vendredi 2 août 2013

L'ANARCHIE A SUMENE

" Sumène en “Transes”, la racaille agresse les pompiers et assiège la gendarmerie.
Officiels et « rabas » (blaireaux puants)  se sont félicités un peu vite quand des milliers de bobos, gauchos et punks à chiens ont, comme chaque été, investi le village de Sumène dans la plus grande anarchie...
Évidemment, il fallait bien que les Suménois, cèdent un peu la place !!! C'est le prix à payer pour la Culture... enfin, une partie du prix...
Culture de la subvention et de la violence…
Ce qui devait se passer s’est passé : le dimanche matin à partir de 10 h, malgré de nombreux contrôles positifs pour conduite en état d’ivresse, ce fut l’anarchie dans la ville: jets de bouteilles,  pompiers, garde municipal et policiers agressés,  ambulance bloquée, gendarmerie assiégée par des encagoulés...

Rien de plus normal puisque le maire encourage, attire et subventionne la racaille et les pouilleux. Lorsqu’un groupe de « rap » d’un fils de « réfugiés » Togolais entend qualifier notre pays, la France, de "grosse pute de république", revendiquer le fait "de prendre ce pays de fachos pour une vache à traire", affirmer que tout immigré ou ses descendants cherchant à s'intégrer sont des "salopes", et regretter que "les blancs vivent comme des pachas sans se manger de crachats"... doit on s’étonner dans ses conditions que certains “allumés” décident de passer à l’acte.

Le maire Ghislain Paillier garde un silence assourdissant et s’évertue à étouffer l’affaire, lui qui se flattait il y a quelques jours de soutenir les « Transes », après avoir passé une convention de trois ans avec les organisateurs; il devra s’expliquer sur l’autorisation qu’il a donnée à ces groupes subversifs et racistes et sur les subventions qu’il déverse sur ses  petits copains… Tout cela sur fond de discrimination, puisqu’il prenait dans le même temps un arrêté interdisant aux commerçants locaux d’installer des terrasses sur la rue...

Depuis dimanche soir, le maire est aux “abonnés absents”  et une chape de plomb entoure “l’affaire”. Les patriotes suménois, en soutien aux pompiers locaux –qui ont reçu crachats et jets de bouteilles- et aux commerçants, ont déployé dans l’après-Midi une banderole portant l’inscription “Maîtres chez nous” à l’entrée sud de Sumène et distribué plusieurs centaines de tracts à la population et aux touristes médusés. "

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