mercredi 31 juillet 2013

CES RICHES GENS DU GOLFE EN VACANCES A PARIS

" Comme chaque été, ce riche Saoudien a ses habitudes. Il loue une suite au Bristol, au 112, rue du Faubourg-Saint- Honoré, à cinq mille euros la nuit, pour une semaine, parfois deux, voire un mois entier. Dans ce palace, il se sent comme un coq en pâte. Le cadre est luxueux, le personnel aux petits soins, et il se situe un peu à l’écart de l’agitation du quartier, ce qui arrange notre client. Chaque jour, l’homme se lève aux alentours de midi, mange l’équivalent d’une vache charolaise, puis rejoint l’avenue des ChampsÉlysées et s’installe à la terrasse du Deauville, le QG de bon nombre de touristes venus du golfe Persique. 

À l’image de la majorité des sept cent mille visiteurs originaires de cette région qui se rendent à Paris chaque année, l’homme s’en tient là. Les Champs, l’avenue Montaigne, la place de l’Étoile… et basta ! Pas question d’aller écouter un opéra, visiter un musée, et encore moins flâner sur les bords de Seine. Non. Sa suite, son chauffeur et sa terrasse du 75 de la plus belle avenue du monde lui suffisent amplement. Le milliardaire saoudien a tout prévu, ou presque… Pour aller aux toilettes du Deauville, le client doit passer par un couloir particulièrement étroit, et le « malheureux » pèse près de deux cents kilos ! Que faire ? Changer d’établissement ? Jamais de la vie ! C’est ici que ses copains du Golfe s’installent pour se montrer et regarder les jolies filles qui déambulent sur l’avenue, donc c’est ici qu’il passera ses vacances. Choisir un hôtel plus proche, de façon à pouvoir rallier sa suite en cas de besoin ? Il ne l’envisage pas une seconde, car ce serait moins chic que de loger au Bristol ! Non, le nabab a une bien meilleure idée : garder sa suite et louer également une chambre au Marriott, au 70, avenue des Champs-Élysées, à seulement cent quarante mètres de sa terrasse favorite ! Et dès qu’il a envie d’aller au petit coin, plutôt que de s’écorcher un bourrelet, il dispose de ses toilettes (quatre étoiles) personnelles ! 

Le chauffeur n’en revient toujours pas. En cinq ans de carrière, c’est la première fois qu’il se voit confier une mission aussi saugrenue. Au volant de sa Lamborghini, comme chaque matin, il attend un jeune Qatari de quinze ans qui tarde à sortir de son hôtel. Ce bolide, ses parents le louent mille cinq cents euros par jour pendant une semaine pour que le pauvre petit ne soit pas trop déboussolé, seul à Paris. Comme il a la même au pays, papa veut qu’il se sente comme chez lui ! Du côté passager de la voiture, ses parents ont même fait installer un écran avec un lecteur DVD pour que leur fiston regarde des films si jamais il venait à s’ennuyer. Pendant toutes les vacances de l’adolescent, le chauffeur est tenu de faire des allers-retours entre la place de la Concorde et le rond-point des Champs-Élysées. Toutes les après-midi, jour après jour, le trajet ne change pas d’un pouce. Ah, si ! Un jour il l’a emmené à Eurodisney… Ces deux anecdotes ne représentent en fin de compte qu’un infime échantillon des caprices formulés chaque année par ces « drôles » de touristes dans le quartier des Champs-Élysées. Un prince saoudien qui débourse quinze mille euros pour privatiser un cinéma à trois heures du matin, une riche Qatarie qui loue une limousine juste pour stocker ses courses effectuées avenue Montaigne, ou encore des restaurants qui investissent dans des narguilés pour s’adapter aux plaisirs de leurs nouveaux habitués…

Rien n’est trop beau pour ces voyageurs venus du Moyen-Orient. Un chauffeur professionnel ayant été employé par des conciergeries de luxe et des palaces parisiens témoigne : « Ils vivent sur une autre planète. Une fois, j’ai eu affaire à un spécimen qui voulait porter plainte contre ma société car la voiture qui l’attendait n’avait pas de vitres teintées ! Dans un autre genre, j’en ai eu un qui m’a demandé si la France ne prévoyait pas de faire construire une piste d’atterrissage à côté des Champs-Élysées, car ce serait plus pratique. J’ai également été confronté à un gamin qui m’a proposé cinq mille euros en liquide pour que je ne dise pas à son père, qui était resté à l’hôtel, que je l’avais laissé se balader tout seul pendant trente minutes. Ils sont complètement déconnectés de la réalité. Ils passent leur temps à faire les beaux sur les Champs, à montrer qu’ils sont là, alors que tout le monde s’en moque. Et ils ont tellement d’argent, c’est fou. Ils achètent tout et n’importe quoi, pourvu que ça soit une marque prestigieuse. Chanel, Guerlain, Vuitton, et tout le reste. Quand ils entrent dans une boutique, ils choisissent même des produits totalement au hasard, juste histoire de ressortir avec des sacs pleins à craquer. C’est affligeant. » Non content de l’arpenter, les milliardaires du Golfe commencent à s’offrir des petits bouts de la plus belle avenue du monde et de ses environs ! 

En juin 2012, le fonds d’investissement qatari, Qatar investment authority (QIA), s’offrait ainsi l’immeuble de 27 000 mètres carrés abritant les magasins Virgin et Monoprix, au 52-60, avenue des Champs-Elysées, pour plus de 500 millions d’euros. Deux ans plus tôt, l’ancien siège de la banque HSBC, au 103 de l’avenue, passait aux mains qataries pour 440 millions d’euros. Quant au fonds souverain qatari, Qatar national hotel company, déjà propriétaire du Royal Monceau, avenue Hoche, il ouvrira prochainement un nouveau palace, Le Peninsula, avenue Kleber, annoncé en 2014. En outre, la banque centrale du Qatar possède la galerie commerciale Élysées 26, comprenant de nombreux bureaux et logements. Les Saoudiens ne sont pas en reste. Depuis novembre 2010, l’Hôtel de Crillon, place de la Concorde, est la propriété de la famille royale. Coût de l’opération : 250 millions d’euros. L’hôtel George-V, situé sur l’avenue du même nom, fait partie d’une chaîne hôtelière tenue par la holding du petit-fils du roi Ibn Saoud, le fondateur de l’Arabie Saoudite. « À ce rythme-là, ils vont bien finir par la construire, leur piste d’atterrissage », conclut astucieusement notre chauffeur. "


Et dire qu'il y a des gens qui crèvent de faim...

HAUSSE DES TAXES SUR LES BILLETS D'AVION

" La taxe de solidarité sur les billets d'avion, dite "taxe Chirac", sera augmentée de 12,7% en 2014 en France afin d'accroître l'aide financière au développement, a-t-on appris mardi de source gouvernementale.
Cette décision s'inscrit dans le cadre du Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID) qui doit se réunir mercredi à Paris, pour la première fois depuis 2009, afin de fixer les grandes orientations de la France en matière d'aide au développement.
Le produit de la "taxe Chirac" entrée en vigueur en France en 2006 et appliquée depuis par d'autres pays, finance les programmes de l'organisme international Unitaid et rapporte quelque 200 millions d'euros par an.
La taxe, dont le montant varie selon la durée du vol, la destination et la classe, n'avait pas été augmentée en France depuis son entrée en vigueur. Dans un communiqué publié mi-juillet, François Hollande avait annoncé son intention de la revaloriser.
Le CICID, auquel participera une grande partie du gouvernement, doit déboucher sur un projet de loi de programmation et d'orientation de la politique du développement.
Ce texte, qui constitue une première, devrait être déposé au Parlement d'ici la fin de l'année avant un débat début 2014, a précisé une source gouvernementale. "

mardi 30 juillet 2013

RESULTAT MOROSE SUR LES SOLDES D'ETE 2013

" Depuis cinq ans, les ventes d’habillement reculent en France. Cela ne devrait pas s’arranger en 2013 pour les soldes d’hiver qui vont se dérouler du 9 janvier au 12 février. Selon plusieurs études, les Français dépenseront moins, et donneront moins dans le superflu.

Selon le sondage Ipsos pour le Conseil national des centres commerciaux, 76% d’entre eux iront bien arpenter les allées des magasins durant les promotions, soit autant que l’année dernière. Il faut dire que, d’après l’étude Ifop pour Spartoo.com, 70% des Français ont reporté leurs achats nécessaires en attendant les soldes. C’est 30% de plus que les autres années.

Un budget qui fond d'année en année

Par ailleurs, selon Ipsos, ils sont 45% à affirmer qu’ils achèteront moins. Le budget moyen qu’ils comptent allouer à leurs achats continue ainsi de fondre. De 251 euros début 2011, en passant par 244 début 2012, il est à 223 euros cette année selon Ipsos et 229 euros pour l'Ifop.

La quasi-totalité des sondés a donc pour motivation première de faire des bonnes affaires. A 71%, ils veulent acheter ce qu’ils ne pourraient acquérir hors soldes. Pour plus du tiers du panel Ipsos (34%), la motivation majeure n’est plus de se faire plaisir mais de combler des besoins.

L’attrait pour l’achat utile est encore plus flagrant dans l’enquête Ifop. Selon ses résultats, 52% des Français vont acheter des produits qui correspondent à leurs besoins pendant les soldes.

Des chiffres qui dénotent une grande frilosité, certainement lié au fait que pour 56% d’entre eux, selon l’enquête d’Ipsos, le "gros de la crise reste encore à venir". "

LE GOUVERNEMENT ENVISAGE UNE HAUSSE DE LA CSG

" Bruno Le Roux, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a déclaré ne pas écarter la piste de l'augmentation de la Cotisation sociale généralisée (CSG) pour financer la réforme des retraites. L’État doit trouver 7 milliards d'euros d'ici 2020. Quels sont les avantages et les inconvénients d'une éventuelle hausse de la CSG ? 

Philippe Crevel : La CSG, depuis son introduction, est une véritable success story des prélèvements obligatoires. Fixée initialement à 1,1 %, le taux de la CSG a été relevé à plusieurs reprises pour atteindre désormais 7,5 % auquel il faut ajouter la Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) dont le taux est de 0,5 %. La  CSG a deux grandes qualités, son efficacité et sa simplicité. Du fait de sa large assiette qui englobe la quasi-totalité des revenus, son rendement est élevé. En 2012, la CSG a rapporté plus de 90 milliards d’euros contre un peu moins de 60 milliards d’euros pour l’impôt sur le revenu. A l’exception des minimas sociaux, des petites pensions et des revenus de l’épargne défiscalisée, rien n’échappe à l’assiette de la CSG. Efficace et simple ; en effet, il s’agit d’une contribution proportionnelle sans quotient familial, sans niche fiscale, sans réduction d’impôt…

Le revers de la CSG est directement lié à ses qualités. En ponctionnant tout ou presque, elle frappe directement le pouvoir d’achat des ménages quel que soit leur niveau de revenus. Il ne s’agit pas d’un impôt progressif à la différence de l’impôt sur le revenu. Le relèvement de la CSG pourrait accélérer le repli de la consommation et donc freiner l’éventuel retour de la croissance. Dans le programme de François Hollande, une proposition prévoyait une fusion de la CSG avec l’impôt sur le revenu. Cette promesse, comme d’autres, semble être actuellement oubliée. Son application aurait pu avoir comme conséquence que le mauvais impôt (sur un plan de rentabilité) remplace le bon impôt. De ce fait, il n’est pas étonnant que le grand soir fiscal soit remisé au placard. La recherche de ressources nouvelles pour endiguer le flot des déficits incite le pouvoir à maintenir en état la CSG. Le problème de François Hollande est d’arbitrer le montant de l’augmentation et l’affectation des ressources nouvelles ainsi dégagées. Or, il y a pléthore de besoins : l’assurance-maladie, la dépendance, la retraite, la Caisse de remboursement de la dette sociale… Tout le monde ne pourra pas être servi. Cette hausse permet-elle d'éviter d’alourdir le coût du travail et de conserver la compétitivité des entreprises comme l'avance le gouvernement ? De quelle façon ? Comme en 1995 et 1998, le gouvernement pourrait décider de transférer une partie des cotisations sociales sur la CSG. Il y a alors deux options, soit jouer sur les cotisations patronales mais cela aboutirait à diminuer le pouvoir d’achat des salariés, soit jouer sur les cotisations salariales, l’augmentation de la CSG étant compensée par le relèvement du salaire net qui est automatiquement moins chargé.

Dans le premier cas, la compétitivité des entreprises est fortement améliorée ; dans le second, le gouvernement répartit sur une assiette plus large le financement de la retraite. La CSG permet, en effet, de faire participer les retraités et les détenteurs de capitaux.  Évidemment, la CSG évite un alourdissement des cotisations mais il faut savoir qu’in fine, c’est toujours l’individu qui paie la taxe. Plus de CSG, c’est obligatoirement moins de pouvoir d’achat et de demande adressée aux entreprises... L'augmentation de cette taxe peut-elle avoir un impact sur l'âge légal de départ à la retraite ? Il n’y a pas de lien direct entre la CSG et l’âge légal de départ à la retraite si ce n’est qu’il est certain que les retraités seront amenés à contribuer plus. Le gouvernement cherche par tous les moyens de ne pas recourir à l’âge pour tenter d’équilibrer les comptes de l’assurance-vieillesse d’ici 2020. Pour équilibrer, nos retraites, l’âge de départ effectif à la retraite qui est, aujourd’hui de 61 ans, devrait remonter à 63 ans en 2020 et à 65 ans en 2030. Rien d’impossible à condition d’accepter de relever la ligne d’horizon, c'est-à-dire l’âge légal. Tous nos partenaires ont opté pour cette voie ; certes, nous sommes plus intelligents que l’ensemble des Européens réunis mais cela ne doit pas nous interdire d’ouvrir les yeux.   

Le projet de loi sur les retraites est-il possible sans augmentation d'impôt, comme le souhaiterait le gouvernement ? Le gouvernement a très peu de marges de manœuvre en refusant de recourir au curseur de l’âge. En jouant sur la durée de cotisation, il peut espérer au mieux 5 à 6 milliards d’euros et cela en prenant l’option d’un relèvement rapide. De ce fait pour combler le trou des 20 milliards d’euros, il ne peut guère se priver de l’instrument des prélèvements obligatoires. Il pourra rogner sur les droits familiaux, un milliard d’euros ou toucher à quelques avantages, il n’en demeure pas moins que les impôts, taxes et contributions seront au rendez-vous. La fiscalisation des majorations familiales accordées aux familles de plus de 3 enfants est certainement incontournable. 

Le Medef tente d’imposer un relèvement de la CSG pour éviter l’augmentation des cotisations sociales. L’organisation patronale est certainement disposée à accepter une petite avancée sur la pénibilité si le gouvernement faisait un petit geste en sa faveur. Les retraités devraient être également mis à contribution soit au titre de la CSG, soit au titre de la suppression de l’abattement de 10 % à l’IR  pour frais professionnels qu’ils n’ont plus. Le problème vient que le retraité a un énorme défaut, il vote aux élections ce qui peut calmer les ardeurs à quelques mois des élections municipales. Pour éviter d’être accusé de se renier, le pouvoir indiquera que les augmentations n’en sont pas ; qu’il s’agit de chasse aux niches fiscales indues… Tout est une question de vocabulaire… "

ENCORE UNE HAUSSE DES IMPOTS POUR 2014

" François Hollande a reconnu la necessité d'augmenter une nouvelle fois les impôts, «dans l'idéal, le moins possible», s'était-il empressé de préciser lors de son interview du 14 Juillet. En 2014, ces hausses d'impôts devront être ciblées. Le ministère du Budget envisagerait en effet de taxer davantage les plus aisés en reconduisant partiellement le gel du barème de l'impôt sur le revenu pour les plus riches sur la déclaration de 2014 (sur les revenus de 2013), avance Le Parisien-Aujourd'hui en France . En clair, le taux d'imposition ne sera pas revalorisé au même rythme que l'inflation pour les foyers les plus aisés.
Traditionnellement, la grille sur laquelle repose le calcul de l'impôt sur le revenu (IR) évolue en fonction de l'inflation: cela permet aux ménages qui voient très souvent leurs revenus augmenter (salaires, pensions) en fonction du coût de la vie de ne pas payer plus d'impôt de ce seul fait.
En 2011, François Fillon alors premier ministre avait décidé de suspendre cette indexation pour les revenus de 2011, imposés en 2012 et pour les revenus de 2012, imposés en 2013. La mesure a rapporté 1,7 milliard d'euros supplémentaires à l'État cette année, via l'imposition de 400.000 foyers supplémentaires et une hausse généralisée de l'IR de 2,1 % cette année - qui touche aussi bien les ménages aisés que les classes moyennes et modestes.
Le gouvernement ne souhaiterait pas renouveler exactement l'expérience mais plancherait sur un gel du barème ciblé. Les deux premières tranches du barème seraient ainsi réindexées sur l'inflation.

À l'inverse, les quatre tranches supérieures seraient, elles, de nouveau gelées, selon le Parisien. «Sur les 19,7 millions de foyers fiscaux français, près de 8 millions seraient concernés par la mesure», souligne Joël Laus, coordinateur du Guide pratique du contribuable et affilié au syndicat Solidaires-Finances publiques. Les hausses d'impôts s'échelonneront de quelques dizaines d'euros à quelques milliers d'euros, ajoute-t-il.
Gain de 500 millions à un milliard pour l'État

À titre d'exmple, un célibataire dont les revenus de 2012 se situeraient dans la troisième tranche (20.000 euros) paiera 23 euros supplémentaires, 162 euros s'il appartient à la quatrième tranche (35.000 euros), 626 euros pour ceux qui sont dans la cinquième tranche (100.000 euros), et 1772 euros s'il se situe dans la sixième tranche (200.000 euros), selon les simulations du syndicat Solidaires-Finances publiques qui se base sur une inflation de 2%. Pour un couple marié avec deux enfants, la hausse supplémentaire d'impôt atteindrait 19 euros pour les familles imposées dans la troisième tranche (40.000 euros de revenus) et de 3059 euros pour les familles ayant gagné 600.000 euros en 2012. «Pour les couples mariés avec enfant, la mesure aura une incience sensible à partir de 70.000 euros de revenus annuels», précise Joël Laus. Au total, le gain pourrait être de 500 millions à un milliard d'euros pour l'État, affirme Joël Laus.
Et pour trouver les 6 milliards d'euros qui manquent encore, Bercy pourrait également revoir certaines niches fiscales et l'avantage procuré par le quotient familial. Mais les catégories les plus défavorisées ne seraient pas non plus épargnées par cette mise à la diète. La prime pour l'emploi pourrait à nouveau être gelée en 2014. "


Et on verra ce brave HOLLANDE se pointer à un show télévisé, où il nous dira avec son air consterné, qu'il n'a pas pu faire autrement !

GENS DU VOYAGE : ET ON CONTINUE....

" 45 policiers ont dû être mobilisés pour procéder ce mardi à l'interpellation de deux individus, dans un camp de gens du voyage à Agde. Ils sont soupçonnés d'avoir tiré, cette nuit, sur les forces de l'ordre.

Un camp de gens du voyage d'Agde est bouclé par les forces de l'ordre ce mardi matin. Plus de 45 policiers ont été mobilisés pour procéder à l'interpellation de deux individus à La Tamarissière, soupçonnés d'avoir tiré sur des hommes de la brigade anti-criminalité (Bac) dans la nuit.

La bac essuie des coups de feu

Les faits ont débuté à minuit sur le parking du Quick d'Agde, près d'Intermarché. Une violente altercation a opposé des gens du voyage à un groupe de jeunes.

Deux coups de feu sont alors tirés. Une équipe de la Bac, dépêchée sur place, est accueillie par deux autres tirs émanant d'une BMW dans laquelle se trouvent au moins deux individus. Les policiers auraient répliqué une fois entraînant la fuite du véhicule.

Deux individus interpellés

D'importants moyens ont alors été déployés et la BMW est repérée par hélicoptère dans un des camps de La Tamarissère. La mobilisation de policiers de Montpellier, Agde et Sète a permis l'interpellation des deux individus, âgés de 19 et 20 ans, à 4 h du matin. 

Les hommes ont été placés en garde à vue et une enquête est en cours. "

SARKOZY : DIRE QU'IL TROUVE ENCORE DES COUILLONS POUR PAYER...



" Il refait signe aux militants et sympathisants UMP. Après avoir appelé ses soutiens à participer à la souscription nationale pour renflouer l’UMP, Nicolas Sarkozy a pris la plume pour remercier ceux qui ont fait un geste, rapporte ce mardi Le Parisien. «Votre geste de solidarité me touche beaucoup. Je vous en suis infiniment reconnaissant. (…) Je voulais vous témoigner personnellement ma gratitude pour le don que vous avez eu la gentillesse d’effectuer», écrit-il dans un courrier qui doit être envoyé ce mardi aux donateurs.  Et Nicolas Sarkozy, très impliqué dans le suivi de la récolte des fonds, devrait même rencontrer à la rentrée les plus gros donateurs, comme au bon vieux temps où il était le patron de l’UMP et même président de la République.

Mais voilà, cette omniprésence ne passe pas inaperçue à l’UMP, d’autant que certains estime que l’ex-président aurait pu faire un geste lui-même pour aider sa famille politique. Sur i>Télé, le député UMP Bernard Debré a grincé en se rappelant ce «discours formidable» quand Sarkozy a dit: «payez parce que ma campagne a été dispendieuse, payez parce que j’ai été sanctionné, payez parce que je dois 11 millions. Oui, on est là pour payer bien sûr mais peut-être aurait-il pu faire un effort supplémentaire.»

«En résumé, il se fout de notre gueule»

Nicolas Sarkozy a versé 7.500 euros, le maximum légal pour une personne physique. Mais il aurait pu actionner le levier des micro-partis, rappelle Le Monde. Il aurait pu verser 7.500 euros au club de François Fillon (Force Républicaine), de Jean-François Copé (Génération France) ou de Michèle Alliot-Marie (Le Chêne) qui aurait ensuite reversé cet argent à l’UMP. Il aurait pu aussi faire la même démarches avec les micro-partis  dédiés à son action: les Amis de Sarkozy (qui a déjà versé 20.000 euros), l'Association de soutien à l’action de Nicolas Sarkozy et l’Association nationale des amis de Sarkozy.

Un autre député, cité en off par Le Monde, attaque:  «L'exercice réalisé par Nicolas Sarkozy est gonflé. Il a, pour le moins, géré la campagne avec légèreté. Il nous plante, et puis il revient jouer les sauveurs avec 7.500 euros en donnant des leçons de bonne conduite à Fillon et Copé. C'est une opération de com' culottée pour laquelle il enfile le costume de la victime et où il se la joue solidaire. En résumé, il se fout de notre gueule. (…) La loi prévoit que les dons aux partis politiques sont limités à 7.500 euros par personne physique. Donc rien n'interdit à Carla de mettre un peu la main à la poche.»

Pour l’instant, 8,3 millions d’euros ont été récoltés. Pas assez pour renflouer les 11 millions d’euros à verser à la banque d’ici le 31 juillet, mais assez pour permettre au parti de Jean-François Copé d’obtenir un délai de deux mois pour réunir les 2,7 millions d’euros restants. "


J'adore ce genre de mec plein aux as qui réclame de l'argent aux autres. Le pire s'est qu'il trouve des couillons pour payer. La France est vraiment un pays FORMIDABLE ! Faites-en autant pour voir...

lundi 29 juillet 2013

FRONTIGNAN : APRES LE PASSAGE DES CARAVANES ON BARRICADE LE STADE

" L'entrée du stade bloquée par des rochers à Frontignan dans l'Hérault,  pour empécher l'installation de campements.

Depuis lundi matin, les engins installent des rochers pour barrer l'entrée des stades de Frontignan, envahis ces derniers jours par d'imposantes communautés de gens du voyage. Dimanche, en fin d'après-midi, environ 150 caravanes, installées depuis le début de semaine, ont quitté les lieux. "

L'AMABILITE DES GENS DU VOYAGE

" Jean-Paul Franc, le maire d'Aimargues, n'en revient toujours pas du comportement des gens du voyage qui se sont installés illicitement sur le stade municipal, ce dimanche. Une situation qui a failli dégénérer lorsque le premier magistrat est allé à leur rencontre...

Le premier magistrat d’Aimargues, Jean-Paul Franc, Marianne d’or 2013 notamment pour ses actions en matière de démocratie de proximité, était encore sous le choc, hier, en fin de matinée.

Il est 10 h 30 quand il reçoit un coup de fil l’avertissant qu’un convoi de gens du voyage est aux portes de la commune, au rond-point de Vauvert, et convoite le stade municipal tout proche. Jean-Paul Franc monte dans sa voiture, arrive sur place, constate que les premières caravanes ont pénétré dans l’enceinte sportive et se sont posées sur la pelouse du stade de football, alors que d’immenses champs s’étirent à perte de vue dans la plaine voisine. Il faut dire que cette pelouse, dotée d’un système d’irrigation enterré, est splendide. Aucun terrain de camping n’est en mesure d’offrir aux touristes une herbe aussi verte, aussi douce, aussi fraîche, aussi précieuse.

Il a fait de son corps un rempart devant le stade

"J’ai garé ma voiture en travers, sur le chemin d’accès, pour les empêcher de continuer à passer", raconte le maire. Mais son véhicule étant trop court, des caravanes ont continué à se faufiler. N’arrivant à rien, le maire, qui s’était présenté et avait demandé aux intrus de rebrousser chemin, s’est alors placé devant le convoi, faisant de son corps un rempart pour le stade.

"Le ton est monté, je leur ai dit qu’ils n’avaient pas le droit de s’installer et endommageaient très gravement la pelouse, mais ils m’ont foncé dessus et m’auraient écrasé si je ne m’étais écarté. J’ai alors tapé sur un véhicule forçant le passage, de la paume de la main, rien de plus."

"J'ai failli me faire lyncher"

Ce geste a mis le feu aux poudres explique le maire. "J’ai failli me faire lyncher. Des jeunes se sont précipités sur moi, les poings en avant, me disant “On va te faire la peau”." Le maire raconte ensuite que les gendarmes sont arrivés et qu’ils ont gelé la situation. "Les gens du voyage ont dit qu’ils allaient porter plainte contre moi et ont exigé que les gendarmes dressent un P.-V. selon lequel j’aurais dégradé un véhicule".

"C'était des fous furieux"

Les choses se sont ensuite encore envenimées rapporte l'élu dont la voiture a été poussée de là par les gens du voyage. "On n’a pas pu discuter, ils voulaient me tuer, ils se fichaient que je sois le maire, un truc de fous furieux. Les gendarmes m’ont dit que je ne pouvais pas rester là et que ça pouvait devenir dangereux. Ils m’ont fait monter dans un véhicule de la gendarmerie pendant que les gens du voyage me criaient “On t’aura” ; et j’ai cru qu’ils allaient renverser la voiture des gendarmes qui a démarré sirène hurlante et m’a ramené à mon domicile".

À 12 h 30, le calme était revenu. Il n’y avait plus de cris, plus de gendarmes et la pelouse était totalement occupée par une cinquantaine de caravanes.

SCANDALISÉ, LE MAIRE A DÉPOSÉ PLAINTE HIER
Le maire d’Aimargues a déposé plainte à la gendarmerie, hier après-midi, pour dégradations de biens publics (le portail du stade cassé, la pelouse et l’arrosage à refaire...) et pour avoir été victime, à deux reprises au moins, sur une voie publique, de tentative visant à l’écraser.

"Et j’ai failli être lynché ! C’est une des premières fois de ma vie que j’ai vraiment eu peur et que j’ai affaire à des fous furieux. J’ai failli demander au préfet, que je n’ai pas encore eu au téléphone, qu’il assure ma protection tellement j’ai eu peur et d’ailleurs je n’exclus pas de le faire."

Le maire va déposer ce matin un référé expulsion. Mais "sans conviction", la démarche prenant plusieurs jours, le temps de la halte des intrus. "Ils partiront dans une huitaine de jours mais j’ai l’intention d’aller au bout et je veux qu’ils remboursent toutes les réparations qu’on va devoir faire. Et qu’on ne nous dise pas qu’ils sont insolvables parce que je ne le comprendrais pas quand on voit les voitures qu’ils ont et qui peuvent dépasser les 100 000 €." "

http://www.midilibre.fr/2013/07/28/le-stade-d-aimargues-envahi-par-des-caravanes%2c739770.php

C'est quoi cette justice ?! Plus facile et moins dangereux de s'en prendre aux femmes et aux enfants de la manif pour tous, Mr VALLS !

LES CONVERTIS A L'ISLAM SONT AUSSI DANGEREUX QUE LES ISLAMISTES DE SOUCHE


" Suite à une vidéo, postée mi-juillet par l'un des jeunes toulousains, appelant des volontaires à la guerre sainte à venir les rejoindre en Syrie un homme de 47 ans, originaire de Toulouse, a été interpellé dans le Territoire-de-Belfort dans le cadre d'une opération antiterroriste. Il est soupçonné d'avoir voulu rejoindre le jihad en Syrie.  L'homme a été relâché, aucun élément n'ayant permis de corroborer l'imminence de son départ,

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a récemment évalué à au moins une cinquantaine le nombre des Français partis combattre en Syrie. "Cinquante, peut-être plus encore, sont sur place, quarante sont en transit, une trentaine sont revenus et sont en tout cas sous la surveillance de nos services. Une poignée sont décédés, morts dans des combats sur place", avait-il indiqué sur France 2 le 18 juillet, interrogé sur les Français combattant en Syrie.

Le ministre avait par ailleurs estimé que "600 Européens sont dans la même situation", évoquant un phénomène "très inquiétant". Selon une source judiciaire, 14 enquêtes judiciaires relatives à des infractions terroristes en lien avec la Syrie sont actuellement en cours à Paris et 5 informations judiciaires ont déjà été ouvertes. Au total, ces enquêtes concernent 36 personnes mises en cause. "

dimanche 28 juillet 2013

ARMEE : RADICALISATION ISLAMISTE DE CERTAINS MILITAIRES

" Honnêtement, l’on a du mal à y croire. Et pourtant, c’est une réalité que n’a pas masqué le colonel  Pascal Rolez, adjoint au sous-directeur Contre-ingérence à la Direction de la protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD), lors d’une table ronde organisée lors des 5e rencontres parlementaires de la sécurité nationale et dont un compte-rendu vient d’être publié par Défense&Stratégie.

Après avoir évoqué la surveillance des réseaux jihadistes sur Internet, le débat s’est porté sur le phénomène de radicalisation de certains individus. Mais ce dernier ne passe pas nécessairement par ce mode de communication.

Et “c’est d’ailleurs devenu l’un des axes de travail majeur de la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense”, peut-on lire dans le compte-rendu. Et le colonel Rolez d’expliquer : “Notre focus aujourd’hui est devenu la lutte contre le terrorisme islamiste. Nous constatons une augmentation de la radicalisation parmi les militaires français, notamment après l’affaire Merah”. Pour rappel, le tueur au scooter de Toulouse avait assassiné, de sang froid, trois militaires, dont deux de confession musulmane.

Pour identifier ces militaires en voie de radicalisation, la DPSD prend en compte les changements vestimentaires, les arrêts maladie à répétition, les voyages ou encore les vols de matériels.

Reste à voir quelle est l’ampleur de ce phénomène. En 2009, le Sirpa Terre avait confirmé une information selon laquelle 5 engagés volontaires de l’armée de terre avaient refusé de partir en Afghanistan pour des “raisons confessionnelles.” Ce qui, rapporté aux effectifs de l’époque, était quasiment un non-évènement.

Le Sirpa Terre avait alors expliqué que ces cas traduisaient “une erreur de compréhension du sens de leur engagement qui consiste à porter les armes de la France pour défendre ses intérêts et ses valeurs en tous temps et en tous lieux.”

Quoi qu’il en soit, cette tendance ne manque pas d’inquiéter la DPSD. “Nous intervenons régulièrement en assistance de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur, ndlr) lors d’opérations contre des cellules terroristes car trop souvent, hélas, dans ces cellules, ou autour d’elles, l’on trouve des militaires français”, a indiqué le colonel Rolez. "


Le vert est dans le fruit...

PRISONS : QUAND LA CGT FAIT APPEL A L'ARMEE

" En France, et même s’il existe des dispositions législatives (voir les articles  articles D1321 du Code de la Défense) prévues à cet effet, les militaires n’ont pas vocation à faire du maintien de l’ordre étant donné que c’est un travail de police et que la plupart des responsables politiques ne sont pas chaud devant cette idée. Et ni à se substituer aux gardiens de prison…

Pourtant, cela n’a pas empêché la CGT Pénitentiaire de demander, dans une lettre ouverte adressée au parlementaires isérois, l’intervention de l’armée pour soutenir les surveillants de la maison d’arrêt de Varces, lesquels doivent faire face à de “graves difficultés”.

“A ce jour la maison d’arrêt de Varces connaît de graves difficultés en matière de ressources humaines. (…) Cette situation n’est plus tenable, il manque 15 agents de tous grades et de tous corps dans un établissement qui accueille près de 350 détenus pour 233 places”, a expliqué le syndicat, qui estime que “la sécurité n’est plus assurée dans de telles conditions, ni celle des personnels, ni celle des personnes.”

Aussi, la CGT Pénitentiaire réclame aux parlementaires “une intervention rapide auprès du gouvernement pour l’alerter sur la situation actuelle et aboutir à des solutions concrètes avant la fin de l’année” ainsi qu’une “intervention de l’armée”, en particulier celle des militaires du 93e Régiment d’Artillerie de Montagne (RAM) de Varces” afin de “protéger nos concitoyens” étant donné que la situation “se dégrade”. "

HOLLANDE ET SES EMPLOIS VACANTS

" La mission des gouvernants socialistes est... de produire du socialisme. De réduire les pouvoirs des individus et de les octroyer à l’Etat, c’est à dire à une classe dominante. Après s’être attaqué au logement, le gouvernement français s’attaque, comme prévu, à l’emploi. Le but n’est pas social, humain ou économique, non le but est politique. Il s’agit de rester en place, de s’installer, de s’incruster et, pour ce faire, de tenir le plus longtemps possible en faisant semblant, en apparence, de tenir des promesses. 

La possibilité de loger décemment et sans pénurie les Français « breadearner », les Français qui gagnent leur pain, a été détruite par le découragement de l’offre de logements. Aucun propriétaire n’envisage sans appréhension de donner son logement en location, tant les risques de dégradation, non-paiement des loyers, contrôle des loyers, maintien forcé dans les lieux, normes tatillonnes, etc. sont importants. Résultat, on s’oriente vers la réquisition des locaux vacants, après avoir tenté de leurrer les propriétaires par des aides empoisonnées. Le schéma est le suivant: on décourage et on spolie la propriété destinée à la location, puis on fait semblant de faire machine arrière et on la subventionne, bien sûr, tout en la normant et en la contrôlant, et finalement, on franchit le pas, on réquisitionne, on nationalise. On vide le droit de propriété de tout contenu. On retrouve ce schéma, dont le patronat est complice, dans la mise en coupe des entreprises. On les saigne, on menace d’interdire les licenciements, on réduit comme peau de chagrin la liberté de gérer, puis on balance 20 milliards, cadeaux scandaleux selon Mélenchon, dont nous partageons l’avis, par le biais du CICE. Bien entendu, au passage, on s’octroie un droit de regard supplémentaire sur la gestion des entreprises, on se donne le droit d’enquêter et de contrôler, comme vient juste de le dire Moscovici, pour détecter les fraudeurs. 

Et des fraudeurs, il y en aura, car tout cadeau tombé du ciel produit ses profiteurs, ses délinquants, c’est incontournable et on le sait. Tout le monde le sait, les socialistes, le MEDEF, mais dans le régime pseudo capitaliste façon corporatiste social-national, finalement, tout le monde est complice, d’accord pour réduire la liberté des chefs d’entreprises. Tout cela a des relents que vous avez, bien entendu, décelé, vous sentez d’ici, n’est-ce pas, la nostalgie honteuse. Nous ne qualifierons pas plus précisément, la suggestion est plus efficace… Ce schéma, on vient encore de le voir s’ébaucher avec les déclarations de Hollande en campagne dans le nord de la France. Le constat, qui dénote la même pensée, nous devrions dire, la même fausseté de pensée, que dans le cas du logement et de l’investissement, s’applique cette fois à l’emploi. Le vocabulaire utilisé est le même, la tournure d’esprit semblable et, bien entendu, les remèdes proposés sont de la même veine. 

Hollande, Nanette Vitamine, vient de découvrir qu’il y avait 100.000 emplois vacants ; comme les logements, ils sont vides, non occupés. Est-ce un économiste qui l’a conseillé, ou bien est-ce un rhéteur Enarque faiseur de discours, on ne sait, mais à partir de cette analogie, on va pourvoir au remplissage des emplois vacants. Il suffisait d’y penser, Nanette. Les uns sont sans emploi, les autres ont des emplois vacants, qu’à cela ne tienne, on va boucher les trous. Remplir ce qui est vide. Et on sort la tarte à la crème de la formation. Ah la tarte à la crème de la formation, cette manne pourrie dont tout le monde sait, mais silence, on se goinfre, qu’elle est gaspillage et détournement institutionnalisés au profit des escrocs, des syndicats, des organismes bidons et des partis politiques en mal de reclassement de permanents. Ah, cette formation qui multiplie les inscriptions à des cours d’anglais dont même Maurice Chevallier sourirait. Tout le monde s’inscrit à des cours d’anglais, cela ne nécessite aucun effort, hélas, personne n’est simplement capable d’aligner deux mots sans faire sourire.

Le « miracle » de la formation est l’un des plus grands scandales de notre époque. On a fait croire aux jeunes que s’ils avaient des diplômes, ils auraient du travail ; maintenant, ils sont chômeurs diplômés inclassables parce qu’avec leur diplôme, ils refusent de déchoir ! Les diplômés, aux USA, prennent des emplois de fast-food, vendeurs de voitures, livreurs de pizzas, voilà la réalité. Et les imbéciles qui se font avoir par la publicité des organismes de formation paient, perdent leur temps, deviennent frustrés de promesses non tenues, avant de se résigner à abandonner leurs prétentions. Prétention, le mot est à prendre au sens plein. C’est un mythe que de croire qu’en se qualifiant, on échappe au chômage. C’est un mythe honteux, on devient chômeur qualifié. Et encore plus avec des formations au rabais, subventionnes, politisées, syndicalisées. La concurrence des pays neufs a depuis longtemps grimpé dans l’échelle de la valeur ajoutée, ce n’est pas la main d’œuvre non qualifiée qui est évincée du marché du travail, non, ce sont ceux qui sont juste qualifiés, ceux qui sont qualifiés, mais ne peuvent prétendre à l’excellence. Ce sont les gens moyennement qualifiés qui sont mis hors du circuit, voilà la vérité. Et ce ne sont pas les formations socialistes, à faible compétence et médiocre motivation, qui vont reconquérir le marché. Et l’excellence, créatrice d’emploi, à la fois pour soi et pour les autres, est bannie, tuée par les socialistes. 

Pourquoi rechercher l’excellence si on postule, à longueur de journée et d’ondes, à l’égalité ? L’excellence, c’est la recherche de ce qui vaut plus, de ce qui distingue ; l’excellence, c’est la discrimination; honnie des socialistes et de leurs alliés et complices. On ne peut ne vouloir voir qu’une seule tête, tout raboter et s’étonner du nivellement qui accompagne le chômage. L’excellence, ressort de la création, de l’innovation et donc de l’emploi dans un monde de compétition est dépouillé de tout sens par une culture, une fiscalité, qui bannissent l’effort et sa récompense. Si les postes offerts, à vérifier qu’ils existent vraiment, ne sont pas pourvus, c’est parce que, au prix où ils sont offerts, il n’y a pas de demandeur. 

Voilà la réalité incontournable. Et l’entreprise ne paie pas plus cher, parce que au-delà, cela n’est pas rentable d’employer. Et le demandeur ne prend pas l’emploi parce que, à ce niveau de salaire, il a tout intérêt à refuser et préférer vivre aux dépens de ses proches ou de la collectivité. Le marché du travail, comme celui du logement, est désajusté, bloqué. La solution est-elle de multiplier les emplois bidon, non productifs, garage ou parkings à chômeurs, par les subventions -et les contrôles qui en découlent- les aides, les niches -que l’on supprimera plus tard- non bien sûr. Celui qui subventionne prend le pouvoir, messieurs les chefs d’entreprise, sachez-le, être chef d’entreprise c’est, au moins, conserver un peu de liberté et de dignité. La solution est de débloquer, de rétablir l’ajustement du marché du travail, de fluidifier. Nous entendons parler d’aide à la mobilité, au déménagement, mais, hier, on a augmenté la taxation sur les reventes de logements -gel du marché- et demain, on parle d’augmenter les droits de mutation, dus en cas de cession. Gribouille est parmi nous, il loge dans les Palais! 

La France a perdu sa compétitivité internationale ; de tous temps, la France, faute de courage, a été dévaluationniste, c’est une tradition française due à l’absence de consensus social, due à la persistance d’une lutte des classes larvée. La dévaluation dans un monde de changes flottants est une arme, un outil qui permet de faire en douceur ce que l’on ne peut imposer. Visiblement, cet outil n’est pas dans la trousse de notre plombier national. Que fait-on, on refuse la dévaluation externe, celle du change, celle de cet euro maudit qui met au rencart et condamne à la misère et à l’affrontement. On préfère faire ami-ami avec Merkel et faire de la dévaluation interne, casser la demande, amputer les revenus, plutôt que déplaire au souverain. On n’a même pas l’estomac de mettre à l’épreuve le bluff allemand. Ce faisant, on se prive de la seconde arme, le second outil, le budgétaire. Faute d’oser affronter ses rivaux stratégiques, cela toujours été le comportement socialiste, on se retourne contre son peuple, comme la police qui, incapable de lutter contre les délinquants, harcèle les honnêtes gens. 

Quand on a renoncé à tout, quand on s’est trompé sur tout, il ne reste plus qu’une chose, celle que l’on fait, faire violence à son propre peuple. On abaisse le peuple, on le condamne à quémander, à vivre rampant ou à genoux. On se sert de son peuple comme marchepied, dans la dérisoire ascension vers le socialisme. "

L'ISLAM EST-IL COMPATIBLE AVEC LA REPUBLIQUE ?

" Les musulmans français pratiquant leur religion dans notre pays peuvent-ils être des citoyens comme les autres? Les assassinats commis au nom de l’islam par Mohamed Merah en mars 2012 ont remis la question au cœur du débat public.

Déjà pour ces seuls derniers mois, avant même que ne commence la campagne électorale, plusieurs «affaires» ont illustré les relations compliquées qu’entretiennent islam et république française: refus aux mères d’élèves portant le voile de participer aux sorties scolaires (mars 2011); interdiction des prières de rue par Claude Guéant (septembre 2011); adoption par le Sénat d’une loi controversée dont l’article 3 dispose que les assistantes maternelles accueillant des enfants à domicile ne doivent pas être voilées (janvier 2012). Enfin, en février 2012, c’est Marine Le Pen qui lance une nouvelle offensive en avançant que «l'ensemble de la viande qui est distribuée en Ile-de-France, à l'insu du consommateur, est exclusivement de la viande halal».

Ces «affaires» posent chacune à leur manière la question de la compatibilité de l’islam, ou de ses pratiques, avec la République française. L’islam menacerait-il la république?

1. Porter le voile, faire la prière dans la rue, réclamer des cantines halal, des jours fériés musulmans, des horaires de piscine séparés pour les femmes vont à l’encontre du socle républicain

FAUX. En France, les principes constitutionnels et la laïcité garantissent la liberté individuelle, la liberté de conscience, mais aussi la liberté de culte, aussi longtemps que ses manifestations ne troublent pas l’ordre public. Dans ces affaires, le clignotant s’allume si des musulmans exigent que des interdits ou des préceptes religieux musulmans s’appliquent à l’ensemble de la population, voire à la seule partie qui relève de la religion musulmane. Cela ressortit alors du communautarisme, c'est-à-dire de l'existence de communautés vivant selon des règles particulières, différentes de celles applicables à tous.

Rien n’interdit que l’on serve des menus sans porc dans les cantines et, à l’exception de l’école (parce qu’il s’agit d’enfants et d’adolescents), le port du foulard est autorisé dans l’espace public. 

Ces comportements ne sont pas traditionnels dans la société française, c’est pourquoi ils peuvent être irritants pour certains. Mais ils ne sont pas illégaux. «Les prières de rue» quant à elles, résultent d'abord de l'insuffisance d’une quinzaine de mosquées dans toute la France (sur un total de 2.000 environ) mais elles constituent une entrave à la circulation.

Ce qui peut poser problème, c’est que certains de ces comportements traduisent souvent une exacerbation de la volonté d'affirmer sa différence, une revendication identitaire parallèlement à la poussée démographique des «musulmans sociologiques» qui seraient 5 millions en France (1).

2. La construction des mosquées est illégale et les autorités qui y consentent cèdent devant la pression communautariste, voire les menaces

FAUX. La construction de mosquées n’a rien d’illégal aux termes de la loi de 1905. Ce qui est interdit, c’est d’accorder des subventions publiques pour la construction d’édifices cultuels.

Le problème, c’est que la loi de 1905 interdit les subventions postérieures à la loi, mais met gracieusement à la disposition des cultes les édifices antérieurs qui sont propriété publique. Ce qui crée une inégalité de fait en faveur des cultes catholique et protestant, dans une moindre mesure juif, implantés en France depuis plusieurs siècles.

Or pour des raisons d’équité, de dignité et parfois aussi de clientélisme, les institutions publiques ont voulu que les musulmans puissent se doter de lieux de culte. Et il existe des moyens d’aider sans transgresser la loi: baux emphytéotiques, subventions à des associations à but social ou culturel, etc.

En outre, les musulmans arrivent assez aisément à se passer d’argent public. De fait, le financement des lieux de culte est déjà dans une large part le fait des communautés musulmanes elles-mêmes, par des contributions directes, par le commerce de la viande halal (il y aurait plus de 5.000 boucheries halal en France), par le recours à des donateurs français ou étrangers.

3. Les pays étrangers  ont la main sur de nombreuses institutions musulmanes au sein de la République française

VRAI. L’islam de France est encore pour une grande part un islam en France, où les pays d’origine de communautés immigrées jouent un rôle prépondérant. Le gouvernement algérien finance le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, ainsi que certains des imams qui y officient. Le roi du Maroc subventionne le rassemblement des Marocains de France, créé en 2006, et membre du Conseil français du culte musulman (CFCM). Ces deux pays contrôlent donc directement ou indirectement de nombreux imams et mosquées en France.

De Turquie, c’est le ministère des Affaires religieuses à Ankara qui sélectionne des imams, les paye et les envoie en France pour répandre une pratique religieuse «à la turque». Ceux-ci ne maîtrisent souvent pas le français et peuvent être en conflit ouvert avec les Franco-Turcs de la seconde génération vivant en France. C’est encore Ankara qui finance le représentant turc au sein du CCFM.

Les Frères musulmans égyptiens ont la main sur l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) dont l’orientation politique est donc décidée à l’extérieur de la France.

Les pays du Golfe, en particulier le Qatar tente une percée dans le contrôle de certains lieux de culte. Les soufis ont leurs confréries à l’étranger et pas en France. D’ailleurs, le gouvernement français a souvent la tentation d’utiliser ces relais pour contrôler les communautés immigrées.

Mais les musulmans de la deuxième ou de la troisième génération, ou les convertis,  ont moins de raisons d’entretenir de tels liens et peuvent être exaspérés par ces tutelles.

4. Les musulmans français constituent un vivier potentiel pour les islamistes qui prônent la charia et le djihad

VRAI ET FAUX. Les musulmans de France sont aussi divers que possible et la majorité d’entre eux sont bien intégrés dans la société française. L’islamologue Olivier Roy note qu’en prenant pour cible des militaires français musulmans, Mohamed Merah «a tué son double»:

«L'armée française compte désormais de 10% à 20% de jeunes musulmans de seconde génération dans ses rangs; ils se comptent donc en milliers, voire dizaines de milliers; le décalage est énorme avec le nombre de djihadistes, et pourtant c'est à travers l'évolution de ces derniers qu'on veut lire l'évolution de l'islam en France, et pas au travers de ceux qui trouvent leur chemin, parfois cahin-caha, vers l'intégration.»

Pacifique, l’islam peut être instrumentalisé dans un certain contexte et prêter à des lectures extrêmes.  Même si, comme Jean Daniel le rappelle dans Le Nouvel Observateur, toute religion comporte une face cachée, un aspect sombre, nocturne, comportant intolérance et violence, qui surgit à un moment ou à un autre dans l'histoire.

Signe inquiétant cependant: un sondage sur l’islam et la citoyenneté (août 2008) du CSA pour Le Monde des religions montre que les jeunes Français musulmans de moins de 30 ans sont plus nombreux que les plus âgés à penser que la charia peut être appliquée (60% contre 33%). Ce qui incite à en conclure, écrivent Bernard Godard et Sylvie Taussig dans Les musulmans en France, «soit d’une incompréhension du terme même de charia, soit d’une volonté d’en découdre avec la laïcité». Or si un groupe minoritaire veut imposer la charia en France, il est anti-républicain dans la mesure où il s'agit de règles qui ne sont pas l'expression de la volonté générale du peuple souverain, mais qui trouvent leur source dans des textes révélés, imposée de l'extérieur, et interprétés par les grands prêtres et non les juges républicains.

5. L’islam est hostile à l’égalité entre les femmes et les hommes, fondement de la République

VRAI. S’il existe bien une lecture féministe du Coran, c’est l’interprétation misogyne qui l’a emporté. En matière d’émancipation sexuelle, l’islam est plus sexiste que prude. Le Coran s’est inscrit culturellement dans des sociétés méditerranéennes profondément sexistes, qui ont fini par imposer un statut dominé des femmes comme résultant de la règle religieuse (interdiction du divorce mais répudiation, polygamie, etc.). Les femmes sont souvent élevées dans une culture de la soumission tandis que les garçons sont habitués à jouer les premiers rôles.

En France, de tels comportements perdurent au sein des familles issues de l’immigration, mais sont aussi sérieusement concurrencés par l’attraction de la société française. L’égalité à l’école (et même la sensible supériorité des filles en matière de réussite scolaire), le travail des femmes, et plus généralement l’ambiance individualiste porte à l’émancipation des femmes musulmanes autant que des autres. Paradoxalement, le port du foulard est parfois pour certaines un moyen d’émancipation (comme l’était pour les femmes du XIXe siècle le fait d’entrer dans les ordres).

6. Culturellement, l’islam est d’essence étrangère, et ne peut donc pas s’acclimater en République française

VRAI (pour l’instant). Il n’y a pas de tradition de séparation du politique et du religieux, comme le veut la laïcité française, dans la tradition de l’Oumma. Mais précisément, la situation des musulmans d’Europe et en particulier de France est tout à fait singulière et inédite: première implantation durable de communautés musulmanes minoritaires, dans des pays pluralistes. Cela explique sans doute le repli sur le noyau dur du religieux identitaire. Mais cela offre aussi une opportunité pour un réexamen doctrinal.

«Certains musulmans français ont bien tenté de couper le cordon ombilical avec l’arabité, de faire les sermons du vendredi en français. Mais la formation des imams de France en France est encore marginale», explique Abdelaziz Chaambi, membre fondateur du Collectif des musulmans de France. Egalement président de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie, Abdelaziz Chaambi reconnaît que, «dès qu’on commence à critiquer les responsables ou représentants de la communauté, on est menacé de fitna. “Tu vas aller en enfer, tu va perdre tes bonnes actions” se voit-on répondre», explique-t-il. Ce qui est en jeu, selon lui, c’est d’arriver à fournir une interprétation de l’islam adapté au contexte français, aux réalités françaises sans mettre en cause le dogme et les croyances. «A Lyon, par exemple, nous nous sommes appuyés sur des fatwas qui ont permis d’adapter l’islam à la vie quotidienne française, afin par exemple de partager la table avec des gens qui boivent de l’alcool ou qui fument du cannabis en gardant nos distances.»   

Il faudrait que les musulmans en France acceptent de mener une «adaptation», dit Abdelaziz Chaambi. Le philosophe Abdennour Bidar va, lui, beaucoup plus loin et appelle à une «autocritique» radicale. Malheureusement, écrit-il, «la culture islamique est incapable d’autocritique. Elle considère de façon paranoïaque que toute remise en cause de ses dogmes est un sacrilège. Coran, prophète, ramadan, halal, etc.: même chez des individus éduqués, cultivés, par ailleurs prêts au dialogue sur tout le reste, la moindre tentative de remise en cause sur ces totems de l'islam se heurte à une fin de non-recevoir».

La tentative d’instituer un «islam de France», avec des imams de culture française, formés en France et qui puissent adapter la pratique de l’islam au contexte culturel français a plutôt échoué pour l’instant. Elle constitue pourtant la clé de l’intégration des musulmans pratiquants au sein de la République française.

Ariane Bonzon "

Ce qui peut se résumer par : " L'islam n'est pas et ne sera jamais compatible avec notre société " !

DES CAMBRIOLEURS DE 11, 13 ET 14 ANS

" Trois garçons de 11, 13 et 14 ans ont été arrêtés par la police alors qu'ils venaient de briser la vitre d'un pavillon de Romainville (Seine-Saint-Denis) pour le cambrioler, jeudi 25 juillet. Les forces de l'ordre ont été alertées par un voisin qui avait vu un groupe de jeunes briser la vitre de la maison avec un marteau brise glace, a expliqué la préfecture. Une fois sur place, les policiers ont interpellé trois jeunes garçons. Les deux plus âgés ont alors été placés en garde à vue et le troisième a été mis en retenue judiciaire.

Les trois garçons sont d'origine roumaine, selon une source judiciaire. La police ajoute qu'un autre marteau et des gants ont été retrouvés sur les suspects. L'enfant de 13 ans est déjà impliqué dans 25 affaires, dont sept vols avec effraction. Quant à celui de 11 ans, il est déjà cité dans douze autres affaires, dont une pour cambriolage.

Les deux plus âgés ont été déférés vendredi après-midi devant un juge pour enfants en vue de leur mise en examen pour tentative de vol par effraction en réunion. Le parquet demande leur libération assortie d'un contrôle judiciaire. Le garçon de 11 ans, lui, doit être convoqué ultérieurement devant un juge des enfants. "

BRIVE : LES MILITAIRES EN ONT MARRE

" Bonsoir,

Des militaires obligés de se défendre alors qu'un des leurs de retour de permission s'est fait agressé au cutter, que leurs résidences sont investies, certains ont été placés en garde à vue pour avoir défendu leur honneur et assuré la sécurité des camarades ! Une femme de militaire enceinte de 7 mois a été tabassée à tel point qu’elle perdra son enfant. C’est en France ?

" Je pense que ce boxon, devenu quotidien, ne va pas durer... C’est urgent !

Voici le témoignage édifiant d’un ami d’un militaire du 126ème régiment d’infanterie de Brive qui raconte comment des « chances pour la France » agressent des familles de militaire, tabassent une femme enceinte de 7 mois à tel point qu’elle perdra son enfant et poignardent dans le dos un jeune engagé. La police ne fait rien pour protéger les familles et met les militaires qui se défendent en garde à vue. Quant à la réaction de la hiérarchie militaire, ça se passe de commentaire…

Bonjour,
Je tiens à informer que des évènements graves se déroulent actuellement sur Brive, garnison du 126ème Ri!
L’histoire commence dans une résidence privée ou des familles avec enfants profitent de ce qui paie! Des gens de la cité voisine, viennent squatter,seulement ils commencent a mettre le souk donc une invitation à sortir leur est faite car leur dérive commence a devenir dangereuse, pour les enfants notamment! 
Un militaire étant avec sa compagne sur les lieux, leur demande de quitter les lieux, le ton monte car ces messieurs sont accompagnés et sont en bande!
ça dégénère, un autre militaire arrive et la situation dégénère, le second militaire accompagné de sa compagne enceinte tente d’arrêter ça car son compagnon se fait passer à tabac! Elle se fait à son tour prendre à partie alors qu’elle est enceinte et que cela se voit!!!
Bilan, elle finit à l’hôpital et perd son petit garçon à la suite des coups reçu!!! Il nous semble que cet acte porte un nom et fait partie d’une certaine catégorie!
Le lendemain, des militaires se réunissent et vont dans le quartier concernés! Ils y vont non armés comme certains pourraient le prétendre! Le ton monte parce que « eh les militaires vous faites quoi chez nous!!! » je ne cite que les débuts des propos qui sont soft car la suite, vous pourrez l’imaginer amplement ! Ca commence à courir, forcément ça galope bien en face donc aucun coup aura été donné de la part des militaires ! Seulement en face, les gens du quartier ont tiré sur les militaires à coups de feu ! 
A l’arrivée des forces de l’ordre et afin de ne pas trop envenimer les choses les militaires décident de quitter les lieux sans heurt avec les forces de l’ordre que nous respectons !!! 
Les jeunes eux, par la suite s’en prendront à eux et aux pompiers venus pour éteindre les différents feux !
Le lendemain, 3 militaires isolés en ville dont un gars des îles se sont fait prendre en embuscade par les gens du même quartier, un militaire prendra un coup de couteau et finira à l’hôpital ! Les gens de ce quartier n’en resteront pas là, ils iront aux abords de la résidence et donnent des coups de feu sur les appartements des militaires !
Le soir même,tard, après ces événements, le régiment est rassemblé par le chef de corps, annonce faite de la mort du bébé et des incidents, appel au calme fait par le chef de corps et les hautes autorités ! Seulement la décision d’interdire la sortie aux militaires, notamment à tous les tahitiens !
Renfort de CRS arrivé sur Brive, car peur que d’autres garnisons ne s’en mêlent, il faut dire et surtout avouer que Brive n’est pas la seule garnison à avoir des soucis avec les quartiers !
Seulement impunité des gens du quartiers des Chapélies qui viennent provoquer aux abords direct de la caserne et menacent entre autre tous militaires rentrant du dimanche, trajet gare/caserne qui passe par chez eux !
Aucune interpellation des gens concernés par la mort de ce bébé,par contre le papa et 2 autres militaires sont placés en garde à vue !!!
Dimanche soir un jeune engagé, rentrant de ses perms et n’étant pas au courant des événements a été attaqué par derrière et à subi des coups de cutter dans le dos ! 
A savoir que lors de la venue des militaires dans ce quartier pour voir les auteurs ! les militaires n’étaient pas constitués de casseurs, voleurs ou autres types d’individus malsains et sans valeurs !
Ce matin 2 autres étaient appelés pour soi-disant témoigner ce matin à 9 heures du matin, en fait ce n’était pas pour prendre des témoignages mais pour placer des militaires en garde à vue ! 
Là, je parle pour l’un d’eux, qui est mon ami, mon frère d’arme et je peux garantir les yeux fermés, qu’il n’y a pas plus « CLEAN » que lui car ce CCH est d’une valeur inestimable, toute personne le connaissant pourrait se porter garant de crédibilité !
A notre plus grande surprise (Mauvaise), les médias ne relatent que très peu les faits, laissant même entendre que les fauteurs de trouble seraient les militaires ! Les commentaires de certains compatriotes sont tout simplement insultants pour rester au premier degré !
Nous nous demandons ou est la justice ?
Pourquoi les policiers ne sont-ils pas avec nous alors qu’ils ont tous les éléments ?
Pourquoi les médias nous salissent-ils comme ça ??
Pourquoi ? et de qui viennent les ordres ?
Je crois que si nous nous posons les bonnes questions, les réponses font peur…………! "

samedi 27 juillet 2013

MULTIPLICATION DES VOLS DE PLAQUES D'EGOUT

"  J’ai découvert, grâce à Google, que le ras de chaussée abrite une actualité mouvementée. Depuis quelques mois, en effet, ces objets, que dans le jargon de l'assainissement on appelle "tampon", font l’objet d’une étrange convoitise. On signale, un peu partout, la disparition des plaques d'égout. Généralement, l’information ne suscite pas davantage qu’un entrefilet dans un journal local, mais elle se répète. Ainsi, à Agen, deux jeunes hommes un brin éméchés ont été interpellés, non loin de la gare, après avoir dérobé une vingtaine de plaques en fonte. Les deux voleurs sont désormais sous les barreaux et seront jugés en septembre, rassure le quotidien Sud-Ouest.

La Dépêche relève le même phénomène à Toulouse, en indiquant que la disparition des plaques "aurait pu causer des dommages aux usagers de la route et notamment aux motards". A l’autre bout du pays, France 3 se fend d’un reportage à Pecquencourt (Nord), près de Douai, où 29 plaques ont été dérobées. Le maire est désespéré. Au fil de la vidéo, on comprend la motivation des voleurs : chaque pièce pourrait être revendue 300€. Ces cas ne sont pas isolés. Dans un quartier de Valence, on a subtilisé 27 objets tandis qu’à Sainte-Florine (Haute-Loire) et Brassac (Puy-de-Dôme), en plein cœur de l’Auvergne, on a découvert le vol de 32 plaques et grilles d’égout.

Vols de fonte. Les recherches en ligne, à l’aide des mots clef Kanaldeckel (plaque d’égout en allemand), Manhole cover (anglais), Chiusino (italien) ou Putdeksel (néerlandais) ne permettent pas de déceler l’existence d’un phénomène européen ni international. J’ai juste trouvé cet article qui signale à Senzano (Italie, province de Brescia) le vol d’objets "à la limite de ce qui est crédible", parmi lesquels "des tirelires pour enfants, des fils métalliques destinés à l’illumination publique" et des "plaques d’égout en fonte". On signalera aussi cette page, qui fait état de vols similaires en Ouzbékistan.

50 kg. A l’instar des câbles d’alimentation en cuivre de la SNCF ou du dispositif Sytadin, ces objets intéressent pour leur composition métallique. Une fois refondu, le métal est probablement revendu illégalement, à moins que la plaque, isolée, n'aille rejoindre la cave d'un collectionneur. Du lourd. Surtout pour le voleur. Wikipédia nous apprend que les plaques pèsent autour de 50 kg, afin de supporter le passage de la circulation, tant piétonne que motorisée. Toutes les plaques ne donnent pas accès aux égouts. Les entreprises de télécommunication, les compagnies des eaux ou d’électricité placent également des ouvertures dans la chaussée. Sur ce site, on apprend par ailleurs pourquoi les plaques sont généralement rondes et pas carrées : "1) Une plaque ronde ne risque pas de tomber dans le trou alors qu’une plaque carrée pourrait tomber en diagonale. 2) Il est plus facile de transporter une plaque ronde en la faisant rouler sur le sol". On ajoutera que leur forme est pensée pour permettre le passage d’un égoutier. "

vendredi 26 juillet 2013

ENERGIE RENOUVELABLE : LA NOTE SERA SALEE

" Chères énergies renouvelables. Dans un rapport rendu jeudi, la Cour des comptes constate qu'entre 2005 et 2011, le coût de la politique en place par les pouvoirs publics pour les développer a représenté 14,3 milliards d'euros en cumulé pour le contribuable et le consommateur. Dans le même temps, la part des énergies renouvelables en France est passée de 10,3% à 13,1%, pour un objectif de 23% en 2020, souligne le gendarme des finances publiques. L'effort à faire de 2012 à 2020 représente donc «globalement six à sept fois ce qui a été réalisé» lors des sept années précédentes, relève la Cour des comptes.Ainsi, les surcoûts des énergies renouvelables répercutés dans la CSPE, une taxe incluse dans la facture d'électricité, devraient atteindre 8 milliards d'euros par an en 2020 (soit quatre fois plus qu'en 2012), pour une dépense supplémentaire pour le consommateur de l'ordre de 40 milliards en cumulé d'ici la fin de la décennie (contre 3,3 milliards entre 2005 et 2011). Viennent s'ajouter le coût du fonds chaleur (240 millions d'euros par an actuellement), des mesures fiscales (crédit d'impôt développement durable, TVA réduite) et celui des investissements nécessaires pour adapter le réseau électrique aux nouvelles énergies (5 à 6 milliards d'euros selon la Cour). 

Le premier président de la Cour, Didier Migaud, s'est refusé jeudi à donner une facture globale, dont le calcul est encore trop risqué selon lui. «Le coût devrait être important pour le contribuable et le consommateur d'électricité, davantage que ce qui est habituellement imaginé», a-t-il cependant averti lors d'une conférence de presse. Ces investissements sont-ils justifiés, au regard de leurs bénéfices écologiques et économiques? Didier Migaud a renvoyé la question «aux politiques». Mais la Cour, qui intervient une semaine après la fin du débat national sur la transition énergétique, va plus loin dans son rapport.

«Le coût croissant du soutien au développement des énergies renouvelables conduit à s'interroger sur sa soutenabilité à long terme», écrit-elle. Message principal: «Il faut redoubler d'efforts pour améliorer le rapport coût-efficacité de chacun des dispositifs d'aide existants et savoir arbitrer sur les soutiens aux différentes filières.» Il s'agirait de réorienter les aides «vers les filières les moins coûteuses au mégawattheure produit» (éolien terrestre, biomasse, etc.) tout en veillant aux avantages industriels qu'elles procurent à la France.

Dans le viseur de la Cour figure notamment l'électricité photovoltaïque, qui capte près des deux tiers de la part de la CSPE dévolue aux renouvelables, alors qu'elle ne produit que 2,7% de l'électricité «verte» en France. «Un mégawattheure d'énergie solaire entraîne une dépense de rachat de 500 euros, alors que cette dépense est de 34 euros pour l'éolien et 20 euros pour la biomasse», relève son rapport, même si la Cour reconnaît que les prix du solaire ont fortement baissé depuis deux ans.Reste que la somme payée par le consommateur pour le photovoltaïque en 2011 est ainsi sept fois supérieure aux 300 millions «maximum» dévolus à la recherche sur les énergies renouvelables en France, souligne-t-il. Sur ce volet, la Cour recommande d'investir davantage dans le stockage de l'électricité, un verrou technologique majeur. Elle suggère aussi d'étendre l'assiette de la CSPE à d'autres énergies, comme elle l'avait déjà fait en 2011. Quant aux retombées socio-économiques, elles sont jusqu'ici «plutôt décevantes»: l'emploi dans les énergies renouvelables est passé de 58.460 en 2006 à 83.260 en 2012 (après un pic de 98.580 en 2010), mais «loin des centaines de milliers autrefois évoqués», note-t-elle.

Le rapport intervient alors que les partisans des renouvelables déplorent le retard pris par la France, par rapport à l'Allemagne notamment. Avec un objectif national de 23% d'énergies renouvelables, la France est sur le papier l'un des quatre pays qui auront les efforts les plus importants à accomplir avec l'Irlande, le Royaume-Uni et le Danemark, selon la Cour des comptes. "

LA FRANCE CHAMPIONNE DES DEPENSES SOCIALES

" La France est toujours le pays qui consacre le plus de moyens à ses dépenses sociales, qui devraient atteindre 33% de son produit intérieur brut cette année.
Dans une étude publiée jeudi, l'OCDE indique que, du fait de la crise, et la hausse des allocations chômage et autres prestations, les dépenses sociales réelles ont augmenté de 10% environ dans ses pays membres depuis 2007/2008.
Seuls deux pays ont évolué contre la tendance, la Grèce et la Hongrie, avec des baisses de respectivement 14% et 13%.
A l'inverse, c'est en Corée que la progression a été la plus forte (29%), "cette évolution reflétant l'augmentation des dépenses liées aux pensions et autres prestations telles que les aides à la garde des enfants".
Selon l'OCDE, c'est la France qui consacre la plus grosse part de son PIB à la politique sociale, avec 32,1% en 2009, suivie par le Danemark (30,2%) et la Suède (29,8%), contre 22,1% pour la moyenne OCDE.
Les projections de l'organisation pour 2013 placent la France toujours en tête, avec 33,0% du PIB, devant le Danemark (30,8%) et la Belgique (30,7%). Par comparaison, la moyenne des pays de l'OCDE est attendue à 21,9% et celle des 21 pays de l'Union européenne membres de l'OCDE à 25,1%. "

jeudi 25 juillet 2013

CHOMAGE : POUR HOLLANDE C'EST " JE VAIS BIEN, TOUT VA BIEN... JE SUIS GAI TOUT ME PLAIT... "

" Voici quelques réactions après la publication des chiffres du chômage pour le mois de juin, en hausse pour le 26e mois consécutif (+0,5%), mercredi par le ministère du Travail :

- Philippe Vigier, porte-parole de l'UDI : "l'UDI ne peut que constater une nouvelle fois la dramatique dégradation de la situation de l'emploi. (...) Le gouvernement n'a (...) cessé de s'accrocher à sa boîte à outils et mesure aujourd'hui qu'il risque d'échouer. Il y ajoute aujourd'hui un nouvel outil, 100.000 formations pour les emplois non pourvus sans même que le moindre financement ait été prévu pour cette mesure. (...) Nous craignons qu'il ne s'agisse que d'une tentative désespérée de faire artificiellement diminuer les chiffres du chômage et regrettons que celle-ci ne soit pas l'un des aspects d'un vrai plan massif et volontaire de retour à l'emploi que nous nous cessons d'appeler de nos voeux depuis plus d'un an" (communiqué)

- Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président de Debout la République: "M. Hollande aura beau multiplier les emplois aidés : contrat de génération, emplois d'avenir, nouveau contrat de formation... Ce ne sera toujours qu'un pansement sur une jambe de bois. Aussi longtemps que l'économie française sera en récession, des dizaines de milliers de Français continueront à perdre leur emploi chaque mois. (...) L'interview du 14 juillet a prouvé que François Hollande était en total décalage avec la réalité du pays. Je crains que ces chiffres en demi-teinte continuent à le maintenir dans son illusion". (communiqué)

- Isabelle Le Callennec, députée d'Ille-et-Vilaine, représentante de l'UMP au sein de la Mission d'information sur les emplois d'avenir: "On ne gouverne pas à coup de slogans. C'est pourtant ce à quoi la majorité parlementaire semble rompue. 80% d'une classe d'âge au bac. Il faudrait plutôt 100% des jeunes en emploi ou en formation. 100.000 emplois d'avenir en 2013. Nous sommes à 25.000 fin juin. 500.000 contrats d'apprentissage d'ici 2017. L'apprentissage recule. Quand le gouvernement aura compris qu'il convient de former à la condition que la formation débouche sur un emploi durable dans le secteur marchand, il aura fait un premier pas vers une optimisation des plus de 30 milliards consacrés à la formation professionnelle". (communiqué)

- Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice: "Cette gouvernance de l?autruche est intenable pour notre pays. Le président de la République ne peut décemment plus venir chaque mois à la télévision et se moquer des Français avec son optimisme mensonger en promettant l'inversion de la courbe du chômage (...) Le gouvernement et sa majorité doivent se rendre à l'évidence : les choix politiques qu'ils ont faits - embauche de fonctionnaires, hausse assommante des impôts, réformes coûteuses et inutiles pour les collectivités, suppression des heures supplémentaires....-ont un impact catastrophique sur notre pays" (communiqué) "

BRETIGNY : ENCORE UN MENSONGE DE L'ETAT

" Non, non, non et non, on vous le jure, il ne s’est rien passé à Brétigny ! Mais la vérité est la vérité. Elle met parfois un peu de temps à éclater. Et elle peut faire mal. Mais moins que le mensonge…

" Des actes isolés", a dit un ministre. "Pas de pillage organisé", a dit un autre. "Un simple vol de portable", a dit le préfet. Quant à Manuel Valls, il n’a – pour l’heure – rien dit. Libération, allant dans le même sens, a publié un article définitif sur le sujet, titré : "Des détrousseurs de cadavres imaginaires". Un texte qui est à l’honnêteté journalistique ce que le "Arbeit macht frei" du camp d’Auschwitz fut à la réalité de cette supposée villégiature. 
À l’origine des informations sur les scènes écœurantes qui se sont déroulées après la catastrophe ferroviaire en gare de Brétigny-sur-Orge, il y eut Nathalie Michel du syndicat de police Alliance. Une organisation marquée à droite : une excellente raison sans doute de ne pas la croire ! Marine Le Pen embraya, dénonçant des "comportements abjects" : une autre et toujours excellente raison de penser sans doute que les "détrousseurs de cadavres" n’avaient pas existé ! Enfin, les députés de droite interpellèrent Manuel Valls sur son silence : la preuve définitive et ne souffrant aucune contestation que tout avait été inventé ! 

Quant à Atlantico, le site était, à coup sûr, tombé dans le piège en publiant un article plutôt virulent sur les "détrousseurs de cadavres". Et maintenant les faits, tels qu’ils se confirment. Et ces faits crient d’autant plus fort qu’ils résonnent dans le silence glacé du déni gouvernemental. Un rapport de la direction des CRS appelés sur les lieux pour contenir et écarter les "jeunes" évoque des "jets de projectiles" et des "vols d’effets appartenant aux victimes". Selon ce rapport, les CRS ont dû "repousser des individus venus des quartiers voisins qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles". Un texto d’un CRS envoyé à un de ses collègues décrit "des victimes pillées par des racailles". Nous nous garderons bien de reprendre les affirmations du syndicat Alliance marqué à droite et donc, évidemment, suspect… 

En revanche nous nous voyons contraint d’accorder une certaine confiance à l’UNSA – Police : ce syndicat est marqué à gauche ! Voilà ce que dit son porte-parole, Christophe Crépin, qui était sur place. "Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leur bras et leur jambe et d’autres qui sont venus leur voler leur montre ou leur portable." On a dès lors du mal, bien du mal, à comprendre le déni gouvernemental. Ne pas nommer les choses empêche-t-il les choses d’exister ? Mettre la poussière – et le mot est faible – sous le tapis ne transforme-t-il pas, à force d’accumulation, le tapis en une très laide boursouflure ? Nier ce que tout le monde sait, n’est-ce pas prendre le risque d’attiser la colère de tous ceux qui pensent déjà : "Tous des menteurs" ? On croit comprendre que le gouvernement n’a pas voulu jeter de l’huile sur le feu. Mais pourrait-il, dans son immense sagesse, jeter un peu d’eau sur ce feu ? Sinon, il laissera s’allumer d’autres incendies. Mais, cette fois-ci, pas seulement dans les cités. "

LETTRE OUVERTE : INSTANT DE VERITE

" Il me semble que la plupart des consultants et journalistes auto proclamés spécialistes de l'Afrique ou de stratégie tournent beaucoup en rond. Peu nombreux sont ceux qui nous rappellent que nos ennemis ont une mentalité qui n'a rien à voir avec la nôtre. Que pour eux la vie humaine et la vérité ne comptent pas.

Alors, me direz-vous, que faire ?
  
1° ouvrir les yeux et admettre une bonne fois pour toutes que les islamistes ont déclaré la guerre à l'occident, avec la France en première ligne. Se persuader que cette guerre ne se fera pas sans mort, sans prise d'otages autres attentats, qu'elle se fera aussi chez nous et donc qu'il faudra nous montrer plus vigilant et moins vulnérable y compris émotionnellement. Savoir que notre ennemi trouvera parmi nous des sympathisants et des complices dans tous les milieux et en plus grand nombre que ce ne fut le cas pour le FLN.

2° Cesser de reculer devant les exigences toujours plus grandes de ces extrémistes et de leurs complices, qui, en affaiblissant notre culture et en imposant la leur, cherchent surtout à tester et à saper notre esprit de résistance.

3° Agir en portant le fer là où apparaît un furoncle :
- une immigration débridée qui rend insolubles les problèmes du logement, du chômage, de la dépense publique, çà se contrôle
- des barbus, des imams ou des rappeurs qui appellent à la guerre sainte, à la haine et au crime, çà se sanctionne,
- des quartiers qui caillassent les représentants de l'Etat, qui  rackettent les artisans, çà se neutralise,
- de discrètes écoles coraniques qui forment les djihadistes de demain, çà se ferme,
- des clandestins, çà s'expulse, surtout les délinquants,
- des subventions à toutes ces associations qui font leur beurre dans l'anti-France, ça se supprime ...

Et ...on revoit nos programmes d'histoire, on jette la repentance aux orties, on laisse la transparence aux vitriers ...etc...etc

Et ne me dites pas qu'il s'agit là de racisme, de fascisme ou d'extrême droite! Il s'agit de légitime défense et de résistance dans le respect de la loi, ni plus, ni moins !
   
Vous pensez sans doute que ce n'est pas demain la veille ?......
  
Je crois néanmoins que, sans un sursaut, le pays de la douceur de vivre, le plus beau pays du monde, risque fort de disparaître dans d'atroces soubresauts ou dans une coupable et morne résignation, pour être remplacé par un autre que certains, et pas des moindres, semblent appeler de leurs voeux , on se demande pourquoi, et qui commence à faire peur..
  
Mais je me trompe peut-être... J'aimerais tellement avoir tort...
Enfin, réfléchissez, ne soyez ni sourds, ni aveugles, ni muets. "

mercredi 24 juillet 2013

ISLAMISATION : ON PARLE DE LA FRANCE AUX USA

" Le Figaro a interviewé Christopher Caldwell, journaliste américain, dont le livre « Une révolution sous nos yeux ; Comment l'islam va changer la France et l'Europe* »vient de sortir en France. Extraits.

 Christopher Caldwell : « L'immigration, quelles que soient les circonstances historiques, produit toujours des conflits économiques, sociaux ou culturels. La diversité n'est pas une richesse comme le proclament certains politiques de gauche comme de droite lorsqu'elle est subie.

Christopher Caldwell : « Aux États-Unis, nous connaissons aussi le phénomène de l'immigration. La grande vague migratoire, au cours des dernières décennies, est surgie du Mexique, d'Amérique centrale ou d'Amérique du Sud. Or cette culture n'est pas étrangère aux États-Unis, pays qui compte depuis l'origine une forte minorité catholique. Les gens qui viennent d'Amérique du Sud sont très pauvres, mais leurs références et leurs façons de vivre sont à peu près similaires à celles des Siciliens, dont descendent la grande majorité des citoyens italo-américains. Avec nos immigrés, nous n'avons donc pas un problème culturel comme vous, car ce sont des judéo-chrétiens et nous aussi.

Christopher Caldwell : « l'islam est une culture religieuse qui veut structurer la société. Est-ce compatible avec la tradition européenne? Non. La France va imploser dans 15 ou 20 ans dans le sang et les larmes. C'est maintenant irréversible. sauf.... Tous vos dirigeants, hormis De Gaulle, n'ont pas été responsables et visionnaires.Aujourd'hui, ceux qui gouvernent la France n'ont pas la capacité à réagir face à ce drame programmé. D'autres demain vont se plier aux exigences des islamiques et vont collaborer. Vous subirez la Charia.

Christopher Caldwell : « Vous me demandez en quoi l'immigration en Europe concerne les Américains. Ce n'est pas pour en tirer des leçons pour les États-Unis, car la situation est très différente. En fait, les Américains s'y intéressent pour des raisons géostratégiques : leur interrogation porte sur les populations non assimilées de l'Europe, vues comme des sources potentielles de terrorisme ou d'antiaméricanisme.»

Christopher Caldwell : « Dans une démocratie, il faut partager des règles. Or deux cultures incarnant des visions différentes du monde ont du mal à s'accorder sur de telles règles. Cela ne veut pas dire qu'il est impossible d'y parvenir, mais que c'est difficile.»

Christopher Caldwell : « Verrons-nous un jour un féminisme musulman ? Je ne sais pas. Ce que je sais, aujourd'hui, c'est que la conception occidentale de la femme ne s'accorde pas avec la conception arabo-musulmane de la femme. »

Christopher Caldwell : « ce sont les mêmes problèmes qui reviennent d'une manière ou d'une autre (partout en Europe). Pour commencer, l'intégration des immigrés s'apparente globalement à un échec. Et les mêmes questions sont posées partout : les taux de chômage et de délinquance supérieurs à la moyenne dans les quartiers peuplés de migrants, les revendications concernant les prescriptions alimentaires islamiques, les demandes de séparation des sexes à l'hôpital ou dans les activités sportives, la recherche d'interlocuteurs musulmans modérés…Quand on voyage d'un pays européen à l'autre, comme je l'ai fait pendant plusieurs années, on entend les mêmes préoccupations, les mêmes mots, et jusqu'aux mêmesblagues...Quand vous allez vous réveiller il sera trop tard.»

Christopher Caldwell : « Si l'on cherche une différence entre pays européens quant au traitement de l'immigration, elle est précisément là : en France, la parole est verrouillée, contrairement à la Grande-Bretagne , à l'Italie ou à l'Allemagne. Pierre-André Taguieff a raison quand il évoque l'idéologie de l'« immigrationnisme ». Chez vous, il est presque illégal d'avoir une réflexion négative sur un phénomène qui, comme tout fait de société, ne devrait pas échapper à l'esprit critique. La France va  payer très cher son "politiquement correct". »

Christopher Caldwell : « Ce qui m'inquiète pour vous, c'est que la situation européenne commence à ressembler au problème racial qui a longtemps empoisonné la vie américaine. Cela ne veut pas dire qu'il n'existe aucune solution pour l'Europe, ni que deux groupes ethniques ne peuvent pas travailler ensemble pour bâtir quelque chose qui soit mutuellement satisfaisant. Mais il faut avoir conscience que l'Europe fait désormais face à un problème durable. Chez nous, il a duré trois cent cinquante ans… Je pense que les enjeux de ce problème sont encore plus grands que ne le pensent les Européens.

Christopher Caldwell : « une culture religieuse forte et un système contractuel basé sur la tolérance sont difficiles à concilier parce que, dans une telle rencontre, c'est toujours le côté qui ne veut pas négocier qui a l'avantage. Une religion qui ne doute pas de soi et qui prétend structurer toute l'organisation sociale mondiale, comme l'islam, n'est pas prête à transiger. » 

Christopher Caldwell : « En Belgique, la communauté belgo-marocaine, relativement bien intégrée, affiche un indicateur conjoncturel de fécondité deux fois et demie plus élevé que celui des Belges autochtones. A Bruxelles, où le quart des habitants sont des citoyens étrangers et où plus de la moitié des enfants nés en 2006 étaient nés de musulmans (56 %), les sept prénoms de garçons les plus courants parmi ces nouveau-nés étaient Mohamed, Adam, Rayan, Ayoub, Mehdi, Amine et Hamza. »Boumédienne avait bien dit en 1974 à la tribune de l'Onu queles ventres des femmes musulmanes remplaceront les fusils et les canons pour conquérir l'Europe".

Christopher Caldwell : « Le problème fondamental de l'Europe avec l'islam, et avec l'immigration en général, c'est qu'en Europe, les communautés les plus fortes ne sont, culturellement parlant, pas du tout européennes. Malgré la grande variété de mesures prises pour le résoudre – multiculturalisme en Hollande, laïcité en France, laisser-faire en Grande-Bretagne, pointillisme constitutionnel en Allemagne , ce problème existe dans tous les pays européens. C'est avec l'islam et l'immigration que l'Europe a un problème et non avec l'usage impropre de certains moyens mis en place pour le traiter.>>

Christopher Caldwell : « Il est sûr que l'Europe sortira changée de sa confrontation avec l'islam. Il est bien moins sûr que ce dernier se révèle assimilable. Pour l'heure, l'islam est en meilleure position pour l'emporter à la fois démographiquement, c'est une évidence, et philosophiquement, même si cet avantage paraît moins net. »

Christopher Caldwell :« Quand une culture peu sûre d'elle, malléable et relativiste, rencontre une culture ancrée, confiante et renforcée par des doctrines communes et surtout religieuses, c'est généralement la première qui change pour s'adapter à la seconde car elle a perdu les moyens de réagir.

Il n'y que le nationalisme qui pourra vous sauver. La guerre en ex-Yougoslavie en est un exemple.

Les musulmans, craintifs et soumis lorsque qu'une autorité les domine, n'imposeront pas leur manière de vivre à celle-ci, à l'instar de chez vous. Allez visiter la Croatie, la Serbie ou bien plus près de chez vous la Corse. Pourtant dans cette île ils représentent 10% de la population autochtone et n'inquiètent pas outre mesure les Corses. N'oubliez pas que ces trois peuples, comme par hasard, était les seuls en Europe à se libérer du joug nazi sans l'aide de personne. Il en est ou sera de même avec l'occupation musulmane car le patriotisme est leur ciment .