samedi 27 avril 2013

UNE LYCEENNE POIGNARDEE ( 09/09/12 )


Un « jeune » de 15 ans, ces jeunes que Mme Taubira ne veut plus mettre en prison, a frappé une camarade de classe de deux coups de couteau dans le ventre, hier lundi 8 octobre, à l’intérieur de leur lycée, à Chevigny-Saint-Sauveur près de Dijon.

La lycéenne grièvement blessée, « a reçu deux coups de couteau de la part d’un de ses copains alors qu’elle se trouvait dans l’enceinte du lycée », a déclaré à l’AFP un responsable de la gendarmerie.

Hier soir, ses chances de survie étaient très minces.« Le jeune homme a pris la fuite mais il a été interpellé quelques instants plus tard » a précisé la gendarmerie, mais pendant l’arrestation, il a encore blessé un militaire d’un coup de couteau.

Le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, a fait part de « sa profonde émotion » après cette agression « inqualifiable ».

AGRESSION DE PARACHUTISTES A CASTRES ( 09/09/12 )

Castres : heurts entre jeunes et militaires
Résumons. Une dizaine de militaires parachutistes prennent un verre dans un bar, et défendent une jeune fille qu’importunent des « jeunes » (sic !). Ils se font alors traiter de « sales militaires » et « sales Français ». Il s’ensuit une bagarre à l’extérieur de l’établissement avec des « renforts » des deux côtés. La police use de balles en caoutchouc et de gaz lacrymogènes pour séparer les belligérants. Un para perd l’usage d’un œil, blessé par un tesson de bouteille. Deux « jeunes » sont interpellés.
Et la dépêche parle de « heurts », alors qu’il s’agit d’une attaque en règle et raciste contre nos soldats ?
Et la dépêche parle de « jeunes », alors qu’il s’agit manifestement de voyous ne se sentant aucunement français, et ayant de la haine pour les militaires et les Français ?
" Dans ma ville de Castres, une fois de plus, des groupes qualifiés de « jeunes », qui ne sont heureusement nullement représentatifs de l’ensemble des jeunes de toutes origines de cette ville, ont sciemment attaqué des parachutistes du 8° RPIMA fréquentant tranquillement le Bar des Arcades sur la place Jean Jaurès.
Un jeune soldat violemment frappé avec un tesson de bouteille a ainsi perdu un œil, chez nous, où il aurait dû être en sécurité, pas à Kaboul !
L’agression fut délibérément « raciste » au sens bien sûr de la loi antiraciste, c’est-à-dire en haine de l’appartenance à la nation française, en haine de ceux qui, de toutes couleurs, défendent notre patrie.
Hélas, chez bien des jeunes « travaillés » par un islamisme de plus en plus violent, le massacreur ignoble de soldats et d’enfants juifs, Mohamed Merah fait figure de héros.
L’AGRIF bien sûr, comme c’est son devoir, se porte partie civile dans cette affaire dont s’occupera Maître Pierre-Marie Bonneau du Barreau de Toulouse. "

C'était le 09/09/2012 une première affaire qui va marquer la création d'une nouvelle rubrique sur la justice. Une rubrique pour ne pas oublier les victimes des agressions et pour ne pas oublier dans quelle France nous vivons...

LETTRE OUVERTE : LE DJIHAD ET LE MALI


Hamid ZANAZ – Essayiste et journaliste algérien – Auteur de l’islamisme vrai visage de l’islam - (Les éditions de Paris – Max Chaleil)

Monsieur le Président,
Notre compatriote Albert Camus nous a déjà prévenu : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. » Je crains, monsieur le Président, que par la façon dont vous qualifiez les soldats d’Allah capturés au nord du Mali, vous n’ajoutiez au malheur de la laïcité, déjà assez malmenée.
« Nos concitoyens perdus », avez-vous  dit ! Je  ne sais pas s’ils sont concitoyens de quiconque, ni s’ils sont vraiment perdus… Ce sont des djihadistes qui « combattront  dans  le sentier  de  Dieu,  ils  tueront  et  seront  tués… » et, vous savez  pourquoi, monsieur le Président ? Pour que «la parole d’Allah reste la plus haute ». Ils ne sont pas de jeunes égarés, ils  connaissent très bien leur but : l’instauration de la loi coranique par la  force. Ils accomplissaient leur devoir religieux, kalachnikov à la main : le « djihad fi sabil Allah », la guerre sainte pour la gloire d’Allah.
Vous avez raison, monsieur le Président, de dire que la lutte contre le terrorisme devrait se faire partout, mais vous oubliez de préciser à vos concitoyens la nature de ce terrorisme ! Cette barbarie a un nom, monsieur le Président : l’idéologie islamique dont l’essence n’est autre que le combat contre tout ce qui n’est pas islamique. « Si tu es témoin d’un usage non islamique, dit le prophète, mets-y fin par la force. Si tu n’as pas le pouvoir de le faire cesser, condamne-le verbalement. Sinon, condamne-le dans ton cœur. » « N’obéis donc pas aux infidèles, dit encore Allah dans son livre, et avec ceci [le Coran], lutte contre eux vigoureusement. » Sont-ils « travaillés  par  des milieux extrémistes  et  fondamentalistes », comme vous le  dites, monsieur le Président ou ont-ils tout ce qu’il faut comme versets et hadiths pour « mener  le djihad contre les mécréants » et pour « être rude à leur égard » comme vous pourriez le lire dans le Coran ?
Permettez-moi, monsieur le premier magistrat de la République, de vous rappeler que vos « concitoyens perdus » ne reconnaissent ni la République ni ses valeurs : ils ont d’autres références, un autre genre d’État, enseignés et semi-appliqués sur les territoires perdus de votre République.
- Vous, président de la République, vous ne devez pas légitimer l’instinct tribal au détriment de la culture universelle.
- Vous, président de la République, vous ne devez pas laisser le communautarisme s’installer dans la République.
- Vous, président de la République,quand un  fleuve est pollué, vous devez remonter à la source de la contamination.
- Vous, président de la République, vous devez libérer les territoires perdus de la République.
- Vous, président de la République laïque, vous ne devez pas financer les lieux de culte.
- Vous, président de la République, vous avez le devoir de protéger les femmes d’origine arabe, pas leur culture islamique misogyne.
- Vous, président de la République, vous devez interdire à vos ministres de se balader dans les mosquées pour une raison ou une autre.
- Vous, président de la République, vous ne devez pas voir en la barbarie une culture. Vous devez savoir qu’il y a des « spiritualités » meurtrières.
- Vous, président de République, vous devez savoir que l’islamisme est une idéologie meurtrière et non pas une frustration mal orientée.
Hamid ZANAZ.