samedi 10 août 2013

VALLS FAIT-IL ESPIONNER LE PATRON DE " VALEUR ACTUELLE " ?

" Dans un tweet, Yves de Kerdrel pense avoir été mis sur écoutes téléphoniques depuis un édito très critique à l'égard de Manuel Valls. Il affirme également que des agents rôdent autour de son journal. Un petit tweet mais de grosses accusations. Dans un message publié sur le réseau Twitter, le directeur général de Valeurs actuelles, Yves de Kerdrel, affirme être l'objet d'espionnage téléphonique et de piratage informatique depuis qu'il a critiqué Manuel Valls. Dans un édito daté du 8 août, le patron de l'hebdomadaire conservateur compare en effet le ministre de l'Intérieur à "un matamore" qui "cache son incapacité à agir derrière des effets de manche". Selon Yves de Kerdrel, Manuel Valls "a abandonné la lutte contre la délinquance" et "prend un malin plaisir à aller fêter la fin du ramadan avec des musulmans de France, dont il cherche à faire des électeurs". 

Un petit tweet mais de grosses accusations. Dans un message publié sur le réseau Twitter, le directeur général de Valeurs actuelles, Yves de Kerdrel, affirme être l'objet d'espionnage téléphonique et de piratage informatique depuis qu'il a critiqué Manuel Valls.  
Dans un édito daté du 8 août, le patron de l'hebdomadaire conservateur compare en effet le ministre de l'Intérieur à "un matamore" qui "cache son incapacité à agir derrière des effets de manche". Selon Yves de Kerdrel, Manuel Valls "a abandonné la lutte contre la délinquance" et "prend un malin plaisir à aller fêter la fin du ramadan avec des musulmans de France, dont il cherche à faire des électeurs". 
Contacté par Le Figaro, Yves de Kerdrel assure que "le système informatique de Valeurs actuelles a subi des tentatives d'attaques" et dit avoir aperçu "des agents en civil à plusieurs reprises au bas du journal". Ce que confirme un rédacteur en chef adjoint de l'hebdomadaire, qui jure sur Twitter avoir observé une "voiture banalisée" rôder autour du journal. 
Également contacté par Le Figaro, l'entourage de Manuel Valls juge que les allégations de Valeurs actuelles sont des "accusations sans fondement qui relèvent de l'imagination et du pure fantasme".

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