samedi 27 avril 2013

AGRESSION DE PARACHUTISTES A CASTRES ( 09/09/12 )

Castres : heurts entre jeunes et militaires
Résumons. Une dizaine de militaires parachutistes prennent un verre dans un bar, et défendent une jeune fille qu’importunent des « jeunes » (sic !). Ils se font alors traiter de « sales militaires » et « sales Français ». Il s’ensuit une bagarre à l’extérieur de l’établissement avec des « renforts » des deux côtés. La police use de balles en caoutchouc et de gaz lacrymogènes pour séparer les belligérants. Un para perd l’usage d’un œil, blessé par un tesson de bouteille. Deux « jeunes » sont interpellés.
Et la dépêche parle de « heurts », alors qu’il s’agit d’une attaque en règle et raciste contre nos soldats ?
Et la dépêche parle de « jeunes », alors qu’il s’agit manifestement de voyous ne se sentant aucunement français, et ayant de la haine pour les militaires et les Français ?
" Dans ma ville de Castres, une fois de plus, des groupes qualifiés de « jeunes », qui ne sont heureusement nullement représentatifs de l’ensemble des jeunes de toutes origines de cette ville, ont sciemment attaqué des parachutistes du 8° RPIMA fréquentant tranquillement le Bar des Arcades sur la place Jean Jaurès.
Un jeune soldat violemment frappé avec un tesson de bouteille a ainsi perdu un œil, chez nous, où il aurait dû être en sécurité, pas à Kaboul !
L’agression fut délibérément « raciste » au sens bien sûr de la loi antiraciste, c’est-à-dire en haine de l’appartenance à la nation française, en haine de ceux qui, de toutes couleurs, défendent notre patrie.
Hélas, chez bien des jeunes « travaillés » par un islamisme de plus en plus violent, le massacreur ignoble de soldats et d’enfants juifs, Mohamed Merah fait figure de héros.
L’AGRIF bien sûr, comme c’est son devoir, se porte partie civile dans cette affaire dont s’occupera Maître Pierre-Marie Bonneau du Barreau de Toulouse. "

C'était le 09/09/2012 une première affaire qui va marquer la création d'une nouvelle rubrique sur la justice. Une rubrique pour ne pas oublier les victimes des agressions et pour ne pas oublier dans quelle France nous vivons...

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