jeudi 5 septembre 2013

LETTRE OUVERTE : POEME

" Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir

Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs

L’empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !

Le jabot de travers toujours évidemment

Il aurait bien voulu se faire croire compétent.

Bien d’accord sur ce mot, en le coupant en deux

Sachant depuis longtemps qu’il nous restait les yeux

Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue

Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.


Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir

Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.

Si l’important pour lui, ce n’est pas le chômage

Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage

En s’occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés

Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités

Ceux qui ont voté pour lui, c’est bien pour leur malheur

Il en a rien à foutre de tous les électeurs

Maintenant qu’il a la place, il y met tous son cœur

Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur



Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir

Il dit qu’il nous en…fume, qu’on est de bonnes poires

Qu’ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons

C’est bien fait pour not’ gueule puisqu’on est assez cons

Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir

Il n’y avait pas de crise, il l’a pas vue venir…



Le  p’tit coq nain de TULLE est un triste vautour

Il s’est bien déguisé sous de jolis atours.

Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,

Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.

Alors, n’attendez rien de ces tristes fumistes

Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste.

Un conseil pourtant : gardez quelques écus,

Achetez de la vaseline et planquez votre cul ! "

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire