jeudi 16 janvier 2014

L'ECHEC EN CENTRAFRIQUE

" La haine entre chrétiens et musulmans a été sous-estimée en Centrafrique et a créé une situation "presque impossible" pour les forces françaises de l'opération Sangaris et celles de l'Union africaine, a déploré mercredi l'ambassadeur français aux Nations unies.

Gérard Araud, qui s'exprimait dans le cadre d'une conférence sur les moyens d'empêcher les génocides organisée à l'occasion du 20e anniversaire du drame rwandais, a suggéré à l'Onu de faire appel à des psychologues et à des ethnologues pour comprendre et combattre le ressentiment des deux communautés, qui restent sourdes aux appels au calme de leurs dignitaires.

Malgré la présence depuis début décembre de 1.600 militaires français et de 4.000 casques verts africains, les affrontements se poursuivent entre ex-rebelles musulmans de la Séléka et miliciens chrétiens "anti-balaka".
"En Centrafrique, je pense que nous avons peut-être sous-estimé la haine et le ressentiment entre communautés", a déclaré Gérard Araud.

"Il s'agit d'une situation presque impossible pour les soldats africains et français. Nous devons réfléchir dans des termes très pratiques à la façon d'être efficace pour empêcher les gens de s'entre-tuer quand ils veulent désespérément le faire.

"Nous savions qu'il y avait des violences interreligieuses, mais nous n'imaginions pas une haine aussi profondément ancrée. Nous devrions peut-être travailler avec des psychologues et des ethnologues pour comprendre comment elle est apparue et comment apaiser la situation", a ajouté le diplomate.
Ban Ki-moon, secrétaire général de l'Onu, doit remettre le mois prochain au Conseil de sécurité ses recommandations en vue du déploiement de casques bleus qui pourraient prendre le relais des troupes africaines. "


Ce qui montre bien l'impossibilité pour ces deux religions de vivre ensemble.

LA PRESSE ANGLAISE DÉNONCE LA SITUATION TRAGIQUE DE LA FRANCE

" Un article dénonçant une situation tragique en France a provoqué un clash entre l’ambassade de France et un ministre anglais….

Que se passe-t-il entre la France et le monde anglo-saxon? Ces derniers jours, plusieurs articles sur la situation de la France ont provoqué des réactions très vives. D’abord, l’article du site américain Newsweek qui racontait que «Paris, ce sont les grèves et les garçons de café malpolis» et mentionnait des chiffres ou faits erronés à la pelle sur la France .Puis,  un autre article publié dans le quotidien britannique économique gratuit City AM, a suscité la réaction de l’ambassade de France à Londres.

«L’échec de l’expérience socialiste en France vire à la tragédie»

Titré «L’échec de l’expérience socialiste en France vire à la tragédie», il détaillait comment le gouvernement actuel menait le pays à la catastrophe. Sur son site, l’ambassade française a publié un article intitulé 10 Accounts on which City AM has got it wrong on France (10 points sur lesquels City AM se trompe sur la France).

Parmi ces points de contestation, un porte sur le système de santé. L’ambassade établit une comparaison avec le NHS (le national health system, le système britannique donc). La réplique de trop. Le ministre de la Santé, Jeremy Hunt, ne l’a pas supporté et a expliqué dans le Daily Telegraph: «Le NHS ne devrait pas être attaqué pour être ouvert et transparent sur ses difficultés, et surtout pas par un pays qui ne publie pas autant de données sur la sécurité des patients.» Tendu. "

DU FUMIER DEVANT L’ASSEMBLÉE NATIONALE


" Voilà qui a toutes les chances d'être l'image du jour. Avec un mois d'avance sur le Salon de l'agriculture, le conducteur d'un poids lourd a déversé ce jeudi matin une quantité impressionnante de fumier devant l'Assemblée nationale, à Paris. En contournant le mélange encore fumant, on pouvait lire sur les flancs du camion "Hollande et toute la classe politique, dehors. Place à la VIe République". 



Selon les forces de l'ordre, présentes immédiatement sur place, l'auteur de cet "attentat à la crotte", si l'on ose dire, a été interpellé dans la foulée. Un membre du personnel du Palais-Bourbon, goguenard, résume la situation en quelques mots : "Manquerait plus que les médias titrent : l'Assemblée nationale dans la merde". "


PLAINTE CONTRE LA GPA

" Choquée par les tournées de promotion de la gestation pour autrui (GPA) organisées en France par des sociétés américaines, une association de juristes vient de déposer plainte contre X. Des sénateurs de l'opposition lui apportent leur soutien et «demandent des mesures concrètes mettant fin à ces pratiques illégales».

Le site www.meres-porteuses.com donne tous les détails en français, des réunions d'information ont régulièrement lieu à Paris et la société américaine Extraordinary Conceptions fournit même une liste de gynécologues et d'avocats français à ses clients… «Le délit se déroulant bien sur le territoire français, il s'agit de mettre fin à deux violations, souligne Me Adeline Le Gouvello, avocate de l'association Les Juristes pour l'Enfance. Celle de la loi française, qui prohibe la gestation pour autrui (GPA), et celle du droit fondamental de l'enfant à connaître, dans la mesure du possible, son père et sa mère, droit garanti par la Convention internationale des droits de l'enfant».

Après avoir déposé, il y a quelques semaines, un recours devant le Conseil d'État contre la circulaire Taubira (facilitant l'obtention d'un certificat de nationalité française aux enfants nés à l'étranger de mère porteuse), l'association persévère dans son combat contre la GPA: les Juristes pour l'enfance, dont l'objet social est «la défense de l'intérêt de l'enfant», viennent de transmettre au procureur de la République «tous les éléments de preuve: vidéos de réunions, catalogue de mères porteuses, grilles tarifaires». «Il s'agit de la première plainte, en France, dans une affaire de GPA», fait valoir l'association, qui précise que «l'article 227-12 alinéa 3 du Code Pénal réprime le fait, dans un but lucratif, de s'entremettre entre une personne désireuse d'adopter un enfant et un parent désireux d'abandonner son enfant né ou à naître». Ce «délit d'entremise» est passible de deux ans de prison et de 30.000 € d'amende.

«Toutes les options pour le bébé à livrer»

C'est Morgane*, une mère de famille de 36 ans, qui a fourni les preuves aux juristes. «Il y a six ans, après un accouchement qui avait endommagé mon utérus, mon gynécologue m'avait recommandé, sans aucune gêne, la gestation pour autrui, raconte la jeune femme. J'ai donc voulu savoir comment cela se passait». Fin septembre 2013, elle s'inscrit finalement «à une réunion surréaliste» organisée par l'agence Extraordinary Conceptions. «Nous étions deux couples hétéros et deux couples homosexuels, se souvient-elle. Une avocate et un médecin américains nous ont détaillé, avec un détachement absolu, toutes les options que l'on pouvait demander pour le bébé à livrer, comme pour une voiture. Les tarifs se montaient à près de 100.000 dollars. Plus 4.000 dollars si on choisissait le sexe de l'enfant».

Il y a quelques mois encore, les agences américaines de procréation médicalement assistée organisaient des soirées avec cocktails et petits fours dans de grands hôtels parisiens. Aujourd'hui, elles se font plus discrètes: c'est dans un immeuble anonyme que Morgane et les autres couples ont été reçus. Mais face à «l'expansion rapide de cette industrie», se félicite Extraordinary Conceptions sur son site en français, «les agences proposant les services de donneuses ou mères porteuses progressent en nombre, les avocats se spécialisent en droit sur la PMA et la demande ne fait qu'augmenter». L'agence, qui «travaille en France depuis dix ans», selon Morgane, «nous a dit qu'elle organiserait une tournée européenne en avril».

«La France ne peut pas d'un côté durcir les sanctions contre la prostitution et, de l'autre, laisser des entreprises organiser la marchandisation du corps de la femme et de l'enfant!, s'offusque Me Le Gouvello. Nous avons fourni au parquet tous les éléments pour qu'il puisse mener son enquête. Il me semble difficile, dès lors, de motiver une absence de poursuites». La plainte a en tout cas déjà attiré l'attention de plusieurs sénateurs de l'opposition. Emmenés par Bruno Retailleau et Gérard Longuet, ces élus demanderont mercredi au gouvernement «des mesures concrètes mettant fin à ces pratiques illégales». "

LA CHANCE POUR LA FRANCE SAMY NACERI FAIT ENCORE PARLER DE LUI


" L'acteur Samy Nacéri et l'une de ses ex-compagnes ont été interpellés et placés en garde à vue mercredi pour «violences réciproques».

Selon les premiers éléments, une bagarre aurait éclaté mercredi en début d'après-midi entre l'acteur et son ancienne compagne dans le 17e arrondissement parisien. «L'acteur et son ex ont été placés en garde à vue, une garde à vue différée pour lui en raison de son état d'ébriété», a précisé cette source.

En cellule de dégrisement en début de semaine

Selon nos informations, l'acteur avait déjà été placé en cellule de dégrisement en début de semaine, lundi matin, avant d'être relâché sans poursuite. 

Ce mercredi, il aurait «tapé son ex-compagne avant de se taillader lui-même le poignet à l'aide d'un petit couteau», selon notre source. Amené aux urgences, il a ensuite été placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue, a précisé cette source qui confirme que l'acteur est bien connu des services de police du 17e arrondissement.

Ce ne sont pas les premiers déboires judiciaires que connait Samy Naceri. Il défraie régulièrement la chronique... "


DÉCIDÉMENT ELLE EST PAS A LA FÊTE LA TRIERWEILER


" Il est des petits détails qui pèsent lourd... En décembre dernier, Valérie Trierweiler a connu une petite mésaventure qui l'a profondément perturbée. En cause, les services de sécurité du palais de l'Elysée.

Hospitalisée depuis vendredi à la Pitié Salpetrière, Valérie Trierweiler vit une période difficile depuis plusieurs mois déjà. Lors de la galette de l’Elysée, la première dame – aux côtés de François Hollande – affiche un sourire forcé. Reléguée dans l’aile est de l’Elysée, rebaptisée l’aile Madame par le personnel de la présidence, la première dame se fait discrète.

Fini les tweets vengeurs et les déclarations fracassantes, elle raréfie ses apparitions. Si sur RTL elle prend la parole le 5 décembre dernier après la révélation de l’opération de la prostate du président en 2011 pour dire "qu’il va bien", et réaffirmer la complicité avec son compagnon, Valérie Trierweiler doit faire face à des difficultés. En mars dernier, elle doit faire face à la rumeur. Julie Gayet tente d’éteindre l’incendie par l’intermédiaire de son avocat qui publie un communiqué menaçant de procès tous ceux qui colporteraient la rumeur… peine perdue. La rumeur repart de plus belle… En juillet dernier, Closer vous racontait comment le président l’avait abandonnée pendant les vacances… Dans son dernier numéro le magazine Grazia affirme que le président était avec Julie Gayet, en train de faire son marché, sous l’œil des photographes…

Sentant le président prendre ses distances, elle aurait – toujours selon l’enquête de Grazia - même tenté de se rabibocher avec sa rivale de toujours, Ségolène Royal, celle qui l’a pourtant fait évincer du service politique de Match en 2006. Pour toute réponse, elle obtiendra une fin de non recevoir, ironie du sort…

VALÉRIE TRIERWEILER PRIÉE DE CHANGER DE TROTTOIR

Il y a quelques jours, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase… En décembre dernier, alors qu’elle sort de l’Espace Cardin avenue Gabriel tout près de l’Elysée où elle vient de participer à une vente de charité, elle se fait rabrouer par les services de sécurité de l’Elysée. Car si beaucoup l’ignorent, "le trottoir de droite est interdit aux passants ordinaires. Seules y ont accès les personnalités autorisées", précise le Nouveau Détective. Valérie Trierweiler se fait alors barrer le passage au son de "C’est interdit madame, vous devez prendre l’autre trottoir". Cachée derrière ses lunettes noires, Valérie Trierweiler était méconnaissable. Interloquée, elle ôte ses lunettes. Embarrassé, le policier se "met au garde à vous", Une affaire qui aurait pu passer inaperçue, mais dans ce contexte de confusion l’affaire fait grand bruit. Car à l’Elysée, c’est un "secret de polichinelle" que le président a une nouvelle première dame dans son cœur… "