dimanche 8 décembre 2013

ENCORE UN FILS DE TRIERWEILER QUI TREMPE DANS UN TRAFIC DE DROGUE

" Le 4 avril 2012, JPG publiait que le fils de Valérie Trierweiler avait été arrêté par la police à la sortie de son lycée Claude Bernard, dans le 16e, pour détention d’une quantité (non précisée) de Haschich.

Selon le site Staragora, le susdit aurait été gardé plusieurs heures au commissariat avant d’être libéré.

Toujours selon le même site, l’avocat de la famille et le père, Denis Trierweiler, avaient refusé de répondre au journaliste qui souhaitait en savoir plus.

Nicolas Sarkozy, écrivraient les auteurs du livre « La Frondeuse « , s’était ému de cette injustice : « Cette affaire [de drogue du fils Trierweiler] est beaucoup plus grave que celle de mon fils. Or, personne n’en parle. L’histoire de mon fils a fait une dépêche AFP et là, pas une ligne… »

L’information n’ayant jamais été reprise par aucun média majeur – on se demande pourquoi, eux si éthiques – les justiciers des sites internet qui dénoncent les hoax, sites qui jadis faisaient un excellent travail avant de tomber sous la coupe des fachos bas du front de gauche, en avaient conclu, pavloviens, que l’information était forcément un hoax.

Il est maintenant confirmé – sans que l’on sache s’il s’agit du même fils – que « l’un des fils de Valérie Trierweiler a été interpellé à plusieurs reprises par les forces de l’ordre en flagrant délit pénal (achat, détention, trafic, consommation de drogue, ce n’est pas précisé) sans qu’une poursuite judiciaire soit décidée. »

Dans son numéro qui paraît aujourd’hui et que je vous recommande d’aller acheter toute séance tenante, (et de m’en envoyer un scan car on ne trouve pas Closer chez De Lauer’s Super Newsstand à Oakland), le magazine Closer révèle que l’un des fils – le même ? – de Valérie Trierweiler a été interpellé par la brigade anti-criminalité, et que Le Point.fr a pu consulter le procès verbal.

Cela s’est passé à Saint-Ouen en zone de sécurité prioritaire (ZSP), une des banlieues assez proche des beaux quartiers où la jeunesse bobo dorée droguée s’approvisionne.

Le jeune Trierweiler (lequel ?) s’est donc rendu avec deux autres camarades, selon sa déclaration à la police, pour acheter de la drogue.

Le Point précise que « les interpellations en ZSP font toutes l’objet d’une procédure policière avec avis au parquet, et depuis le mois de septembre 2013, dans les ZSP du 93, une amende, proportionnelle à la quantité, est requise sur-le-champ contre tout acheteur de shit. »

Sauf pour le fils de Valérie Trierweiler.

Il n’a subi ni procédure judiciaire, ni avis au parquet, et n’a même pas reçu d’amende. Dans ses conclusions, le policier auteur du rapport adressé à sa hiérarchie et qu’a consulté Le Point, explique dégoûté par cette forme de dérogation ne même pas avoir pu faire son travail d’anti-criminalité : « Nous avons pris contact avec l’officier de sécurité (du fils de Valérie Trierweiler, NDLR). Afin de lui faciliter la prise en charge, nous l’avons pris à notre bord pour le confier à X avec lequel nous avions rendez-vous à la porte de la Chapelle à 17 h 40. Nous lui avons rappelé que, pour cette action, nous nous trouvons en porte à faux… de ne pas avoir fait notre travail d’anti-criminalité… ni de devoir rendre compte des faits au vu du caractère récent et sensible de la création de la zone de sécurité prioritaire. »

Nicolas Sarkozy peut s’émouvoir une seconde fois. Non seulement personne n’a parlé de multiples arrestations du (ou des) fils de Valérie Trierweiler, mais ils n’ont jamais été inquiétés, et ont été placés au dessus des lois de la République, dans ce saint des saints intouchable où se croise la gauche à la fois morale et délinquante au point qu’elle en anoblirait ses crimes si internet n’existait pas. "

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