mardi 26 novembre 2013

QUALIFICATION DE LA FRANCE ET DE L'ALGERIE : TOUT S'EST BIEN PASSE... OU PRESQUE !


14 minutes de violences urbaines. Black-out total du côté du gouvernement ! On peut aussi faire un petit jeu : comptez le nombre de drapeaux Français ! ( A visionner avant censure ! )

CENTRAFRIQUE : HOLLANDE S'EN VA JOUER LA VIE DE SOLDATS POUR RIEN

" La RCA n’a jamais réellement eu d’Etat depuis son accession à l’indépendance il y a un demi-siècle. La France n’a pas aidé, orchestrant les coups d’Etat comme les couronnements d’empereurs, pour protéger des bases militaires dans un pays considéré comme un « porte avions » au centre de l’Afrique.

Cela a-t-il changé ? Il y a un an, le président centrafricain d’alors, François Bozize, arrivé au pouvoir par les armes, appelait la France au secours face à l’avance de la rébellion Seleka. François Hollande faisait la sourde oreille et les troupes françaises présentes à Bangui assistaient passivement à la victoire des rebelles et au pillage de la capitale, Bangui, quelques mois plus tard.

Un an après, la France s’apprête à intervenir, non pas pour soutenir un régime inexistant, mais pour stopper cette descente aux enfers, avant le renforcement espéré de la force africaine et onusienne. Elle va le faire de surcroît après le vote d’une résolution de l’ONU attendu dans les prochains jours (un feu vert dont elle était prête à se passer en Syrie, mais c’est un autre débat...).

Cette opération est à portée limitée – un millier d’hommes, six mois –, mais le pari français est hasardeux. Il part du principe que l’apparition de ces soldats européens calmera le jeu dans ce qui apparaît plus comme des exactions de soudards incontrôlés que comme une véritable guerre. Cela reste à prouver...

Quant à la durée de l’opération, il faudrait un miracle pour que dans les six mois, les forces africaines soient prêts à prendre le relais et assurer à la Centrafrique la stabilité qui lui manque pour tenter de bâtir -enfin- un Etat digne de ce nom. "


En clair, une intervention qui va coûter beaucoup ( préparons-nous à une belle augmentation d'impôts ) et qui rapportera que dalle à part des ennuis... Mais bon, pour redorer son blason auprès de son principal électorat, tout est bon !

L'UMP SE LANCE DANS LES COUPS FOURRES

" Le Front national a affirmé mardi détenir deux "preuves", un message Facebook et un courriel, "d'un coup fourré de l'UMP" dans l'affaire d'un militant de la Somme parti au FN et qui a fait machine arrière.
""L'affaire" de Gamaches était donc bien une manipulation de l'UMP, c'est à présent avéré", un message d'Arnaud Cléré au secrétaire départemental du FN 62, Laurent Brice, le "prouve", affirme Steeve Briois, secrétaire général du FN dans un communiqué.

M. Cléré avait été exclu de l'UMP en mai pour avoir noué une alliance avec le FN en vue des municipales à Gamaches.

Dans ce message envoyé sur Facebook, que le FN reproduit par une capture d'écran dans son communiqué, M. Cléré écrit "Cher Laurent, Bravo pour l'organisation de la réunion de ce dimanche. Très heureux d'y avoir participé. Amitiés. Arnaud Cléré".

Le message aurait été envoyé, selon le FN, le 13 octobre, après la réunion dans laquelle M. Cléré avait déclaré avoir vu "deux personnes (...) tatouées avec des croix nazies sur leur bras".

La présidente du FN Marine Le Pen a fait parvenir à l'AFP une autre "preuve" : la copie d'un second message, cette fois en date du 12 novembre et qui aurait été envoyé par M. Cléré à Michel Guiniot, secrétaire départemental du FN 60.

Dans ce courriel, M. Cléré écrit notamment : "On aimerait vous voir sur Gamaches beaucoup de mes colistiers souhaiteraient vous rencontrer et je pense que cela donnerait un bon coup de pouce à notre campagne".

"L'indignation soudaine de Cléré est donc clairement le produit d'un téléguidage de l'UMP", affirme , dans un communiqué, M. Briois, qui dénonce "une stratégie barbouzarde des dirigeants de l'UMP, prêts à toutes les magouilles et les manipulations pour enrayer notre ascension".

Il demande "à tous les médias (...) de respecter les règles déontologiques en évitant de se faire spontanément les petits télégraphistes des magouilles électoralistes de l'UMP ou du PS".
Le FN a annoncé avoir "engagé des poursuites pour diffamation contre M. Cléré". "

LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME VA STATUER SUR LE PORT DU VOILE EN FRANCE

" La question hautement symbolique de l'interdiction du voile islamique intégral dans les lieux publics en France sera débattue mercredi à la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), saisie par une porteuse du niqab de 23 ans. 

Cette jeune Française, qui souhaite garder l'anonymat et n'a divulgué que ses initiales, S.A.S., conteste l'interdiction qui stipule que "nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage".  

La loi, votée fin 2010, prévoit pour les contrevenants une amende maximale de 150 euros et/ou un stage de citoyenneté. La jeune femme considère qu'elle viole ses droits fondamentaux. Sa requête a été déposée à la cour européenne le jour même de l'entrée en vigueur du texte, le 11 avril 2011.  

La discrète S.A.S. ne fera pas elle-même le déplacement pour cette audience, ont fait savoir ses avocats. Elle est représentée devant la Cour de Strasbourg par un cabinet de Birmingham (Royaume-Uni) spécialisé dans les affaires d'immigration et de droits de l'homme. "Nous espérons surtout faire admettre le caractère discriminatoire de cette loi française", a indiqué l'un d'eux, Me Sanjeev Sharma.  

Prête à se découvrir en cas de contrôle
Musulmane pratiquante, S.A.S. dit porter la burqa et le niqab, ce voile porté sur le visage qui ne laisse voir que ses yeux, "pour être en accord avec sa foi, sa culture et ses convictions personnelles", selon les arguments écrits qu'elle a fournis à la CEDH. Elle y souligne que ni son mari ni aucun autre membre de sa famille ne font pression sur elle pour cela.  

S.A.S précise porter le niqab "en public comme en privé, mais pas de façon systématique". Elle accepte de ne pas le porter tout le temps dans l'espace public, mais "souhaite pouvoir le faire quand tel est son choix, en particulier lorsque son humeur spirituelle le lui dicte".  

Son objectif n'est "pas de créer un désagrément pour autrui mais d'être en accord avec elle-même", résume-t-elle.  

Elle se dit d'accord pour montrer son visage lorsqu'elle se trouve en situation de subir un contrôle, quand elle se rend dans une banque ou prend l'avion. Ses avocats ont décidé de s'appuyer sur de nombreux articles de la Convention européenne des droits de l'homme, que la CEDH est chargée de faire respecter. 

Outre la discrimination, ils mettent aussi en avant la liberté de pensée, de conscience et de religion, l'interdiction des traitements dégradants, le respect de la vie privée et familiale, la liberté d'expression, ou encore la liberté de réunion et d'association.

Les autorités françaises entendent plaider pour leur part un rejet pur et simple de la requête de Mme S.A.S.. Dans leur argumentaire écrit fourni à la Cour, leurs représentants relèvent que deux autres dossiers sur le même thème, déjà rejetés par la CEDH, avaient été préparés "par le même cabinet d'avocats, sur le même modèle".  

Une question très controversée
Ils se félicitent que "la moitié des 2.000 femmmes se couvrant d'un voile intégral ont décidé de l'ôter avant l'entrée en vigueur de la loi". L'interdiction du voile intégral fait débat au sein même du Conseil de l'Europe, dont la CEDH est le bras juridique.  

En 2010, au moment de son examen au parlement à Paris, le Commissaire aux droits de l'homme de l'organisation paneuropéenne, le diplomate suédois Thomas Hammarberg, avait publié une tribune remarquée. "L'interdiction de la burqa et du niqab ne libèrerait pas les femmes opprimées mais pourrait, au contraire, aggraver leur exclusion dans les sociétés européennes", estimait-il. Plusieurs ONG, dont Amnesty International, ont pris le parti de S.A.S. dans cette procédure.  

La législation française en question avait été initiée par un parlementaire communiste, puis reprise par la majorité de droite de l'ex-président Nicolas Sarkozy.  

Dans son argumentaire, le gouvernement français actuel à majorité socialiste souligne les "objectifs légitimes qu'elle poursuit, outre la sécurité publique". Et il dénonce "le caractère intrinsèquement discriminatoire au détriment des femmmes de la pratique du voile intégral".  

Les juges européens devraient rendre leur arrêt début 2014. "


Affaire à suivre...

NANCY : UN CLIENT DE BAR AGRESSE UN ETUDIANT AU CRIE DE " ALLAH "

" Nancy. La soirée anniversaire programmée par une dizaine d’étudiants, vendredi dernier, au bar « Les artistes café », rue Stanislas à Nancy, a viré au cauchemar. Vers 22 h 30, alors que la dizaine d’étudiants s’était confortablement installée au 1er étage de l’établissement, un client a surgi et a craché au visage d’un étudiant de 22 ans. Sans raison apparente. Le jeune homme s’est levé en demandant des explications.

Mais le cracheur se muait en agresseur pour se ruer sur l’étudiant et de le passer à tabac. En criant à plusieurs reprises « Allah », selon des témoins effrayés par la violence subite de cet homme âgé d’une trentaine d’années. Armé d’un tesson de bouteille, l’agresseur aurait pu aller beaucoup plus loin dans ce déchaînement de violences sans l’intervention de trois clients du bar qui parvenaient à le maîtriser. Avant que l’homme ne prenne la fuite.

La victime a été prise en charge par les pompiers et transportée vers les urgences de l’hôpital central. Diagnostic : quelques hématomes et un nez cassé. Le groupe qui, a priori n’avait rien demandé à personne, a été invité à quitter l’établissement. La victime va déposer plainte à l’hôtel de police pour violences volontaires. "