Monsieur le Président de la République François Hollande
à
Monsieur le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault
pour
Nomination de Kader Arif au poste de Ministre des Anciens combattants
à
Monsieur le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault
pour
Nomination de Kader Arif au poste de Ministre des Anciens combattants
La Honte pour les Anciens Combattants Français, Honte pour la France ! Faut-il espérer, une erreur, une maladresse à l’égard de
l’Histoire de France, à l’égard des anciens Combattants Français,
dans la nomination de Kader Arif au poste de Ministre délégué auprès des
anciens Combattants, ou plutôt une démission, une provocation, une
infiltration du gouvernement socialiste sous prétexte de
réconciliation, pour se donner bonne conscience, une récupération
électoraliste de 6 millions de musulmans, une récompense tardive pour
les fautes commises par les Socialistes dans la guerre d’Algérie, alors
que des accusations de sources algériennes ( Salima Saa) et militaires
jettent un doute sur l’appartenance de sa famille au FLN ; ce serait une HONTE pour LA FRANCE ! Devoirs de l’Histoire de France (méconnue des Français
car volontairement truquée par nos politiciens de tous bords )
: 8 mai 1945 :
Alors qu’en métropole, la France fête la Victoire sur le Reich et sur
Hitler, la fin d’une guerre, la Liberté retrouvée, en Algérie, dans le
Constantinois, à Sétif, 700 Algériens se réunissent pour déposer une
gerbe au pied du monument aux morts.
En réalité, une population algérienne descendue des « douards », brandissant des drapeaux algériens et revendiquant l’indépendance. Alors que le cortège arrive au quartier français, les forces de l’ordre sont débordées ; dans la panique, un jeune algérien de 20 ans est tué. La guerre civile est commencée : les massacres dureront pendant 45 jours.
La guerre d’Algérie, qui va durer 17 ans, commence ce 8 mai 1945, faute des gouvernants de l’époque, le Général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire de la République Française, le GPRF depuis le 26 Août 1944, mais aussi de son ministre socialiste Pierre Mendes-France, de ministres communistes, qui n’ont pas été capables d’organiser une décolonisation constructive, avec les honneurs, promise dans sa Conférence de Brazzaville.
Les Socialistes et la guerre d’Algérie :
François Mitterrand « le guillotineur »
« Quand l'insurrection algérienne éclate à partir du 1er novembre 1954, François Mitterrand est ministre de l'Intérieur: il tente d'écraser la rébellion et de rétablir l'ordre. Le gouvernement Mendès-France, dont il est membre, tombe le 5 février 1955 après huit mois d'exercice du pouvoir. Le 2 janvier 1956, il devient ministre de la Justice du gouvernement de Guy Mollet. Le président du Conseil revient d'Alger où il a été conspué.
Cette fois, il est bien décidé à écraser le FLN. La politique va se durcir. Garde des Sceaux, Mitterrand est alors le numéro trois du gouvernement. Au rythme où ceux-ci tombent, c'est bientôt son tour de diriger les affaires du pays, se dit-il. Mais pour rester dans la course, il ne faut pas faire partie des "mous". Il va alors se déclarer favorable, dans la grande majorité des cas, à l'exécution des condamnés à mort qui attendent dans les geôles d'Algérie, contrairement à ses compagnons Pierre Mendès France, Alain Savary ou Gaston Defferre. Le seul autre à approuver les exécutions est Maurice Bourgès-Maunoury, ministre des Armées, en compétition avec Mitterrand pour le poste de président du Conseil. Au bout du compte, combien de demandes de grâce a-t-il refusées? On compte 45 guillotinés tandis qu'il occupe les fonctions de garde des Sceaux. Il refusera trente-deux demandes de grâce, en acceptera huit. Cinq avis ne sont pas connus. Retenons que dans 80 % des cas connus, François Mitterrand a refusé la grâce.
Contrairement à ce qu'on a pu croire, ces premiers condamnés à mort exécutés de la guerre d'Algérie ne sont pas des poseurs de bombe. Ils ont participé à l'insurrection, mais souvent sans commettre de meurtre. L'un des deux premiers auxquels on a coupé la tête, Abdelkader Ferradj, était un musulman qui avait tenté de mettre le feu à une meule de foin ! Ce n'est qu'après Mitterrand que les poseurs de bombe du FLN d'Alger seront capturés.
Avant, les prisonniers sont juste de pauvres types qui n'ont pas fait grand-chose » .
En réalité, une population algérienne descendue des « douards », brandissant des drapeaux algériens et revendiquant l’indépendance. Alors que le cortège arrive au quartier français, les forces de l’ordre sont débordées ; dans la panique, un jeune algérien de 20 ans est tué. La guerre civile est commencée : les massacres dureront pendant 45 jours.
La guerre d’Algérie, qui va durer 17 ans, commence ce 8 mai 1945, faute des gouvernants de l’époque, le Général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire de la République Française, le GPRF depuis le 26 Août 1944, mais aussi de son ministre socialiste Pierre Mendes-France, de ministres communistes, qui n’ont pas été capables d’organiser une décolonisation constructive, avec les honneurs, promise dans sa Conférence de Brazzaville.
Les Socialistes et la guerre d’Algérie :
François Mitterrand « le guillotineur »
« Quand l'insurrection algérienne éclate à partir du 1er novembre 1954, François Mitterrand est ministre de l'Intérieur: il tente d'écraser la rébellion et de rétablir l'ordre. Le gouvernement Mendès-France, dont il est membre, tombe le 5 février 1955 après huit mois d'exercice du pouvoir. Le 2 janvier 1956, il devient ministre de la Justice du gouvernement de Guy Mollet. Le président du Conseil revient d'Alger où il a été conspué.
Cette fois, il est bien décidé à écraser le FLN. La politique va se durcir. Garde des Sceaux, Mitterrand est alors le numéro trois du gouvernement. Au rythme où ceux-ci tombent, c'est bientôt son tour de diriger les affaires du pays, se dit-il. Mais pour rester dans la course, il ne faut pas faire partie des "mous". Il va alors se déclarer favorable, dans la grande majorité des cas, à l'exécution des condamnés à mort qui attendent dans les geôles d'Algérie, contrairement à ses compagnons Pierre Mendès France, Alain Savary ou Gaston Defferre. Le seul autre à approuver les exécutions est Maurice Bourgès-Maunoury, ministre des Armées, en compétition avec Mitterrand pour le poste de président du Conseil. Au bout du compte, combien de demandes de grâce a-t-il refusées? On compte 45 guillotinés tandis qu'il occupe les fonctions de garde des Sceaux. Il refusera trente-deux demandes de grâce, en acceptera huit. Cinq avis ne sont pas connus. Retenons que dans 80 % des cas connus, François Mitterrand a refusé la grâce.
Contrairement à ce qu'on a pu croire, ces premiers condamnés à mort exécutés de la guerre d'Algérie ne sont pas des poseurs de bombe. Ils ont participé à l'insurrection, mais souvent sans commettre de meurtre. L'un des deux premiers auxquels on a coupé la tête, Abdelkader Ferradj, était un musulman qui avait tenté de mettre le feu à une meule de foin ! Ce n'est qu'après Mitterrand que les poseurs de bombe du FLN d'Alger seront capturés.
Avant, les prisonniers sont juste de pauvres types qui n'ont pas fait grand-chose » .
Devoir de mémoires
C’était donc la guerre, ou plutôt des « guérillas », où l’ennemi est partout mais invisible, avec ses chapelets d’horreurs, de blessés, de morts pour rien, à qui, par devoir de mémoire, il faut rendre hommage ici. Au total, au moins 150.000 militaires français, avec en plus 30.000 appelés du contingent, mobilisés d’office sous les drapeaux, sont tombés au champ d’honneur ou dans des embuscades, comme celle de Palestro. Palestro « Massacre des innocents » : l'une des premières et des plus meurtrières embuscades de la guerre. C'est un français, Henri Maillot membre du parti communiste, affecté au 57e bataillon de tirailleurs de Miliana, chargé de transporter à Alger du matériel de guerre, qui livra au F.L.N. le 4 avril 1956: 74 revolvers, 10 pistolets, 121 pistolets mitrailleurs, 63 fusils de chasse et un lot important de munitions. Ce matériel servira aux rebelles pour monter le massacre de vingt et un rappelés du contingent, dans les gorges de Palestro, le 18 mai 1956, ajoutant à l’horreur, la mutilation des cadavres et des images insoutenables. Henri Maillot, ayant rejoint le « maquis rouge indépendantiste», considéré comme traître, fut abattu par l’armée française.
C’était donc la guerre, ou plutôt des « guérillas », où l’ennemi est partout mais invisible, avec ses chapelets d’horreurs, de blessés, de morts pour rien, à qui, par devoir de mémoire, il faut rendre hommage ici. Au total, au moins 150.000 militaires français, avec en plus 30.000 appelés du contingent, mobilisés d’office sous les drapeaux, sont tombés au champ d’honneur ou dans des embuscades, comme celle de Palestro. Palestro « Massacre des innocents » : l'une des premières et des plus meurtrières embuscades de la guerre. C'est un français, Henri Maillot membre du parti communiste, affecté au 57e bataillon de tirailleurs de Miliana, chargé de transporter à Alger du matériel de guerre, qui livra au F.L.N. le 4 avril 1956: 74 revolvers, 10 pistolets, 121 pistolets mitrailleurs, 63 fusils de chasse et un lot important de munitions. Ce matériel servira aux rebelles pour monter le massacre de vingt et un rappelés du contingent, dans les gorges de Palestro, le 18 mai 1956, ajoutant à l’horreur, la mutilation des cadavres et des images insoutenables. Henri Maillot, ayant rejoint le « maquis rouge indépendantiste», considéré comme traître, fut abattu par l’armée française.
Les Harkis
Depuis le début de la colonisation, la tradition de l’armée française était d’enrôler sur le terrain des soldats volontaires, touchant soldes et retraites, pour constituer « bataillons de tirailleurs algériens », régiments de «zouaves » , escadrons de « spahis ».. puis de 1954 à 1957, ce furent environ 30.000 supplétifs, les HARKIS, pour infiltrer et lutter contre les « guérillas ». En réalité, il est considéré que 10% ou plus, des effectifs de Harkis sont des « ralliés, infiltrés ou espions du FLN » pour toucher soldes et agir de l’intérieur contre nos soldats. La guerre d’Algérie se termina théoriquement par les accords d’Evian en 1962, un cessez-le-feu, un référendum en France, mais en réalité par une période d’anarchie, d’insécurité, avec enlèvements, règlements de comptes en tous genres, exécutions et pour éviter le pire, rapatriement des Français d’Afrique du Nord (les pieds noirs) et environ 90.000 « français musulmans », fonctionnaires, harkis, restés fidèles à la France mais considérés comme traîtres par leur pays.
Depuis le début de la colonisation, la tradition de l’armée française était d’enrôler sur le terrain des soldats volontaires, touchant soldes et retraites, pour constituer « bataillons de tirailleurs algériens », régiments de «zouaves » , escadrons de « spahis ».. puis de 1954 à 1957, ce furent environ 30.000 supplétifs, les HARKIS, pour infiltrer et lutter contre les « guérillas ». En réalité, il est considéré que 10% ou plus, des effectifs de Harkis sont des « ralliés, infiltrés ou espions du FLN » pour toucher soldes et agir de l’intérieur contre nos soldats. La guerre d’Algérie se termina théoriquement par les accords d’Evian en 1962, un cessez-le-feu, un référendum en France, mais en réalité par une période d’anarchie, d’insécurité, avec enlèvements, règlements de comptes en tous genres, exécutions et pour éviter le pire, rapatriement des Français d’Afrique du Nord (les pieds noirs) et environ 90.000 « français musulmans », fonctionnaires, harkis, restés fidèles à la France mais considérés comme traîtres par leur pays.
Kader Arif : ministre des anciens Combattants ! Fils de Harkis ou fils de FLN « infiltré » ?
KADER ARIF …une compensation aux « guillotinés de François Mitterrand » ?
Toutes les familles françaises ont été touchées, de près ou de loin, par cette guerre d’Algérie. Les souvenirs sont encore brûlants et il n’appartient pas à François Hollande qui veut une République exemplaire, de nommer Kader Arif, dont la famille est suspectée d’avoir appartenu au FLN, ministre des anciens combattants :
« Priez Dieu, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, que les 30.000 appelés du contingent, morts là bas pour la France pour rien et dont vous bafouez la mémoire, vous veuillent absoudre ». Mektoub.
KADER ARIF …une compensation aux « guillotinés de François Mitterrand » ?
Toutes les familles françaises ont été touchées, de près ou de loin, par cette guerre d’Algérie. Les souvenirs sont encore brûlants et il n’appartient pas à François Hollande qui veut une République exemplaire, de nommer Kader Arif, dont la famille est suspectée d’avoir appartenu au FLN, ministre des anciens combattants :
« Priez Dieu, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, que les 30.000 appelés du contingent, morts là bas pour la France pour rien et dont vous bafouez la mémoire, vous veuillent absoudre ». Mektoub.
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