer l’affaire afin que les policiers, absents à l’audience puissent être entendus. Me Parra-Bruguière explique : «Vous ne pouvez juger de nouveau cette affaire pour des raisons procédurales et El Hadj ne peut être maintenu en détention compte tenu de la nullité du jugement du 7 octobre». 

Il emporte la conviction du tribunal, contraint de constater l’erreur procédurale. El Hadj a été libéré. Il comparaîtra libre devant la cour d’appel. "

MARINE LEPEN ATTAQUEE POUR DES PROPOS POLEMIQUES SUR LES OTAGES LIBERES

" La présidente du Front national Marine Le Pen est revenue jeudi sur ses propos critiques contre les images du retour des quatre d'Arlit, en plaidant la "maladresse" alors qu'elle voulait, assure-t-elle, dénoncer une "instrumentalisation" des otages.

"Manifestement, je me suis exprimée de manière maladroite puisqu'il ne s'agissait en aucun cas dans mon esprit, d'émettre la moindre critique à l'égard des otages", a-t-elle expliqué sur RTL. "Donc tout à fait évidemment je me réjouis de la libération".

Un peu plus tôt, sur Europe 1, la présidente du Front national avait parlé de "malaise" ressenti devant les images du retour des quatre hommes libérés mardi, évoquant leurs habits, leurs barbes, leur chèches.
Des commentaires qui ont suscité de nombreuses réactions indignéees ou ironiques sur les réseaux sociaux.
Elle a ensuite réagi par un communiqué, s'efforçant d'expliquer qu'elle avait dans son viseur "l'instrumentalisation politique des libérations d'otages par les gouvernements".

"Les images livrées en pâture d'otages encore affublés des symboles de leur détention, manifestement encore sous le choc d'une détention longue et pénible, tirés devant les caméras de télévision par la manche par le ministre des Affaires étrangères, ont indubitablement laissé aux Français un sentiment de malaise", a assuré l'eurodéputée.

"Il faut rompre avec ce qui est devenu une tradition française profondément malsaine d'instrumentalisation politique des libérations d'otages. Elles ne sont ni des meetings électoraux ni des émissions de téléréalité", tance-t-elle. "Il serait bon que nos dirigeants s'en souviennent".

Sur RTL, elle a encore plaidé : "J'ai exprimé le sentiment qu'avait été celui d'un certain nombre de journalistes, aussi ne soyons pas hypocrites, et d'observateurs, parce que les images rompaient avec le cérémonial traditionnel qui est celui en général des libérations d'otages".

Elle a pointé un "refus de prise de parole à côté du président de la République", un "otage avec ce chèche qui lui cachait le visage".

"Mon objectif n'était pas du tout de créer une polémique, encore moins je le répète d'émettre une critique à leur égard", a assuré l'eurodéputée frontiste. "


Quand aux indignés du PS et aux journalistes prêts à sauter sur tous les propos FN, pourquoi ne pas avoir fait d'interview des otages eux-mêmes ? Fallait-il les briefer avant, au sujet de la rançon par exemple ou sur leurs conditions de détentions ? N'oublions pas que les terroristes ne sont pas des enfants de cœur et que beaucoup d'otages ont payés de leur vie leur incarcération. Quand aux conditions de vie, je doute que la convention de Genève soit appliquée.

HOLLANDE TOUJOURS EN CHUTE LIBRE

" François Hollande, qui est déjà le président le plus impopulaire de la Ve République, a encore perdu deux points dans le baromètre politique mensuel TNS Sofres pour le Figaro Magazine publié jeudi.
Vingt et un pour cent des Français ont encore confiance dans le chef de l'Etat, soit deux points de moins que dans la précédente enquête.

Les mécontents sont même devenus majoritaires chez les partisans de la gauche dans son ensemble, dont seulement 48% (-3 points) disent faire confiance à François Hollande, contre 51% (+5 points) qui n'ont pas confiance en lui.

Dans le sillage de François Hollande, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recule également de deux points, avec une cote de confiance qui s'établit à 22%, un plus bas depuis son arrivée à Matignon.
Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls reste nettement en tête du palmarès des personnalités politiques dont les Français souhaitent qu'ils jouent un rôle important dans les mois ou les années qui viennent avec 44% (+1 point), devant l'ancien président Nicolas Sarkozy (33%, -2 points).

Suivent les anciens Premiers ministres François Fillon et Alain Juppé (-2 points chacun à 31%) et la présidente du Front national Marine Le Pen (-3 points à 30%).

Le sondage a été réalisé du 23 au 26 octobre auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de l'ensemble de la population âgée de 18 ans et plus interrogées à domicile." 

LIBERATION D'OTAGES

" Les autorités françaises ont maintenu mercredi n'avoir versé aucune rançon aux preneurs d'otages pour obtenir la libération des quatre Français enlevés en septembre 2010 dans le nord du Niger, affirmant que seul Niamey avait été à la manoeuvre.

Le Monde soutient que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) a remis indirectement "plus d'une vingtaine de millions d'euros" aux ravisseurs de Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret, qui sont arrivés mercredi en France.

Cette somme aurait été prélevée sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement et aurait été acheminée par la DGSE jusqu'à Kidal, au Mali, selon Le Monde.

"La France ne paie pas de rançon. Pour ce qui dépend de l'Etat français, il n'y a pas d'argent versé", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, sur TF1.

Prié de dire si des sommes pouvaient avoir été payées par les groupes - Areva et une filiale de Vinci - qui employaient les otages, il a simplement répondu : "Non, pas d'argent public versé."

Interrogé sur la possibilité que le président nigérien Mahamadou Issoufou, qui a été impliqué dans les négociations, ait pu verser une rançon, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a déclaré pour sa part lors du journal de France 2 : "Le président du Niger a mené les discussions qu'il convenait de mener et elles ont abouti à un résultat positif."

Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui retenait les quatre ressortissants français, avait réclamé en mars 2011 90 millions d'euros, une demande rejetée par le chef de la diplomatie française de l'époque, Alain Juppé.

En début d'année, François Hollande a fait savoir que la France ne verserait plus de rançon pour obtenir la libération de ses ressortissants retenus en otages dans le monde, assurant que l'Etat s'opposerait à toute transaction financière et toute forme de versement, même par des entreprises.

Le 19 avril, lors de la libération d'une famille française enlevée au Cameroun, le chef de l'Etat avait une nouvelle fois assuré que Paris ne céderait pas "sur les principes".

"La consigne du président est de ne pas payer de rançon, cette consigne est respectée", avait assuré mardi matin sur Europe 1 Laurent Fabius, qui s'est rendu à Niamey avec Jean-Yves Le Drian pour récupérer les quatre ex-otages.

ENGAGEMENT DU G8
La piste d'une contrepartie versée par Areva a été évoquée par Diane Lazarevic, fille de l'un des trois otages français encore retenus en Afrique.

"Le Quai d'Orsay m'a bien dit il y a deux mois que la France ne paierait pas mais que sûrement Areva le ferait. Ce sont les mots du quai d'Orsay", a-t-elle dit sur Europe 1.

Le groupe nucléaire a répondu que "Jean-Yves Le Drian a été très clair, il n'y a pas eu de rançon".
Selon une source régionale, les négociations autour de la libération des Français ont été menées par l'ancien ministre nigérien, Mohamed Akotey, président du conseil d'administration d'Imouraren SA, la filiale d'Areva au Niger.

S'il était confirmé, le versement d'une rançon marquerait un changement dans la position de François Hollande depuis le lancement de l'opération Serval au Mali en janvier.

En juin, les dirigeants du G8 se sont engagés à refuser de verser des rançons en cas d'enlèvements de leurs ressortissants par des "terroristes".

"Nous rejetons sans équivoque le paiement de rançons aux terroristes et nous appelons les pays et les entreprises du monde à suivre ce principe", ont-ils dit dans un communiqué.

La France n'est toutefois pas jusqu'à présent allée aussi loin que la Grande-Bretagne, où la législation en vigueur interdit explicitement aux entreprises de verser des rançons.

Laurent Fabius n'a, par ailleurs, pas voulu confirmer des informations selon lesquelles la France aurait garanti une impunité au chef du groupe islamiste Ansar Dine en échange de la libération des otages.

"Je ne confirme pas. Mais ce qui est vrai, c'est qu'il y a des discussions qui portent sur les conditions politiques, qui peuvent porter, mais pas dans cette affaire, sur des libérations de prisonniers. Il y a toute une série de discussions ça c'est sûr, évidemment ce n'est pas une opération du Saint-Esprit", a-t-il dit sur TF1. "


On imagine bien des terroristes islamistes donner des otages pour nos beaux yeux... ou ceux de HOLLANDE !

ATA : UN GOUFFRE FINANCIER

" L'allocation temporaire d'attente (Ata), versée aux demandeurs d'asile qui ne peuvent pas être hébergés dans un centre d'accueil, ne doit plus être gérée par Pôle emploi en raison de dysfonctionnements, recommande un rapport publié mercredi par la commission des Finances du Sénat alors que la demande de protection a "explosé", a admis le ministère de l'Intérieur.

L'Ata, qui s'élève à 336 euros mensuels, est versée aux demandeurs d'asile qui n'ont pas pu bénéficier d'une des 21.410 places en Centre d'accueil pour les demandeurs d'asile (Cada) dans l'attente des suites données à leur dossier.

En 2012, 36.450 personnes ont bénéficié de cette allocation, sur plus de 60.000 demandeurs d'asile. Au total, 150 millions d'euros ont été distribués, montant en forte progression ces dernières années en raison de la hausse des demandes d'asile et de l'allongement de la durée d'instruction des dossiers.
Fin 2013, le nombre de demandeurs d'asile va atteindre les 70.000, "un chiffre qui se situe au-delà de toutes les projections imaginées", s'est alarmé mercredi le député UMP Eric Ciotti, rapporteur du budget de l?asile à l?Assemblée, cité par Le Figaro.

"Ce chiffre est envisageable et la situation est extrêmement difficile", a admis le Cabinet de Manuel Valls auprès de l'AFP en soulignant cependant que "le problème ne date pas de 2012 et de l'arrivée de la gauche au pouvoir mais de 2007".

"Nous sommes face à un problème structurel qui n' a pas été tranché par la majorité précédente", ajoute Beauvau en rappelant que le Manuel Valls a lancé une concertation sur le sujet qui doit s'achever fin novembre. "La vision du ministre est qu'il faut construire sur ce sujet un consensus national ou au moins aussi large que possible", insiste-t-on.

Selon le rapport présenté par Roger Karoutchi (UMP), rapporteur de la mission "Immigration, asile et intégration", les versements indus de l'Ata par Pôle emploi, à qui la gestion de l'aide a été confiée, représentent environ 20% du total, soit 30 millions d'euros. ( Soit près de 90 000 demandeurs )

"Il y a beaucoup d'indus bénéficiaires", a admis le ministère.
Le rapport de M. Karoutchi critique "le manque de qualification des agents de Pôle emploi" sur ces questions et l'absence de liens entre la structure et les autres organismes publics en charge des demandes d'asile.

Il propose "à court terme" de confier la gestion de l'Ata à l'Office français de l'intégration et de l'immigration (Ofii), responsable de l'accueil des migrants, et "à moyen terme" de fusionner l'Ofii et l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), afin de créer "un grand opérateur de l'asile et de l'immigration".
Le rapport insiste également sur la nécessité de réduire le montant versé aux demandeurs isolés mais de tenir compte, à l'inverse, de la présence d'enfants à charge.

"L'Ata est l'allocation la plus basique et la moins intelligente que je connaisse", a résumé Roger Karoutchi, dénonçant un droit d'asile français "à bout de souffle".

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a confirmé le 23 octobre son intention de présenter rapidement une réforme du droit d'asile, pour diviser par deux le délai de traitement des dossiers.

Il a confié en juillet le pilotage des concertations à deux parlementaires, qui doivent rendre leurs conclusions mi-novembre.

Le projet de loi sur l'immigration, prévu après l'été 2013, avait été reporté à la fin de l'année ou au début 2014 pour y adjoindre un volet asile. "

mercredi 30 octobre 2013

PARIS : 60 INTERPELLATIONS PAR JOUR DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN

" Les vols à la tire et les vols simples représentent plus de la moitié des faits de délinquance dans les transports en commun.

Près de 60 personnes sont interpellées chaque jour par la police dans les transports en commun en région parisienne. Les vols à la tire et les vols simples représentent "plus de la moitié des faits de délinquance dans les transports en commun", a écrit la préfecture de Paris dans sa lettre hebdomadaire PPrama.

Près de 80% de ces vols sont commis à Paris intra-muros, même si "l'ensemble du réseau est concerné par ce phénomène", a précisé la préfecture, assurant que les vols de smartphones constituent la majorité des vols commis avec violence.

Cette problématique des vols à la tire dans les transports a conduit la préfet de police de Paris à mettre en place au début de l'année un plan d'action spécifique. "Ce plan commence à porter ses fruits", a assuré une source policière.

Chaque jour, près de 6 millions de personnes utilisent les transports en commun en Ile-de-France. "

MONTBELIARD : DES TUNISIENS TABASSENT LEUR FILLE ET SOEUR POUR UN MMS

" Un père de famille turc et deux de ses fils ont été mis en examen à Montbéliard pour avoir battu au nom de «l’honneur de la famille» leur fille et soeur de 17 ans, surprise en train d’envoyer un MMS amoureux.

Le père de 55 ans et les fils de 19 et 21 ans seront jugés le 21 novembre pour «violences en réunion», a précisé Tiffany Gamain, substitut du procureur de Montbéliard. Le père devra en outre répondre de «menace de mort».

Les faits ont eu lieu dans la soirée du 21 octobre, au domicile familial de Valentigney, dans l’agglomération de Sochaux-Montbéliard (Doubs). Le père et les deux frères de la lycéenne se seraient mis en colère après avoir constaté que la jeune fille s’apprêtait à envoyer à son petit ami, par MMS, une photo d’elle en soutien-gorge.

Le lendemain, l’adolescente s’est présentée dans un hôpital, où elle a été vue par une assistante sociale qui l’a placée en foyer. Elle présentait de nombreuses traces de coups, notamment des hématomes au visage, et s’est vu délivrer 15 jours d’Interruption temporaire de travail (ITT).

«Le père et l’un des frères reconnaissent les violences, tout en les minimisant. Ils disent que c’était pour eux le seul moyen de préserver l’honneur de la famille», a expliqué Mme Gamain. L’autre frère, en revanche, nie toute violence.

Les trois hommes ont été interpellés quatre jours après les faits, et placés en garde à vue. Ils en sont ressortis sous contrôle judiciaire, avec interdiction d’entrer en contact avec la lycéenne. "

QUIMPER : JUGEMENT D'UN VIOLEUR RECIDIVISTE ALGERIEN

" Un Algérien âgé de 35 ans est jugé à huis clos, depuis ce matin, par la cour d’assises du Finistère. L’homme - déjà condamné à deux reprises pour des faits similaires survenus avant et après les faits visés - est soupçonné du viol d’une jeune femme âgée de 20 ans, en juin  2008, dans un squat, à Quimper. Il nie les faits. 

Le verdict sera rendu demain, dans la soirée. "

LYON : UN TUNISIEN POIGNARDE UNE FEMME POUR LA VOLER

" Une jeune femme a été blessée d’un coup de couteau à l’abdomen alors qu’elle voulait résister à un voleur qui tentait d’arracher le sac à main de son amie.

L’auteur présumé des coups a été interpellé

Ses blessures restent superficielles mais l’affaire aurait pu tourner au drame dans le feu de l’action. Les faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3 h 30 du matin, rue René-Leynaud dans le 1er arrondissement de Lyon. Trois jeunes femmes rentraient d’une soirée sur les pentes de la Croix Rousse, lorsqu’un individu les a menacées et a tenté de voler un sac. Une première victime a résisté et a pris des coups.

La seconde a voulu s’interposer et a été touchée par le couteau. L’auteur présumé a été rapidement interpellé par un équipage de police. Âgé de 23 ans, il se dit sans domicile fixe, venu de Tunisie.

Il devrait être présenté aujourd’hui au parquet, en vue d’un probable procès à l’audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel. "

ALES : YAZID VIGILE DE CORA ET VOLEUR

" L’ancien employé indélicat avait volé pour 5 332 € dans une grande surface alésienne.

C’est un véritable inventaire à la Prévert qu’énumère la présidente de l’audience Chantal Jacquot-Perrin : 24 bouteilles de rosé, 48 canettes de cola, une manette de jeu vidéo, 3 consoles de jeu avec 28 jeux vidéo dont certains en double, 2 appareils photo numériques, 6 tablettes, un ordinateur portable, une caméra vidéo et même du matériel de camping… au total 5 332 € de matériels volés au préjudice de l’hypermarché Cora à Alès par un vigile.

Yazid travaillait pourtant dans la sécurité depuis douze ans. Bien que licencié par Cora depuis l’affaire, il opère encore dans ce secteur d’activité.

Dispositif de surveillance

À son casier, une seule condamnation déjà ancienne pour consommation de stupéfiants. Le matin des faits, il assure "avoir été tenté. C’est la première fois que je vole dans l’établissement." La direction le suspecte depuis quelque temps de prendre du matériel dans les réserves, et décide de mettre un dispositif de surveillance en place pour le confondre.

Dès le premier matin de surveillance, les agents surprennent Yazid en train d’effectuer des allers-retours entre le magasin et son véhicule BMW avec de gros sacs. Les policiers du commissariat d’Alès l’interpellent sur le parking. Ils retrouvent l’ensemble du butin dans le véhicule.

"Un acte isolé"

Me Olivier Massal avocat de la défense, souligne dans sa plaidoirie "l’acte isolé. La perquisition à son domicile n’a rien donné. Ce n’est pas un voleur organisé, professionnel. Il ne fait partie d’aucun réseau de revente."

Et de demander l’exclusion de la peine de son casier judiciaire. "Cette inscription l’empêcherait de retrouver du travail." L’avocat demande donc au tribunal de ne pas prononcer "un verdict de mort sociale."

Yazid est finalement condamné à 5 mois de prison avec sursis, et à verser 600 € à Cora pour les frais de surveillance engagés. La demande d’exclusion de la condamnation de son casier judiciaire est rejetée. "

LYON : PLUSIEURS ROUMAINS ARRETES POUR VOLS ET CAMBRIOLAGES

" À quelques heures d’intervalle, huit ressortissants roumains, tous SDF, ont été interpellés mercredi soir dans l’agglomération lyonnaise. La plupart des arrestations sont intervenues à Saint-Fons, non loin du camp de Roms du boulevard Lucien-Sampaix. Ainsi, la brigade anticriminalité a-t-elle interpellé devant l’entrée de ce camp un homme de 30 ans qui conduisait sans permis.

Vers 20 heures, la police est intervenue à l’intérieur du camp, où le propriétaire d’une caravane volée dans l’après-midi à Villeurbanne avait repéré son bien. La caravane a été récupérée sans heurts. Vers 22 heures 45, non loin de là, sur le quai Louis-Aulagne, quatre hommes qui venaient de s’introduire sur le site de BASF pour y voler des câbles électriques et des matériaux ont été arrêtés. Agés de 27 à 43 ans, ces quatre SDF roumains ont été placés en garde à vue. Outre ces flagrants délits, trois Roumains recherchés par la justice ont été interpellés mercredi soir.

Le premier, âgé de 29 ans et interpellé quai Perrache à Lyon (2e) était recherché pour purger une peine de trois mois de prison pour vols et dégradation, prononcée par le tribunal de Lyon. Un autre, condamné à deux mois de prison pour cambriolages par le tribunal de Bonneville (74) a été arrêté quai Aulagne à Saint-Fons. Enfin, un homme de 37 ans a été interpellé place Jean-Macé à Lyon (2e ). Il était recherché par la justice roumaine pour purger une peine de trois ans de prison pour des faits commis en Roumanie.
Depuis le début de l’année, plus de 4 % des personnes interpellées par la police dans le Rhône, sont des Roumains, qui représentent moins de 0,3 % de la population. "

ABDELALI HASSAN : VIOLEUR ET AGRESSEUR DE FEMMES

" Entre septembre et décembre 2010, les agressions se sont multipliées, la nuit, dans le centre de Clermont-Ferrand. Avec, comme victimes, des jeunes femmes. Frappées comme si on voulait les détruire. 

Le procès de l'agresseur, Abdelali Hassan, s'est tenu toute la semaine à Riom. Le verdict est tombé ce vendredi en fin de journée. L'homme a été condamné à quinze ans de réclusion criminelle, conformément aux réquisitions de l'avocat général.

Sa peine est assortie d'une période de sûreté de dix ans et d'un suivi socio-judiciaire pendant cinq ans.

L'autre accusé du procès, témoin d'un viol, était poursuivi pour non assistance à personne en péril. Il a été condamné à un an de prison avec sursis. L'avocat général avait requis deux ans ferme. "

UN CABINET NOIR POUR SARKOZY ?

" L’Élysée dispose-t-elle d'un "cabinet noir" pour enquêter illégalement sur Nicolas Sarkozy et les affaires qui l'ont touché de près ? Selon Valeurs Actuelles, qui révèle l'information dans son numéro du 1er novembre, une cellule serait chargée de fouiller dans les archives de l'ancien président de la République. Une procédure totalement hors-la-loi. C'est Bernard Muenkel, l'ancien chef du service des télécommunications et de l'informatique de l'Élysée, qui détaille l'affaire.

Il raconte comment il a été convoqué dans le bureau d'Eric Bio-Farina, commandant militaire de l'Élysée, afin d'effectuer des recherches dans les archives de Nicolas Sarkozy pour retrouver trace, entre autres, de documents ayant trait à Bernard Tapie et de l'arbitrage dont il a bénéficié. Les noms de Jean-Louis Borloo, Christine Lagarde et des juges Bredin, Mazeaud et Estoup sont notamment cités. Or, comme le raconte Bernard Muenkel, seul l'ancien chef de l'Etat a accès à de tels documents, censés être remis au service des archives de l'Élysée.

Muenkel, qui ira remettre le disque dur aux archives afin que personne n'y ait accès, recevra, selon lui, à plusieurs reprises l'ordre de violer la loi mais signifiera son désaccord. Une situation qui l'amènera à perdre son emploi et à être rétrogradé pour devenir "adjoint de lui-même". Il explique : "Au début, j’avais proposé une transaction de trois mois plus mes congés pour partir et trouver un autre travail. Ils ont laissé traîner les choses et n’ont pas voulu me licencier parce que l’affaire était trop proche de la punition. Ils m’ont alors donné un petit bureau et une fausse mission : répertorier l’ensemble des prises réseau dans tous les bureaux de la présidence et faire des propositions de travaux…"

Son remplaçant se verra confier la même mission à propos d'autres affaires tandis qu'il finira par démissionner - il y a une semaine. L'Élysée n'a, pour le moment, pas réagi à la divulgation de cette information. C'est la deuxième fois que Valeurs Actuelles publie une enquête sur le sujet. C'est la diffusion du premier article, paru le 4 juillet dernier, qui a amené Bernard Muenkel à témoigner pour le journal.

Ce mercredi midi, la présidence française a démenti les informations de Valeurs actuelles qui affirme donc qu'une cellule a été créée à l'Elysée pour fouiller les archives de Nicolas Sarkozy. "La présidence de la République n'a fait qu'exécuter les réquisitions adressées par les juges d'instruction et par le Conseil constitutionnel. En aucun cas elle n'est allée au-delà des demandes des juges" dit le communiqué. "

mardi 29 octobre 2013

ECOTAXE : LES RG ALERTENT LE GOUVERNEMENT

" Selon les informations transmises par la sous-direction de l'information générale (SDIG) de Rennes au ministère de l'Intérieur, et dont le journal Le Figaro a eu connaissance, la vague de manifestations contre l'écotaxe en Bretagne serait attisée notamment par deux groupes identitaires, l'un d'extrême gauche, en marge du mouvement Breizhsistance, l'autre d'extrême droite, sous la bannière de Jeune Bretagne.

De même, la SDIG de Rennes - autrement dit les ex-RG -, laisserait entendre que la colère des Bretons pourrait avoir de lourdes répercussions et pourrait embraser d'autres régions comme "l'Alsace, le Pays basque et même la région niçoise".

"Jusqu'alors, estiment les analystes du SDIG, cités par Le Figaro, les syndicats se sont toujours refusés à réunir agriculteurs et pêcheurs, tant le cocktail peut se révéler explosif". Une prochaine journée d'action est prévue le 2 novembre prochain, avec une nouvelle manifestation à Quimper. 

"Révolte"

En Bretagne, depuis début août, trois portiques ont déjà été rendus inopérants, dont un abattu. Mais l'écotaxe cristallise aujourd'hui toute la grogne des Bretons qui voient l'agriculture et l'agroalimentaire, piliers de leur économie, s'effondrer, et les plans sociaux se multiplier comme chez le volailler Doux ou plus récemment chez Gad SAS où plus de 800 emplois ont été détruits.

Lors des affrontements du 26 octobre, un manifestant a été grièvement blessé et deux autres légèrement, et côté gendarmes on dénombre six blessés légers. C'est la première fois que ces manifestations contre l'écotaxe, qui durent depuis plusieurs mois en Bretagne, atteignent un tel niveau de violence. Dans les rangs des manifestants, on ne parlait même plus de manifestation mais de "révolte". "

ECOTAXE : L'ALIBI BRETON

" La situation en Bretagne, à elle seule, expliquerait le recul gouvernemental du jour. Pour que nulle ambiguïté ne subsiste, François Hollande l'a affirmé mardi en marge de sa visite officielle à Bratislava: «La volonté du gouvernement, c'est aujourd'hui d'apporter des réponses aux élus bretons.»

L'explication a tout de l'alibi. Certes, le collectif «Vivre, décider, travailler en Bretagne», qui a lancé les appels à manifester contre l'écotaxe, a servi l'argument sur un plateau à l'exécutif en n'empêchant pas les débordements, ce week-end, en particulier dans le Finistère. C'est à la puissance publique de maintenir l'ordre public, et à l'évidence il est menacé par la violence d'une minorité de protestataires. Mais la décision de suspendre l'écotaxe, outre qu'elle ne garantit pas le retour au calme - la manifestation programmée samedi à Quimper a été maintenue - n'apporte pas le début d'une solution au problème posé. Il peut se résumer simplement: où trouver le gros milliard d'euros nécessaire pour boucler le budget de l'an prochain?
Il faut avoir les yeux de la foi, ou être Bretonne, comme la ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu, pour trouver le geste de Jean-Marc Ayrault «extrêmement courageux». Les avantages à court terme de la suspension sont évidents, sur le terrain d'abord, où les anti-écotaxe vont avoir plus de mal à mobiliser, mais aussi à Paris et, plus précisément, dans la majorité. Les Verts grognent, mais ils ne peuvent pas crier au parjure. Jean-Marc Ayrault a pris soin de le préciser: «Suspension n'est pas suppression.»
L'exécutif espère évacuer la dimension nationale du ras-le-bol fiscal

En revanche, à moyen terme, les effets, comme pour toute mesure dilatoire, risquent d'être désastreux. En liant la recherche d'une sortie par le haut du piège de l'écotaxe à l'élaboration de son «plan d'avenir» pour la Bretagne, l'exécutif espère évacuer la dimension nationale du ras-le-bol fiscal. En réalité, il encourage tous les «pigeons» et autres contribuables exaspérés à suivre l'exemple breton. Comment François Hollande, dont l'autorité s'effrite à chaque recul, pourra-t-il s'opposer à l'extension prévisible du domaine de la lutte fiscale? Jean Glavany, qui travailla au côté de François Mitterrand puis de Lionel Jospin, y est allé de son conseil dans les couloirs de l'Assemblée: «Dans ces conditions, a-t-il jugé, on ne peut pas réformer sereinement et utilement. Il faut que la plaie fiscale se cicatrise et qu'on reparte tranquillement.» Ne rien faire? Il suffisait d'y penser. "

LYON : DES DEMANDEURS D'ASILE ALBANAIS A LA CHARGE DES ADMINISTRES

" La gestion d'un campement de 296 demandeurs d'asile albanais devient un véritable enjeu politique dans l'agglomération lyonnaise, à quatre mois des élections municipales où le thème de l'immigration jouera un rôle majeur.

Les sénateurs-maires de Lyon, le socialiste Gérard Collomb, et d'Oullins, dans la banlieue de la ville, l'UMP François-Noël Buffet, refusent d'accueillir ces familles sur leur territoire alors que le préfet du Rhône s'organise pour les recevoir dans de bonnes conditions pendant l'hiver.

François-Noël Buffet a remis mardi une pétition de 5.000 signatures recueillies en quatre jours auprès de ses administrés qui refusent de l'installation de ces Albanais et doit déposer au tribunal de Lyon un recours contre la décision du préfet, ainsi qu'une demande de référé suspensif.

"La mobilisation et l'exaspération de la population est extrêmement forte contre cette décision", a expliqué le sénateur-maire d'Oullins au préfet en lui demandant de "revenir sur sa décision de réquisitionner ce terrain".
Il avait demandé au président du Grand Lyon, Gérard Collomb, de faire de même, mais ce dernier s'y est refusé.

"Cela signifie qu'il ne défend pas son territoire du Grand Lyon contre cette pression migratoire, c'est inacceptable", a déclaré à la presse François-Noël Buffet.

Le préfet du Rhône, Jean-François Carenco, a réquisitionné un terrain à Oullins pour installer ces familles pour l'hiver. Le tribunal de grande instance de Lyon, saisi par le Grand Lyon, avait ordonné le 23 octobre dernier l'évacuation sans délai de leur camp sauvage installé depuis l'été sous l'autopont de Perrache, en plein centre ville de Lyon.

Le préfet du Rhône a indiqué que ces familles étaient en situation régulière en France et devaient être hébergées en attendant la décision de l'Ofpra".

"Il est de ma responsabilité de ne pas laisser ces enfants dormir dans la rue pendant tout l'hiver", a-t-il poursuivi.

A Oullins, sur une ancienne friche SNCF situé en centre ville, des travaux sont actuellement en cours pour installer un village de bungalows. Les familles devraient s'y installer le 15 novembre. La préfecture a également précisé que les enfants albanais ne seraient pas scolarisés dans les écoles de la commune, mais dans une petite école montée dans ce village.

"Leur installation est provisoire, il ne faut pas en avoir peur, le village sera fermé le 1er avril", a déclaré le préfet pour tenter de calmer les esprits. "


Puisque se plaindre par une pétition ne semble pas être pris en compte, plaignez vous dans les urnes !

SLAM


( Merci à Rémi )

lundi 28 octobre 2013

LEONARDA : SA SOEUR REFUSE DE L’ACCUEILLIR DANS SA MAISON DE 200 m2


Selon le maire de la commune, François Clause, le couple vit avec leur enfant et plusieurs autres immigrés kosovars dans une maison "destinée à accueillir une famille nombreuse", où se côtoient trois générations dont les plus jeunes enfants étaient scolarisés.


Et aux frais de qui la maison ?

Installée en maison individuelle dans un lotissement feutré , la famille Azjavi refuse de s’exprimer officiellement. Les huit à dix membres de cette famille, bénéficiant d’un titre de séjour depuis 2003, ont emménagé dans cette maison en  2006. Plusieurs couples avec enfants cohabitent . Ils bénéficient de diverses aides, y compris parfois alimentaires. Plusieurs enquêtes ont vérifié qu’il y avait bien une filiation et que leur train de vie correspondait à leurs revenus. Sans histoires, les Azjavi ne posent pas de problème dans le village, même si les services sociaux ont pu juger leur attitude vis-à-vis des aides auxquelles ils ont droit comme « provocatrice ».

Quelques photos de la malheureuse famille en question :


Petit intérieur vétuste, avec mobilier désuet et gamme hi-tech obsolète...





Petites voitures que n'importe quel smicard peut se payer en se levant à 5 heures du matin.



Appart HLM aux frais du contribuable...

Vas bosser connard ! tu as des impôts à payer pour subvenir aux besoins de ces gens là ( Et il y en a combien comme ça ? ) !







GRENOBLE : UN NOIR OU METIS TUE UN JEUNE HOMME AU COUTEAU

" Dans la nuit de vendredi à samedi, entre 3h00 et 4h00, une rixe a éclaté sur le parking d'une discothèque, dans le centre-ville de Grenoble, en Isère. 

Deux groupes d'individus se sont battus pour une raison indéterminée, alors qu'ils venaient de se faire refouler de la boîte de nuit. 

Au cours de la bagarre, un jeune homme de 24 ans a reçu un coup de couteau entre les côtes. Il est décédé des suites de ses blessures. 

Ses deux amis ont été blessés. Ils ont été transportés à l'hôpital. Leurs jours ne sont pas en danger. 

Le suspect est activement recherché. Il s'agit d'un homme noir ou métis mesurant près de 2 mètres aperçu dans les enregistrements de vidéosurveillance. 

Toute personne susceptible de le reconnaître ou de l'avoir vu à Grenoble dans la soirée de vendredi est priée de contacter le : 04.76.60.40.40. "

AUDE : 35% DES AUDOIS PRETS A VOTER FN

" Selon un sondage confidentiel réalisé à la demande de la fédération de l'Aude du PS, plus d'un tiers des Audois jugent "possible de voter à l'avenir pour le Front National".

Marine Le Pen en deuxième position au premier tour de la présidentielle 2012, Robert Morio en duel avec Jean-Claude Pérez aux législatives qui ont suivi : la montée du vote Front National dans le département de l'Aude lors des derniers scrutins nationaux a sérieusement fait réfléchir la fédération de l'Aude du Parti Socialiste. Surtout qu'elle venait s'ajouter aux résultats des cantonales de 2011, où le FN s'était retrouvé au second tour dans cinq cantons audois.

C'est ainsi qu'en juin dernier, un panel de 5 à 600 Audois a été établi par un institut de sondage de la région, et plusieurs questions ont été soumises. "Il y avait un vrai enjeu démocratique et républicain. Nous voulions comprendre et analyser les évolutions de l'électorat du département, et tenter de savoir pourquoi certains étaient enclins à adopter des positions extrêmes", explique Eric Andrieu, premier secrétaire de la fédération socialiste de l'Aude. Il n'en dira pas plus.

Voici les grandes tendances de ce sondage, que L'Indépendant a pu recouper.

1 Le poids électoral.

A neuf mois des municipales, 15 % des sondés déclaraient qu'ils voteraient FN aux prochaines municipales. Mais 35% d'entre eux disaient qu'il était "possible qu'ils votent à l'avenir pour le Front National". De son côté, le PS est à un niveau de 33% d'intentions de vote.

2 Par tranches d'âge.

Pour toutes les tranches comprises entre 18 et 60 ans, la "possibilité de voter FN" monte jusqu'à 40%. Mais elle redescend en-dessous de 30% pour les plus de 60 ans, tranche très représentée dans l'Aude, ce qui permet d'infléchir le chiffre global (35 %). Concernant les jeunes, les deux-tiers des titulaires de baccalauréats professionnels estiment "possible" un vote FN, tandis qu'ils sont seulement un tiers parmi les bacheliers des filières générales.

3 Par catégories socio-professionnelles.

L'intention ou la possibilité du vote Front National sont les plus fortes dans les catégories de la population qui se sentent les plus fragiles sur le plan économique. Parmi les ouvriers, la possibilité du bulletin FN atteint même les 50 %, notamment chez ceux qui ont voté François Hollande aux dernières présidentielles.

Chez les jeunes, ce sont les moins diplômés qui sont le plus tentés par le vote d'extrême-droite. Le PS, en revanche, garde la main chez les agriculteurs, chez les cadres salariés moyens et supérieurs, et plus globalement chez les personnes "à trajectoire sociale ascendante", souligné l'étude qui accompagne le sondage.

4 La répartition géographique.

L'intention de vote Front National est très forte sur le littoral audois (40%) ainsi que dans les zones autour des villes, le périurbain (34%). Le rural et les villes du département échappent à cette tendance et le vote FN y est plus limité sauf ... à Carcassonne. Selon ce sondage, en intentions de vote, le PS demeure premier, mais il est talonné par le FN, au détriment de l'UMP. "


Un événement dans une région classiquement ancrée à gauche... mais pas encore assez à mon goût....

ET HOP, UNE NOUVELLE TAXE EN PREVISION... MERCI L'EUROPE !

" Le projet de taxer les transactions financières dans 11 pays de la zone euro doit être revu et il risque de créer de l'instabilité financière, estime Christian Noyer, membre du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE).

Le projet de la Commission européenne constitue "un risque énorme en termes de réduction de la production là où la taxe s'appliquera, de hausse du coût du capital pour les Etats et les entreprises, de délocalisation importante des activités de trading et de baisse de la liquidité des marchés", explique le gouverneur de la Banque de France, dans un entretien publié dimanche par le Financial Times.
Pour lui, le projet de la CE doit être "entièrement revu".

Le ministre français des Finances Pierre Moscovici avait jugé en juillet excessive la proposition de la CE, estimant qu'elle risquait d'aboutir à l'effet inverse de ce qui était recherché.

Des experts juridiques de l'UE avaient dit en septembre que le projet de taxe Tobin était illégal car contraire au principe de la libre circulation des capitaux, ce qu'avait réfuté l'exécutif européen.

Christian Noyer explique par ailleurs que les banques centrales craignent un assèchement du marché des prises en pension du fait de cette initiative. "Cela veut dit que la diffusion de notre politique monétaire serait gravement entravée et le risque en termes de stabilité financière ne serait pas négligeable". "

samedi 26 octobre 2013

MISE A JOUR DES FAITS DIVERS DU 24/10/2013

24/10: Clermont (63) Course-poursuite et bagarre à coups de cutter
24/10: Lehna,12 ans, lynchée dans un collège de Noisy-le-Sec (93) 
24/10: Sorgues: une voleuse en série interpellée par la gendarmerie 
24/10: Une bagarre entre deux bandes paralyse le métro toulousain 
24/10: De Tessy (50) à La Chapelle-Urée (50) série de cambriolages 
24/10: Paris XIXeme: Un gang de proxénètes de Roumains interpellé
24/10: (92) Une agence immobilière poursuivie pour proxénétisme
24/10: Barbara.B/Samita.K: vol de carte bleue sur une retraitée (13)
24/10: Toulouse: des déménageurs arrêtent 2 ‘jeunes’ braqueurs 
24/10: Malemort-du-Comtat (84) Braquage d’un couple: 3 arrêtés 
24/10: Nazar Osmane Youssef tire sur ex-femme et se suicide (86) 
24/10: (19) Grandes manoeuvres pour interpeller 2 voleurs Roms 
24/10: Mantes (78) Une boulangerie vandalisée après un braquage 
24/10: (75) Interpellé avec 8 kg de hash dans le coffre sa voiture 
24/10: Savoie: Un faux prêtre Italien transportait 6kg de cocaïne 
24/10: Routes bloquées, coups de feu en l’air lors d’un mariage (25)
24/10: Fleury-Mérogis: Un pirate somalien agresse une gardienne

Toutes les sources sur l'excellent site : http://faitdiversfrance.wordpress.com/

SI VOUS CROYEZ QUE VOS ENFANTS SONT EN SECURITE A L'ECOLE....



" Lynchée par des élèves plus âgés dans la cour de son collège à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) il y a une semaine, Lehna, une élève de 6e, est encore sous le choc de son agression.

Ils appellent ça le "baptême des 6èmes". Il y a une semaine, Lehna, scolarisée au collège Jacques Prévert de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) a subi pendant la récréation du mercredi matin un lynchage en bonne et due forme, rapporte Le Parisien dans son édition du 24 octobre. 

Rouée de coups par des élèves de 5ème et de 4ème, la fillette de 12 ans a subi un traumatisme crânien et de multiples contusions au visage. L’œil rougi et le visage tuméfié, Lehna porte encore les stigmates de son agression une semaine après son bizutage. Elle raconte comment elle a cru qu'elle allait mourir.

Des agressions récurrentes

"Quelqu'un a fait une balayette à Clémence, elle est tombée sur les genoux et moi la tête en avant", se souvient la fillette au micro de RTL. "Je me suis ouvert la lèvre puis ils ont commencé à me frapper. Ils m'ont donné des coups de pied dans la tête, m'ont marché dessus, m'ont jeté leurs sacs et ont poussé tout le monde sur moi", ajoute-t-elle. "Quand je me suis réveillé, j'avais beaucoup de sang. Je croyais que c'était un rêve", raconte la fillette. "J'étais choquée, j'avais du sang partout, j'aurais pu mourir", lâche-t-elle.

Lehna ne "comprend pas" pourquoi ces élèves plus âgés se sont livrés à un tel accès de violence à son encontre. Mais elle assure que ce genre de comportement n'est pas nouveau. "La dernière fois, j'avais pris un coup de poing", indique-t-elle. "Quand il y a quelqu'un à terre, ils viennent tous et ils tapent", regrette-t-elle.

Aujourd'hui, elle assure qu'elle va "mieux", mais elle a "toujours peur d'aller à l'école". De son côté, la mère de Léna est révoltée. Elle met en cause l'inertie de la directrice du collège, qui selon elle, n'a même pas prévenu les pompiers. "

PEA, PEL, LE GOUVERNEMENT RECULE

" Le PEA, le PEL et l'épargne salariale ne seront finalement pas concernés par le relèvement des prélèvements sociaux sur les produits d'épargne.

Le ministre du Budget Bernard Cazeneuve a annoncé dimanche que le gouvernement allait extraire les plans d’épargne en actions (PEA), plans d’épargne-logement (PEL) et épargne salariale, de son projet d’aligner par le haut les prélèvement sociaux sur les produits d’épargne.
«Nous avons donc décidé d’amender le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour sortir les PEL, les PEA et l’épargne salariale de la mesure pour épargner les patrimoines moyens et modestes», a déclaré le ministre dans un entretien au Journal du dimanche (JDD) dont des extraits ont été mis en ligne sur le site du JDD samedi soir.

«Nous entendons donc les inquiétudes et nous voulons, en lien avec la majorité, y mettre un terme. La droite veut semer la peur. Nous, nous voulons l’apaisement et la clarté», a expliqué le ministre.

Les services de Matignon avaient annoncé samedi que des «améliorations» seraient apportées pour le PEL (plan d’épargne logement) et le CEL (compte épargne logement), alors que les députés ont déjà voté cette semaine une hausse des prélèvements sociaux à 15,5% sur certains produits d’épargne pour financer la Sécurité sociale.

Ces aménagements ont été décidés à des fins de justice, simplification, et stabilisation de la fiscalité de l’épargne «pour que les Français soient rassurés», a souligné M. Cazeneuve.

Ce revirement intervient après le tollé suscité par le relèvement des prélèvements sociaux, dévoilé il y a un mois lors de la présentation du budget de la Sécurité sociale pour 2014.

Des voix se sont élevées au sein même de la majorité gouvernementale pour critiquer le vote, en début de semaine, par l’Assemblée nationale, d’un alignement par le haut du taux des prélèvements sociaux. "


Si ils avaient entendu les inquiétudes qui perdurent depuis l'avènement de HOLLANDE, ils n'auraient même pas pensé à la proposer cette loi. Ils ont surtout peur des prochaines élections qui s'annoncent catastrophiques pour le PS. Par contre, pour ceux qui ont des assurances vies, il va falloir casquer quand même ! Je serai curieux de savoir ce qu'ils vont nous pondre en 2015... Vive la pause fiscale !!!!!!

TAUBIRA : ELLE EST AUTANT AIME DES FRANCAIS QU'ELLE AIME LA FRANCE

" Taubira "guenon": les anti-mariage gay déraillent à Angers. Ils continuent de se mobiliser... quitte à déraper sévèrement. Des anti-mariage ont "accueilli" Christiane Taubira à Angers, vendredi, pour lui crier leur mécontentement, rapporte le site AngersMag.info. Mais la protestation a vite tourné à l'injure: les mots qui ont volé devant le Palais de Justice, où se rendait la ministre, ont de quoi interpeller. 

"Taubira casse-toi, Taubira dégage, Taubira tu sens mauvais, tes jours sont comptés", se sont ainsi écriés des enfants, selon le site. Et ce "sans vraiment comprendre la portée de leurs mots dans des mégaphones presque aussi gros qu'eux, sous le regard amusé de parents fiers de leurs progénitures", grince l'auteur de l'article. 

Cette adolescente de 12 ans avait-elle, elle, conscience de la portée de ses mots quand elle a lancé: "Une banane pour la guenon", moins d'une semaine après la suspension d'une candidate du Front National aux municipales qui avait comparé Christiane Taubira à un singe ? "


Beaucoup de foin pour pas grand chose si l'on considère qu'une seule enfant a prononcé une parole choquante ! Du coup, la manipulation journalistique gauchiste en profite pour généraliser et fait endosser ce propos à tous les manifestants anti-mariage gay. C'est d'une bassesse !

Je suis même étonné que l'enfant ne soit pas déjà gazée et en prison ! D'ailleurs il semble que les journalistes soient plus choqués par ce propos que ceux de TAUBIRA et sa loi contre la récidive. Et puis, si la mère TAUBIRA est sifflée et huée et même insultée, elle y est pour quelque chose... Quand on va à l'encontre de l'avis de la majorité des Français on s'expose forcément à ce genre de déclaration.


ECOTAXE : DECLANCHEUSE D'UNE NOUVELLE REVOLUTION ?

" Plusieurs centaines de manifestants venus à l'appel du Collectif pour l'emploi en Bretagne affrontaient quelque 150 membres des forces de l'ordre samedi en début d'après-midi aux pieds d'un portique écotaxe à Pont-de-Buis dans le Finistère, a constaté un photographe de l'AFP. Selon Thierry Merret, de la FDSEA, cité par France3 Bretagne, il y aurait trois blessés parmi les manifestants. Un homme a eu la main arrachée lors des scènes qui s'apparentent à de la guérilla autour du portique toujours protégé par les gendarmes mobiles, avec des jets de projectiles d'un côté et des répliques à la bombe lacrymogène de l'autre. La préfecture du Finistère parle, pour sa part, de deux blessés du côté des manifestants sans donner plus de détails.

Sur la RN165 bloquée à la circulation entre Brest et Quimper depuis le début de la matinée, les manifestants, dont certains cagoulés, ont lancé des projectiles vers les forces de l'ordre qui gardaient le dernier portique écotaxe encore debout dans le département, ces dernières répliquant avec des grenades lacrymogènes.

La scène a rapidement été noyée dans la fumée des pneus en feu lancés par les manifestants et celle des fumigènes, tandis que des engins agricoles se dirigeaient vers le barrage des forces de l'ordre, arrachant les traverses de la voie express.

Les manifestants étaient arrivés dans la matinée avec une centaine de camions, des engins agricoles et des remorques de choux-fleurs, de pneus et de bottes de paille. Il ont enfilé des bonnets rouges, distribués par les organisateurs, symboles de la révolution antifiscale en Bretagne au XVIIe siècle, sous l'Ancien Régime. Les manifestants avaient pour certains recouvert leurs plaques minéralogiques d'autocollants reproduisant la plaque de la voiture présidentielle (Ds5) de François Hollande, CB-455-VH, mais avec le numéro du département du Finistère, le 29, selon des organisateurs.

Deux autres portiques ont déjà été endommagés dans le Finistère par des manifestants qui s'opposent à l'entrée en vigueur de l'écotaxe sur les poids lourds au 1er janvier prochain. Par ailleurs, dans le Morbihan, les transporteurs et la FDSEA ont mené aussi samedi une opération barrage filtrant sur la RN24 au niveau du portique de Saint-Allouestre. Cette opération réunissant une centaine de personnes a pris fin, sans incident, à 13h00, selon la gendarmerie. "


Jusqu'où ira la patience des Français ?!

CARCASSONNE : TRIDOME CAMBRIOLE

" Des cambrioleurs ont pénétré à coups de hache dans la nuit de jeudi à vendredi dans le magasin de l'enseigne Tridôme, et sont repartis avec un butin évalué à plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Plusieurs éléments pour le moins troublants laissent supposer que le cambriolage perpétré au magasin Tridôme, dans la nuit de jeudi à vendredi, est l’œuvre de professionnels. Le premier d’entre eux réside dans le fait qu’ils se sont “payé le luxe” de... se restaurer sur place ! Les auteurs des faits ont forcé le bardage de l’entrée latérale de la grande surface, vers 23 h, à coups de hache, apparemment. Une fois à l’intérieur, après avoir neutralisé le système d’alarme, ils ont fracturé un distributeur de boissons et de friandises.

Main basse sur les quinze caisses du magasin et sur le coffre-fort

Ensuite, ils ont fait main basse sur le fonds des quinze caisses du magasin, contenant 200 € chacune, selon nos informations. Ils ont fini leur œuvre en forçant le coffre-fort, à l’aide d’une disqueuse sans doute. Avant de prendre la poudre d’escampette, sur les coups de 2 h du matin, les bras chargés de divers matériels de bricolage.

Montant du préjudice élevé

Le PDG de Tridôme, Jean-Claude Albert, s’est rendu sur place, hier après-midi, alors que les enquêteurs commençaient leur travail d’investigation, espérant relever des traces d’ADN. On ne connaît pas exactement le montant du préjudice. Mais on peut d’ores et déjà l’évaluer à plusieurs dizaines de milliers d’euros, tout confondu. Le magasin a ouvert ses portes normalement, vendredi. Et les ouvrira ce samedi encore. "

PROCES : LES MECHANTS POLICIERS ONT VIOLENTE LA GENTILLE MUSULMANE

" En juillet 2012 à Marseille, Louise-Marie Suisse, entièrement voilée sur la voie publique, avait été contrôlée par deux gardiens de la paix. Elle avait refusé d'obtempérer en affirmant qu'elle ne respectait pas les lois de la République, ni leur autorité. Avant de mordre une policière.

La cour d'appel d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) a confirmé vendredi la condamnation à six mois de prison, dont quatre avec sursis, d'une jeune femme intégralement voilée, qui avait mordu une policière lors d'un contrôle d'identité à Marseille fin juillet 2012.

Louise-Marie Suisse, 19 ans, s'est présentée à l'audience vêtue d'un niqab noir et gantée, mais le visage découvert. "C'est de l'injustice, les musulmans sont opprimés en France, la loi sur le niqab est liberticide", a réagi la prévenue, accompagnée de deux amies pareillement vêtues. La jeune femme avait été reconnue coupable, le 20 septembre 2012 par le tribunal correctionnel de Marseille, de "violence en réunion sur personne dépositaire de l'autorité publique".

Dans la nuit du 25 au 26 juillet 2012, alors qu'elle se trouvait à proximité d'une mosquée dans le centre de Marseille, Melle Suisse, entièrement voilée sur la voie publique, avait été contrôlée par deux gardiens de la paix dans le cadre de la législation interdisant le port du voile intégral. Elle avait refusé d'obtempérer en affirmant aux policiers qu'elle ne respectait pas les lois de la République, ni leur autorité.

"Enlève ta merde, on va t'amener au poste"

L'intervention d'un premier homme, puis un attroupement sur les lieux, avaient provoqué une émeute au cours de laquelle une fonctionnaire de la Bac, arrivée en renfort, avait été mordue par la prévenue. Deux autres prévenus avaient été condamnés, l'un à six mois avec sursis et l'autre, pour qui les faits de violences volontaires avaient été requalifiés en complicité, à deux mois de prison ferme. Ce dernier a été relaxé vendredi par la cour d'appel.

En première instance, la jeune femme avait affirmé que les policiers l'avaient "agressée". "Ils m'ont dit, enlève ta merde, on va t'amener au poste", avait-elle raconté. A la présidente du tribunal qui lui demandait pourquoi elle n'avait pas obtempéré au contrôle, elle avait répondu qu'elle "avait laissé son sac avec ses papiers dans la voiture" de l'un des autres prévenus.

Interrogée sur la morsure infligée à la policière, elle avait dit avoir été "en panique" : "Ils m'ont mise par terre, m'ont violentée, ils m'ont mis la main sur la bouche. (...) Je ne pouvais plus respirer, alors oui, je l'ai mordue", avait expliqué Louise-Marie Suisse, mère d'un garçonnet.

Vendredi, elle a assuré que son fils avait été "gazé" lors de l'intervention des policiers. "Il est parti à l'hopital, j'ai tous les certificats mais les preuves ont été étouffées et ça n'a pas été pris en compte dans le jugement." "

LES ECOLOGISTES : Il Y EN A MARRE !

" Une majorité de Français (56%) estime que les écologistes devraient quitter le gouvernement et 9 sur 10 considèrent qu'ils ont tort d'apporter leur soutien au mouvement lycéen pour le retour de Leonarda en France, selon un sondage BVA Opinion pour CQFD i-TELE.

Dans cette étude, 56% des personnes interrogées (+11 points par rapport à l'enquête du mois de septembre) estiment que les écologistes "devraient quitter le gouvernement puisqu'ils ont des désaccords importants". 42% (-8) considèrent au contraire qu'ils "peuvent très bien rester dans le gouvernement sans être d'accord sur tout". 2% ne se prononcent pas.

66% des sympathisants de gauche sont favorables à leur maintien au gouvernement, quand 71% des sympathisants de droite pensent le contraire.

A la question "pensez-vous que Europe Ecologie-Les Verts a raison ou tort de soutenir le mouvement lycéen en faveur du retour de Leonarda et sa famille en France", 90% des sondés répondent qu'ils ont tort, 8% qu'ils ont raison et 2% sont sans opinion.

79% des sympathisants de gauche pensent qu'ils ont tort (91% chez les sympathisants du PS, 67% chez les sympathisants de EELV). 98% des sympathisants de droite pensent qu'ils ont tort.
Enquête réalisée les 24 et 25 octobre auprès d'un échantillon de 1.050 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Ces personnes ont été recrutées par téléphone et interrogées par internet.

La marge d'erreur pour cet échantillon va de 1,4 à 3,1. "

LA " PAJE " DIVISEE PAR DEUX ET C'EST PAS TOUT

" Les députés ont adopté vendredi des dispositions recentrant certaines prestations familiales sur les familles les plus modestes, au grand dam de la droite et du Front de gauche.

Ces mesures du projet de budget de la Sécu pour 2014 avaient été annoncées en juin par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault.

Le montant de l'allocation de base de la Paje (prestation d'accueil du jeune enfant) sera divisé par deux pour les familles ayant des ressources dépassant un certain seuil. Cette modulation s'appliquera aux enfants nés à partir du 1er avril 2014. La mesure devrait générer des économies de 40 millions d'euros en 2014 et 600 millions en 2016.

Le montant du complément de libre choix d'activité (CLCA), qui aide les parents réduisant ou cessant leur activité professionnelle pour s'occuper de leur enfant, sera uniformisé pour tous les allocataires, quel que soit le niveau de leurs ressources. L'économie attendue s'élève à 30 millions d'euros en 2014.

Le complément familial sera majoré de 50% en plus de l'inflation pour les familles nombreuses vivant sous le seuil de pauvreté à l'horizon 2018. Cette mesure, qui doit toucher quelque 400.000 familles à partir du 1er avril 2014, aura un coût de 63 millions d'euros en 2014 et de 380 millions à partir de 2018.

L'UMP a reproché à la majorité de "continuer à s'attaquer à la famille" en réduisant certaines prestations, l'UDI évoquant même "un coup de poignard dans le pacte républicain qui existe depuis la guerre".
Le Front de gauche a déploré pour sa part que "les prestations familiales deviennent la variable d'ajustement de la branche famille" de la Sécurité sociale, alors qu'il serait possible, selon ce groupe, de mettre à contribution les revenus du capital pour les financer.

La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a trouvé "étonnant" de la part de la droite de "vouloir laisser le déficit se creuser", et fait valoir les actions du gouvernement en faveur des familles, comme le développement des places d'accueil pour les jeunes enfants et la pré-scolarisation des 2-3 ans. "


Bon courage aux parents !

72 % DES FRANCAIS POUR UNE REFORME DU DROIT DU SOL

" Sept Français sur dix (72%) sont pour une réforme du droit du sol, mais ils voient aussi une manoeuvre électoraliste de Copé dans sa proposition selon un sondage BVA publié samedi par Le Parisien/Aujourd'hui en France.

A la question "pensez-vous qu'il faut réformer les règles de l'immigration pour mettre fin à l'acquisition automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers?" 72% des personnes interrogées répondent "oui".

Ils sont 90% parmi les sympathisants de droite, et 46% parmi les sympathisants de gauche.
28% des personnes interrogées refusent le changement, 53% des sympathisants de gauche et 10% des sympathisants de droite.

76% des personnes interrogées estiment également que l'objectif poursuivi par Jean-François Copé en annonçant qu'il déposerait un projet de loi en ce sens au début de l'année prochaine, est de "mobiliser les électeurs en vue des élections" de 2014.

Ils ne sont que 23% à penser que le patron de l'UMP souhaite "parler d'un sujet qui préoccupe les Français".
(Sondage BVA réalisé pour Le Parisien/Aujourd'hui en France et i-télé les 24 et 25 octobre auprès d'un échantillon représentatif de 1.050 personnes âgées de 18 ans et plus, recrutées par téléphone et interrogés par int. "


Ca fait plaisir de voir que personne n'est dupe devant la manipulation électorale de COPE !

CANNABIS : UNE LEGALISATION QUI ABOUTIRA A UNE CATASTROPHE

" Je suis sûr que vous avez entendu les interventions de politiques, d'artistes ou de journalistes connus qui aimeraient bien vous faire croire que tout irait mieux si on légalisait le cannabis. Il existe différents groupes avec des messages légèrement différents. Certains veulent légaliser le cannabis uniquement pour des raisons médicales, certains veulent le légaliser uniquement pour les adultes, d'autres veulent le légaliser pour tout le monde. Souvent, ils diffusent leur message ensemble, et par pure idéologie, il semble que la majorité des médias les soutienne. Heureusement, le commun des mortels entend souvent ces messages mais n'est pas dupe. Selon un sondage Ifop de juin 2012, 70% des Français restent opposés à la dépénalisation des drogues comme le cannabis.

Ci-après une liste de quelques affirmations les plus fréquentes diffusées par ces groupes.

1. Ils disent qu'ils veulent légaliser le cannabis et le réglementer comme l'alcool et le tabac.

2. Ils disent que cela permettra de prélever de nouveaux impôts et qu'ils emploieront tout l'argent de ces impôts pour la prévention et le soin.

3. Ils disent qu'ils contrôleront la pureté du cannabis vendu dans des magasins légaux.

4. Ils disent que la légalisation permettra de se débarrasser des dealers.

5. Ils affirment que la légalisation éliminerait la production illégale de cannabis.

6. Ils disent que moins de jeunes en consommeraient s'il était légal.

7. Ils disent que la légalisation créerait des emplois.

8. Ils disent que l'alcool et le tabac sont légaux, pourquoi pas le cannabis.

9. Ils disent que les lois sont plus dangereuses que l'utilisation du cannabis.

Ces affirmations vous semblent-elles raisonnables ? Est ce que cela aurait un effet ? Comment pouvons-nous le savoir ? Nous apprenons à nos enfants qu'il est important de prendre le temps d'examiner les conséquences possibles de nos actions avant de prendre la décision d'entreprendre quelque chose. Alors, avant de décider de changer les lois relatives au cannabis, nous devrions prendre en considération toutes les conséquences potentielles d'un tel changement. Pour vous aider dans ce processus, j'ai énuméré quelques questions pour chacune de ces affirmations, qui, je pense doivent être abordées.

Tout d'abord, vous pouvez commencer par poser une question très simple. Demandez-leur de vous expliquer comment ils comptent s'y prendre pour faire en sorte que les jeunes arrêtent de boire de l'alcool et/ou de fumer du tabac. Les deux ont été légalisés et régulés depuis de nombreuses années, cependant ils sont consommés par plus de jeunes que les drogues illégales et continuent à causer plus de décès et autres coûts à la société que toutes les drogues illégales réunies. Vous découvrirez vite qu'ils sont loin d'avoir toutes les réponses. Ils sont très inspirés sur les opinions, mais sont à court d'idées sur les faits qui peuvent les corroborer.

Aux Etats-Unis, un neuropsychiatre réputé pour enfants et adolescents, s'attaque à ce problème par la formulation suivante : « Les propriétés toxiques des molécules chimiques et les dommages cellulaires ne relèvent pas de l'opinion ou du débat. Ils ne sont pas déterminés par les lobbys, les travailleurs sociaux pour adolescents, par les avocats qui ne sont pas scientifiquement instruits, par le législateur, par les juges ou les médecins qui n'ont pas connaissance des faits. On ne peut pas voter pour ou contre la " toxicité " d'une drogue. Le degré avec lequel une drogue altère la structure cellulaire n'est pas un sujet qui peut-être contrôlé par les parlementaires, ou les ministères. Chacun est autorisé à avoir ses propres " opinions ". Mais chacun ne peut avoir ses propres " faits ". Chimiquement, le cannabis est une drogue bien plus dangereuse que ce que la plupart des journalistes, ignorants en matière de science, et les consommateurs croient. »

1. Lorsqu'ils vous diront qu'ils veulent légaliser le cannabis et le réglementer comme l'alcool et le tabac, demandez leur :

• Sera t-il légal pour tout le monde ?

• Pour qui ne sera t-il pas légal ?

• Quelles lois ferez-vous concernant ceux qui ne pourront pas l'acheter légalement ?

• Dans quel lieu autoriserez-vous la vente du cannabis légal ?

• Quelles lois ferez-vous afin de contrôler où et comment il est vendu ?

• Comment pourrez-vous appliquer ces nouvelles lois ?

• Comment vos nouvelles lois concernant la vente de cannabis légal seront différentes de la législation en vigueur concernant la vente d'alcool et de tabac ?

• Pensez-vous vraiment que les lois actuelles concernant l'alcool et le tabac sont efficaces pour éliminer les préjudices associés à la consommation de ces deux substances ?

• Pourquoi cela serait-il différent avec le cannabis ?

• D'où proviendra le cannabis vendu dans vos points de vente légaux ?

• Quelles lois mettrez-vous en place pour les fournisseurs légaux ?

• Comment pourrez-vous appliquer ces nouvelles lois ?

• Les gens seront-ils autorisés à cultiver leur propre Cannabis ?

• Les gens seront-ils autorisés à le faire pour des amis?

2. Lorsqu'ils vous diront que cela permettra de prélever de nouvelles taxes et qu'ils emploieront tout l'argent de ces taxes pour la prévention et le soin, demandez-leur :

• Si vous ajoutez une nouvelle taxe sur le cannabis, comment ferez-vous pour le vendre moins cher que les dealers ?

• Et si les dealers le vendent moins cher, pourquoi les consommateurs iraient-ils l'acheter dans vos points de vente légaux ?

• Si vous essayez de le vendre moins cher que les dealers, quel sera le montant des taxes collectées par l'Etat ?

• Souhaitez-vous collecter suffisamment de taxes pour compenser les coûts sociaux et économiques (santé, traitement, prévention, application de nouvelles lois, l'administration, etc.) qu'entraîneront la hausse marquée de l’usage et de l’abus du cannabis ?

• Comment ferez-vous pour que cela soit différent de ce qui se passe maintenant avec l'alcool et le tabac ? Les taxes générées par l’alcool et le tabac sont loin de couvrir les dépenses de santé et moins encore le coût humain.

- C’est faire preuve de naïveté que de croire que la situation sera différente dans le cas du cannabis.

3. Lorsqu'ils vous diront qu'ils contrôleront la pureté du cannabis vendu dans les magasins légaux, demandez-leur :

• Quel taux de THC autoriserez-vous pour le cannabis en vente libre ?

• Quelles informations utiliserez-vous pour déterminer quel devra être le taux légal de THC ?

• Quelles lois mettrez-vous en place pour contrôler le niveau de pureté du cannabis ?

• Comment pourrez-vous appliquer ces nouvelles lois ?

• Que se passera t-il si un consommateur veut un taux de THC plus important que celui vendu dans vos points de vente légaux ?

- Au vu de leurs réponses, vous comprendrez vite que rien n'empêchera le consommateur de se fournir chez son dealer habituel.

4. Lorsqu'ils vous diront que la légalisation permettra de se débarrasser des dealers, demandez- leur:

• Rendez-vous légale la vente de cannabis par les Dealers ?

• Pourquoi les dealers arrêteraient-ils d'en vendre  

• Comment ferez-vous cesser ce trafic (en quoi cela sera t-il différent d'aujourd'hui) ?

• Les dealers auront-il le droit de cultiver du cannabis ?

• Que ferez-vous pour les empêcher d'en cultiver ?

• Quand vous dites que la prohibition de l'alcool a échoué aux Etats-Unis, qu'est-ce qui a échoué ?

- Est-ce que le crime organisé est parti lorsque l'alcool a été légalisé ? Non seulement la mafia ne s’est pas écroulée, après la levée de l’interdiction en 1933, mais au contraire, elle a agrandi ses réseaux. De plus la consommation d’alcool, qui avait fortement baissé pendant la prohibition, a repris considérablement, ce qui a provoqué une augmentation des problèmes de santé.

•    En quoi cela serait-il différent si vous légalisez le Cannabis ?

- Dans le monde entier, il y a maintenant plus de groupes criminels organisés et ils gagnent encore beaucoup d'argent dans la vente de l'alcool ainsi que dans celle de nombreux autres produits légaux comme le tabac, les armes, les biens volés, le vol de pièces d'identité, la fausse monnaie, la contrefaçon, etc.

• Que ferez-vous pour les autres drogues que les dealers vendent (héroïne, cocaïne, ecstasy, méthamphétamine etc.) ? Voulez-vous également les légaliser ? "