jeudi 21 novembre 2013

FOOT : ARRESTATIONS SUITE A LA VICTOIRE DE L'ALGERIE ( PARIS, MARSEILLE, AVIGNON, BESANCON )

" Dans la capitale et en régions, plusieurs interpellations ont été opérées dans la nuit de mardi à mercredi à la suite de la qualification des équipes de France et d'Algérie de football pour le prochain Mondial, au Brésil. 

A Paris, quatorze personnes ont été placées en garde à vue, notamment pour jets de projectiles et violences volontaires. Certaines sont soupçonnées de dégradations volontaires, l'une pour un vol de portable et une autre pour port d'arme prohibé. Une quinzaine d'autres personnes ont été interpellées pour des contrôles d'identité uniquement.

Des centaines de supporters des équipes de France et d'Algérie s'étaient rassemblés mardi soir, fous de joie, sur les Champs-Elysées et dans le quartier de Barbès (Paris XVIIIe), sitôt acquise la qualification de leur pays. Hormis les quatorze arrestations, «ça s'est très bien passé», s'est-on félicité de source policière. «L'ambiance a été plutôt calme et festive» et «il n'y a eu qu'une vitre étoilée et une vitre brisée». Un nombre important de forces de police, en tenue et en civil, était déployé dans les deux quartiers.

A Marseille (Bouches-du-Rhône), six personnes ont été placées en garde à vue après la dégradation de quelques chalets du marché de Noël. A la fin du match de l'Algérie, quelque 2 000 supporteurs s'étaient rassemblés sur le Vieux-Port pour fêter la qualification. Un groupe d'individus s'en est alors pris aux forces de l'ordre. Trois policiers ont été légèrement blessés.

A Avignon (Vaucluse), 200 personnes s'étaient rassemblées à proximité des remparts et de la rue de la République pour fêter la victoire de l'Algérie. Des échauffourées ont éclaté avec les forces de l'ordre après qu'un groupe de jeunes a caillassé les policiers. Deux policiers ont été légèrement blessés. Une enquête a été ouverte pour en authentifier les auteurs.

A Besançon (Doubs), des gendarmes ont été pris à partie par des supporteurs de l'Algérie. Trois gendarmes à bord d'une voiture dans le quartier sensible de Planoise ont été stoppés peu avant 22 heures à un feu rouge par une trentaine de jeunes brandissant des drapeaux algériens. Ils ont aussi été bloqués par d'autres véhicules. Les supporteurs ont recouvert le véhicule avec les drapeaux, avant de donner des coups de pieds dans la carrosserie et d'arracher un essuie-glace et le pare-choc arrière. Un individu a lancé une pierre sur une vitre latérale arrière qui s'est brisée sous le choc. Une femme gendarme a été blessée à l'oeil gauche par les débris de verre. Les supporteurs se sont dispersés avant l'arrivée de la police ; la gendarmerie a l'intention de déposer plainte. "


Il semblerait que notre Seigneur et Maître ait oublié de nous préciser ces petits écarts de conduite...

FOOT : LE DRAPEAU ALGERIEN FLOTTE SUR LA PLACE DU CAPITOLE A TOULOUSE


" Les Algériens de France ont aussi fêté la victoire des Fennecs à leur manière.
Le drapeau français hissé sur le fronton d’une mairie à Toulouse (Sud Ouest France) a été remplacé, mardi, soir par l’emblème de l’Algérie par des supporteurs algériens qui défilaient pour fêter la victoire de la sélection nationale face au Burkina Faso qui leur a permis de se qualifier pour le mondial du Brésil.
Ainsi le drapeau algérien a été hissé sur la façade de la mairie de Toulouse sous les cris de “one two three viva l’Algérie” et d’applaudissements d’une foule de supporteurs fêtant le billet qualificatif au prochain mondial de l’équipe nationale algérienne. "


L'exemple même d'une intégration réussie...

L'ANTIRACISME OUTIL DE DOMINATION

" L’antiracisme est un cache-sexe : celui d’une France officielle qui n’a d’autres moyens pour cacher ses reniements que le rideau de fumée. Entendons-nous bien : dénoncer  le dogme de l’antiracisme, ce n’est pas – à quelque degré que ce soit – vouloir habiliter le racisme, qui restera toujours une aberration. Mais sortir du manichéisme, c’est si compliqué pour un socialiste…

La « semaine de la haine » est terminée. Le déferlement s’est tari… jusqu’aux prochains mots d’ordre. Toujours la mê­me « ferveur mimétique de no­tre presse pluraliste. On rivalise dans la colère grave » (Elisabeth Lévy, Les Maîtres censeurs). D’autant que je mettrais ma banane à couper (enfin, façon de parler…) que pas un de ces gueulards n’a lu l’article de « Minute ». Tous ont suivi la meute des cris et des lamenta­tions, qui s’auto-alimente de son pro­pre bruit. « Mimétisme médiatique et hyperémotion », résume Ignacio Ramonet.

Quelle rigolade pourtant ! Car cet­te gamine, avec sa peau de banane à Angers, méritait une bonne fessée et peut-être ses parents aussi. Pas ce brouhaha de cœur de vierges effarouchées toujours prompt à rejouer l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Parce que, franchement, qui croit vraiment à une « résurgence » du racisme ? De l’antisémitisme, oui, mais de façon circonstanciée, et à cause de certaines franges radicales de l’islam. Mais sinon ?

Le « transcendantal-coluchisme » se perpétue
Qu’importe la réalité : voila vingt ans, trente ans même que la gauche en panne d’idées cherche son épouvantail pour se parer de toutes les vertus et faire oublier son ralliement au capital, cacher ses rangs désertés et toutes ses saloperies. Depuis qu’elle n’est plus marxiste, ni sociale, ni politique, la gauche est morale.

Dès lors, cela fait trente ans que les télés, à la recherche de l’ennemi intérieur, furètent partout en France en quête du moindre crâne rasé pour effrayer la ménagère. Et qu’importe si le mouvement skin n’existe plus depuis plus de vingt ans ! Le vrai danger, c’est le fascisme qu’on vous dit. En France, oui, pays où il n’y eut jamais un seul mouvement fasciste, excepté des groupuscules juste avant la Deuxième Guerre mondiale et quel­ques bandes d’hurluberlus après qui ne perdurent qu’à travers de pauvres gamins déboussolés qui se font « la voix du système » en allant jusqu’à adopter le portrait robot du méchant, dressé par le système lui-même. Mais bref.

Depuis Carpentras, les bidonnages et accusations risibles se succèdent, sui­vis des mêmes déclarations grandi­loquentes rejouant sans cesse la « mo­bilisation des potes » : quarante ans que « tous les enfoirés du monde se donnent la main » contre la misère, con­tre le sida, contre le mal lui-même, le Front national. Par shows télévisés successifs, la France d’en haut, celle qui ne paie pas d’impôts, celle qui se mo­que du petit franchouillard à longueur de journée s’offre une bonne con­science à grand renfort de larmes qui n’en finissent pas de couler : c’est le transcendantal-coluchisme que Fran­çois-Bernard Huyghes décrivait déjà… en 1987 dans son livre La Soft-idéologie.

La « duperie consciente » érigée en système
Quoi de neuf depuis ? La gauche gar­de une forme olympique : calibrée par le milliardaire BHL, trompée par le millionnaire DSK et incarnée par le triste Hollande, elle n’a d’autre choix que de ressortir les bonnes vieilles formules, aussi éculées soient-elles. Et les baudruches fleurissent : « Les digues ont sauté. La libération de la parole raciste a atteint un niveau d’abjection intolérable dans notre pays », annonce la Licra sur son site. Suivra immanquablement la sempiternelle manif pour toute la « France démocratique », électrisée à l’idée de ne pas manquer le rendez-vous avec l’histoire en s’engageant cou­rageusement contre le fascisme qui vient, cet ennemi intérieur qui n’a ni structure, ni journaux, ni leader, ni militant. Danger imaginaire et fan­­­tas­­mé, celui-ci permet toutes les mobilisations et… toutes les manipulations.

La réalité rejoint le roman d’anticipation 1 984 d’Orwell. Quand Harlem Désir compare gravement la LMPT à une montée fasciste, personne n’est cen­sé rigoler. Lorsque les bonnets rou­ges sont annoncés être « récupérés par l’extrême droite », en attendant d’ê­tre traités eux-mêmes de fascistes, interdit de rire.
La novlangue socialiste ne passera pas par nous !

Aux annonces du loup, tout un « peuple de gauche », parfaitement formaté, répond présent. Voici qu’après « La guerre, c’est la paix » de Big Brother, vient « la tolérance, c’est l’intolérance » du Parti socialiste. C’est la « doublepensée » décrite par Orwell :
« La doublepensée est le pouvoir de garder à l’esprit simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter toutes deux. […] La doublepensée se place au cœur même de l’Angsoc, puisque l’acte essentiel du Parti est la duperie consciente, tout en retenant la fermeté d’intention qui va de pair avec l’honnêteté véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c’est nécessaire, les tirer de l’oubli pour seulement le laps de temps utile, nier l’existence d’une réalité objective alors qu’on tient compte de la réalité qu’on nie, tout cela est d’une indispensable nécessité. »
Dans La Révolte des élites (Climats, 1 996), le sociologue Christopher Lasch analysait cette duplicité des nou­velles élites : « Lorsqu’ils sont con­frontés à des résistances, ils révèlent la haine venimeuse qui ne se cache pas loin sous le masque souriant de la bienveillance bourgeoise. La moindre opposition fait oublier aux humanitaristes les vertus généreuses qu’ils prétendent défendre. Ils deviennent irritables, pharisiens, intolérants. Dans le feu de la controverse politique, ils jugent impossible de dissimuler leur mépris pour ceux qui refusent obstinément de voir la lumière – ceux qui ne sont pas dans le coup – dans le langage autosatisfait du prêt-à-penser politique. »

Ou, pour dire encore autrement ce mépris, « ces gens-là […] ceux qui sont vaincus, du passé, déjà finis. Dévitalisés, desséchés », pour reprendre les mots de Christiane Taubira lors d’un homma­ge à Frantz Fanon, grand ami de la France, ce samedi 16 novembre 2013.

La novlangue socialiste n’est pas un outil de pacification sociale. Elle s’af­firme plutôt comme un véritable moyen de contrainte tant elle sert à masquer une réalité de plus en plus vio­lente et que l’on n’ose plus dire. De la famille jusqu’au monde du travail, tout vient illustrer des rapports sociaux et humains de plus en plus dégradés, le tout couronné par une pa­role politique creuse, incapable de donner sens.

Alors, l’interdiction de « Minute » – le rêve de Manuel – serait-elle un progrès ou le symptôme des griffes qui se resserrent ? " "

AVALANCHE DE LIQUIDATIONS D'ENTREPRISES

" Jamais la France n'avait recensé autant d'entreprises rayées de la carte. Quelque 43 981 ont été liquidées après avoir déposé leur bilan au cours des douze derniers mois, selon les relevés de l'assureur-crédit Coface, qui publie jeudi 21 novembre son baromètre des défaillances.
C'est 2 % plus qu'en 2009, l'année noire qui avait suivi la chute de la banque Lehman Brothers et vu un effondrement de la production industrielle.

Cette année-là, le nombre de faillites était monté en flèche. Puis il a décru lentement, grâce à la reprise économique. Mais, depuis le printemps 2012, la chute de la croissance puis l'entrée de la France en récession ont provoqué une deuxième vague de défaillances.

LA REPRISE DE 2010-2011 "N'A PAS ÉTÉ SUFFISANTE"

Au cours des douze derniers mois, 62 431 entreprises ont ainsi été placées en procédure de sauvegarde, mises en redressement judiciaire ou liquidées, le cas le plus courant.

" C'est un total très élevé, en hausse de 4 % par rapport à la même période de l'an dernier ",  souligne Jennifer Forest, de Coface. Le nombre d'entreprises en grande difficulté retrouve ainsi presque son sommet de 2009. Et en ce qui concerne les seules liquidations, le record est battu. 

Sur l'année 2013, Coface prévoit 62 500 défaillances d'entreprises, niveau "historiquement élevé"

"Avec la crise de 2009, certaines entreprises se sont retrouvées très fragilisées, analyse Mme Forest. Elles ont alors puisé dans leurs fonds propres pour tenir le choc. Ensuite, la petite reprise de 2010-2011 n'a pas été suffisante pour qu'elles se reconstruisent. Si bien qu'elles prennent de plein fouet la nouvelle dégradation de la conjoncture." "

LE DONNEUR DE LECON YANN BARTHES EPINGLE


Yann BARTHES serait-il anti-juifs ? Certains internautes tenteraient de le défendre en faisant croire que le journaliste ne savait pas ce qu'il faisait et ne connaissait pas la signification de ce geste. Alors soit Yann BARTHES est très con et fait des gestes sans les comprendre ce qui est du niveau de la maternelle et des moutons de Panurge, soit il savait très bien ce qu'il faisait... je vous laisse choisir la réponse !


VALLS DOIT DISSOUDRE LES MOUVEMENTS D'EXTREME GAUCHE

On ne peut qu'être surpris du laxisme de VALLS face à l'arrestation d' Abdelhakim Dekhar ! Bizarrement aucune voie ne s'est élevée pour dissoudre les mouvements terroristes d'extrême gauche ( auxquels appartient ce triste individu ). Il semblerait qu'il soit plus grave de commettre un crime lorsque l'on est de droite que lorsque l'on est de gauche !

Rappelez-vous l'affaire Méric ! Un jeune d'extrême gauche meurt suite à une bagarre avec des jeunes d'extrême droite. On apprend par la suite que c'est le jeune Méric qui a porté le premier coup et qu'il s'est servi de sa chevalière comme poing américain. Manque de bol pour lui, le retour de bâton ne se fait pas attendre et le jeune militant d'extrême gauche succombe à la suite d'un coup reçu au mauvais endroit. Immédiatement l'affaire prend des proportions importantes et il est décidé que plusieurs mouvements d'extrême droite seraient dissous. La menace seront même mises à exécution pour plusieurs de ces organisations.

Pour ce qui est du cas de Dekhar, il semblerait que les choses soient moins graves. A priori, tirer volontairement sur quelqu'un est moins important qu'un accident dans une bagarre. Ou alors, peut-on dire que d'avoir sa carte du PS ou encore mieux, celle du Front de Gauche, rend les crimes moins importants ?  J'attends avec impatience quelques explications du haineux de service que l'on nomme Mélenchon sur ce sujet...  

ABDELHAKIM DEKHAR : ARRESTATION DU TIREUR DE PARIS



" Les analyses ADN ont confirmé que l'homme interpellé mercredi était bien le tireur présumé, selon Manuel Valls...

Tout le monde respire un peu mieux. Lors d'une conférence de presse nocturne au 36, quai des orfèvres, jeudi, le ministre de l'Intérieur a félicité le travail des enquêteurs après l'interpellation d'Abdelhakim Dekhar, mercredi soir, dans un parking sous-terrain de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine. L'homme de 48 ans se trouvait dans un état «de semi-inconscience» après une apparente tentative de suicide mais devrait s'en tirer. Selon les résultats des analyses ADN, il s'agit bien du tireur présumé de Libération, a confirmé Manuel Valls. Retour sur l'arrestation de l'homme le plus recherché de France, qui a refait surface pour des raisons encore obscures, 15 ans après sa condamnation à quatre ans de prison dans l'affaire Rey-Maupin.

Comment sait-on que Dekhar est bien le tireur présumé?
Son ADN a parlé. Selon le directeur de la PJ, Christian Flaesch, il a fallu moins de cinq heures au labo de la police scientifique pour confirmer que des traces d'ADN retrouvées au siège de BFM et sur des balles à Libération appartenaient bien à Dekhar, arrêté mercredi à 19h00.

Dans quel état se trouve le suspect?
Il a été arrêté dans un état «de semi-inconscience», a dit Manuel Valls. Selon lui, «tout semble montrer» que Dekhar «a tenté de se suicider», a priori, aux médicaments. Il a été soigné par le Samu et n'avait pas encore parlé, à 2h du matin, jeudi. Mais selon le ministre, il sera «sans doute sur pied très rapidement» pour répondre aux questions.

Comment a-t-il été arrêté?
Grâce au témoignage d'un homme qui l'hébergeait occasionnellement. Selon Valls, les enquêteurs avaient remonté la piste jusqu'à la ville voisine de Courbevoie en suivant le fil des images des caméras de vidéosurveillance et l'analyse d'1,2 million d'appels téléphoniques. Mais c'est finalement le témoignage d'un homme chez qui Dekhar dormait ponctuellement qui a permis de procéder à l'interpellation. Il aurait contacté la police et l'aurait désigné par son nom. Evoquant l'affaire du tireur, Abdelhakim Dekhar lui aurait dit avoir «fait une connerie», confie une source proche de l'enquête à l'AFP. Après avoir minutieusement vérifié que la voiture n'était pas piégée, les forces de l'ordre ont ensuite pu le transporter.

Qui est Abdelhakim Dekhar?
Son nom était tombé dans l'oubli, mais pas son rôle dans l'affaire Rey-Maupin. Dekhar était «le 3e homme» dans la virée sanglante de Florence Rey et Audry Maupin, qui avait fait cinq morts, dont trois policiers, le 4 octobre 1994 à Paris. En 1998, il avait été reconnu coupable «d'association de malfaiteurs» pour avoir acheté le fusil à pompe utilisé par le couple, et condamné à quatre ans de prison –une peine qu'il avait déjà purgée avant son procès. Troublé et énigmatique, il fréquentait les milieux anarchistes d'ultra gauche mais disait travailler pour les services secrets algériens.

Pourquoi n'était-il pas fiché?
Selon Valls, il ne se trouvait pas dans le fichier des empreintes génétiques car ce dernier n'existait pas à l'époque de son arrestation. D'après le ministre, Dekhar est ensuite «probablement parti à l'étranger».

Quelles étaient ses motivations?
On ne sait pas. Manuel Valls n'a pas voulu spéculer et précise qu'il faudra attendre que les enquêteurs l'interrogent. Selon plusieurs experts qui avaient suivi son procès, en 1998, il n'avait pas apprécié son portrait brossé par les médias et pourrait avoir voulu se venger. "