lundi 24 juin 2013

HOLLANDE AU QATAR

Voilà une visite dont les résultats sont aussi flous que la politique menée par HOLLANDE. Toutefois, il est bon de noter quelques petits passages intéressants :

" Dès son arrivée, il s'est évertué à déminer les dossiers qui fâchent : la gestion du lycée Voltaire de Doha, dans laquelle les autorités qataries avaient été soupçonnées d'intervenir de façon abusive pour remodeler l'enseignement qui y est prodigué ; et, surtout, la polémique sur le "fonds banlieue", un temps promu par le Qatar, qui avait été perçu comme une tentative d'islamiser les jeunes issus de l'immigration. Ce fond sera désormais piloté par la Caisse des dépôts, dirigée par Jean-Pierre Jouyet, coactionnaire de ce projet, dont la vocation est désormais ouverte à toutes les entreprises de l'Hexagone, sans restrictions géographiques. "

Il faut donc en conclure que le QATAR avait bien des investissements louches pour financer le développement de l'Islam en France. Une info assez intéressante puisque les journalistes ont toujours jeté le doute sur ces affirmations. Ensuite on y apprend que les investissements éventuels du QATAR seront remis à la Caisse des dépôts et servira à investir dans les entreprises. En clair, plus le QATAR mettra d'argent dans cette Caisse et plus les entreprises lui appartiendront. En fait, L'Etat se permet de vendre indirectement des entreprises qui ne lui appartiennent pas sous forme de crédits. Fallait y penser, mais vu que l'Etat n'a plus rien à vendre... peut-être que demain ils vendront nos maisons...

" Seule (minuscule) ombre au tableau de cette "excellence" : la confusion qui a entouré la visite du président au palais de l'émir, dimanche. Les services de sécurité, pléthoriques, se sont montrés particulièrement zélés. Les conseillers du chef de l'Etat n'ont pas échappé aux fouilles à l'entrée du bâtiment et certains se sont même accrochés avec le service d'ordre qui ne voulait pas les laisser suivre le président lors de ses mouvements à l'intérieur de l'édifice. Un agacement que tout le monde est prêt à pardonner à un pays qui a déjà investi au moins 10 milliards d'euros en France. "

On sait bien que tous ces nantis se croient au-dessus de tout, alors voilà une anecdote rigolote où on aurait bien aimé avoir quelques photos et qui prouve qu'on est prêt à tout pour trois francs six sous.


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